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(22/03/2011 17:12:39)
Des microserveurs Dell PowerEdge avec puces Intel ou AMD
Pour effectuer plus efficacement des transactions que les serveurs traditionnels - performants, mais gourmands en énergie - Dell lance des serveurs PowerEdge basse consommation qui peuvent être relié ensemble très rapidement. De type monosocket, les PowerEdge C5220 et C5125, également appelés « microserveurs » par Dell, partagent un grand nombre de composants dans un châssis très dense et particulièrement coalescent afin d'assurer de meilleures performances par watts que les serveurs traditionnels, selon les dirigeants de l'entreprise texane.
Ces PowerEdge sont conçus pour les clients qui cherchent solutions pour leurs plates-formes d'hébergement web, des serveurs d'impression ou dédiés au partage de fichiers, a expliqué Deania Davidson, directeur du marketing produit chez Dell. Ce dernier a souligné que ces serveurs sont particulièrement bien adaptés à l'hébergement web, pour aider les fournisseurs à déployer des solutions dédiées et des services d'hébergement mutualisé tout en respectant les contraintes d'alimentation électrique et d'espace d'un datacenter.
Un marché déjà défriché avec des puces Via Nano
La division Data Center Solutions de Dell proposait déjà un serveur basé sur des processeurs Via Nano mais les nouveaux serveurs sont bien plus puissants même s'ils reposent sur des puces Intel Xeon Sandy bridge basse consommation (32 nm). Le PowerEdge C5220 est animé au choix par un Xeon E3-1260L (quatre coeurs à 2,4 GHz) ou Xeon E3-1220L (deux coeurs à 2,5 GHz), qui consomment respectivement 45 et 20 watts.
Ces puces ne sont pas des Xeon au rabais, car ils intègrent les fonctionnalités traditionnellement réservées aux processeurs pour serveur, à savoir le support des instructions 64 bits, les algorithmes de correction d'erreurs mémoire et l'accélération matérielle de la virtualisation. Les C5125 PowerEdge seront quant à eux livrés avec des processeurs AMD Phenom ou Athlon avec double ou quadruple coeur.
Un marché très prometteur pour Intel
Les serveurs Dell sont les premiers à utiliser les puces Xeon E3-1200 dévoilées la semaine dernière lors d'un événement où le fondeur de Santa Clara a exposé sa stratégie. Selon Jason Waxman, en charge de l'activité serveurs haute densité, dans « dans les quatre à cinq prochaines années, les microserveurs pourraient représenter pour Intel jusqu'à 10% du marché des serveurs. De nombreux acteurs sont intéressés par ces plates-formes, notamment les hébergeurs de plates-formes jeux en réseau. »
Ces machines partagent un grand nombre de composants tels que les alimentations, les ventilateurs et les cartes réseau à l'intérieur d'un châssis 3U particulièrement dense. L'armoire rack Dell C5000, qui affiche une hauteur de 44,8 centimètres (17,6 pouces) et une profondeur de 75 cm, peut accueillir de 8 à 12 noeuds PowerEdge C5220 ou C5125 monosocket.
Core i3 en attendant les Atom dual core
Pour proposer un produit d'entrée de gamme en attendant l'arrivée en 2012 des puces Atom double coeur 64 bits (N570) très basse consommation (10 watts), le PowerEdge C5220 pourra également être livré avec un processeur double coeur Intel Core i3-2120, qui consomme jusqu'à 65 watts. Ce serveur supporte jusqu'à 32 Go de mémoire et 4 To d'espace de stockage avec des disques SATA ou 2,4 To en SAS. Dell a déclaré que cette machine sera disponible la fin du mois de mai partout dans le monde, mais ne pouvait pas fournir immédiatement de prix.
Le PowerEdge C5125 livré avec des puces AMD supporte jusqu'à 16 Go de mémoire et jusqu'à 4 To de stockage en SATA. Le serveur sera disponible d'ici la fin du mois d'avril. Son prix n'est pas encore divulgué. Les systèmes d'exploitation disponibles pour tous ces serveurs incluent sans surprise MS Windows Server, Novell Suse Linux Enterprise Server 11 et Red Hat Enterprise Linux 6.0.
Comment Twitter a consolidé son infrastructure informatique
Pour y remédier, l'entreprise a procédé à la restructuration de ses systèmes de back-end, « un défi en ingénierie très conséquent, » selon Twitter. La migration devrait avoir un impact très significatif, et permettre à l'entreprise « de disposer d'une plus grande marge de manoeuvre en matière de capacité, d'offrir aux utilisateurs et aux développeurs une meilleure fiabilité, et de proposer de nouvelles offres, » comme l'indique le communiqué publié sur le blog de Twitter. Si ces récentes infrastructures répondent aux attentes, elles apporteront une amélioration majeure au service de micro-blogging, dont le système a régulièrement souffert, peinant à suivre la croissance exponentielle du site.
