Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 4741 à 4750.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/03/2011 17:12:56)

La récap IT de la semaine : iPad 2, Cebit 2011 et autres...

Du suspens, de la compétition, du show, des questionnements, sont autant de qualificatifs pour résumer cette semaine qui a vu le lancement de l'iPad 2 et l'inauguration de la grande messe de l'informatique à Hanovre le Cebit. Et c'est par ce dernier que nous commencerons. En effet, difficile dans les allées du salon de ne pas constater la course de vitesse des manufacturiers asiatiques sur les tablettes. De toutes les tailles (7, 9 ou 10 '') avec n'importe quel OS (Android, Windows 7, Linux), les ardoises « no name » s'affichaient en attendant le constructeur qui allait leur insuffler ce petit supplément d'âme et de magie.

D'âme, il en a été question lors de la fameuse présentation de l'iPad 2. Steve Jobs, bien qu'en arrêt maladie, a tenu en personne à assurer le show d'un produit éminemment stratégique. Mais au-delà des caractéristiques de la tablette d'Apple, c'est bien la pugnacité et le charisme de son PDG qui donne ce sel particulier à la success story de la firme de Cupertino. Les puristes regretteront l'absence de telles ou telles technologies ou support sur l'iPad 2, la rapprochant de l'évolution 3G vers le 3GS. Il y aura encore certainement des évolutions à venir, le charme n'est donc pas près d'être rompu.

Le cloud et autres...


En dehors des tablettes, le cloud demeure une tendance inexorable dans l'IT. De Software AG à Java en passant par SAP, Google, Intel, Juniper et la Chancelière Allemande, l'informatique en nuage fascine et inquiète en même temps. Angela Merkel a ainsi rappelé que cette transformation devait absolument s'accompagner d'outils de sécurité forts.

L'activité économique a été aussi importante cette semaine avec de belles acquisitions. Ainsi Facebook s'est offert un spécialiste de la messagerie instantanée mobile et Teradata acquiert Aster Data pour l'analyse des « Big Data ». Pour faire face à ces évolutions, les sociétés de conseils changent leur façon de travailler au risque de bousculer les habitudes de leurs collaborateurs.

A la semaine prochaine...

(...)

(04/03/2011 15:44:45)

Problèmes de Newsletter LMI

Certains d'entre vous ont reçu plusieurs fois la newsletter du 3 mars 2011. Une mise à jour de notre outil d'envoi d'e-mailing en est à l'origine. Nous sommes désolés de cet incident indépendant de notre volonté.

(...)

(04/03/2011 15:35:28)

Wordpress victime d'une attaque DDOS géante

Dans une déclaration officielle, Wordpress a décrit une attaque de « plusieurs gigabits par seconde et des dizaines de millions de paquets par seconde » Elle a affecté trois datacenters de la société à Chicago, San Antonio et Dallas. Les ralentissements ont très vite été remarqués par les journalistes et les éditeurs mardi dernier, car beaucoup utilise le système de gestion de contenu en ligne.

«WordPress.com est la cible d'une attaque en déni de service de très grande ampleur qui affecte l'accès à la plate-forme » a précisé l'éditeur dans un communiqué une heure après avoir eu connaissance de l'attaque et d'ajouter «nous travaillons afin d'atténuer cette agression, mais en raison de son ampleur, il s'avère plutôt difficile de le juguler ».

Des soupçons d'hacktivisme

Le fondateur de Wordpress Matt Mullenweg a depuis, dans un mail, fait allusion à la motivation d'un tel événement. « Il s'agit de l'attaque la plus grande et la plus soutenue que nous avons depuis nos 6 ans d'existence. Nous pensons qu'elle pourrait avoir été politiquement motivée contre l'un de nos blogs non-anglais, mais nous sommes en train d'enquêter sans détenir de preuve définitive pour le moment. » Il ne s'agit pas de la première attaque subie par Wordpress, mais le volume concerné est considéré comme préoccupant.

A titre de comparaison, une analyse en 2008 sur les attaques en DDOS d'Arbor Networks sur Wordpress, avait recensé 268 attaques sur une période de sept jours. Au plus haut des agressions, la société avait recensé 24 000 paquets par seconde. En atteignant le gigabit et la délivrance de millions de paquets par seconde, cela montre que les pirates disposent de ressources en forte augmentation. (...)

