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(25/03/2011 10:45:34)

Sigma renforce son pôle édition en rachetant Actium Developpement

La SSII Sigma compte trois activités : conseil et intégration (sans délégation de personnel), infogérance et éditions.  Cette dernière se renforce par le rachat d'Actium Développement. « Une société qui nous apporte un double avantage, une solution de gestion comptable et financière Totem et une implantation à Paris », souligne Olivier Gaboury, le directeur marketing et commercial.

Actium développement réalisait 1,6 millions d'euros de chiffre d'affaires. Une entreprise sans difficulté financière mais qui souhaitait s'appuyer sur une structure plus importante pour conquérir des comptes clients de taille plus grande. La structure restera en place. L'objectif de Sigma, dans ce rachat, est avant tout de développer Totem.

Au-delà, Sigma veut poursuivre son implantation sur d'autres régions. Sans précipitation. La société est implantée à Strasbourg et Toulouse. Elle a réalisé 54 ME de chiffre d'affaires en 2010, avec 15% de progression et souhaite renouveler en 2011 avec une croissance à deux chiffres, principalement en croissance organique.

(...)

(25/03/2011 10:37:34)

Elyazalée, une SSII bretonne dévoile son ERP

Faute de trouver une solution qui réponde à ses besoins, la petite SSII Elyazalée a développé il y a deux ans et demi son propre ERP. Initialement destiné à l'usage interne de cette société basée à Plérin, près de Saint-Brieuc (22), le progiciel en mode SaaS griffé Elya ERP s'est progressivement constitué une clientèle d'une dizaine d'entreprises. Aujourd'hui s'ouvre le deuxième chapitre de l'histoire commerciale de l'application. Son concepteur commercialise désormais le noyau de l'ERP avec des modules packagés, et non plus développés sur demande, qui sont de surcroît accessibles depuis un smartphone (Android, iPhone et BlackBerry).

De base, Elya ERP propose notamment un outil de gestion de contacts, de suivi des actions commerciales en cours ou à mener ainsi qu'un module emailing / SMS. Pour ne rien gâcher, l'interface utilisateur peut être personnalisée aux couleurs de l'entreprise cliente. Les modules optionnels comprennent quant à eux des fonctions de gestion et de suivi de projet, de réalisation de devis/acomptes/factures, de gestion de notes de frais et du temps ou encore des budgets.

A partir de 9,90€ HT par mois sans limitation d'utilisateurs

Il en coûte 9.90 € HT par mois et par entreprise (le nombre d'utilisateurs est illimité) pour utiliser les fonctions de base de l'ERP. L'usage de l'intégralité des modules fait passer le tarif à 35,90 € HT par mois. En 2010, la commercialisation d'Elya ERP a représenté environ un tiers des 56 K€ de chiffre d'affaires de la SSII. Une proportion qui devrait augmenter grâce à la création d'un site dédié au produit et à la mise en place de campagnes d'e-mailing. Pour l'heure, Elyazalée ne cherche pas de revendeurs même si la société se dit prête à étudier toute sollicitation.

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(25/03/2011 10:25:38)

PAC analyse le marché français de la sécurité informatique

Parmi les 200 responsables interrogés par PAC, 25% sont des RSSI , les autres : des responsables informatiques, des DSI ou leurs adjoints, ou des responsable sécurité. Cette étude a le mérite de porter sur le seul marché français, d'être moins quantitative que ses homologues internationales centrées, elles, sur les seules ventes de produits. L'étude de PAC est également plus qualitative.

Première donnée, ce marché progresse. La sécurité informatique est l'un des rares investissements à croître en période de crise. La progression serait de 2,2% en France en 2010. 7% seulement des responsables interrogés affichent un budget de sécurité informatique en baisse. Cette progression devrait se poursuivre. Pour 2011, le panel interrogé fait ressortir deux sujets : la sécurité des infrastructures (et leur disponibilité), la gestion des accès (authentification forte) et des identités (comme le fameux SSO, Single sign on). Plus généralement, le panel  fait remonter trois sujets : le cloud, la mobilité, la virtualisation. Trois sujets qui dépendent étroitement des questions de sécurité.

