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(03/03/2011 12:48:29)

Syntec Numérique veut redorer l'image des SSII

« Marchands de viande ». Cette appellation féroce colle depuis de longues années à la peau des SSII qui peinent à se défaire de cette image peu reluisante. Soucieuse de revaloriser le secteur, la fédération Syntec Numérique a décidé de confier une mission sensible au directeur général de Steria France, Olivier Vallet : celle de rénover l'image des sociétés des services informatiques : «Cette initiative a été lancée début janvier, suite à une réflexion menée par le conseil d'administration de Syntec Numérique, qui a considéré que l'image de nos métiers n'était plus en phase avec la réalité d'aujourd'hui », indique le dirigeant de la filiale française de  Steria, également président du collège SSII chez Syntec Numérique. «Or, les SSII font  partie des entreprises qui se sont le plus renouvelées. La fonction s'est transformée et l'image que ces sociétés véhiculaient il y a une vingtaine d'années n'a plus rien à voir avec la réalité du marché ». Pour Olivier Vallet, le secteur ne manque pourtant pas d'attraits. Les entreprises de nombreux secteurs font appel aux SSII pour lancer d'ambitieux projets informatiques nationaux et internationaux. Le niveau des salaires y est également correct. Mais elles restent victimes d'une image peu flatteuse.

Communiquer dans les écoles et auprès des pouvoirs publics

L'un des axes de la mission pilotée par Olivier Vallet consistera donc à renforcer l'attractivité de la filière auprès des pouvoirs publics et également des jeunes  « Nous avons constitué un groupe de travail chez Syntec Numérique qui représente l'ensemble des SSII françaises, dont les quatre grandes du secteur,  à savoir Atos Origin, Capgemini, Sopra et Steria », précise Olivier Vallet. « Nous réfléchissons actuellement à la façon dont on va s'y prendre pour expliquer de façon simple en quoi consiste notre métier. Plutôt que d'utiliser un jargon technique, nous incitons les SSII à mettre l'accent sur la valeur ajoutée des projets. Nous pensons également au changement de l'appellation « SSII », un terme à la connotation un peu barbare. Enfin nous souhaitons démystifier tout ce qui se rapporte à l'offshore, qui a pu décourager certains jeunes ingénieurs, alors que nous continuons à beaucoup recruter en France. Pourtant,  la valeur ajoutée des projets reste proche des entreprises clientes et cela peut constituer de réelles opportunités de carrière à l'international. »  

Inciter l'Etat à investir dans le numérique

Pour promouvoir les métiers des SSII auprès des jeunes et adapter les formations pour préparer les futurs ingénieurs aux évolutions de la fonction, chaque SSII appartenant à la mission de Syntec Numérique sera présente dans les écoles  regroupées au sein de Pascaline. Cette association, qui a été fondée par la fédération professionnelle, regroupe une soixantaine d'établissements de l'enseignement supérieur. Un plan de communication sera également lancé auprès des pouvoirs publics. « L'Etat doit impérativement investir dans le numérique, pas uniquement dans les infrastructures mais aussi sur le contenu », insiste Olivier Vallet. La France est très en retard sur les technologies du numérique, alors qu'elles pourraient contribuer à la croissance économique ». Pour l'heure, le projet initié par Syntec Numérique et piloté par Olivier Vallet n'en est qu'au stade de la réflexion. Le plan de communication devrait démarrer d'ici quelques mois, aux alentours de l'été prochain.

Illlustration: Olivier Vallet, directeur général de Steria France et président du collège SSII à Syntec Numérique

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(03/03/2011 12:15:11)

Apple dévoile quelques points d'iOS 4.3

Délégué sur place pour dévoiler quelques nouveautés du système d'exploitation mobile qui tourne sous iPod Touch, iPhone, et iPad, Scott Forstall, vice-président senior d'iOS, a présenté en premier lieu les améliorations apportées à la version de Safari. Le navigateur mobile d'Apple intègre désormais le moteur JavaScript Nitro de Mac OS X, si bien que iOS exécute le code JavaScript jusqu'à deux fois plus vite que précédemment.