Twitter veut bien sûr améliorer l'usage de son service pour les utilisateurs finaux et les développeurs externes, mais vise aussi à disposer de meilleurs atouts pour augmenter ses recettes publicitaires. Voilà presque qu'un an que le site de réseautage social, qui fête son cinquième anniversaire, a lancé son programme de publicité Promoted Tweets, en espérant générer des recettes publicitaires à la mesure de sa montée en puissance afin de soutenir son activité. La semaine dernière, l'entreprise faisait remarquer que, s'il avait fallu plus de trois ans pour atteindre le milliard de tweets, ce chiffre est désormais une constante observée chaque semaine. En outre, le nombre moyen de messages envoyés chaque jour via Twitter est passé de 50 millions en mars 2010 à 140 millions ce mois-ci. En moyenne, 460 000 comptes sont créés chaque jour, et le nombre d'utilisateurs de Twitter mobile a augmenté de 182 % en un an.
Prévenir les montées en charge rapides
Parmi les principales améliorations apportées par Twitter, il y a la capacité à reproduire les messages utilisateurs, les « tweets », dans de multiples centres de calcul, à hauteur de 20 To de données, mais aussi la mise en place d'outils et de procédures permettant de mieux surveiller les systèmes, notamment les serveurs et l'équipement réseau. « Dans un second data center, nous avons placé des systèmes prêts à être mis en route, de façon à pouvoir augmenter si nécessaire notre capacité à traiter le nombre de tweets échangés. Ce deuxième centre de calcul a également servi de laboratoire pour tester nos stratégies de réplication et de migration. Nous avons aussi ouvert un troisième centre de calcul, plus grand, où est hébergé notre site principal, » indique le communiqué.
L'autre challenge était de faire en sorte que l'opération soit tout à fait transparente pour les utilisateurs et qu'elle n'ait aucun impact sur le fonctionnement du service, alors même que le nombre d'utilisateurs continuait à augmenter. Sans compter que pendant cette période, Twitter a lancé un certain nombre de produits et mis en place de nouvelles fonctionnalités. « Cette migration nous permet de traiter les Tweets plus rapidement et de manière plus fiable. Elle nous laisse aussi plus de champs pour nous concentrer sur les évènements les plus intéressants et sur les problèmes d'ingénierie, », conclut le message publié sur le blog de Twitter.
Crédit Photo: D.R
Le CFTL crée un référentiel des métiers du test logiciel
Les métiers du test manquent encore de reconnaissance sur le terrain, même si une association telle que le CFTL, comité français des tests logiciels, oeuvre avec conviction pour y remédier. Afin de valoriser et faire mieux connaître ces compétences, celle-ci prépare notamment un référentiel qui détaillera huit fiches métiers dans ce domaine. Il est prévu d'y détailler les spécifications, rôles et responsabilités du testeur, de l'analyste de tests, de l'analyste technicien du test, de l'administrateur de plateformes de tests, du consultant, du consultant senior, du responsable méthode et procédures de tests et du chef de projets de tests.
Le 5 avril prochain, l'association organise à Paris (15e) sa conférence JFTL dont l'édition 2010 avait rassemblé 300 participants. Au menu de la journée, huit présentations permettront d'aborder des sujets tels que la tierce recette applicative ou les coûts cachés de la qualité. Il y sera aussi question de la façon dont on peut réussir l'externalisation des tests (comment choisir les applications candidates) et du pilotage de la génération des tests de bout en bout par les processus métiers. Dans la lettre du CFTL du mois de mars, son président, Bernard Homès, relate comment ces thèmes ont été choisis, à partir des propositions reçues. Il y explique que celles-ci abordaient aussi des problématiques telles que l'agilité, le lean et le cloud, mais que « leur valeur ajoutée n'était souvent pas clairement établie par des métriques identifiables ». Au contraire, des sujets comme l'évaluation du coût et la rentabilité des tests, « souvent dans un environnement hétérogène et complexe » reviennent souvent, de même que la prise en compte des objectifs métiers dans les processus de tests de bout en bout.
Le CFTL est le représentant en France de l'ISTQB (International Software Testing Qualifications Board). Il développe des examens de certification et accrédite les organismes de formation avec l'objectif d'améliorer le professionnalisme des testeurs. Jusqu'à présent, il a certifié plus de 1 150 testeurs sur les trois niveaux ayant été créés : Fondation, Avancé, Expert. L'association a récemment décidé de mettre en oeuvre le syllabus Fondation v201 du CFTL-ISTQB.
Illustration : Bernard Homès, président du CFTL (source : la lettre du CFTL du mois de mars 2011)
RT# Twitter fête ses 5 ans et ça se sait
L'histoire est connue, Jack Dorsey, Biz Stone et Evan Williams ont créé en mars 2006, Twitter. Les gazouillis de l'oiseau bleu fêtent donc leurs 5 années d'existence et ont séduit 200 millions de personnes dans le monde. En quelques temps, le site de microblogging est passé de rang de phénomène pour geek à un média à part entière et surtout en temps réel. Du retour de Lance Amstrong sur le Tour de France aux révoltes du monde arabe en passant par la mort de Michael Jackson, Twitter s'est fait une place à part dans le monde de la diffusion d'informations.
Un business model en devenir
Valorisé à 7,7 milliards de dollars pour un chiffre d'affaires estimé à 45 millions de dollars en 2010, Twitter aiguise les appétits de certains acteurs de l'Internet comme Google et Facebook. Pour l'instant, le site ne souhaite ni se vendre, ni entrer en bourse. Après les années d'élaboration technique et de développement du site, les fondateurs ont transmis les rennes à Dick Costolo, ancien d'Accenture pour dynamiser commercialement Twitter. Intégration de la publicité, partenariat avec d'autres sites, développement d'outils tiers, les sujets ne manquent pas pour le nouveau PDG. Dans un entretien à l'AFP, Biz Stone explique « les cinq dernières années étaient juste pour commencer à se stabiliser » et d'ajouter « maintenant nous sommes sur le point d'aller à la grande école ».
Adobe a corrigé la faille de Flash qui se servait d'Excel
Adobe a livré hier un correctif pour réparer la vulnérabilité critique trouvée dans son Reader, ainsi qu'il l'avait promis il y a une semaine. Un patch pour son lecteur Flash a suivi dans la journée. Lundi dernier, l'éditeur avait indiqué qu'une faille zero-day était exploitée en recourant à des documents Excel malveillants, attachés à des courriels. Il avait alors indiqué qu'il aller corriger ses logiciels Flash, Reader et Acrobat dans la semaine, sans spécifier de date. Le Reader et Acrobat étaient également vulnérables parce que la faille qui affectait Flash existait dans le composant « authplay.dll » de ces deux produits. Authpaly est l'interpréteur qui restitue les contenus Flash au sein des fichiers PDF.
Hier, Microsoft a conseillé aux utilisateurs d'Office d'utiliser son outil de sécurité EMET pour se prémunir de ces attaques.
Les fichiers PDF, cibles potentielles
Précédemment, Adobe avait précisé que s'il avait bien constaté des attaques exploitant la vulnérabilité avec des fichiers Flash corrompus inclus dans des tableaux Excel, en revanche il n'en avait encore remarqué aucune ayant ciblé des utilisateurs avec des documents PDF altérés. Il est néanmoins possible que les cybercriminels changent de tactique et se mettent à duper les utilisateurs de cette façon. « Gardez à l'esprit que bien que nous n'ayons vu pour l'instant que des attaques prenant la forme de fichiers Flash insérés dans des fichiers Excel distribués par e-mail, nous fournissons des correctifs pour toutes les configurations et plateformes parce qu'il subsiste toujours la possibilité qu'un assaillant modifie la méthode et emploie la faille d'une autre façon », a reconnu Wiebke Lips, une porte-parole d'Adobe.
Chrome déjà corrigé, IE à vérifier
Les utilisateurs de Chrome n'ont peut-être pas besoin d'installer les correctifs livrés hier parce que Google les a appliqués la semaine dernière lors d'une mise à jour de son navigateur (qui intègre une copie du lecteur Flash). Cela dépend en fait de la présence ou non d'Internet Explorer sur leur machine. « Si l'utilisateur dispose d'une version d'IE intégrant le Flash Player, en plus de Google Chrome, il devra effectivement appliquer le correctif de Flash Player pour IE », a expliqué Wiebke Lips dans un e-mail à nos confrères d'IDG News Service. L'utilisateur peut vérifier si le lecteur Flash est installé dans IE en pointant vers ce lien fourni par Adobe.
Adobe X, protégé par sa sandbox
L'éditeur d'Acrobat n'a pas corrigé Adobe X, la nouvelle version de son lecteur PDF qui inclut une sandbox conçue pour contrecarrer la plupart des attaques. Il a rappelé que celle-ci bloquait la faille corrigée par les mises à jour d'hier et qu'elle protège aussi de l'installation du malware si les pirates décident de changer de tactique et d'opérer en passant par un fichier PDF corrompu. La mise à jour trimestrielle de Reader X n'est pas prévue avant le 14 juin prochain. Les versions corrigées du Reader, d'Acrobat et du lecteur Flash peuvent être téléchargées sur le site d'Adobe. Les utilisateurs peuvent aussi passer par l'outil de mise à jour intégré ou attendre que les logiciels leur signalent qu'une nouvelle version est disponible. (...)
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