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(02/03/2011 14:45:36)

IBM affine ses outils pour automatiser et accélérer la virtualisation

Dennis Quan, directeur du laboratoire de développement Tivoli Chine d'IBM, est resté assez vague sur la manière dont le logiciel pouvait atteindre ces vitesses de déploiement de VM, indiquant simplement qu'il utilisait un certain nombre de techniques, dont le streaming de l'image. Selon lui, « le logiciel permettrait d'améliorer les performances dans des entreprises où les personnels des services informatiques doivent consacrer plusieurs minutes, voire même une heure, à installer une seule machine virtuelle. » Et ce se serait pas son seul avantage. Une des raisons pour laquelle les entreprises déplacent leurs activités vers le cloud, c'est pour n'utiliser que les ressources informatiques dont elles ont besoin. « Cette idée suppose également que, quand ces ressources ne leur sont plus nécessaires, elles peuvent les restituer au cloud et les rendre disponibles à d'autres utilisateurs, » ajoute Dennis Quan. Or, certains rechignent à se séparer de ces ressources, même si elles ne sont plus utiles. En particulier, à cause du temps qu'il leur faudra consacrer à nouveau pour les remettre en place. « Si vous offrez aux utilisateurs la possibilité de retrouver leurs ressources en quelques secondes, voire quelques minutes, ils ne vont plus se demander combien de temps il leur faudra pour les récupérer rapidement et ils accepteront de s'en défaire au moment voulu, » a déclaré le directeur du laboratoire de Big Blue. « Le logiciel permettra également aux entreprises d'agir plus rapidement, pour effectuer des modifications, par exemple, » a-t-il ajouté.

IBM a également annoncé que Tivoli Provisioning Manager prenait désormais en charge la fédération d'image et le déploiement sous infrastructure hétérogène. « Cet outil apporte un système de gestion unique pour différents hyperviseurs » a déclaré Dennis Quan. « Une entreprise peut utiliser VMware, PowerVM et des hyperviseurs Xen et les gérer depuis la même console, » explique-t-il. IBM annonce également le lancement « imminent » de la version bêta d'un nouveau logiciel qui étend les capacités de gestion aux clouds hybrides. « Les utilisateurs pourront surveiller et diriger des services hébergés en interne ou sur des clouds publics. Ces modalités sont très adaptées aux services financiers et aux organismes publics qui préfèrent conserver les données importantes dans leurs systèmes internes et acceptent de mettre des applications moins sensibles dans un cloud public, » déclare encore le responsable de Tivoli Chine. Ce dernier n'a pas communiqué la liste des clouds publics qui seraient supportés, mais a affirmé que le logiciel serait en mesure d'être relié à de nombreux services. Celui-ci compte affiner cette liste avec le déploiement de la version bêta. IBM annonce également que Tivoli Storage Manager, son logiciel de gestion des besoins de stockage, de récupération et de protection des données, prend désormais en charge la virtualisation. « Celui-ci offre un meilleur contrôle sur l'environnement et applique une politique plus uniforme, » explique encore Dennis Quan.

Ces nouvelles fonctionnalités et produits seront probablement bien accueillis par les directeurs financiers, mais pas forcément par les services informatiques. « L'automatisation de la gestion et la réduction du temps d'approvisionnement font que les services informatiques auront besoin de moins d'administrateurs, » estime le responsable d'IBM. « Dans un environnement informatique, c'est la ressource humaine qui coûte le plus cher, » ajoute-t-il. « Avec des milliers de machines virtuelles, chaque minute de l'activité humaine requise par chacune d'elle fait grimper la facture. Plus ce secteur sera automatisé, et plus une entreprise pourra réaliser avec le cloud des retours sur investissement. »

Illustration principale : Denis Quan, crédit photo H. Parkey-Coney/IBM

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(02/03/2011 14:20:16)

Additeam recherche une centaine d'informaticiens

Après avoir intégré 60 collaborateurs en 2010, la société de services Additeam ( 1500 collaborateurs) entend se développer cette année en Ile-de-France et dans la région Lilloise. Dans le Nord, le groupe recherche, pour ses bureaux situés à Villeneuve d'Ascq  une soixantaine d'informaticiens : les offres sont destinées aux  jeunes diplômés - titulaires de Miage ou issus d'écoles d'ingénieurs - ou à  des profils expérimentés. Elles concernent des consultants, des ingénieurs en maîtrise d'oeuvre, ainsi qu'en études et développement ( Java/J2EE et .Net), des spécialistes du décisionnel, du client-serveur, des mainframes et également des i-Series (IBM AS/400).