Spécificité française


Malgré ces atouts, la sécurité informatique demeure encore à des niveaux très faibles dans l'investissement informatique global des entreprises. C'est une spécificité nationale, elle progresse mais reste à des niveaux très bas. Une prise de conscience existe, dans les directions informatiques du moins.  Moins sûrement à la tête des entreprises où l'utilisation des smartphones par exemple se fait sans contrainte.

La sécurité informatique n'est donc pas mature en France et garde de fortes marges de progression. Les budgets sont encore réactifs, après l'affaire Kerviel par exemple, ou sous la pression de la presse, les décisions s'accélèrent.  Du côté des utilisateurs, les usages et les process manquent de cohérence d'où la nécessité d'actions de formation.  Les responsables en sécurité informatique des entreprises doivent donc jongler avec différents impératifs : financiers, techniques, humains.

Les prestataires extérieurs ont leur rôle mais dans une approche qui devient globale de la sécurité avec des problématiques d'analyse comportementale des usages dans l'entreprise, d'intégration dans le SI, de nouvelles approches comme le cloud ou la mobilité. L'offre est également très particulière en France, avec beaucoup d'intégrateurs, souvent de petite taille. Spécialisés, avec de la valeur ajoutée, ils ont du mal à progresser dans les grands comptes et les projets réseaux importants. La consolidation est pour le moment internationale entre grands acteurs.

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(25/03/2011 10:23:02)

Système U a choisi HP pour migrer tous ses serveurs

Système U Ouest est l'une des quatre centrales d'achat du groupement de commerçants indépendants Système U.  Son système d'information héberge les donnés des centrales d'achats et des points de vente, dont dépendent 20 000 utilisateurs. 

Fin 2009, le groupement Système U dans son ensemble comptait 1 178 points de vente pour le réseau discount - les enseignes Hyper U et Super U - et pour le réseau de proximité - Marché U, U Express et Utile. Système U Ouest hébergeait son infrastructure informatique dans deux bâtiments situés sur son campus près de Nantes. L'entreprise a décidé de fiabiliser son infrastructure, en construisant un nouveau datacenter, avec une priorité lors du déménagement : assurer la continuité des opérations pour les utilisateurs. 

450 serveurs à déménager

Il s'agissait de migrer 240 équipements physiques, soit près de 450 serveurs.  La criticité des applications abritées par le centre de données et les contraintes organisationnelles imposaient le respect d'un cahier des charges strict et limité dans le temps. L'opération a été programmée pour l'été 2010. Le déménagement s'est déroulé sur deux week-ends, impliquant jusqu'à 55 personnes, dont 20 pour le prestataire retenu et ses sous-traitants, qui ont pu s'appuyer sur des éléments facilitateurs tels que l'interconnexion réseau des anciens et des nouveaux locaux ou encore la proximité géographique des installations. 

Afin de tenir le cahier des charges, une phase d'étude a été menée pendant un mois pour dresser l'inventaire des équipements à déménager et définir les lots et les grands principes de l'opération. A la suite de cette étape, un projet de gouvernance a été lancé pendant trois mois pour régler le déménagement dans les moindres détails afin de prendre en compte tant les contraintes des métiers que les contraintes techniques : poids des équipements - certaines armoires pouvant peser une tonne -, hauteur des passerelles sur le site, etc. 

Une migration en 4 vagues

La bonne réussite d'un projet si important nécessite une implication totale. « Le déménagement d'un data center se prépare, plus qu'on ne le croit. Faire une répétition comme nous l'avons fait permet d'anticiper tous les cas », souligne Stéphane Cesbron, responsable du pôle Intégration de Système U Ouest. « Nous avons  réalisé cette migration, en quatre vagues, dans la plus grande transparence pour les utilisateurs : ils ne se sont aperçus de rien », ajoute-t-il.  Le prestataire retenu par Système U pour l'aider dans ce déménagement est HP Technology Services France.

