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(14/03/2011 16:55:24)
Des failles dans WebKit nécessitent des mises à jour pour Chrome et Safari
La semaine dernière, Vincenzo Iozzo, Willem Pinckaers et Ralf-Philipp Weinmann ont remporté 15 000 dollars en réussissant à pirater le BlackBerry Torch de RIM via une faille dans le WebKit du navigateur du terminal. Le même jour, Dion Blazakis et le quadruple vainqueur Charlie Miller ont utilisé une autre vulnérabilité dans WebKit pour craquer Safari sur l'iPhone 4.
Selon Google, le bug exploité par les trois chercheurs a été une « corruption de la mémoire dans le gestionnaire de style ». L'éditeur a évalué cette menace comme « élevée » pour les utilisateurs. Conformément à la pratique de la firme de Moutain View, elle a verrouillé l'accès à ses traceurs de bugs qui permettent de visualiser les détails techniques de la vulnérabilité juste corrigée. Google a également décerné à ces spécialistes la prime de 1 337 dollars de son programme de recherche de bug, Bounty. Cela s'ajoute aux gains perçus lors du concours Pwn2Own.
Apple, qui aura besoin aussi de patcher le même bug, ainsi que celui qui a été découvert par Dion Blazakis et Charlie Miller, ne se prononce pas sur la mise à jour de sécurité.
Chrome et Firefox, non vulnérables
Ni Chrome, ni Firefox de Mozilla n'ont été craqués la semaine dernière lors de ce concours la semaine dernière. Les chercheurs qui s'étaient inscrits sur ces deux navigateurs ne sont pas présentés ou se sont retirés parce qu'ils n'avaient pas réussi à trouver des failles de sécurité.
Les responsables de Mozilla et Google ont vanté les techniques des navigateurs rescapés. « Ouf, Firefox survécu # Pwn2Own 2011. Ce n'est pas un laurier que nous nous adressons, mais c'est une bonne nouvelle », a déclaré Brendan Eich, directeur technique de Mozilla, dans un tweet la semaine dernière. « Félicitations aussi à Chrome le survivant ». « Les deux navigateurs survivant: Open Source, ont des programmes de primes, ont mieux intégré les équipes de sécurité, corrigent les erreurs plus rapidement. Coïncidence ? » a tweeté Chris Evans, un ingénieur de l'équipe de sécurité Chrome.
Les smartphones fonctionnant sous Google Android et Microsoft Windows Phone 7 sont également sortis indemnes du concours.
Illustration : Les trois chercheurs qui ont réussi à craquer le Blackberry Torch
Crédit Photo : D.R
Attaques ciblées : les pirates exploitent une faille non corrigée d'IE
Selon un bulletin de sécurité publié par Microsoft vendredi dernier, et qui donne des informations sur le sujet, une vulnérabilité non corrigée est exploitée pour mener des « attaques limitées et ciblées » sur Internet Explorer. Google a confirmé et même donné un peu plus de détails sur la question : « Nous avons remarqué que certains de nos utilisateurs étaient victimes d'attaques très ciblées, apparemment pour des motifs politiques,» a indiqué Google dans un blog. « Il est possible, selon nous, que des activistes aient été spécifiquement visés. Nous avons remarqué que les attaques concernaient également certains utilisateurs d'un réseau social très populaire. »
L'attaque de type « drive-by » consiste à orienter les victimes vers une page web contenant du code malveillant. Ensuite, l'attaquant parvient à détourner le navigateur de l'utilisateur et il peut alors accéder à des applications web sans autorisation. La faille se trouve dans l'outil d'analyse MHTML de Windows (MIME HTML) utilisé par Internet Explorer, et affecte toutes les versions du système d'exploitation de Microsoft actuellement prises en charge. Cette vulnérabilité était inscrite sur la liste Full Disclosure publiée il y a deux mois. Microsoft propose en téléchargement un outil nommé Fixit pour réparer le problème, mais l'éditeur ne dit pas s'il envisage de sortir une mise à jour de sécurité destinée à l'ensemble des utilisateurs.
Des activistes chinois de nouveau visés ?
Google ne désigne pas précisément ceux qui sont visés par cet incident, mais on se souvient que dans le passé, des groupes d'activistes chinois avaient fait l'objet d'attaques ciblées sur Internet. Ces dernières attaques font peut-être partie de l'action permanente et méthodique menée par les autorités chinoises pour récupérer des informations sur les défenseurs de la démocratie et sur les activistes tibétains.