Une quarantaine de postes ouverts à Paris

Des postes de chefs de projets (études et techniques), d'analystes d'exploitation, d'intégrateurs techniques, d'administrateurs et d'ingénieurs systèmes et enfin d'administrateurs de bases de données, sont également à pourvoir à Villeneuve d'Ascq. A Paris, Additeam cherche à intégrer une quarantaine de collaborateurs sur les mêmes typologies de compétences que dans le Nord. La société compte rencontrer ses futures recrues lors des salons professionnels, sur des sites d'emploi ou  plus directement sur son site web.

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(02/03/2011 14:21:27)

Un décret encadre enfin les obligations d'authentification des internautes

La LCEN (Loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique) a été promulguée en 2004 mais il reste encore quelques décrets à publier pour rendre applicables certaines dispositions prévues depuis sept ans. Un nouveau décret vient ainsi d'être publié le 1er mars 2011 au Journal Officiel concernant les « données de communication ». Il s'agit en fait des informations d'identification des personnes se connectant à un réseau ou à un service interactif en ligne.

Ces obligations concernent bien sûr les prestataires techniques comme les FAI mais aussi tous les DSI. En effet, beaucoup de sites web sont interactifs et permettent aux internautes de déposer du contenu (des commentaires, des questions dans des forums...), la plupart des entreprises offrent une connexion Internet filaire voire Wi-Fi, etc.

De nouvelles contraintes pour les prestataires de service

Lorsqu'est mise à disposition une connexion Internet, il faudra désormais conserver l'identifiant de la connexion, l'identifiant attribué à l'accédant, l'identifiant du terminal utilisé pour la connexion si possible, les dates et heure de début et de fin de la connexion, et enfin les caractéristiques de la ligne de l'accédant.

Lorsqu'un accédant à un service en ligne créé, modifie ou supprime un contenu en ligne, il faudra conserver l'identifiant de la connexion à l'origine de la communication, l'identifiant attribué par le système d'information au contenu objet de l'opération, les types de protocoles utilisés pour la connexion au service et pour le transfert des contenus, la nature de l'opération, les date et heure de l'opération, l'identifiant utilisé par l'auteur de l'opération lorsque celui-ci l'a fourni.

Inutile de se réfugier derrière un compte fourre-tout quasi-anonyme genre Alfred Toto : il faudra en effet être en mesure de fournir un nom, un prénom et une adresse postale en regard de chaque compte d'utilisateur. Le décret insiste, dans son article 4, spécifiquement que l'obligation de sécurité de ces données de connexion. Mais cette sécurité ne doit pas empêcher une mise à disposition sans délais des informations détenues au bénéfice des autorités judiciaires. Le décret précise enfin les modalités des requêtes pour obtenir communication des informations stockées.
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(02/03/2011 12:46:04)

Cebit 2011 : les yeux de Chimène pour l'ouverture, le cloud et les tablettes

A la soirée d'inauguration du Cebit 2011, Angela Merkel, Chancelière allemande recevait à l'occasion de la manifestation sur les nouvelles technologies, la Turquie avec la présence de Recep Teyyip Erdogan, Premier Ministre Turc. Ce dernier a vanté les mérites de son pays en matière de nouvelles technologies et des efforts qu'il reste à faire en matière d'éducation et de déploiement de l'Internet, mais il a insisté aussi sur la nécessité que la Turquie rentre dans l'Union européenne. Il a par exemple souligné les freins que constitue le besoin de visa pour les entrepreneurs turcs qui se rendent en Allemagne. Angela Merkel lui a proposé avec humour d'intégrer une puce dans les passeports pour améliorer les choses. Celle-ci a insisté sur l'importance des technologies dans les mouvements de protestations dans les pays arabes. Elle a aussi parlé en fin de discours du cloud computing en soulignant le potentiel de croissance que cela représente, tout en appelant les acteurs de ce marché à le rendre sur et facile d'accès. Le PDG d'IBM Sam Palmisano a dans son intervention rappelé l'importance d'avoir des standards ouverts pour apporter des réponses aux interrogations sur la sécurité. « De nombreux citoyens se sont interrogés sur qui détient toutes les données, qu'en font ils et peut-on avoir confiance en eux ? » précise le dirigeant.

