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(25/03/2011 15:37:54)

La Récap IT de la semaine : Oracle se fâche avec HP, les cyber attaques, les tablettes pullulent...

Si la date d'arrivée des premiers éléments radioactifs dans le ciel hexagonal était au centre de l'attention des scientifiques, c'est plutôt un orage qui a marqué le début de la semaine dans l'univers informatique. En effet, mardi, Oracle annonçait qu'il mettait un terme au développement de logiciels, de middleware pour l'architecture Itanium. Citant plusieurs arguments, la firme de Redwood a provoqué l'ire d'HP qui est le principal vendeur de la plateforme Itanium. Même le PDG d'Intel est venu à la rescousse de David Donatelli, vice-président d'HP, pour l'assurer du soutien du fondeur sur cette plateforme.

Les piratages de la semaine ont concerné une société spécialisée dans la sécurité, RSA, filiale de EMC. Cette dernière a averti ses clients de risques potentiels sur ses tokens SecurID. Certains se sont même interrogés sur la possible compromission de l'authentification des tokens SecurID. Autre victime d'une cyberattaque, la Commission européenne. La messagerie et l'intranet de l'institution communautaire ont été suspendus. Les spécialistes notent une apparente similitude avec les attaques qui ont touché récemment le gouvernement français. On notera également dans le domaine de la sécurité des données personnelles l'amende de 100 000 euros infligée par la CNIL à Google sur la récupération des identifiants et autres informations depuis les Google Cars ou l'application Lattitude.

Tablettes encore et toujours


Comment passer sous silence la sortie ce vendredi de l'iPad 2. Après un teasing en début de semaine pour dire que la tablette d'Apple serait vendue en France à un prix de départ de 489 euros en version WiFi. Cette dernière étant 10 euros moins cher que l'iPad 1, mais la version 3G est par contre un peu plus chère. Les opérateurs SFR et Orange proposent eux aussi la fameuse tablette à des prix attractifs subventionnés avec un abonnement data sur 12 ou 24 mois.

De tablettes, il en a beaucoup été question lors du CTIA Wireless de Las Vegas. Samsung, RIM ont rivalisé d'annonces pour faire oublier le concurrent de Cupertino. Malgré cela, les yeux se tournent déjà vers les rumeurs qui entourent l'iPhone 5, coque en métal, écran 4 pouces, etc.

Ces différentes annonces ont presque occulté d'autres évènements, comme le 5ème anniversaire de Twitter ou le succès de téléchargement de Firefox 4.

(...)

(25/03/2011 14:32:26)

Mise à jour de Java : Un antivirus McAfee presque imposé

Les utilisateurs de Windows installant la dernière mise à jour de sécurité de Java peuvent se retrouver avec un peu plus de sécurité que ce qu'ils ont demandé. Du moins, c'est le risque qu'ils prennent, s'ils ne prêtent pas une attention particulière au processus d'installation. En effet, depuis le mois dernier, Oracle livre en bundle avec ses mises à jour de Java pour le système d'exploitation Windows l'outil d'analyse Security Scan Plus de McAfee. Le logiciel est installé par défaut, de sorte que, si l'utilisateur ne décoche pas la case d'installation de McAfee au moment de la mise à jour, celui-ci sera téléchargé en même temps.

Un antivirus gourmand en mémoire vive

Security Scan Plus scanne le PC pour voir s'il dispose d'un logiciel antivirus et d'un pare-feu et vérifie également les numéros de version des logiciels de sécurité. Le programme ouvre des fenêtres pop-up et il est un peu plus visible - à la manière de la Toolbar de Yahoo! - que dans le bundle de l'update précédent de Java, livré aux États-Unis. Selon le territoire concerné, Oracle associe différents produits avec Java, si bien que tous les utilisateurs de Windows ne se retrouvent pas forcément à installer Security Scan Plus lors de la mise à jour de Java. Une fois téléchargé, le logiciel de McAfee invite l'utilisateur à accepter les conditions de licences du logiciel sur une base quotidienne avant d'achever l'installation. L'utilisateur peut annuler cette invite, mais il n'y a aucun moyen de se soustraire aux termes de la licence. Finalement, pour supprimer le logiciel, l'utilisateur doit passer par la fonction « Désinstaller un programme » de Windows.