Crédit photo : D.R.
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(25/03/2011 10:06:05)

La Société Générale réfléchit à la banque de demain

En 2010, selon le pôle de compétitivité TES, la banque  a passé des contrats pour un total de 800 000 € à 8 PME rencontrées  suite à des appels à compétences. Les réponses sont attendues avant le 25 mars.

Les 8 axes de réflexion sont : 

1. Internet des objets : Quels nouveaux usages peut-on envisager pour les consommateurs et la banque ?

2. La banque qui vous parle
: Digital "native" ou digital "migrant", quels sont les meilleurs moyens pour interagir avec eux ?

3. Social Banking : Quelles technologies et partenariats sont à imaginer ?

4. Une nouvelle approche de l'informatique en entreprise
: La webisation des applications, un impératif stratégique, complémentaire à la virtualisation des postes de travail ?

5. Les App Store : Faire toujours plus simple et pratique, comment pourrait-on décliner le concept d'App Store dans l'entreprise ?

6. Robotique :
Les services cybernétiques au service de la banque et des personnes ?

7. Intelligence artificielle, langage naturel ou interfaces riches
: Des interactions avec le client de plus en plus innovantes. Demain, qu'est ce qui va changer ?

8. Quand le virtuel et la réalité se rencontrent, se mélangent : Quels nouveaux services et applications pourrait-on imaginer ?


Crédit photo : D.R.
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(25/03/2011 10:54:19)

Annuels Keyrus : La SSII lance son cabinet de conseil axé BI

Engagée depuis 2001 sur les projets de Business Intelligence pour les grands comptes, la SSII Keyrus se met en ordre de marche depuis trois ans pour construire des approches métiers lui permettant de s'adresser en amont aux directions opérationnelles de ses clients. La société présidée par Eric Cohen (en photo) concrétise cette approche en officialisant la création de son propre cabinet de conseil en management, Keyrus Management. La structure est présidée par Didier Taupin, directeur général délégué de Keyrus depuis avril 2008, ancien DG des activités conseil de Deloitte France et fondateur d'Ineum Consulting. Elle compte déjà 10 associés et 50 consultants.

Après une période de développement soutenu qui l'a conduit à multiplier son chiffre d'affaires par cinq entre 2000 et 2007, à 100 M€, tant en croissance interne qu'externe, Keyrus a créé autour de ses compétences technologiques une organisation orientée clients et secteurs d'activités économiques. « Nous avons mis en place des activités de conseil autour de la BI et la vision que j'avais de l'entreprise fin 2007 est aujourd'hui bien en place en termes de services et de positionnement, explique son PDG Eric Cohen. Nous allons travailler sur les aspects stratégiques, sur la performance, en nous adressant davantage aux directions financières, marketing et RH des entreprises. Nous intégrons beaucoup plus de métiers dans nos équipes parce que la BI concerne les métiers, même s'il faut aussi discuter avec les DSI. L'idée, c'est d'avoir un modèle intégré, et non d'avoir les consultants d'un côté et les techniciens de l'autre. Ma vision, c'est que nous soyons demain un petit Accenture ».

Une rentabilité améliorée


En 2010, c'est l'activité grands comptes qui a tiré les revenus de Keyrus (outre la BI, la SSII intervient sur le e-Business), avec une progression de 22% au 4e trimestre et de 17,3% sur l'année. Tandis que l'activité PME de sa filiale Absys Cyborg, intégrateur de solutions d'ERP et CRM, s'est légèrement rétractée (-2,2% au 4e trimestre, -0,6% sur l'année). Le chiffre d'affaires global de la SSII (dans lequel les activités PME pèsent 30%) s'établit à 119,7 millions d'euros sur l'exercice, en progression de 11,2%. Keyrus a amélioré sa rentabilité par rapport à 2009, avec un résultat opérationnel courant de 4,6 millions qui représente 3,8% de son chiffre d'affaires, contre 3% l'an dernier (le choix de comptabiliser la CVAE en impôt améliore ce résultat de 0,8 M précise Keyrus). Le résultat net de la société s'élève à 2,7 millions d'euros (+80%).

