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(03/03/2011 10:57:41)

Cebit 2011 : SAP crée des solutions OnDemand avec ses clients

Il y a deux ans, SAP a embauché John Wookey pour piloter sa stratégie « on-demand » en direction des grandes entreprises. Sa mission consistait à mettre en place un catalogue de solutions en ligne qui permettrait aux clients de la Business Suite d'ajouter, de façon flexible, des fonctionnalités complémentaires à leur système de gestion. Deux offres de ce type ont déjà été livrées (Carbon Impact, pour calculer l'empreinte carbone, et Sourcing OnDemand, pour gérer les sources d'approvisionnement et les achats stratégiques). Une troisième vient de s'y ajouter, annoncée à l'occasion du Cebit de Hanovre. Il s'agit de Sales OnDemand, une application apportant aux équipes de vente un cadre pour collaborer autour de leurs opportunités commerciales.

Cette solution en ligne présente la particularité d'avoir été développée sur la plateforme hébergeant Business ByDesign, l'application SaaS pour PME. C'est la première du genre chez SAP. Elle inaugure une nouvelle catégorie d'applications que l'éditeur met au point avec la participation de ses clients. L'objectif qu'affiche l'éditeur est de concevoir des interfaces et des enchaînements fonctionnels collant au plus près des souhaits des utilisateurs. SAP souligne aussi sa volonté de faciliter le partage d'informations, en particulier à l'aide d'outils empruntés aux médias sociaux(*), et de favoriser la mobilité ainsi que l'ont illustré les démonstrations faites au Cebit de Sales OnDemand, déroulées sur la tablette iPad d'Apple.

De l'application ciblant le dirigeant jusqu'à l'usage de masse

Sur le même modèle, d'autres logiciels seront annoncés au cours de l'année, chacun ayant vocation à s'utiliser sur des terminaux mobiles et à s'intégrer aux déploiements « on premise » de la Business Suite, dans le cadre d'un processus métier bien défini. Pour les créer, SAP interroge les entreprises très en amont sur les fonctions qui leur manquent et la façon dont elles voudraient pouvoir y accéder et les manipuler, explique notamment Thorsten Stephan, vice président, responsable des applications mobiles. Il cite en exemple une solution de gestion des notes  de frais qui proposerait à son utilisateur de photographier sa facture de restaurant, d'y ajouter vocalement le nom des personnes invitées, avant d'expédier le tout vers la Business Suite. « Cela doit être très facile à utiliser », insiste Thorsten Stephan en rappelant que la puissance du terminal ne limite plus, désormais, les fonctionnalités de l'application, comme ce pouvait être le cas avec les logiciels sur PC.  « La cible des utilisateurs mobiles est très large : cadres dirigeants, utilisateurs de base, techniciens sur le terrain et jusqu'aux consommateurs [dans le domaine de la grande distribution, notamment]. Nous pouvons maintenant concevoir des applications destinées à un usage de masse ».  

Illustration : Démonstration de l'application Sales OnDemand de SAP

(*) Dans cette catégorie d'outils, l'éditeur Salesforce.com, spécialisé sur les logiciels en ligne destinés aux commerciaux, a lancé il y a quelques mois l'application Chatter, dotée d'une interface à la Facebook, qui semble avoir rencontré un certain succès auprès de ses clients. Microsoft de son côté vient de lancer en France la version hébergée de sa gestion de la relation client, Dynamics CRM Online, qui s'appuie beaucoup sur Outlook.

(...)

(02/03/2011 21:01:41)

Steve Jobs de retour pour lancer l'iPad 2

La désormais célèbre ardoise numérique iPad d'Apple bénéficie d'une mise à jour esthétique, technique et logicielle. Elle devient plus fine, s'équipe de deux  caméras, et embarque la version 4.3 d'iOS, le système d'exploitation mobile d'Apple. L'iPad 2 sera commercialisé dès le 11 mars aux Etats-Unis, puis le 25 mars dans d'autres pays dont la France. Son prix reste inchangé.

A la surprise générale, c'est bien Steve Jobs qui s'est présenté mercredi sur la scène du YBCA Theater de San Francisco pour la traditionnelle keynote de la marque américaine. Le patron du groupe, qui avait annoncé mi-janvier son retrait de la direction du groupe pour des raisons médicales, est apparu souriant, mais très amaigri, pour présenter l'iPad 2.