Des utilisateurs mécontents

Depuis qu'Oracle a commencé son opération avec McAfee, filiale d'Intel, un certain nombre d'utilisateurs ont installé le logiciel par inadvertance. Oracle a même posté une FAQ intitulée « Qu'est-ce que Security Scan Plus » sur son site Internet Java.com pour expliquer ce que faisait le logiciel. Certains utilisateurs sont mécontents. L'un d'entre eux a même posté un message sur un forum d'Intel après avoir constaté un ralentissement du PC d'un membre de sa famille depuis quelques semaines, visiblement à la suite d'une mise à jour de Java. « Ma belle-fille m'a demandé pourquoi son ordinateur était si lent. Et, bien sûr, McAfee AV était installé, » écrit-il. « Sérieusement, cette chose pompe toute la vitalité du système. » Security Scan Plus pèse 1 Mo en téléchargement, « mais il utilise 4 Mo de mémoire pour être exécuté, » a indiqué un porte-parole de McAfee. Mais l'antivirus a aussi un autre moyen de s'introduire sur un ordinateur PC. « Certains utilisateurs se sont plaints que le logiciel était téléchargé pendant la mise à jour d'Adobe Reader, et cela peut arriver lors du téléchargement via le centre de téléchargement d'Adobe, » a déclaré un porte-parole d'Adobe.

 

McAfee a justifié son choix d'installer Security Scan par défaut. « Nous estimons qu'il est préférable d'être protégé que pas du tout, c'est pourquoi cette option est cochée par défaut, » a déclaré une porte-parole de McAfee. « Étonnamment, beaucoup d'utilisateurs ont des ordinateurs équipés de logiciels de sécurité obsolètes ou non sécurisés tout court. » Selon StopBadware.org, une association qui surveille les éditeurs de logiciels, McAfee et Oracle pourraient faire un effort pour mieux informer les utilisateurs de l'installation, mais, en tout état de cause, le logiciel de scan n'est certainement pas un programme malveillant. « Il semble qu'il dérange plutôt, mais il n'a pas l'air méchant, » a déclaré le directeur exécutif de StopBadware, Maxim Weinstein. « Même si ce type d'installation ne doit pas se faire de manière sournoise, ce serait bien que l'utilisateur ait un choix un peu plus clair. »

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(25/03/2011 14:24:21)

La Commission européenne victime d'une sérieuse attaque informatique

Cette cyber-attaque, détectée dès mardi, a été soutenue et ciblée, selon des sources de la Commission. Les accès à la messagerie et à l'intranet de l'institution ont été suspendus et le personnel a été invité par une note interne à modifier ses mots de passe afin d'empêcher la « divulgation d'informations non autorisées. » Le personnel de la Commission, l'exécutif de l'Union européenne et l'organisme de réglementation, ont également été invités à envoyer leurs informations sensibles par e-mail sécurisé.

L'événement a eu lieu quelques jours avant le sommet du Conseil européen qui a débuté hier. Le Sommet réunit pendant deux jours les dirigeants des États membres pour aborder des questions cruciales relatives notamment à l'intervention en Libye, la sécurité nucléaire et à la gouvernance économique.

Une attaque tout d'abord attribuée à la Libye

Les premières spéculations laissaient entendre que l'attaque pouvait avoir son origine en Libye, mais la Commission a rapidement exclu cette hypothèse. L'attaque ressemble à la cyber-attaque menée en février 2010 contre le gouvernement français, dans la perspective du Sommet du G20. L'agression avait utilisé un malware et ciblait la messagerie électronique. Certaines données dérobées avaient été redirigées vers la Chine.

Selon Antony Gravili, porte-parole de l'Union européenne, les représentants ne se risqueront pas à spéculer sur la source des attaques dans un domaine de sécurité aussi sensible. Celui-ci a toutefois, confirmé que les attaquants visaient certains fonctionnaires de la Commission, en particulier le Service européen pour l'action extérieure (SAEA), un département qui assiste dans ses fonctions la haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Catherine Ashton. « Nous avons déjà pris des mesures urgentes pour lutter contre cette attaque. Une enquête a été lancée. Ce n'est pas inhabituel que la Commission soit la cible des pirates, » a déclaré Antony Gravili. Selon le porte-parole, il n'y a actuellement aucune preuve concrète que l'attaque soit liée au Sommet qui doit s'achever aujourd'hui.

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(25/03/2011 14:22:46)

Les sites de voyages en ligne appréciés par les internautes français

Les Internautes sont satisfaits des sites de voyages. Ils ont ainsi attribué un score de satisfaction de 5,3/10 pour huit sites représentant ce secteur, dont Nouvelles Frontières, Go Voyages, Last Minute ou encore Marmara. En termes de satisfaction, le site de Marmara a réussi à sortir son épingle du jeu avec une note globale de 6,2/10. Il arrive juste devant la plateforme de Last Minute pour laquelle la note n'a pas été communiquée.

S'ils semblent satisfaits des sites e-commerce de tourisme sur les destinations lointaines, les internautes ne sont pourtant pas parvenus à réaliser l'ensemble des tâches demandées pour l'enquête. Ainsi, seuls 48% des participants ont réussi à mener à bien les six tâches demandées, à savoir la recherche d'un voyage en Afrique du nord avec un budget défini, la recherche d'une croisière de luxe pour une lune de miel avec trois escales, ou encore la recherche d'informations concernant les modalités du séjour.