Un cloud encore éparpillé dans le salon


Du discours à la réalité il n'y a qu'un pas que l'on franchi dès le hall 2 du Cebit. Le stand IBM où Angela Merkel s'est vue remettre un processeur Power PC d'IBM et a remercié... Intel pour l'occasion, montrait les bénéfices du cloud en affichant les différentes solutions hardware et software. D'autres halls intégraient à des degrés divers le cloud computing. Un espace dédié aux datacenters était visible montrant principalement le savoir faire en matière de réduction de consommation énergétique. Emerson avait installé un camion de démonstration devant le hall et semblait un peu isolé. Difficile par contre de trouver de réelles annonces, le Cebit n'étant pas un salon où les constructeurs et les éditeurs dévoilent des produits à destination des professionnels de l'IT. Ainsi, en matière de sécurité, le cloud n'est pas encore sur les lèvres des exposants qui disposent d'un hall pour eux. L'évangélisation sur la lutte contre le spam et les antvirus auprès du grand public restent un discours important. Et c'est peut-être un des enseignements du salon, si le cloud va bénéficier aux entreprises, les acteurs de l'IT doivent rester en veille sur les besoins du grand public, qui sont les vecteurs de la vague actuelle de « consumérisation de l'IT ».

datacenter cebit

Les tablettes fleurissent


MSI, Asus, TazTag ont présenté plusieurs tablettes lors du salon. 7'', 9'', 10'', Android, Windows 7, NFC, etc. toutes les technologies et les formats de tablettes sont présentes. L'offensive contre l'iPad est bien entamée surtout à quelques heures de la présentation de l'évolution de la tablette d'Apple. Les fabricants asiatiques présents sur les stands chinois montrent une variété impressionnante d'ardoises. Une course de vitesse s'est engagée pour répliquer, dupliquer et apporter une réponse au « time to market » des constructeurs. Cette accélération entraîne quelque fois des inattentions comme sur ce stand où Android est devenu Andriod. Devant cette hégémonie médiatique, les présentations de terminaux mobiles, de PC ou de périphériques sont passées plutôt inaperçues. Au final ce cru 2011 du CEBIT aura surfé sur la vague des deux tendances de l'année, le cloud et les tablettes.

Cebit Tablettes

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(02/03/2011 11:08:40)

Des Français de plus en plus connectés et mobinautes

En 2010, 64% des Français disposent d'un accès Internet chez eux, contre 56% en 2008 et seulement 12% dix ans plus tôt. Parmi eux, neuf sur dix sont équipés d'un accès haut débit. Le taux d'équipement varie sensiblement en fonction de l'âge, de la catégorie sociale et du niveau d'études des internautes. Les plus équipés sont sans surprise les jeunes de moins de 30 ans dont 93,3% disposent du web à domicile. Plus les Français avancent dans l'âge, plus le taux d'équipement descend. Ainsi, 85,7% des 30-44 ans sont reliés à Internet, devant les 45-59 ans (75,4%), les 60-74 ans (47,6%) et les plus de 75 ans (8%). L'écart est également notable entre les cadres et professions libérales, équipés à 96,1%, et les agriculteurs (70%), les ouvriers (73,3%), les chômeurs (73,9%) ou les retraités (30,7%).

Une connexion via mobile en augmentation


L'ordinateur reste le support privilégié des internautes pour naviguer sur le web. 38% l'utilise alors que 31% ont recours à un ordinateur portable, 27% à un téléphone portable ou assistant personnel. L'Internet mobile opère en 2010 une réelle percée. 38% des internautes déclarent l'avoir utilisé contre 20% en 2008, 59% des moins de 30 ans et 25% des plus de 45 ans. Cette nouvelle pratique a été facilitée par l'essor récent du WiFi et des téléphones mobiles.  23% sont équipés d'un réseau Wi-Fi, versus 13,5% en 2008. Un quart a déjà utilisé un téléphone portable pour surfer contre 9% deux ans plus tôt.

Plus de neuf internautes sur dix se rendent sur le web pour consulter leur messagerie électronique, près de 83% s'en servent pour rechercher une information, 65% pour consulter leur comptes bancaires, 62% pour apprendre et plus de la moitié pour organiser leurs vacances. 77,4% des moins de 30 ans ont la spécificité de se servir d'Internet pour converser et accéder à des forums de discussion. Les Français profitent également de leur accès à domicile pour faire des achats en ligne. 53% ont effectué un achat en  2010 contre 35% en 2008. Les biens ainsi acquis sont principalement des vêtements, des billets de transport, des séjours de vacances et des biens d'équipements.

L'étude de l'Insee a été menée auprès de 7 111 ménages installés en France métropolitaine dans les DOM en avril 2010.