(04/03/2011 14:31:57)

Teradata absorbe Aster Data pour analyser les Big Data

Après avoir acquis 11% du capital d'Aster Data l'an dernier, le spécialiste du datawarehousing Teradata a décidé d'acheter entièrement cette start-up de la Silicon Valley qui propose des appliances d'entrepôts de données. La société, co-fondée en 2005 par Mayank Bawa et Tasso Argyros, a développé des fonctions analytiques adaptées pour de très importants volumes de données, couramment appelés « Big Data ». Teradata déboursera 263 millions de dollars pour acquérir la totalité de l'entreprise. La transaction devrait être finalisée au deuxième trimestre.

Le terme « Big data » ne désigne pas uniquement le flux d'information qui s'accroît constamment, mais aussi la juxtaposition de données structurées et non structurées, ce qui induit des interrelations complexes qui ne peuvent pas s'analyser avec les techniques traditionnelles. En rachetant Aster Data,  Teradata, qui est lui-même l'un des principaux acteurs du datawarehouse, s'attaque donc au défi posé par ces nouveaux traitements. Cette acquisition est la deuxième en trois mois pour l'éditeur californien, ancienne filiale de NCR. En décembre, pour étendre son périmètre fonctionnel, il avait déboursé 525 M$ pour mettre la main sur l'éditeur de logiciels de marketing Aprimo.

Juxtaposer données structurées et non structurées

James Kobielus, analyste pour Forrester Research, voit d'un bon oeil l'absorption d'Aster Data, une société qui a remporté des clients et qui, d'une façon générale, tourne bien. Il rappelle que l'architecture technique qu'elle a développée peut prendre en charge en même temps, sur différents noeuds, des données venant d'environnements analytiques et d'environnements transactionnels. Cela apporte à Teradata une technologie clé à exploiter dans la bataille qui s'engage, notamment face à Oracle et sa plateforme Exadata, estime James Kobielius. Oracle a en effet insisté sur la capacité de son offre à prendre en compte indifféremment ces deux types de traitement.

SAP et IBM ne sont pas en reste sur ce terrain. Le premier a sorti fin 2010 l'appliance HANA pour exploiter d'importants volumes transactionnels en temps réel, et ce mois-ci il a lancé sa suite BI 4.0 qui peut s'utiliser en frontal de HANA et analyse à la fois les données structurées et non structurées. IBM travaille aussi sur la manipulation des Big Data et développe des offres analytiques basées sur Apache Hadoop et le framework MapReduce.

Réduire les temps d'apprentissage de MapReduce

Dans ce domaine, Teradata va bénéficier du travail réalisé par Aster Data pour supporter le framework MapReduce et traiter les gros volumes de données, souligne James Kobielus, de Forrester. Développer avec ce framework requiert des compétences spécialisées et Aster a conçu des outils qui réduisent de façon significative le temps d'apprentissage en rapprochant MapReduce du standard SQL, peut-on lire sur le site web de la start-up. Ces outils aideront Teradata à diffuser plus largement les capacités de MapReduce, a déclaré Darryl McDonald, vice-président exécutif des applications et directeur marketing, lors d'une conférence téléphonique.

La plateforme d'Aster Data peut aussi être déployée dans le cloud, sur Amazon Web Services, AppNexus, Data Cloud de Dell et Terremark. Jusqu'à présent, l'éditeur vendait son offre sous la forme de licences perpétuelles. Teradata envisage aussi de proposer une offre par abonnement, a indiqué l'un de ses porte-parole. Petit à petit, les spécialistes indépendants des technologies de datawarehouse et de fonctions analytiques avancées ont donc été rachetés par de grands acteurs. La dernière absorption en date remonte à deux semaines lorsque HP a mis la main sur Vertica. Mais les mois précédents, IBM avait acquis Netezza et EMC, Greenplum. Parmi les sociétés pouvant encore être rachetées, on trouve des éditeurs comme ParAccel, indique James Kobielus. Il reste aussi Infobright et Kognitio.

Illustration : L'appliance de datawarehouse MapReduce d'Aster Data permet d'exploiter des technologies massivement parallèles sur du matériel Dell peu coûteux.
(...)