Le fait que la vulnérabilité soit exploitée pour mener de telles attaques fait monter la pression sur Microsoft. L'éditeur se voit dans l'obligation de développer et de fournir à des centaines de millions d'utilisateurs un correctif fiable pour résoudre le problème. « Pour l'instant, nous recommandons aux utilisateurs et aux entreprises concernés d'envisager sérieusement le déploiement, même temporaire, de l'outil de Microsoft pour bloquer cette attaque jusqu'à ce qu'un correctif officiel soit disponible, » a déclaré Google.
(...)(14/03/2011 16:36:02)Intel acquiert SySDSoft pour se renforcer sur le LTE
Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été annoncés, mais elle comprend 100 ingénieurs et scientifiques SySDSoft, selon le fabricant de puces. Cette acquisition est la première du genre pour Intel au Moyen-Orient.
SySDSoft a été fondée en 2002 et développe des logiciels embarqués pour les technologies de communication telles que LTE. La société conçoit également des circuits RF et analogiques intégrées dans les produits mobiles. En octobre, la société a annoncé une pile de protocoles pour les dispositifs à base de LTE qui peut gérer des vitesses de téléchargement en mobilité jusqu'à 300 Mbt/s et des vitesses de transmission jusqu'à 75 Mbt/s. Lors du Mobile World Congress en février à Barcelone, la société a également fait une démonstration d'un logiciel embarqué pour les femtocells basés sur LTE.
Un déploiement progressif
Cette opération intervient à un moment où le déploiement de LTE commence lentement à se déployer. Cela signifie un besoin accru en produits capables de se connecter à ce type de réseaux. Intel Mobile Communications développe des semi-conducteurs pour les smartphones, les tablettes et les modems USB. Cette filiale était anciennement une division d'Infineon Technologies, qui a été acquis par le fondeur de Santa Clara.
Le portefeuille de produits SySDSoft couvre notamment les technologies Wimax, WiFi, Bluetooth, USB sans fil, selon le site web de l'entreprise.
(...)
Le réseau Internet japonais presque intact après les catastrophes
Au Japon, la plupart des sites web sont opérationnels et Internet reste disponible pour supporter les fonctions de communication essentielles. C'est ce qu'a déclaré ce week-end James Cowie, directeur technique de Renesys, une société britannique spécialisée dans la veille et l'analyse des données de routage sur Internet. Au lendemain des tremblements de terre qui ont frappé les côtes japonaises, environ 100 des 6 000 préfixes réseaux du Japon ont été retirés du service. Mais ils ont commencé à réapparaître sur les tables de routage quelques heures plus tard. De même, le trafic à destination et en provenance du Japon a chuté de près de 25 gigabits par seconde, juste après le séisme de vendredi dernier, mais il serait revenu à la normale quelques heures plus tard.
Selon Renesys, le trafic lié aux services de communication sur Internet JPNAP (Japan Network Access Point), Layer 2 n'aurait, en outre, ralenti que de 10% seulement depuis le jour du séisme. « Pourquoi n'avons-nous pas vu davantage d'impacts sur le réseau à l'échelle internationale à partir de ce tremblement de terre incroyablement dévastateur ? », s'est alors interrogé le directeur technique de Renesys. « Nous ne le savons pas encore. » En effet, le séisme a donné lieu un nombre inconnu de personnes tuées et des villes entières ont été dévastées par l'une des pires catastrophes jamais vues depuis un siècle. Les impacts, tant en termes de pertes humaines que de dégâts économiques devraient être énormes.
Evacuation de Pacific Crossing à Ajigaura
Le séisme a également perturbé les approvisionnements en électricité et frappé deux centrales nucléaires. D'après James Cowie, si la connexion Internet est restée relativement épargnée au Japon, c'est en raison de la résistance des câbles sous marins, Celui-ci a fait la comparaison avec TaIwan, où, en 2006, un tremblement de terre avait provoqué la cassure d'un grand nombre de câbles. Cette fois-ci, les cassures n'ont frappé que deux segments du système de câbles sous-marin EAC PacNet, a précisé James Cowie. Détenu par un consortium de six entreprises, ce dispositif a été conçu pour fournir une capacité de 1,92 térabits par seconde à travers le Pacifique. Les ruptures des câbles ont entraîné des pannes dans plusieurs réseaux au Japon, aux Philippines et également à Hong Kong.
Une partie des câbles sous-marins mis en place par la société Pacific Crossing et reliant les États-Unis vers l'Asie semblent également avoir été endommagés. A Ajigaura, au Japon, le site de Pacific Crossing a dû être évacué suite au tsunami Une note publiée ce matin sur le portail web de l'entreprise indiquait que deux câbles étaient actuellement hors service, sans fournir d'informations sur le temps que prendra leur restauration. Renesys fait également remarquer qu'en cas de problèmes persistants, on pourrait s'attendre à d'autres incidents au cours des semaines à venir.