Par ailleurs, en ce qui concerne le partage à domicile de médias via iTunes et AirPlay, les possesseurs d'iPad et d'iPhone pourront désormais diffuser la musique, les films et les émissions de télévision de leur bibliothèque iTunes conservée sur leur ordinateur, directement vers leur appareil mobile, via une connexion WiFi locale. De plus, iOS 4,3 élargit le support de Airplay en permettant à des applications tierces et à des sites web de profiter des capacités de streaming audio et vidéo de l'application. Scott Forstall a également signalé plusieurs améliorations spécifiques propres à l'appareil, comme des changements relatifs à l'interrupteur situé sur le côté de l'iPad et l'ajout de la fonction hot spot personnel, qui permet de créer un point d'accès WiFi pour partager la connexion 3G du téléphone. Tous les iPhone à la norme GSM (y compris ceux vendus par AT & T) bénéficieront de cette fonction apparue pour la première fois dans l'iPhone de Verizon. Par ailleurs, comme on avait déjà pu le voir dans la version développeur build 4.3 d'iOS, les utilisateurs d'iPad pourront désormais programmer l'interrupteur soit pour mettre l'appareil en veille, soit pour verrouiller l'orientation de l'écran.

En dehors de ces mises à jour système, l'iPad 2 enrichit son répertoire de plusieurs applications. On voit ainsi apparaître Photo Booth, un genre de logiciel de photomaton déjà existant sous Mac OS X, avec des effets vidéo, plus d'autres effets applicables en utilisant l'écran tactile. Enfin, FaceTime, qui apporte la vidéoconférence plein écran à l'iPad. Le logiciel peut-être utilisé pour faire communiquer entre eux n'importe quel iPhone 4, iPod Touch de quatrième génération, iPad 2, et tout ordinateur Mac disposant de FaceTime.

La mise à jour 4.3 d'iOS pour iPad, iPhone GSM, et iPod Touch de troisième et quatrième génération sera téléchargeable gratuitement depuis iTunes à partir du 11 mars.

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(03/03/2011 11:39:51)

Accord d'itinérance, Orange ouvre son réseau 2G/3G à Free Mobile

Free Mobile utilisera les infrastructures de son concurrent Orange pour étendre son réseau 3G en France, suite à un accord "d'itinérance 2G, élargi à la 3G" signé entre les deux acteurs le 2 mars dernier. Cet arrangement permettra à Free de devenir le quatrième opérateur français à partir de 2012, face à Orange, SFR et Bouygues Télécom.

L'accord entrera en vigueur dès que Free Mobile aura couvert 25% de la population par ses propres moyens. D'ici 2018, la société du fournisseur d'accès à Internet Iliad prévoit d'étendre son réseau à 90% de la population.

Crédit photo : D.R. (...)

(03/03/2011 10:56:11)

SQLI Méditerranée tombe dans le giron de Smile

Après son agence de Poitiers, vendue à son directeur en octobre 2010, SQLI se défait cette fois-ci de son agence Méditerranée au profit de Smile, un intégrateur spécialisée dans l'Open Source (e-commerce, Gestion de contenu, GED, BI, ERP...). L'entité cédée par la SSII emploie une vingtaine de collaborateurs dont une quinzaine est basée à Aix-en-Provence (13) et le reste à Montpellier (34).

Egalement présent dans la capitale de l'Hérault, Smile y exploite de longue date un centre de services au sein duquel il a intégré plus récemment une petite force commerciale. Celle-ci sera prochainement renforcée par les collaborateurs montpelliérains de SQLI Méditerranée dont les locaux ne seront pas conservés. 
En revanche, l'intégrateur n'était pas implanté à Aix-en-Provence. Et, la mise en vente de SQLI Méditerranée constitue d'autant plus une aubaine pour lui qu'il avait justement planifié de créer de toutes pièces une agence dans les Bouches-du-Rhône. Le gain de temps n'est donc pas négligeable. 

S'installer à Aix tout en élargissant les effectifs

« Outre le fait qu'elle renforce nos positions et nous dote d'un nouveau point de présence dans le sud, cette acquisition nous permet aussi d'accueillir de nouveaux collaborateurs,explique Marc Palazion, le PDG de Smile. Nous sommes dans une phase de croissance très forte [Ndlr : +27% de CA en 2010] qui nécessite de nombreux recrutements pour servir nos nouveaux clients ». Dans cette logique, l'entreprise qui emploie 350 personnes en France et 450 dans le monde a recruté 130 collaborateurs durant l'année 2010. 
Du côté de SQLI, on explique la cession de l'agence Méditerranée, comme celle de l'agence de Poitiers, par le fait qu'elle ne rentrent pas dans son plan stratégique 2010-2014. Il est toutefois difficile de dire pourquoi puisque la SSII ne devrait en communiquer les détails qu'à la fin mars, lors de la publication de ses résultats. Officieusement, il semblerait que l'objectif de SQLI soit de se délester de son activité d'intégration pour mieux se concentrer sur ses autres activités (conseil, ERP, web..). 

Il n'était toutefois pas évident que ce soit un acteur du Libre tel que Smile qui rachète des actifs d'une société non spécialiste de l'Open Source comme SQLI. Quid, en effet, de l'avenir des clients de SQLI Méditerranée que la SSII a le plus souvent équipés de technologies propriétaires ? « Avant 2002, nous ne faisions pas que de l'Open Source. De fait, nos équipes ainsi que celles issues de notre acquisition vont continuer de servir les clients de SQLI Méditerranée tout en faisant la promotion de l'offre de Smile », explique Marc Palazion. Selon lui, cette approche devrait permettre aux effectifs cumulés de Smile et de SQLI dans le sud de réaliser un chiffre d'affaires de 1,5 M€ lors des 12 prochains mois.
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(03/03/2011 10:50:44)

Bácata relance la fabrication de PC pour les petits revendeurs

Le grossiste Bácata a de la suite dans les idées. L'entreprise basée près de Toulouse vient de relancer la fabrication de ses propres PC, une activité à laquelle il s'était déjà essayé à partir de 2005 durant près de deux ans. Comme par le passé, les nouvelles configurations seront estampillées de la marque BleuJour, mais pas seulement. En effet, Bácata a décidé de faire évoluer la stratégie de fabricant de PC qu'il suivait à l'époque en lançant une deuxième famille d'ordinateurs pour gamers. Elle sera vendue sous la marque Boogie Bug que le grossiste exploite déjà pour commercialiser ses propres accessoires et composants dédiés à l'univers du jeux sur PC. 

Pour le moment, seuls deux modèles sont disponibles. A terme, chacune des deux gammes devraient compter trois, voire quatre modèles. Leurs tarifs oscilleront entre 899€ et 1200 € HT (prix publics) pour les modèles Boogie Bug et de 490 €ht à 3000/3500 €ht pour les PC bleus jours. « Le design de nos produits repose sur des form factors (facteurs de forme) que l'on ne retrouve pas ailleurs, insiste Jean-Christophe Agobert, le directeur ventes et marketing de Bácata. Nous proposons des produits conceptuels qui vont du home server, au boîtier design, en passant par le portable »

Pas de PC Bácata dans la grande distribution

Si Bácata se retrouve aujourd'hui en position de refaire fonctionner sa ligne de fabrication de PC, il le doit en partie au rachat du grossiste généraliste toulousain Blue River System (BRS) en mars dernier. « Nous avions eu des difficultés à maintenir la marque BleuJour pour des raisons de coûts qui tenaient notamment au fait que nous n'achetions pas en direct certains composants. Avec BRS, nous avons récupéré en direct certaines des cartes qui nous manquaient. Par exemple, avec des marques telles que Samsung et Gigabyte », explique Jean-Christophe Agobert. En outre, BRS amène à Bácata une clientèle de petits revendeurs à qui il destine en exclusivité ses nouveaux PC « avec une marge minimum de 15% ». Il n'est en effet pas question pour Bácata de proposer ses machines à la grande distribution. 

En 2011, la production du grossiste devrait se situer entre 200 et 400 machines par mois. Sur 12 mois, leurs ventes devraient représenter de 4 à 5% du chiffre d'affaires de l'entreprise si la demande est là. Pour la  stimuler, Bácata a budgété 30 à 40 K€ pour assurer la promotion de ses produits.
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(03/03/2011 10:46:45)

Annuels Devoteam : La France tire les résultats vers le bas

Après un chiffre d'affaires (CA) 2009 en baisse de 7% par rapport à celui de 2008, Devoteam retrouve le chemin de la croissance sur 2010. De justesse. Son chiffre d'affaires progresse de 0,5% en organique, de 8% en incluant les acquisitions avec 495 millions d'euros (ME), contre 459,5 en 2009. Derrière ces résultats globaux, la SSII enregistre des résultats contrastés. En France (225 ME), elle baisse de 4%, à l'international (270 ME) de 4%. « En France, la banque a été positive, les télécoms beaucoup moins » nous explique Stanislas de Bentzmann, le co-Président du directoire. « La baisse des reventes de software a effacé les gains d'autres activités ».

Danet revient en positif, Wola Info inquiète

A l'international, des pays comme la Russie, l'Italie, l'Espagne sont en positif. En revanche, la Scandinavie est à la traîne, du fait d'une exposition trop forte au secteur public. Cas particulier, l'Allemagne, où Devoteam  a racheté Danet en 2009, est redevenue positive. Devoteam souffre également à l'international de sa position en Pologne après le rachat de Wola Info (acheté au second trimestre, consolidé au quatrième) qui affiche des pertes. La sanction de la bourse intervenue ce mercredi 2 mars (-7% en milieu de journée) n'aurait pas d'autre explication. Devoteam poursuivra néanmoins ses acquisitions en 2011, et Stanislas de Bentzmann de nous citer : la Turquie et la Russie.

La SSII montre également un retour à la rentabilité. Sur l'exercice 2010, le résultat opérationnel  se monte à 26,2 ME, en hausse de 29%. Le résultat net part du groupe se situe à 14,3 ME, en progression de 31%.

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(03/03/2011 10:42:50)

La haute densité va se renforcer dans les datacenters selon le Gartner

Le Gartner estime qu'une zone à haute densité nécessite une énergie supérieure à 10 kW par rack. Or, les datacenter construits depuis cinq ans ont été conçus pour distribuer 2 kilowatts (kW) à 4 kW par rack. Avec l'utilisation croissante des systèmes de lame haute densité, l'énergie des datacenter n'est plus suffisante pour équilibrer la puissance et les exigences de refroidissement des différents équipements informatiques (serveurs, stockage et mise en réseau des boîtes) réunis dans un même centre de données physiques.

Une zone de haute densité nécessite effectivement des refroidissements supplémentaires. Rakesh Kumar, vice-président recherche chez Gartner, souligne que si le bâtiment du datacenter n'évolue pas dans le temps, tous les systèmes informatiques à l'intérieur ne cessent de le faire. C'est l'équilibrage entre tous ces changements qui fait la complexité du sujet. Garner conseille doncaux entreprises de développer une zone à forte densité suffisamment grande pour accueillir des capacités supplémentaires, normalement de 20 à 25 pour cent de l'espace plancher. 

Toutefois, les utilisateurs restent encore sceptiques note le Gartner. Ils restent incertains sur la possibilité d'obtenir une flexibilité dans la prévision des capacités nécessaires et sur les pièges potentiels de la haute densité.  «Les zones à haute densité sont de loin la meilleure façon de gérer les différences dans les changements du cycle de vie des structures des bâtiments des centres de données, leurs équipements électromécaniques et autres », a pourtant souligné Rakesh Kumar.

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(03/03/2011 10:38:55)

Annuels Bouygues Telecom : Des bénéfices en recul de 6%

L'opérateur a enregistré pour son exercice 2010 une progression de 5% de son chiffre d'affaires, à 5,6 Md€. Son chiffre d'affaires réseau a cru quant à lui de 4%, à 5,06 Md€. Cependant, l'EBITDA (excédent brut d'exploitation) ne progresse que de 2% à 1,37 Md€. Bouygues Telecom impute cette faible croissance à la baisse du différentiel des terminaisons d'appel voix et SMS ainsi qu'à l'augmentation des taxes. Le résultat net de l'opérateur est en recul de 6% à 444 M€. Cette baisse s'explique par les efforts commerciaux importants fournis par l'opérateur pour élargir de 494 000 abonnées son parc clients ADSL qui en comptait 808 000 au 31 décembre 2010.

Le parc d'abonnés à la téléphonie mobile de Bouygues Telecom s'est enrichit quant à lui de 842 000 clients en 2010, soit 23% de la croissance nette du marché (source : Arcep). A la fin de l'année dernière, Bouygues Telecom disposait ainsi d'un parc total de 11 084 000 clients, dont 79% de clients au forfait (soit +2,5 points sur un an).
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(03/03/2011 10:35:48)

Avec le rachat de WYNIWYG, TRSB affiche ses ambitions

« Nous sommes nés en 1997 dans les services IT et nous sommes depuis longtemps un adhérent du SYNTEC Informatique, mais nous avons un rôle à jouer dans le déploiement, l'intégration et la maintenance des infrastructures », explique d'emblée Philippe Guinchard, Président et fondateur de TRSB. Cette SSII a annoncé le 1er mars le rachat de la société d'ingénierie informatique WYNIWYG (acronyme de « What You Need Is What You Get », déclinaison du slogan d'Apple dans les années 80, « What You See Is What You Get », puisque c'était la première fois que ce qui sortait de l'imprimante ressemblait à ce qui était affiché à l'écran). TRSB change ainsi de taille avec un effectif qui dépasse désormais 800 salariés. LE groupe prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de plus de 60 M€ en 2011.