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(02/03/2011 11:04:26)

Un bug dans Gmail supprime entre 40 000 à 150 000 comptes

Environ 150 000 utilisateurs de Gmail se sont réveillés le week-end dernier en découvrant une mauvaise surprise : leurs e-mails, contacts et historiques avaient tout simplement disparu. Les techniciens de Google ont d'abord indiqué sur le Status Dashboard Apps, à 10h40 dimanche soir, que les services de messagerie avaient été restaurés auprès de certains internautes et qu'ils s'attendaient à ce que le problème soit résolu pour tout le monde dans un  futur proche. Selon les dernières informations communiquées par Google sur le Gmail blog, c'est la mise à jour d'un logiciel de stockage qui serait en cause. De plus, après avoir d'abord annoncé que 0,08% de comptes avaient été victimes du bug, le géant californien a revu ses estimations à la baisse. « Nous avons procédé à une mise à jour d'une solution de stockage qui a entraîné ce bug inattendu et qui a affecté temporairement 0,02 % des utilisateurs de Gmail (soit environ 40 000 comptes), s'est excusé Ben Treynor, vice-président de l'ingénierie. Quand nous avons découvert le problème, nous avons immédiatement arrêté le déploiement du nouveau logiciel pour finalement revenir à l'ancienne version. »


Une restauration qui a pris plus de temps de prévu

Le responsable a ajouté que les emails n'avaient pas été perdus et que  l'accès à Gmail avait été rétabli partiellement « Même si cela peut prendre plus longtemps que nous l'avions initialement prévu, nous sommes en bonne voie et les choses devraient revenir à la normale pour tous bientôt », a précisé le représentant de Google. Il a expliqué que si les données étaient dupliquées dans plusieurs data centers, dans certains cas rares, des bugs logiciels pouvaient affecter plusieurs copies des données. C'est en effet ce qui se serait passé dans ce cas, entraînant la suppression de certaines copies d'e-mails.  La firme a également indiqué que des sauvegardes avaient été réalisées sur des bandes, mais que «  restaurer des données depuis ces bandes prenait plus de temps que de transférer des requêtes vers un autre datacenter, et qu'il avait donc fallu des heures pour restaurer le service plutôt que des millisecondes.»  Google a enfin prévenu les utilisateurs de  Gmail qu'il était peu probable que  les messages envoyés lundi 28 février entre 2 heures du matin et 10 heures du soir soient arrivés.

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(02/03/2011 10:30:38)

Annuels Steria : un retour à la croissance et un optimisme pour 2011

Sur l'exercice 2010, Steria a réalisé un chiffre d'affaires de 1,692 milliard d'euros, en croissance organique de 1,5%, légèrement supérieur à la moyenne du marché (1%), mais toujours inférieur à son exercice 2008, 1,766 milliard d'euros. C'est le retour à la croissance organique pour Steria. Les indicateurs de rentabilité sont également au vert. La marge opérationnelle se retrouve à 120,4 millions d'euros (contre 118,9 sur l'exercice précédent), le taux de marge s'élève à 7,1%. Le résultat net part du groupe se monte à 42,9 ME (contre 48,2).

Plus spectaculaire encore, souligne la direction, la génération de cash permet une réduction de 85,8 ME de la dette financière nette qui se situait au 31 décembre dernier à 101,2 ME. « C'est une vraie performance », note François Enaud, gérant exécutif de Groupe Steria SCA, « nous sommes en avance sur notre plan de désendettement». La société avait racheté Xansa il y a trois ans, générant cet endettement. Au plan opérationnel,  la SSII se veut optimiste, que ce soit en termes sectoriel  ou géographique. Elle mise ainsi sur le secteur public, avec d'importantes références arrivées en 2010 comme la Police de Cleveland, le fameux Chorus français (une nouvelle tranche de TMA), le ministère britannique de la santé. Le secteur des transports se détache avec 7% de croissance en 2010, la banque était à +4% sur 2010, le secteur public à +3%.  En revanche, les télécoms ont baissé de 8%.

La France croit de 5%

Par pays, en Grande-Bretagne, la croissance se monte à 1,3%, malgré une situation détériorée au second semestre et un moratoire sur les dépenses publiques. La France affiche une belle performance avec 5% de croissance. En revanche, l'Allemagne, malgré la croissance globale la plus forte du continent boude les services informatiques (+0,6%).

Le groupe s'appuie également sur ses programmes de transformation, concernant aussi bien ses manières de délivrer les projets que ses structures. La SSII a créé des « business community », des équipes transverses pour se concentrer sur des offres majeures avec des équipes venues de plusieurs spécialités. Elles utilisent de nouveaux outils de partage de la connaissance qui connectent les équipes entre elles. Steria utilise aussi des centres partagés. Par ailleurs, le groupe va déménager, afin de diminuer encore ses charges, revoir ses achats et sa structure

La société se veut confiante sur 2011, le quatrième trimestre 2010 a confirmé le redressement avec un taux de prise de commandes supérieur de 33% à celui du même trimestre de 2009. « Nos clients se posent la question du changement de leur modèle de sourcing, nous avons le bon profil et une capacité d'expertise suffisante pour répondre ». Stéria se fixe un objectif de 3 à 4% de croissance organique pour son CA 2011.

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