(04/03/2011 13:55:21)

Pékin veut suivre ses habitants en traçant leurs mobiles

L'annonce de ce projet de tracking mobile en Chine a été faite cette semaine via un article publié sur un site web du gouvernement (http://www.gov.cn/gzdt/2011-03/02/content_1814543.htm). Le système fonctionnerait en traçant les déplacements des 17 millions de résidents de la ville actuellement abonnés auprès de l'opérateur de télécommunications China Mobile. Dès que ces utilisateurs mettront en marche leur téléphone, le système pourra connaître leur localisation et savoir dans quelle direction ils se dirigent. Le projet vise à résoudre les problèmes liés à l'augmentation croissante du trafic: il y a parfois d'énormes perturbations sur les routes, certaines ayant pu durer jusqu'à neuf jours.Sauf que la Chine n'a pas très bonne réputation sur la manière dont elle utilise la technologie pour écraser la dissidence. Le gouvernement a ainsi piraté les comptes emails de militants des droits de l'homme et lancé des cyber-attaques contre des sites Internet appelant à des manifestations de protestation.

Le nouveau système voudrait utiliser les téléphones mobiles pour réguler le trafic dans différents secteurs de la ville, et voir en même temps comment les habitants de Pékin utilisent les transports, métro et autobus. Le communiqué ne donne pas de détails sur la manière dont le système fonctionnera, et indique seulement qu'il a reçu l'approbation des experts techniques quant à sa faisabilité. Selon cet article, les utilisateurs seront en mesure de s'inscrire et de recevoir des informations du système. Mais il est difficile de savoir si les résidents de Pékin auront la possibilité de se désabonner du tracking pour protéger leur vie privée. La commission Science et Technologie de Pékin, à l'origine du projet, n'a pu être jointe pour avis par notre correspondant sur place, Michael Kan d'IDG News Service. Même si le gouvernement chinois entend bien utiliser ces données pour mieux gérer la circulation, « à chaque fois que ce type d'information est collecté, le risque potentiel que ces données soient détournées de leur usage existe, » a déclaré Mark Natkin, directeur général de Marbridge Consulting, une entreprise de conseil basée à Pékin.

Une volonté de mieux surveiller la téléphonie mobile

Ce n'est pas la première fois que la Chine envisage de recueillir des données sur les utilisateurs à partir de leur téléphone mobile. L'année dernière, le gouvernement a déjà exigé des abonnés qu'ils utilisent leur véritable identité pour se connecter à leurs comptes de téléphonie mobile. La Chine compte plus de 850 millions d'utilisateurs de téléphone mobile, et un grand nombre d'entre eux utilisent une identité différente de celle figurant sur leurs documents officiels. Selon les experts, ces mesures pourraient faire partie d'une opération menée par le gouvernement chinois pour réduire l'anonymat dans la population. « Ce système pour suivre les déplacements de la population à Pékin pourrait aussi permettre de surveiller certaines personnes, » a ajouté Mark Natkin. « Les lois américaines et européennes pourraient considérer que ce projet constitue une violation de la vie privée, mais pas nécessairement ici, en Chine, » a-t-il ajouté.

Tout le monde ne voit pas ce système de tracking d'un mauvais oeil. « Il semble que le projet va observer ce qui se passe à une grande échelle. La quantité des données récoltées sera tellement importante, que je ne pense pas qu'il puisse y avoir une incidence sur la vie privée des personnes, » a déclaré Zhao Wei, patron de l'entreprise de sécurité chinoise Knownsec. « Je crois par contre que le système sera efficace pour résoudre certains problèmes de circulation, » conclut-il.

(...)

(04/03/2011 11:54:46)

Juniper mise sur le réseau pour le cloud et la mobilité

Juniper Networks a confirmé aux analystes financiers la prévision d'une croissance annuelle de 20% pour son chiffre d'affaires sur le long terme. La société reste focalisée uniquement sur les réseaux et croit qu'elle peut continuer à prendre des parts de marché à ses concurrents. Et ce en raison de l'évolution des architectures tirées par l'explosion du trafic de données au sein des entreprises et chez les opérateurs, a déclaré le directeur général, Kevin Johnson, lors de la réunion annuelle de Juniper avec les analystes à San Francisco.