Malgré cela, il est clair que la connexion Internet a survécu à cet événement mieux que quiconque aurait pu s'y attendre, a estimé James Cowie. Il a ajouté que les efforts du Japon pour construire un web solide en terme de connectivité locale et internationale avaient porté leurs fruits. Selon lui, à ce stade, il semble que le travail des japonais a permis au Net de faire ce qu'il fait le mieux, en parvenant à faire son chemin parmi des dommages catastrophiques avec des paquets de données qui circulent en dépit du chaos et d'une terrible incertitude.
(...)
La Taxe « Telecom » recalée par la Commission européenne
Viviane Redding, à l'époque commissaire en chargé de la société de l'information et des médias, avait prévenu la France : l'instauration d'une taxe sur les opérateurs télécoms compensant l'arrêt progressif de la publicité sur les chaînes publiques lui apparaissait contraire au droit européen. Aujourd'hui, la Commission européenne confirme cette infraction et enclenche une procédure pour manquement. Pour l'exécutif bruxellois, les taxes imposées aux opérateurs de télécommunications ne peuvent couvrir que certains coûts administratifs et réglementaires (essentiellement liés aux régimes d'autorisation et aux travaux de réglementation) et doivent être objectives, transparentes et proportionnées.
Pour rappel, la Commission indique que cette taxe « se monte à 0,9 % des revenus totaux des opérateurs dont les encaissements sont supérieurs à 5 millions d'euros. Cette nouvelle taxe, devrait rapporter environ 400 millions d'euros par an. Les opérateurs assujettis à cette taxe la paient mensuellement depuis son introduction. » La balle est maintenant dans le camp de la juridiction européenne, qui peut in fine prononcer une amende si l'Etat Français est condamné et n'en tire pas les conséquences.
Le e-commerce européen reste très national
36% des Européens ont réalisé une commande sur Internet sur les douze derniers mois, d'après le dernier tableau de bord des marchés de consommation de la Commission européenne, publié vendredi 11 mars.
Les Européens ont eu largement tendance à commander des produits expédiés de leur pays. Seuls 9% se sont risqués à commander auprès d'un autre Etat membre. Une proportion qui tombe à 4% pour un pays hors de l'UE. Le principal frein aux commandes passées dans un autre pays s'avère la peur d'une fraude (62%), ressort-il de l'étude.
Au total, 51% des consommateurs européens ont commandé à distance. Un cinquième d'entre eux (21%) a préféré les ventes par correspondance classique tandis que 13% ont commandé par téléphone. Les Suédois s'imposent comme les Européens les plus friands de ventes à distance (74%). Les Bulgares font figures de mauvais élèves (19%).
Les services de messagerie révélateurs de votre personnalité
D'après l'étude de Hunch, réalisée auprès de 457 875 de ses utilisateurs américains, le choix de service de messagerie électronique s'avère loin d'être neutre. Ainsi, l'adepte moyen de Gmail, service lancé par Google en 2007, serait un jeune homme urbain (51%), âgé de 18 à 34 ans, célibataire (48%), sans enfants et diplômé du supérieur. Axé à gauche politiquement (62%), il se montre voyageur (77% dans plus de cinq pays), amateur d'innovations technologiques, introverti et à l'esprit entrepreneurial. Sa tenue préférée : jean et t-shirt.
AOL et Yahoo! possèderaient un public d'utilisateurs généralement féminins. AOL aurait la préférence des femmes de 35 à 64 ans (68%) et Yahoo! celle des femmes âgées de 18 à 34 ans (62%). Dans les deux cas, elles semblent diplômées du secondaire, spirituelles mais non religieuses. L'utilisatrice moyenne de deux services aurait également tendance à avoir des enfants et vivre en banlieue. Leur première priorité s'avère la famille. L'adepte moyen de Yahoo! tendrait toutefois à vivre également dans des zones rurales et d'utiliser davantage un ordinateur portable que la personne inscrite chez AOL.
Proposé par Microsoft, Hotmail attire les jeunes femmes de 18 à 34 ans, diplômées du secondaire et non religieuses. Plutôt au centre, elles seraient célibataires et sans enfant. Elles apparaissent voyageuses et vivent en banlieue, souvent avec leurs parents. Elles utilisent de préférence un ordinateur portable.