Fidèle à son style, Steve Jobs a tout d'abord livré quelques chiffres sur la forme éclatante de la marque à la pomme (100 millions d'iPhone vendus dans le monde, 200 millions de comptes utilisateurs sur la plateforme iTunes Store, 65.000 applications développées spécifiquement pour l'iPad, etc.), avant de dévoiler le nouveau modèle de la tablette "magique".

Un iPad 2 retouché et amélioré pour affronter la concurrence

Un tiers plus fine que la première version, cette seconde mouture affiche une épaisseur de 8,8 mm. Elle est également plus légère (590 grammes, soit 20 grammes de moins), et sera disponible avec un cadre d'écran noir ou blanc. Les capteurs photo/vidéo font leur apparition. L'un à l'arrière, pour photographier ou filmer, l'autre en façade, pour les discussions vidéo sur Internet.

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L'iPad 2 se veut également plus rapide, grâce à une puce double coeurs (A5). La tablette est également censée offrir de meilleures performances graphiques pour les animations et les vidéos. Autre nouveauté, l'intégration du gyroscope, permettant la gestion de l'orientation et des mouvements de la tablette dans l'espace. Cette fonction est issue de l'iPhone 4, le dernier smartphone en date de la marque. L'ardoise de Cupertino est par ailleurs animé par iOS 4.3, la dernière version du système d'exploitation mobile d'Apple. Celle-ci apporte à la tablette l'application iMovie, pour éditer et monter des séquences vidéo, le logiciel musical Garage Band, ou encore FaceTime, pour les appels vidéo.

De nouveaux accessoires

Côté accessoires, l'iPad 2 est fourni, en option (39 euros), avec un port externe HDMI, qui permet par exemple de visualiser la tablette et son contenu sur un téléviseur HD. Des "smart covers" seront également proposées. Ces couvertures magnétiques (de 39 à 69 euros) permettent de protéger l'écran, mais également de soutenir la tablette lorsqu'elles sont repliées en forme de béquille. "Nous pensons vraiment que 2011 sera l'année de l'iPad 2" a insisté Steve Jobs lors de la présentation du produit.

Le iPad 2, qui conserve les mêmes capacités de stockage (16, 32 ou 64 Go) et améliore son autonomie (10 heures), sera commercialisé au même prix que l'ancien, à savoir entre 499 et 829 dollars selon les versions (entre 508 et 813 euros en France). Le lancement est programmé pour le 11 mars aux Etats-Unis, et le 25 mars dans quelques autres pays, dont la France.

Vendue à plus de 15 millions d'exemplaires dans le monde depuis son lancement il y a un peu moins d'un an, la tablette tactile d'Apple est la star d'un marché en plein décollage (17 millions de ventes l'an dernier, selon les analystes). Apple a entraîné dans son sillage de nombreux fabricants concurrents, dont les tablettes, généralement équipées de la plateforme Android de Google, ont été les grandes vedettes des derniers salons de Las Vegas (janvier) et Barcelone (février).

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(02/03/2011 16:21:26)

Premières infos sur l'iPad 2 dispo le 11 mars (MAJ)

Alors que la conférence d'Apple sur le lancement de l'iPad 2 est attendue à 19 heures (10 heures au Yerba Buena Center for the Arts à San Francisco), les informations se multiplient sur le web. Ainsi le site d'Amazon en Allemagne a laissé trainer une page rassemblant les principales informations techniques sur l'iPad 2. La deuxième génération de la tablette aurait donc deux capteurs photo/vidéo, un processeur double coeur A5 cadencé à 1 GHz (1 GHz également pour la puce A4 mais monocoeur de la v1), un gyroscope 3 axes, une coque plus mince et un port 30 broches compatible USB 2.0 ( pas de port Thunderbolt déjà inauguré sur les derniers MacBook Pro). La taille de l'écran reste la même - 9,7 pouces -mais il adopte un rétroéclairage Led pour améliorer le contraste et les noirs. L'autonomie est revue à la hausse avec un maximum de 10 heures contre 8 aujourd'hui selon Apple. Le système d'exploitation passe simplement à la version 4.3 d'iOS. Elle sera bientôt disponible en téléchargement pour les précédents iPad, iPhone et iPod Touch. Les prix de l'iPad restent inchangés tout comme les capacités mémoire proposées, à savoir 16, 32 et 64 Go de Flash. La disponibilité annoncée serait le 11 mars aux USA et le 25 mars pour l'Europe.

Pour en savoir plus :

Steve Jobs de retour pour lancer l'iPad 2
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Apple dévoile quelques points d'iOS 4.3

Vous pouvez suivre la conférence en direct avec notre confrère MacWorld.