Le constructeur a débuté cette conférence en présentant la série PTX, une plate-forme à destination des fournisseurs de services, qui combine la commutation de paquets et des composants de réseau optique. Ceci fait suite à l'annonce récente de QFabric, une nouvelle architecture conçue pour réduire la brique « réseaux » des datacenters à un seul commutateur logique. La simplification des réseaux est au coeur de la stratégie globale de Juniper, visant à la fois l'extension et la réduction des coûts des réseaux. Le cloud computing et la mobilité sont les principaux moteurs de cette demande de rénovation des réseaux, a dit Kevin Johnson. Les opérateurs et les entreprises ont besoin de faire évoluer leurs réseaux et donc de disposer d'architectures plus simples. Aujourd'hui, le modèle consiste plutôt à déployer une multiplicité d'équipements souligne le dirigeant et d'ajouter « l'approche traditionnelle dans les réseaux n'est pas durable, d'ailleurs l'industrie a été victime de la complexité issue de cet héritage. »

Un fournisseur de services qui souscrit à ce point de vue est l'opérateur japonais NTT Communications, qui au cours des deux dernières années a vu le trafic sur son réseau fédérateur Internet trans-Pacifique passer de 180 Gbt/s à 450 Gbt/s. Il s'attend même à ce que ce débit évolue à 600 Gbt/s d'ici la fin de cette année, a déclaré Kempei Fukuda, directeur du réseau mondial de NTT. L'opérateur prévoit de passer son trafic de coeur de réseau vers une architecture convergente de type PTX au cours des prochaines années, précise le responsable nippon.

Une stratégie de pure player du réseau

Mark Sue, analyste chez RBC Capital Markets estime que Juniper peut probablement atteindre ses prévisions de croissance sur le long terme. La société a annoncé une progression de 23% de son chiffre d'affaires en 2010. Une variable clé sera de savoir en combien de temps Juniper va imposer QFabric et les produits PTX, s'interroge l'analyste. La commercialisation des produits est prévue respectivement pour le troisième trimestre de cette année et le premier trimestre de 2012. Mark Sue estime aussi que la société devra élargir son marché adressable avec d'autres produits.

Kevin Johnson a minimisé la vulnérabilité de Juniper à la faible marge des produits réseaux comme cela a été le cas aussi pour Cisco Systems en raison de la popularité de certains commutateurs plus abordables. John Chambers, PDG de Cisco a d'ailleurs qualifié cette découverte de désagréable. Juniper souhaite mettre l'accent sur les commutateurs innovants à valeur ajoutée plutôt que ceux meilleurs marchés. A la différence de son concurrent qui a élargi son champ d'application vers l'électronique grand public et les serveurs, Juniper souhaite rester un pure player du réseau. Même si son dernier processeur Junos Express est considéré comme très puissant et qu'il pourrait équiper des serveurs, la société n'a actuellement aucun plan pour vendre des systèmes de calcul ou de stockage, précise Pradeep Sindhu, vice-président, directeur technique et fondateur de Juniper. Il préfère travailler sur les datacenters à travers sa technologie sur les réseaux plutôt que sur les serveurs, car en évoluant, le réseau joue un rôle plus important dans la performance des centres de calcul.

Aller sur les autres briques du datacenter risquerait aussi de froisser les partenaires de Juniper, tels que IBM, Dell et NetApp, qui aident à vendre les équipements réseaux, conclut l'analyste Mark Sue.

 

Illustration: Kevin Johnson, PDG de Juniper

Crédit Photo: D.R

 

(...)

(04/03/2011 11:09:09)

L'iPhone 5 intégrerait une puce double coeur A5

Selon les analystes, l'adoption d'une puce A5 double coeur dans l'iPhone 5 permettrait d'améliorer grandement les performances graphiques et les performances des applications, tout en préservant la vie de la batterie. Toujours d'après les analystes, le processeur A5, annoncé par Apple en même temps que le lancement de l'iPad 2, contribuerait non seulement à améliorer la qualité du système de vidéoconférence FaceTime, mais aussi les capacités de jeux de l'iPhone, ce qui pourrait même lui permettre de rivaliser avec les jeux des consoles portables. « Avec cette puce, le smartphone d'Apple pourrait faire tourner des applications nécessitant une puissance de calcul importante, en photo et en vidéo notamment, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64. «  Ces applications demandent plus de puissance que celle fournie par des processeurs mono coeur. »