(...)(14/03/2011 10:12:33)Selon une étude IDC France, 24% des entreprises pratiquent le télétravail
Toutes les technologies nécessaires sont pourtant présentes
La résistance au changement est d'autant plus étonnante que non seulement l'ensemble des technologies nécessaires au télétravail existent mais qu'elles sont aussi déjà en place dans de nombreuses entreprises. Ainsi, parmi les entreprises sondées par IDC, une majorité d'entre elles dispose d'un intranet/extranet/réseau social (82%), d'un VPN (77%), d'un webmail (72%), d'un système d'audioconférence (53%) et d'un outil de partage de documents de type groupware (50%). Et si elles n'atteignent pas encore la barre de la moitié des entreprises équipées, la messagerie instantanée (47%), la visio et la webconférence (42%) ainsi que la messagerie unifiée (38%) sont déjà assez répandues.
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Pour IDC, les freins à un élargissement rapide de la pratique du télétravail sont notamment de nature managériale et organisationnelle. Les chiffres récoltés par le cabinet d'études montrent en effet que 76% de chefs d'entreprises rechignent à adopter massivement cette pratique bien que 40% d'entre eux peuvent la tolérer de façon marginale. La formalisation d'une politique d'entreprise liée au télétravail inquiète également les organisations. Quels salariés seront éligibles ? Selon quels critères ? Les collaborateurs sont-ils suffisamment équipés à leur domicile ? Tels sont les types de questions que les entreprises doivent se poser et auxquelles elle doivent surtout trouver des réponses.
Les nouvelles générations vont accélérer l'évolution
Elles y seront peut-être amenées plus vite que prévu par les nouvelles générations de salariés très sensibilisées à une approche virtualisée des relations et des modes de travail collaboratif au sein d'une communauté. Déjà, la frontière entre environnements professionnels et personnels tend à se réduire. Selon IDC, 60% des salariés équipés d'un PC portable professionnel l'utilisent à leur domicile pour un usage le plus souvent mixte. En outre, 42% des entreprises interrogées déclarent que leurs salariés accèdent à tout ou partie des outils collaboratifs depuis leurs équipements personnels. Elles sont en outre 22% à indiquer subir une pression forte à modérée de leurs collaborateurs pour élargir leur accès aux outils collaboratifs via leur PDA/smartphones personnels. Pour le moment, l'outil professionnel le plus accessible via les équipements personnels est la messagerie d'entreprise (95%), suivie par les applications métiers (45%). Au final, on le voit, l'expansion du télétravail est un phénomène lent mais, semble-t-il, inéluctable.
Crédit photo : Toshiba
Eurêka Solutions se lance dans la vente indirecte
Le système de commissionnement mis en place par l'éditeur permet d'attribuer à ses partenaires un rémunération comprise entre 5 et 20% du montant du contrat passé avec un client (prestations de services et licences). La société a d'ores et déjà signé deux partenariats, l'un avec le broker Marxer, l'autre avec l'agence web Activis. Deux autres accords sont en cours de signature. L'éditeur souhaite avoir une dizaine de partenaires d'ici la fin de l'année.
En 2010, le chiffre d'affaires d'Eurêka Solutions s'élevait à 2,7 M€ avec une rentabilité de 200 K€. Fort de sa nouvelle stratégie, l'éditeur espère atteindre les 3 M€ de chiffre d'affaires, dont 10% issus de la vente indirecte, en 2011.
Annuels Infotel 2010 : CA et profitabilité en hausse
Société de services, spécialisée dans la gestion des bases de données, Infotel a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 104,3 millions d'euros (ME) en 2010, en progression organique de 16,8%. Le résultat opérationnel se monte à 9,6 ME, soit 8,9% du CA, en progression de 38% par rapport aux chiffres de l'exercice précédent. Le résultat net part du groupe s'élève à 6,4 ME, soit 6% du CA, en hausse de 23,5%.
La société souligne sa bonne rentabilité, due à son impact commercial et au recours à la sous-traitance pour pallier les pics d'activité. Globalement, « les charges d'exploitation progressent moins que le CA », note le groupe. Les charges de personnel atteignent 45,8% du CA contre 49,6 pour celui de 2009. Les charges externes de sous-traitance sont passées de 32,5% à 35,1%.
Ces résultats contrastent avec ceux publiés il y a un an : croissance de 0,8% du CA 2009 (à 89,2 ME), résultat opérationnel en baisse de 22,5% à 7 ME, résultat net en baisse de 22,9%. Pour l'exercice 2011, Infotel prévoit un CA de 120 ME, sans croissance externe et avec une rentabilité encore supérieure.
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