Le Yerba Buena Center for the Arts à San Francisco aux couleurs d'Apple

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(02/03/2011 15:46:53)

Facebook acquiert Beluga, spécialiste de la messagerie instantanée sur mobile

L'application proposée par Beluga donne la possibilité à des groupes d'amis de communiquer en privé via leurs smartphones. Dans un module, les utilisateurs peuvent envoyer des messages et partager des images et des lieux. L'application gratuite est disponible pour l'iPhone d'Apple et les smartphones sous Android. Pour l'instant, l'application de Beluga ne va pas être modifiée. Les comptes existants et les données ne seront pas perdus, assure la jeune société californienne.

Récemment, Facebook a renforcé son offre de messagerie push. La société a, par exemple, travaillé avec HTC et INQ pour proposer une version du réseau social plus intégrée. Aujourd'hui, il y a plus de 200 millions d'utilisateurs actifs accès Facebook via leur mobile.

Quels sont les plans de Facebook pour Beluga et ses trois fondateurs ? Il faudra attendre encore quelques semaines pour le savoir. La seule chose qui est sûre est que le réseau social recrute des anciens de chez Google, avec un certain savoir-faire.

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(02/03/2011 15:16:08)

Isabelle Poulet, adjointe à la sous-direction du développement et des projets de la mairie de Paris : "Standardiser et contractualiser les projets"

Bertrand Lemaire : Pourquoi avez-vous entrepris de travailler sur les pratiques de gestion des projets au sein de la Mairie de Paris il y a trois ans ?

La Mairie de Paris disposait de nombreux chefs de projets très expérimentés qui n'avaient pas attendu de telles « bonnes pratiques » pour savoir « bien travailler » et réaliser des projets...

La diversité des expériences offrait une vraie opportunité de capitalisation des pratiques et devait nous permettre de gagner en efficacité, notamment pour nos chefs de projets juniors. Nous avons mené un changement progressif, qui n'est d'ailleurs pas achevé.

Par quoi avez-vous commencé ?

Nous avons ciblé en premier lieu la standardisation de la contractualisation des projets, très sensible pour nous, car elle définit notre fonctionnement avec le prestataire; puis le dispositif s'est étendu progressivement à la construction des nouveaux projets, puis des trains de maintenance sur l'ensemble du parc applicatif. Pour finalement revenir aux phases amont avec la mise au point en 2010 d'une démarche Design to Cost devant nous permettre de mieux ajuster le périmètre des projets avant leur lancement dans le cadre d'une gestion de portefeuille de projets.

Pour cibler les prestations à intégrer dans le CCTP [Cahier des Clauses Techniques Particulières, description des exigences techniques et fonctionnelles du produit et des prestations projet, NDLR], le chef de projet procède à un premier cadrage du projet avec la MOA. Cela permet de définir la trajectoire, les livrables et les modalités de travail requises pour chaque chantier. Préciser les prestations attendues avec un bon niveau de détail permet au prestataire d'apprécier et d'intégrer très tôt notre mode de fonctionnement. Cette approche nous permet de gagner un temps appréciable pour le pilotage du projet.

Coté fonctionnel, à terme, le Design to Cost a un effet induit de sécurisation du cahier des charges. Il nous permet de définir de façon plus exhaustive et précise les exigences fonctionnelles finalement retenues dans le périmètre de la solution.

Comment avez-vous géré le changement ?

Nous nous sommes appuyés sur la mise en place d'un cadrage systématique et en deux temps de chaque nouveau projet. Le cadrage est organisé autour d'une analyse systématique des chantiers, de leur contexte et de leurs risques. Il en résulte un choix de trajectoire (paliers fonctionnels, sites pilotes ou non, stratégie de déploiement) et un planning avec des risques résiduels partagés par tous. Par exemple, si une contrainte métier impose une date précoce pour une mise en production, cela peut signifier qu'il n'y aura qu'un nombre limité de tests de reprise de données, donc un risque sur la complétude des données reprises.