La puce A5, conçue par Apple sur la base d'une architecture ARM, possède deux coeurs cadencés à 1 GHz, contre un seul à 1Ghz pour le processeur A4, utilisé dans la première version de l'iPad et dans l'iPhone 4 actuel. Selon Apple, comparée à l'A4, la puce A5 permet de doubler la performance du processeur et de multiplier par 9 la puissance de calcul graphique. Pour l'instant, l'entreprise n'a annoncé aucune prochaine version pour l'iPhone, ni communiqué sur ses éventuelles spécifications, mais, depuis la sortie du premier iPhone en 2007, Apple a mis, tous les ans, en milieu d'année, un nouveau modèle de smartphone sur le marché. L'A5 pourrait accélérer « de manière importante toutes les opérations réalisées tous les jours par les possesseurs d'iPhone, comme naviguer sur Internet, envoyer des emails et gérer le multitâche, » a déclaré Bob Mansfield, vice-président hardware chez Apple, dans une vidéo publiée sur le site web de l'entreprise.

Des smartphones déjà équipés de puce ARM double coeur

Selon Jack Gold, analyste principal chez J. Gold Associates, l'amélioration des performances graphiques pour renforcer les capacités vidéo de ses appareils, fait partie des objectifs d'Apple. « Pour faire tourner de grosses applications multimédias qui demandent de la puissance, c'est important, » dit-il. S'il sort, l'iPhone intégrant la puce A5, ne sera pas le premier smartphone dual-core. L'Atrix 4G de Motorola repose déjà sur un processeur dual-core ARM, tout en afficher une autonomie de conversation pouvant aller jusqu'à neuf heures. L'Optimus 2X de LG, disponible en pré-commande et attendu courant mars, intègre également une puce double coeur ARM. Selon Nathan Brookwood, l'A5 d'Apple pourrait également contribuer à combler le fossé existant entre les tablettes tactiles et les MacBook. Comme c'est le cas de l'Atrix de Motorola, le prochain iPhone pourrait être connecté à un dock avec écran et clavier, et être utilisé comme ordinateur portable.

Selon les analystes, l'A5 pourrait aussi se retrouver dans l'Apple TV. Apple ne détient pas une grande part du marché de la VOD, mais une puce comme l'A5 pourrait faire la différence, surtout si elle supporte la vidéo Full HD. L'actuel Apple TV, qui utilise la puce A4, peut seulement lire les vidéos en 720p. Selon le cabinet d'études iSuppli IHS, Apple a vendu près de 50 millions d'unités intégrant son processeur A4 en 2010 que l'on retrouve dans l'iPad, l'iPhone et l'Apple TV actuels. Selon les analystes, la puce A5 pourrait être basée sur l'architecture de la puce Cortex-A9 d'ARM, déjà utilisée dans la puce Tegra 2 de Nvidia. Pour Apple, la prochaine étape serait de faire une version quad-core, qui apporterait encore plus de puissance de traitement.

Pendant le dernier Mobile World Congress de Barcelone, Nvidia a annoncé une puce quad-core - nom de code Kal-El - qui, selon elle, est deux fois plus rapide pour naviguer sur Internet que la puce dual-core Tegra 2 utilisée dans la tablette Xoom de Motorola. Lors du même salon, Qualcomm a également annoncé une puce quad-core Snapdragon destinée aux appareils mobiles.

(...)

(04/03/2011 10:50:12)

Annuels KPF : +22% de croissance pour le groupe 2010

Le groupe KPF annonce un chiffre d'affaires de 12,4 M€ en 2010, soit une croissance de 22% par rapport à 2009. La rentabilité nette de la société de conseil et de services informatiques spécialisée sur SAP s'établit à près de 4%. Cette croissance organique s'explique par plusieurs facteurs. En 2010, KPF a ajouté plus de 20 clients à son portefeuille, aussi bien des grands comptes (LVMH, Alcatel, Veolia...) que des moyennes entreprises (Darty, Araymond, Degrémont...). Le groupe a notamment consolidé sa position sur le marché de l'architecture et du consulting technique SAP puisqu'il a certifié 8 nouveaux consultants sur SAP Netweaver 7.0. Il a également été certifié SAP Education Partner : le groupe dispense désormais des formations à la destination des sociétés utilisatrices de SAP (formation aux nouveaux entrants, formation préparatoire à un déploiement de sujet...). Enfin KPF a recruté cette année 30 nouveaux collaborateurs, soit 150 personnes réparties entre Paris, Lyon, Lille et Toulouse.

