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(04/03/2011 10:35:50)

Océ devient le principale fournisseur des solutions d'impression de GDF Suez

GDF Suez est un groupe présent mondialement notamment dans l'eau et l'énergie. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 83 milliards d'euros et il réunit 200 000 collaborateurs. Il a choisit d'opter pour un seul fournisseur de solutions d'impressions pour 20 pays.

Le parc estimé de machines est de l'ordre de 9 000 multifonctions. Le chiffre d'affaires induit devrait être de l'ordre de 55 millions d'euros. Le contrat n'a pas de durée précise mais devrait durer de 3 à 5 ans. En effet, il s'agit bien d'un référencement de fournisseur de matériels et pas d'une infogérance globale de parc, même si certains lots pourraient évoluer en infogérance. Certaines solutions proposées par Océ à GDF Suez proviendront de sa maison mère, Canon.
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(04/03/2011 11:57:10)

Capgemini Consulting revoit sa façon de faire du conseil

Cette année, la société de conseil Capgemini Consulting recherche 1 000 consultants, principalement des juniors possédant des compétences en réseaux sociaux et en technologies du numérique. Autre acteur à se positionner dans cette voie :  Atos Origin.  Il y a quelques semaines, son PDG Thierry Breton avait indiqué qu'il souhaitait que ses collaborateurs ne communiquent plus sur messagerie, pour la remplacer, d'ici trois ans, par d'autres applications jugées plus adaptées à la collaboration, comme les plates-formes communautaires. Selon lui, la suppression des e-mails serait la meilleure façon de diriger une entreprise et de réaliser des contrats. Mais pour Pierre-Yves Cros, responsable de Capgemini Consulting au niveau mondial, il ne s'agit pas uniquement d'éliminer le recours à la messagerie électronique. Selon lui, durant une grande partie de la dernière décennie, faire du conseil consistait à ce que des collaborateurs brillants sachent comment réaliser des analyses.  Mais la commercialisation de leurs services est devenu plus difficile, bien que les clients de Capgemini aient recruté ces analystes aux talents prometteurs pour eux-mêmes. Le marché a en effet changé à d'autres égards. Beaucoup de travaux relatifs au conseil impliquent de collecter des données, mais, d'après Pierre-Yves Cros, ces travaux peuvent désormais être réalisés en quelques minutes en cherchant sur le web.

Innover, comprendre les clients, gérer les risques

Pour lui, si les consultants souhaitent sortir du malaise croissant qui se ressent dans les relations avec leurs clients, ils devront  alors développer un nouveau type de consulting, moins concentré sur les gains de productivité et la réduction des coûts et davantage axé sur l'innovation, la compréhension des clients, et la gestion des risques. «Jusqu'ici, on a beaucoup misé sur l'efficacité et pas assez sur les aspects client », estime le dirigeant. « Les entreprises qui veulent rester compétitives ne peuvent pas simplement se concentrer sur la réduction des coûts », estime Pierre-Yves Cros. « Elles doivent changer la façon dont elles appréhendent les besoins de leurs clients. Il s'agit de sortir de l'ERP et d'exploiter des médias sociaux tels que Facebook ou Twitter, ou d'autres nouveaux outils. »
Le dirigeant de Capgemini Consulting prévoit de recruter entre 800 à 1 000 consultants cette année, des profils juniors, déjà familiarisés avec ces usages, pour la plupart. « Les jeunes recrues comprennent fort bien ce que nous attendons d'elles », considère Pierre-Yves Cros. « Nous n'avons pas besoin de les former à ces outils. Toutefois, nous aurons toujours besoin de consultants expérimentés ».

Un modèle qui déstabiliserait certains consultants

Pour l'heure, l'effet net sur les salaires reste difficile à estimer. En abaissant la pyramide des âges, les salaires moyens sont généralement tirés vers le bas, mais, en offrant des services originaux Capgemini Consulting gagnera davantage d'argent et pourra ainsi mieux rémunérer son personnel, a précisé Pierre-Yves Cros. Ce dernier assure que la valeur perçue sera beaucoup plus élevée en comparaison avec le consulting traditionnel. Bien sûr, 1 000 embauches ne signifient pas 1 000 nouveaux emplois. Pierre-Yves Cros n'a pas fourni d'éléments sur le nombre de consultants qui pourraient quitter la firme, mais il a constaté que certains d'entre eux ne se sentaient pas à l'aise avec cette façon de réaliser du conseil.

Illustration: Pierre-Yves Cros, responsable de Capgemini Consulting au niveau mondial. Crédit photo: D.R
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(03/03/2011 17:09:43)

Salesforce.com approfondit ses relations avec Facebook

L'éditeur estime que les messages et commentaires sur le mur des utilisateurs de Facebook peuvent se convertir en une aide à la relation client au sein des produits Salesforce.com. Cela peut par exemple permettre à un responsable d'anticiper les problèmes. Une fonction similaire est déjà disponible pour le service de micro-blogging Twitter. Pour gérer l'ensemble de ce suivi social liées aux sites communautaires, Salesforce a mis en place une console «optimisée et designée » pour les agents.

En plus de ses propres outils, l'éditeur prévoit également d'annoncer un partenariat avec Radian6, fabricant d'une « plate-forme d'écoute » que les entreprises utilisent pour suivre leurs marques à travers une grande variété de canaux web. L'intégration Radian6, qui sera disponible sur l'AppExchange de Salesforce.com, comprendra la création automatisée de cas.

La fonctionnalité de Facebook sera disponible d'ici la fin du mois d'avril. Les clients actuels de l'édition Professional, Enterprise et Unlimited pourront en bénéficier sans frais. Radian6 sera proposé en version beta à la fin du mois d'avril, et sera disponible en version finale à la fin du mois d'octobre.

Anticiper les signaux faibles

Jusqu'à récemment, la surveillance des médias sociaux a été principalement l'apanage des équipes du marketing, souligne Kendall Collins, directeur marketing chez Salesforce.com. Mais maintenant, « les mondes du marketing et des services n'ont jamais été aussi proches, dit-il. Les outils sociaux ont donné aux clients beaucoup plus de pouvoir d'influence sur les marques des sociétés », a ajouté Kendall Collins. « C'est un peu une chose effrayante pour les gens de marketing de voir les marques épinglées sur les « murs », mais c'est incontrôlable ». Aucune entreprise « ne veut être la prochaine victime des médias sociaux » précise Fergus Griffin, vice-président du marketing produit sur les services de cloud computing. Il fait ainsi allusion à des incidents après une plainte sur Twitter du réalisateur Kevin Smith, qui s'est vu refuser l'accès à un vol de la compagnie Southwest Airlines en raison de son surpoids. La société s'est ensuite excusée, mais le buzz était fait.

Outre les annonces sur les médias sociaux, Marc Benioff, PDG de Salesforce.com devrait annoncer une série d'améliorations dans d'autres domaines comme le live chat et l'accès à des bases de connaissances.


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(03/03/2011 16:41:27)

Annuels Cegid : la mutation se poursuit vers le SaaS

Si l'éditeur lyonnais Cegid a réalisé une hausse modérée sur son chiffre d'affaires global en 2010 (+0,4% à 249,6 M€), il poursuit efficacement son évolution structurelle vers un modèle centré sur l'édition de logiciels (solutions de gestion). Ses ventes de licences ont augmenté de 12% l'an dernier, à 40,7 M€, et son activité Software as a service (SaaS) de 23%, à 16,3 M€. Cette dernière se répartit à parts égales entre TPE, d'un côté, et moyennes et grandes entreprises de l'autre. Les ventes à l'international, qui reposent sur les solutions Retail, ont également progressé sensiblement (+35%). Pour Jean-Michel Aulas (en photo), PDG et fondateur de la société, il s'agit de bons résultats, « plutôt très bons même dans ce contexte post-crise ». Il reconnaît néanmoins que « le métier reste difficile ».

Sur le plan capitalistique, le schéma reste stable avec la présence de Groupama au capital, et sur le plan stratégique, « nous sommes dans un modèle éditeur mis en oeuvre au cours des cinq dernières années, sous l'impulsion de Patrick Bertrand [directeur général], souligne Jean-Michel Aulas. Ce modèle s'est affiné et continue à produire des résultats positifs et récurrents, mais il y a eu vraiment un important travail au sein de la société ».

Jean-Michel Aulas, PDG de Cegid
Jean-Michel Aulas, PDG de Cegid, lors de la présentation des résultats, le 3 mars 2011 à Paris.

Avant l'an 2000, les ventes de matériel représentaient encore 50% du chiffre d'affaires de Cegid, contre seulement 13% aujourd'hui. Entre 2009 et 2010, le CA de l'activité édition a progressé de 6% et augmenté son poids de 61 à 64% du CA total (87% en incluant les services associés). Ces mutations ont requis des investissements importants. Entre R&D, développements sur le SaaS et à l'international, organisation et croissance externe, Cegid a engagé 38 M€.

Son activité SaaS compte 40 000 utilisateurs, parmi lesquels 12 000 TPE et 350 moyens et grands comptes. « Cela représente notamment 220 000 bulletins de paie par mois, 120 000 connexions par mois dans le Retail [points de vente] et 240 000 télédéclarations », donne en exemple Patrick Bertrand. Il ajoute que ces solutions intéressent de plus en plus les collectivités et établissements publics.

Patrick Bertrand, DG de Cegid
Patrick Bertrand, DG de Cegid

Cegid se développe dans le secteur public

Pour 2011, Patrick Bertrand ne souhaite pas donner de prévisions de résultats. « Le dirigeant d'entreprise que je suis sent bien que la confiance n'est pas revenue. On sent une incroyable volatilité, on se raccroche au carnet de commandes ». Les deux premiers mois ont été bons néanmoins et jusqu'à présent, les éditeurs de logiciels ont en général plutôt bien traversé la crise.

Parmi les activités qui devraient soutenir la croissance de Cegid cette année, Patrick Bertrand cite les solutions de paie et de GRH (gestion des ressources humaines). « Il y a une prise de conscience des groupes qu'il n'est pas nécessaire d'aller chercher des produits trop lourds ». Le directeur général pense aussi que sa société va « faire un beau parcours sur la partie industrie, tous secteurs confondus » (en septembre, un recrutement a été effectué pour piloter la stratégie du marché manufacturing). Avec l'offre SaaS, il y a par ailleurs une forte progression en perspective sur la partie comptable, notamment dans le monde agricole (l'éditeur a conquis 25% des utilisateurs dans ce secteur). Enfin, Cegid devrait se renforcer dans le secteur public. Dans ce domaine, il a racheté Visa Informatique en décembre et réalisé 12 à 14% de croissance sur l'année. Il vise un chiffre d'affaires de 20 M€. « Nous espérons aussi une croissance sur le marché des TPE où les experts comptables sont prescripteurs », complète Jean-Michel Aulas. La profession comptable représente 25 à 30% du CA de l'éditeur.

En 2010, outre Visa Informatique, Cegid a racheté deux équipes de trois personnes, l'une spécialisée sur la gestion des services professionnels, l'autre sur les produits destinés aux associations (Innov'Adhoc/Atalante). Ces trois acquisitions représentent un chiffre d'affaires de 7 M€. En matière de croissance externe, l'éditeur examine actuellement une dizaine de dossiers. Il s'intéresse notamment à des sociétés engagées dans le Retail, plutôt pour soutenir son développement à l'international. Mais il étudie aussi des dossiers dans l'industrie, la profession comptable, la finance, la RH et la paie.

En 2010, le résultat net (part du groupe) de Cegid s'est élevé à 19,3 M€ (+7,9%). Le résultat avant impôts a augmenté de 22,2% et le résultat opérationnel de 16,1%, à 30,8 M€.

Illustration : Jean-Michel Aulas, PDG de Cegid, le 3 mars à Paris lors de la présentation des résultats à la presse (crédit : MG)
CA : Chiffre d'affaires
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(03/03/2011 16:14:52)

Gartner : Croissance modérée pour la vente de PC en 2011 et 2012

Cette année, il devrait se vendre 387,8 millions d'ordinateurs dans le monde. Selon les dernières prévisions de l'analyste Gartner, cela représenterait une hausse de 10,5% par rapport à 2010. Toutefois, ces prévisions ont été révisées à la baisse, car initialement la hausse devait s'établir à 15,9%. Même repositionnement pour l'année 2012 pour Gartner. Les ventes d'ordinateurs sont estimées à 440,6 millions, soit une augmentation de 13,6% par rapport à l'année précédente, contre 14,8% pour la première prévision.

L'analyste explique cette réévaluation par une demande en ordinateurs portables, véritables fers de lance du marché informatique, plus faible que les années précédentes, notamment en Chine. A travers le monde, les acquéreurs de PC portable hésitent de plus en plus à acheter ce type d'appareils au profit des tablettes numériques, comme l'iPad d'Apple.

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(03/03/2011 14:49:10)

Qualcomm se prépare pour le futur Windows de Microsoft

Rob Chandhok, président de Qualcomm Internet Services a déclaré « préparer notamment des outils et un logiciel à l'attention des développeurs Windows afin de les inciter à travailler sur les fonctionnalités avancées de la famille de processeurs Snapdragon. » Ces dernières équipent déjà des smartphones, des tablettes tactiles et d'autres appareils mobiles. De son côté, Hewlett-Packard a récemment choisi le processeur Snapdragon APQ8060 dual-core, basé sur une architecture ARM, pour sa future tablette TouchPad.

En janvier, Microsoft avait annoncé que la nouvelle version de Windows pourrait tourner avec des processeurs ARM et avait rendu public son partenariat avec Qualcomm. Pour l'instant la firme de Redmond n'a pas encore annoncé de date de sortie pour son futur système, mais Rob Chandhok pense que celui-ci offrira de nombreuses fonctionnalités reposant sur la technologie des navigateurs Internet et des services web, « comme c'est le cas de beaucoup d'appareils mobiles aujourd'hui. ». Qualcomm mobilise donc beaucoup de ressources pour faire en sorte que des technologies comme HTML 5 - la prochaine version de l'HyperText Markup Language pour l'Internet - puissent s'exécuter de façon transparente sur des appareils utilisant ses puces. « Les tablettes qui intègreront le prochain OS de Microsoft sont une excellente opportunité pour nous, » a déclaré le dirigeant.

Capitaliser sur son expérience logicielle


Les puces proposées supporteront également d'autres systèmes d'exploitation, comme Android de Google, et l'entreprise s'emploie à développer des applications basées sur des standards indépendants du système d'exploitation. Par exemple, lors du dernier Mobile World Congress, le fondeur a montré des appareils exécutant Alljoyn, un logiciel qui permet la communication peer-to-peer entre périphériques sur le réseau WiFi ou via Bluetooth, sans avoir besoin de recourir à un serveur intermédiaire. « Alljoyn pourrait fonctionner sur des machines exécutant Android ou Windows, et assurer plus facilement la communication entre les appareils, » a déclaré Rob Chandhok.

Surtout connu pour ses puces et ses produits WiFi, Qualcomm a aussi un passé dans le développement de logiciels. C'est elle qui a créé le client de messagerie Eudora, très populaire entre 1990 et 2006, et cédé depuis à la communauté Open Source. Qualcomm a également joué un rôle en favorisant la croissance de l'écosystème logiciel du processeur ARM, de même qu'elle a fourni les outils de développement logiciels pour le processeur graphique ARM - nom de code Adreno - utilisé dans ses puces Snapdragon.

La prochaine version de Windows, également destinée aux PC, pourrait ouvrir la porte de ce marché au fondeur. Mais Rob Chandhok a précisé que son entreprise « maintiendrait le cap sur la mobilité, et n'avait pas l'intention d'entrer dans le marché du PC. » Nvidia, concurrent de Qualcomm, met actuellement au point une puce pour PC, serveurs et supercalculateurs - nom de code Project Denver - qui pourra également exécuter la prochaine version de Windows.

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