Lire la suite de l'entretien

Crédit photo : D.R.
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(02/03/2011 15:06:38)

CeBit 2011 : Une interface neuronale pour envoyer des messages « sans les mains »

Appelé intendiX, le système se compose d'une calotte équipée d'un certain nombre d'électrodes d'électro-encéphalographie (EEG) et d'un amplificateur d'ondes cérébrales miniature. L'ensemble est géré par une application Windows qui analyse et décode les ondes du cerveau. L'amplificateur peut être connecté à un PC via Bluetooth, de façon à ne pas obliger l'utilisateur à s'asseoir à côté de l'ordinateur. Les utilisateurs ciblés par l'entreprise auront besoin de l'aide d'un membre de la famille ou d'une personne pour mettre en place la calotte. « Habituellement, les systèmes d'analyse EEG demandent des heures de formation pour apprendre au manipulateur à identifier les ondes cérébrales normales et à identifier les principales variations. Mais le système intendiX sait recueillir les données nécessaires en 5 à 10 minutes seulement, » a déclaré Markus Bruckner, un ingénieur qui travaille au développement et à la recherche chez G.tec.

La méthode d'intendiX consiste à chercher sur un tracé les ondes connues sous le nom de P300 ERP (liées à un événement), qui se manifestent 300 millisecondes après un stimulus provoqué par une lumière vive. « Le signal est identique à celui que l'on perçoit quand on voit les feux de freinage d'une voiture s'allumer, » explique le chercheur. Pour écrire un message avec intendiX, l'utilisateur doit regarder chaque lettre une par une sur un clavier virtuel affiché sur un écran. Le logiciel fait clignoter une colonne de lettres jusqu'à ce que le cerveau de l'utilisateur réagisse au flash de la colonne contenant la lettre choisie, puis fait clignoter une ligne jusqu'à ce qu'il détecte une réponse. Le logiciel « écrit » ensuite la lettre située à l'intersection de la ligne et de la colonne. « Au début, cela prend 40 secondes par lettre, mais en laboratoire, nous avons atteint les 0,9 seconde par caractère, » ajoute Markus Bruckner.

20 ans de travaux pour arriver à ce résultat

Il a fallu plus de deux décennies pour en arriver là. Dans une publication scientifique datant de 1988 et intitulée « Parler du haut de votre tête : Une prothèse mentale pour utiliser les capacités cérébrales liées à un événement, » Larry Farwell et Emmanuel Donchin écrivaient que «les lettres pouvaient être communiquées de manière fiable à raison de 1 caractère toutes les 26 secondes, soit 2,3 caractères par minute » en détectant les variations de l'onde cérébrale P300 émise face au clignotement d'une grille de lettres et de symboles 6-par-6. Avec leur prothèse mentale, les deux chercheurs voulaient aider des personnes souffrant de paralysies dues à un «  syndrome d'enfermement », afin qu'elles puissent appeler le personnel soignant ou faire part de leurs besoins. IntendiX peut aussi être utilisé dans ce contexte, mais également pour des besoins moins essentiels, comme communiquer sur les réseaux sociaux, puisqu'il existe «  une interface pour Twitter, » comme l'a précisé le chercheur.

G.Tec a également fait la démonstration d'une autre interface chargée de détecter une onde différente : lorsqu'un sujet regarde une lumière qui clignote à une fréquence constante, la rétine transforme ce signal visuel en oscillations cérébrales de fréquences stables, appelées potentiels évoqués visuels stationnaires (ou steady-state visual evoked potentials - SSVEP). L'interface émet des fréquences différentes via quatre Led blanches. Selon la fréquence des ondes cérébrales émises, le système arrive à déterminer quelle Led l'utilisateur regarde fixement. « Pour sa démonstration, G.tec a utilisé l'interface comme joystick pour diriger un robot et le faire se déplacer en avant, en arrière, à gauche ou à droite, cela sans avoir besoin de placer les Led à proximité, » a déclaré Armin Schnürer, responsable de l'ingénierie logicielle chez G.tec. « Par exemple, les Led peuvent être installées sur différents supports, comme une poignée de porte ou un interrupteur, ce qui permettrait à une personne de contrôler certains éléments de son environnement en les regardant. Aujourd'hui, les deux systèmes utilisent des électrodes « humide », c'est-à-dire qu'il faut recourir à un gel conducteur pour capter les ondes cérébrales. « Mais l'entreprise travaille sur une nouvelle version utilisant des électrodes sèches, » a confirmé Markus Bruckner.

Ce n'est pas la première fois que l'entreprise se déplace au CeBit : en 2007, G.tec avait montré une interface neuronale de la taille d'une boîte à chaussures qui pouvait être utilisée pour jouer au jeu vidéo Pong après quelques heures d'apprentissage. Mais le système présenté au salon cette année est beaucoup plus compact et plus rapide à mettre en oeuvre.

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