Quelques faiblesses


Une fois encore, Marmara et Last Minute sortent du lot avec plus d'un internaute sur deux (55%) qui ont su réaliser les tâches demandées. Parmi les points faibles observés par les internautes pour l'ensemble des sites étudiés, il faut noter le manque de plaisir éprouvé à naviguer sur la plateforme (4,9/10) ainsi que l'absence de flexibilité des sites pour trouver de l'information (3,3/10). La quantité de séjours proposée pour une même destination (7/10) et la clarté du calendrier des disponibilités des séjours (6,9/10) apparaissent, quant à eux, comme les points forts de ces huit sites e-commerce de tourisme.

Cette enquête a été réalisée par l'Observatoire e-Performance Yuseo sur les destinations lointaines, entre le 7 et le 14 février derniers, auprès d'un panel de 1.200 internautes. Ces derniers ont été mis en situation sur huit sites e-commerce de voyages, à savoir Nouvelles Frontières, Thomas Cook, Go Voyages, Last Minute, Promovacances, Marmara, Fram et Opodo.

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(25/03/2011 13:49:36)

Microsoft rachète 666 624 adresses IPv4 pour 7,5 millions de dollars

La semaine dernière, Nortel a déposé une demande auprès de la Cour des faillites du district du Delaware pour obtenir l'accord de la vente de 666 624 adresses. Si la transaction est approuvée, Microsoft prendrait le contrôle des adresses IPv4, actuellement détenue par Nortel, pour environ 11,25 dollars pièce.  Environ 470 000 des adresses seront disponibles pour une utilisation immédiate par Microsoft, tandis que les autres seront fournies à la société à la fin de la procédure de faillite, selon des documents judiciaires déposés dans le cadre de la vente proposée.

Cette opération intervient quelques semaines après que l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) ait annoncé qu'elle avait transmis ses dernier blocs d'adresses IPv4, et que celles détenues par les registries régionaux seront bientôt épuisées.  Certains ont émis l'hypothèse que le marché noir pour les adresses IPv4 commence à se développer, car plusieurs entreprises sont confrontées aux coûts et aux risques liés à une migration vers le protocole IPv6. L'ICANN et les registrars régionaux ont souligné que l'attribution des adresses IPv4 iront à des entités qui démontrent un besoin urgent. L'American Registry for Internet Numbers (ARIN) a mis en place de nouvelles règles qui permettent aux entreprises de prévoir leurs besoins d'adresses sur trois mois au lieu d'un an.

Quelques polémiques

Les plans de Microsoft pour l'achat en bloc de l'ensemble des adresses IPV4 de Nortel d'adresse a suscité un débat parmi les membres de la North American Network Operators Group ( NANOG). Quelques messages sur la liste de diffusion du groupe ont émis l'hypothèse que Microsoft a acheté ces adresses en vue de les revendre à une date ultérieure. « Ils pouvaient en obtenir gratuitement auprès de l'ARIN s'ils avaient rempli le document d'utilisation immédiate » peut-on lire sur une note. Une autre s'interroge « peut-être qu'ils n'ont pas fait une demande immédiate et stockent simplement ces adresses pour une utilisation ultérieure ? Ou peut-être qu'ils espèrent réaliser un bénéfice en les vendant ensuite à quelqu'un d'autre ». D'autres plus directs souhaitent que les adresses mises en vente soient remise dans le pot commun auprès du registrar. Dans un post sur NANOG, John Curran, le PDG de l'ARIN, semblait indiquer que l'organisation serait prête à aller au tribunal pour expliquer la politique d'allocation des adresses IPv4.

Nortel a déposé le bilan en Janvier 2009. Depuis, l'entreprise a vendu ses actifs pour recueillir des fonds et rembourser les créanciers.  Selon des documents judiciaires, Nortel avait tenté de vendre les adresses IP fin 2010. La juridiction a reconnu la valeur de l'adresse IPv4 quand il a noté que le caractère de raréfaction de cette ressource offre une « occasion de valoriser commercialement ces adresses, car les chances diminueront quand  les adresses IPv6 seront plus largement adoptées. »

Une somme surévaluée ?


Nortel a reçu des demandes de 80 acheteurs potentiels et signé des accords de non-divulgation avec 14 d'entre eux dans le cadre de ses efforts préliminaires pour trouver un acheteur approprié.  La société a reçu les offres finales de quatre acheteurs en janvier dernier et  l'offre Microsoft a été acceptée en mars car elle représentait l'offre optimale selon la Cour.

Incite domaine, un blog qui couvre l'espace des noms de domaine, a noté que les 11,25 $ par adresse que Microsoft a accepté de payer étaient surévalués . «Souvenez-vous, il n'y a pas de propriété intellectuelle ou d'audience associées à ces adresses - elles sont tout simplement des numéros d'acheminement », rappelle Kevin Murphy, rédacteur du blog. Sur la base de ce prix, la valeur totale de l'espace d'adressage IPv4 est de plus de 48 milliards de dollars, conclut-il.

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