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(11/03/2011 17:26:42)

La Récap IT de la semaine : Piratage et sécurité, Adobe et Firefox 4

Il y a des semaines où l'actualité se focalise sur un sujet et cette semaine a fait la part belle à la sécurité. Dès lundi, la confirmation par le ministre du budget François Baroin que Bercy avait été piraté. Une attaque importante qui met en avant selon certains spécialistes une prise de conscience qui peut aboutir au déblocage de moyen. Le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, Patrick Pailloux, est monté au créneau pour souligner « Nous ne sommes pas en face d'amateurs, c'est une véritable opération d'espionnage. Nous avons à faire à des gens professionnels déterminés et très organisés ».

D'autres épisodes de sécurité sont intervenus cette semaine, notamment une vague de correctifs à la fois pour Windows et pour Mac OS X. Pendant ce temps-là, une société Française VUPEN et un chercheur indépendant ont réussi lors du concours Pwn2Own à pirater Safari et Internet Explorer 8. Il arrive parfois que même les mises à jour de sécurité soient falsifiées comme en a fait l'expérience l'OS mobile de Google Android.

Une acquisition et du Flash transformé en HTML Le plus gros rachat hebdomadaire est à mettre au crédit de Western Digital qui s'empare de l'activité disque d'Hitachi pour 4,3 milliards de dollars. Cette opération lui permet de devenir le leader sur ce segment de marché, mais aussi de mettre un pied dans l'entreprise et les datacenters. Côté développement, on peut souligner la publication de Wallaby par Adobe qui permet de transformer des fichiers Flash en HTML. L'objectif de cet outil est d'intégrer les plateformes iOS d'Apple réfractaire à la technologie Flash. Enfin, Firefox 4, après quelques péripéties, est enfin sorti en version Release Candidate pour essayer de concurrencer IE 9, mais aussi Chrome 10 qui a fait son apparition cette semaine. (...)

(11/03/2011 16:26:33)

Cloud computing : IBM se distingue avec une offre globale

« Après avoir beaucoup expliqué notre vision du cloud computing, nous avons observé un tournant. Fin 2010, on est passé du quoi au comment » nous a expliqué Virginie Hass d'IBM. Le cabinet d'études IDC abonde dans ce sens en indiquant que les dépenses dans le cloud représentent aujourd'hui 15% des dépenses informatiques des entreprises et passeront à 17% en 2015. « Une large majorité de nos clients ont une démarche cloud et, à l'exception des fournisseurs de services cloud, à travers 3 étapes bien distinctes ».

«1ère étape : des tests cloud sur des workloads simples à retour sur investissement rapide : des projets de test et développement, mais aussi du collaboratif. C'est clairement une démarche exploratoire.

2ème étape : L'adoption du SaaS pour accompagner une croissance rapide à l 'aide d'outils CRM. Beaucoup de PME y vont, car elles n'ont pas le budget pour une solution traditionnelle.

3ème étape : Transformer son système d'informations pour accompagner évolution de son business ».

À titre d'exemple, la dirigeante d'IBM cite le travail réalisé par l'université de Bari en Italie pour mettre à la disposition des pêcheurs de la ville des postes de travail virtualisés pour entrer le plus rapidement possible leur pêche du jour sur une plate-forme de marché local reposant sur un cloud. « Nous croyons que nos clients vont utiliser les moyens du cloud pour les mettre au service d'autres. Et si la majorité des investissements va aujourd'hui sur des solutions de type cloud privé, nos clients vont tout d'abord  sur des clouds publics pour essayer la technologie. » Interrogé sur les différentes dans les marchés émergents, Virginie Haas explique volontiers que ces derniers voient dans le cloud un moyen d'accéder à des technologies qu'ils ne peuvent pas toujours se payer.

Une offre cloud computing sur 3 niveaux

Selon la vice-présidente, IBM accompagne les clients qu'elle que soit le modèle et attend un chiffre d'affaires de 7 milliards de dollars dans le cloud dont 3 milliards de nouveau business. Une partie de l'activité traditionnelle de Big Blue basculant logiquement sur cette plate-forme. Pour accompagner ses clients, IBM met en avant ses 13 labs disséminés à travers le monde. La France accueille par exemple à La Gaude, un centre cloud spécialisé dans l'industrie. Six datacenters à l'architecture commune sont répartis à travers le monde pour assurer une couverture horaire complète  et un service 24/7 : deux aux États-Unis, un au Canada,  un en Allemagne, un à Tokyo et un petit dernier à Singapour qui représente un investissement de 36 millions de dollars.

L'offre cloud d'IBM se décompose en trois niveaux :

- Le matériel avec CloudBurst pour les clients finaux ou les fournisseurs de service cloud, concurrent des plates-formes HP BladeSystem Matrix, Oracle On Demand, Dell Virtual Integrated System (VIS) ou encore VCE VBlock.

- Le cloud public d'IBM, reposant sur les six datacenters, concurrent des solutions Amazon EC2 et Microsoft Windows Azure, pour toutes les applications Tiers3 et Tiers4.

- Enfin, les solutions verticales pour les opérateurs télécoms et les SSII proposant une plate-forme de services cloud.

IBM est d'ailleurs le premier utilisateur de ses datacenters pour ses propres services cloud notamment en terme de recherche et développement.

Illustration principale : Virginie Haas, vice-présidente chez IBM GTS en charge de la stratégie et des ventes cloud.

 

(...)

(11/03/2011 15:20:32)

Séisme au Japon, Google propose un outil de recherche des personnes

Au fur et à mesure que le calme revient après le tremblement de terre (entre 8,4 et 8,9 sur l'échelle de Richter) et le tsunami qui en a résulté, les réseaux sociaux et les acteurs de l'Internet se mobilisent pour apporter leur savoir-faire. Facebook et Twitter se chargent de transmettre les informations des abonnés sur leur ressenti et leur vécu de la catastrophe. Des groupes se sont constitués pour poster des messages de soutien.

Google de son côté a activé son outil de recherche de personnes, Google Finder Earthquake. Il s'agit de la même solution qui a été utilisé lors du tremblement de terre à Haïti et plus récemment encore en Nouvelle-Zélande. L'objectif est de recenser et d'apporter des informations sur des personnes disparues. A la différence d'Haïti, les réseaux de télécommunications au Japon fonctionnent, même si dans les endroits les plus touchés, des réseaux satellitaires d'urgence vont être mis en place.

(...)

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