Ce n'est pas la première fois que TRSB se développe avec des opérations de croissance externe : la SSII avait déjà depuis 2008 racheté les activités de l'assembleur de PC Elonex et le mainteneur EFS. Dans le même temps, la SSII affiche une croissance interne de plus de 20% en 2010 et s'attend à une progression du même ordre en 2011. 

D'autres achats à venir

TRSB va-t-il s'arrêter là ? « La priorité est de bien réussir l'intégration de WYNIWYG, qui représente un tiers de notre chiffre d'affaires, mais il n'est pas impossible que nous rachetions d'autres entreprises en 2011 », répond Philippe Guinchard. WYNIWYG permet également à TRSB de compléter sa présence géographique, avec ses implantations à Nantes, Rouen et Paris, qui viennent s'ajouter aux 5 agences commerciales du groupe (Lille, Aix-en-Provence, Montpellier, Lyon et Paris) et à ses deux centres de services de Palaiseau (91) et de Rousset (13).

TRSB n'est-il pas en train de créer un modèle hybride entre les SSII traditionnelles et les « corporate resellers » ? La nomination fin 2010 de Didier Fougeron au poste de Directeur Général adjoint du groupe TRSB est un élément de réponse : il a fait partie de l'équipe dirigeante de Computacenter ces 14 dernières années...

Illustration principale : Philippe Guinchard, président et fondateur de TRSB, crédit photo D.R.
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(03/03/2011 10:57:35)

Des applications Android infectées par des malwares

L'ensemble de ces applications provient de trois éditeurs douteux, qui sous un aspect commercial classique contiennent un code appelé « DroidDream ». Celui-ci est capable d'exporter des données  contenues dans le terminal, selon un article du blog de Lookout Mobile Security . La firme fournit une liste des applications concernées, dont beaucoup sont relatives à des contenus pour adultes,  « Ringtones Super Sexy » et « Screaming Sexy Japanese Girls ». Certaines de ces applications semblent identiques à ceux d'origine, mais le nom des  éditeurs est différent « Kingmall2010», «we20090202 » et « Myournet ». « Je viens par hasard de tomber sur une application, où le nom de l'éditeur n'est pas celui qui est sensé être » écrit un certain Lompolo sur le site Reddit à l'origine des interrogations de Lookout.

Lompolo écrit que deux des applications analysées contenaient une faille appelée « rageagainstthecage ». Une chaîne de caractère présente même la signature « CVE-2010-EASY Android local root exploit (C) 2010 by 743C ». A l'aide de cette brèche, les smartphones sont  infectés par DroidDream, malware qui transmet des informations comme le code IMEI (référence du téléphone) ainsi que l'IMSI (numéro international de l'abonné). Ces données qui sont intégrées à la carte SIM du mobile sont alors transférées à un serveur distant, situé à Fremont, en Californie, selon Lompolo. Le site Android Police va même plus loin en indiquant que DroidDream a un accès au niveau de la racine du téléphone. Cela signifie que potentiellement, il peut voler toutes les données sur le téléphone mais également installer d'autres logiciels malveillants.

Google enquête mais peine à contrôler

L'éditeur a apparemment commencé à retirer quelques applications suspectes de sa boutique. Il est également possible pour l'éditeur de Mountain View de supprimer à distance des applications Android installé sur les smartphones, mais Lookout indique «ce système n'a pas encore été mis en oeuvre pour les applications incriminées, car elles font l'objet d'une enquête » . Google n'a pas souhaité faire de commentaires sur le sujet.

Plusieurs applications malveillantes ont été découvertes récemment pour les applications Android, particulièrement destiné aux utilisateurs de langue chinoise. Le mois dernier, Lookout a dit qu'il avait constaté que des jeux mobiles tels que Monkey Jump sont illégalement copiés et reconditionné avec un code conçu pour dérober des informations personnelles ou accomplir d'autres actions.  En décembre dernier, la même société de sécurité avait trouvé un morceau de malware Android appelé « Geinimi » qui contenait des fonctions similaires à un botnet. Plusieurs variantes de ce code sont apparues depuis.


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