L'axe BI se renforce sur le secteur public et l'énergie


En 2010, la SSII s'est renforcé sur le secteur public et sur les acteurs de la fourniture d'énergie. « Notre croissance s'est plutôt faite sur ces terrains en 2010. Cela ne signifie pas que les autres secteurs sur lesquels nous évoluons n'ont pas progressé, mais nous avons fait des efforts depuis deux ans pour nous implanter dans l'énergie, les utilities et le secteur public où l'un des enjeux majeurs est le pilotage, souligne le PDG Eric Cohen. Nous avons fait des investissements et gagné des projets innovants, en développant par exemple une application basée sur les moteurs de recherche (search based) pour un grand acteur de l'environnement. » Keyrus a également remporté une très grosse TMA au ministère de la Justice. « Un gros contrat pour toute la partie maintenance évolutive des applications BI, rappelle Eric Cohen. Pour gagner ce genre de projets, il faut non seulement de la crédibilité en termes de savoir-faire, mais aussi être capable d'organiser le delivery en centre de services, ainsi que nous l'avons organisé depuis trois ans, notamment avec nos capacités de nearshore à Lyon et Nantes. »

Illustration : Eric Cohen, PDG de Keyrus (...)

(25/03/2011 10:56:11)

Microsoft dévoile son outil de virtualisation de serveur d'applications

La virtualisation des  serveurs d'applications est une fonctionnalité désormais disponible en version bêta dans System Center Virtual Machine Manager, et devrait être livrée plus tard cette année en même temps que la version finale du System Center 2012. Microsoft n'est pas le premier vendeur à virtualiser les serveurs d'applications, mais, pour une fois, il le fait avant son rival VMware. Avec peut-être un avantage : les clients de VMware sont aussi des utilisateurs de Windows.

Tout comme la virtualisation serveur dissocie le système d'exploitation du serveur, la virtualisation d'applications ajoute une couche supplémentaire et dissocie le programme du système d'exploitation. Cela permet une plus grande souplesse dans la migration, la mise à jour et la restauration de certains éléments logiciels. Jusque-là, la virtualisation des applications concernait uniquement les logiciels de bureau. Comme on pouvait s'y attendre, la virtualisation de serveur d'applications, virtualise elle, le « software framework », dissociant l'application et sa configuration de l'OS sous-jacent. Autrement dit, au lieu de faire une copie virtuelle d'Outlook par exemple, on crée une copie virtuelle d'Exchange Server.

Simplifier les mises à jour

Pourquoi opérer de cette façon ? Selon David Greschler, directeur de la stratégie virtualisation chez Microsoft, « les applications actuelles côté serveur sont étroitement associées à des machines virtuelles, si bien qu'il est difficile de déplacer les applications d'une machine virtuelle à une autre, ou de mettre à jour l'OS sans affecter l'application, et vice versa. » Avec des serveurs d'applications virtualisées, il devient possible de mettre à jour le système d'exploitation sans avoir à se préoccuper d'une éventuelle réinstallation du logiciel.

Avec une application virtualisée, les administrateurs peuvent créer des « images systèmes types », ou des instances génériques d'un système d'exploitation qu'ils pourront appliquer à plusieurs types d'applications. « Au lieu d'avoir une machine virtuelle Exchange, on a une VM générique avec un système d'exploitation où l'on peut introduire une application en temps réel, » explique David Greschler. De nombreuses applications utilisent une image système identique. Elles peuvent donc être plus facilement déplacées du datacenter d'un client vers un service cloud Windows Azure.

Alléger la gestion des instances

Les responsables de Microsoft ont largement fait valoir que cette approche pouvait contribuer à alléger la gestion des instances : au lieu d'avoir à gérer des milliers d'instances système spécialisées, quelques instances génériques reproduites des milliers de fois suffisent. « Lors du Patch Tuesday par exemple, cette technologie permettra aux services informatiques de traiter le système d'exploitation et l'application séparément, ce qui rendra plus facile le déploiement des mises à jour de sécurité, » a indiqué Microsoft.

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L'objectif de l'éditeur de Redmond est de mettre davantage l'accent sur l'application, plutôt que sur la machine virtuelle, ce que le directeur de la stratégie appelle la « nappe », alors que les applications représentent les plats que l'on dépose par dessus. Techniquement, la virtualisation de serveurs d'applications  peut même être utilisée sur des serveurs physiques dépourvus d'hyperviseur, mais il est peu probable que beaucoup de clients soient tentés par cette solution.

Une technologie issue du rachat de Softricity

David Greschler est le cofondateur de Softricity, une entreprise acquise par Microsoft en 2006. Au moment du rachat, Sofricity était propriétaire d'une technologie de virtualisation d'applications de bureau, prête à l'usage, et avait déjà commencé à plancher sur la virtualisation d'application côté serveur. Selon David Greschler, « la priorité de Microsoft était alors de s'assurer que App-V pour le bureau puisse être exploitée. » L'outil serveur d'applications « était en test dans les laboratoires. C'était juste un projet. Aujourd'hui, c'est une réalité. »

Mais Microsoft n'est pas le premier à être parvenu à ce stade. La start-up AppZero se vante de disposer de sa propre technologie de virtualisation d'application côté serveur, qui permet de déplacer les applications entre serveurs physiques et virtuels et à travers des déploiements VMware, Xen et Hyper-V. Mais Microsoft avance plus vite que son principal rival : VMWare sait virtualiser les serveurs et les applications de bureau, mais pas encore les serveurs d'applications. « Actuellement, VMware ne supporte pas la virtualisation des serveurs d'applications, » a confirmé AppZero.

Pas de support de Linux bien sûr

Avec System Center 2012, Microsoft étend sa capacité à gérer plusieurs hyperviseurs. System Center prenait déjà en charge la technologie Hyper-V et VMware, et la nouvelle version sera en mesure de gérer XenServer de Citrix. Avec une limitation cependant : la technologie de Microsoft ne fonctionne qu'avec Windows Server et pas avec Linux. « C'est une architecture tout à fait différente, » explique le directeur de la stratégie, à propos de Linux. « La couche de virtualisation des applications est très liée à la structure de Windows, au registre, aux fichiers, et à tous les composants dont ce système d'exploitation a besoin pour faire tourner une application. » Pour l'heure, la prise en charge de Linux n'est «  pas sur notre feuille de route, » a déclaré David Greschler.

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(25/03/2011 10:53:32)

Annuels TRSB : Forte rentabilité en 2010

Comme en 2010, TRSB devrait connaître en 2011 plus de 20% de croissance organique, annonce le groupe. L'exercice 2010 s'est terminé avec 34,6 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en croissance organique de 24,9%, de 51,4% en incluant la croissance externe.

Cette dernière comptera également en 2011, TRSB vient de reprendre Wyniwyg début mars, qui représente un CA de 17 ME. Une autre acquisition est prévue, mais de taille moins importante dans les mois à venir. Ces acquisitions porteront le CA 2011 entre 55 et 60 ME, avec une croissance organique supérieure à 20%.

La rentabilité est également forte. Sur 2010, TRSB annonce un résultat d'exploitation en progression de 22,7%, à 2,1 ME, soit 6,1% du CA, contre 7,6% en 2009. L'intégration d'EFS, située dans le difficile secteur de la maintenance monétique, explique cette légère baisse.

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