Pour 2011, le groupe KPF vise une croissance organique de près de 15% et ambitionne de recruter 50 nouveaux collaborateurs, ce qui représenterait 30% de son effectif actuel. En outre, la société va lancer une offre fonctionnelle afin de proposer une « offre d'intégration globale à destination du mid market ».

(...)

(04/03/2011 10:45:20)

Google Entreprise dresse un bilan de son action en France

Google compte une centaine de partenaires indirects en France (800 en EMEA, 2 500 dans le monde). Des chiffres obtenus en deux ans. Leur profil est très variable : des « systems integrators » tels que Cap, des VARs (Revevol, gPartner, NRX), des sociétés de services (SQLI), des intégrateurs plus régionaux, des ISPs (comme les espagnols Jazztel ou Recol). Il peut s'agir également d'opérateurs télécoms. Google cite pour exemple: Vodafone, Verizon, Tata, des opérateurs qui souvent intègrent Google Apps dans leurs offres.

Ce tableau ne rend pas totalement compte de la complexité du channel Google. L'éditeur utilise aussi bien des partenaires qui sont dans le modèle classique de vente et d'intégration que des sociétés créées spécialement à ses côtés comme Revevol ou gPartner (pour « Google Partner » ) des « pure players ». Nous avons déjà parlé de Revevol . gPartner pour sa part compte 25 consultants exclusivement dédiés aux solutions Google Entreprise et déployés sur deux agences Paris et Lyon.

Depuis une semaine, ces partenaires peuvent certifier leurs consultants et ingénieurs. Google vient en effet de lancer un programme individuel de certification : « google apps certified deployment specialist ». Cette certification se passe en ligne avec un QCM d'une centaine d'items.

Réaffirmation de la valeur ajoutée des partenaires

L'idée est de bien identifier les services à valeur ajoutée que peuvent vendre les partenaires et donc les compétences nécessaires pour les déployer. « Nos partenaires bénéficient : de revenus récurrents, de la vente de services (activation, intégration, formation, développement, support), ils facturent le client, maîtrisent la relation client et la développent dans la durée », souligne Pascal Pignon, directeur du channel de Google France. La propriété du client étant devenue un point très sensible de la relation entre éditeurs et partenaires dans les formules Saas, Google réaffirme sa clarté sur ce point.

Il réaffirme aussi son apport technologique par sa plateforme web. Elle n'est pas qu'un support aux Google Apps mais permet d'assurer des développements spécifiques, comme dans le cas du projet Mederic déployé par Revevol. Les partenaires ont donc un rôle à jouer dans les formules « cloud »,  c'est le message que réaffirme Google. Même si la société n'est pas totalement en indirect, les partenaires que nous avons rencontrés (Revevol et gPartner) ce 3 mars, lors du bilan dressé par l'éditeur, témoignent de son appui, notamment du fait qu'il leur adresse les projets clients détectés. (...)

(04/03/2011 10:40:49)

L'Université Paris Dauphine propose une formation au management de transition

Le Syndicat National du Management de Transition a noué un partenariat avec l'Université Paris Dauphine pour créer une formation certifiante au management de transition. Elle est destinée aux cadres expérimentés, comme des DSI ou des ex-DSI, souhaitant obtenir une formation complémentaire en management de transition afin de professionnaliser leur démarche.

Le principe du management de transition est de faire intervenir un manager pour régler une situation de crise (situation d'échec, départ impromptu d'un dirigeant, etc.). Le dirigeant de transition n'est pas un consultant : il réalise, dirige les équipes et ne conseille pas. Mais sa mission est de courte durée. Cette activité se développe beaucoup depuis quelques années en France, notamment avec des cadres seniors n'ayant plus d'emploi fixe.

La formation proposée est d'une durée totale de 12 jours décomposée en 6 sessions de deux jours (vendredi et samedi) sur un trimestre. La première promotion est prévue à la rentrée 2011. Elle comprendra des cours de méthodologie d'intervention, une sensibilisation aux attentes de leurs clients et enfin un module juridique pour bien comprendre leur propre statut et leur responsabilité.
(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >