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(01/03/2011 10:15:34)
Delphine Ernotte devient directrice exécutive d'Orange France
Delphine Ernotte succède à Stéphane Richard en prenant les fonctions de directrice exécutive d'Orange France. Son prédécesseur devient quant à lui président directeur général du groupe à compter du 1er mars 2011. Avant d'être promue à son nouveau poste, Delphine Ernotte était directrice exécutive adjointe de Stéphane Richard pour les opérations d'Orange en France.
Delphine Ernotte a effectué toute sa carrière chez France Télécom depuis 1989. Elle y a occupé divers postes fonctionnels, notamment à la R&D, et a ensuite évolué vers des fonctions à responsabilités, telles que directrice d'agence distribution et directrice régionale Centre Val de Loire. Elle devient ensuite directrice de la communication et du sponsoring France en 2006, puis directrice commerciale France en 2008.
UFC-Que Choisir demande une alerte forfait sur les mobiles
L'UFC demande aux pouvoirs publics de créer un système permettant d'alerter les utilisateurs en cas de "dépassements importants de forfaits", voire même de bloquer le forfait en question. Ce dispositif permettrait à chacun de choisir un tarif de dépassement de forfait au-delà duquel il serait impossible de téléphoner. Les consommateurs pourraient toujours recevoir des appels et contacter les secours. Néanmoins, un appel à l'opérateur serait obligatoire pour pouvoir utiliser à nouveau son mobile. "Suite à des factures explosives, des mécanismes de blocages existent comme ceux prévus par le règlement européen 'roaming' pour la 3G. La mise en place d'un tel dispositif en France pour tous les types d'usages mobiles devrait être sérieusement envisagée"
(...)(01/03/2011 10:39:00)Cebit 2011 : Software AG devient cloud ready
Karl Heinz Streibich, le PDG de Software AG (1 milliard d'euros de chiffre d'affaires désormais), estime que « la transformation vers une véritable entreprise numérique est le prochain défi de la décennie. Rendre les process plus flexibles, plus agiles et les intégrer au sein des différentes activités de l'entreprise sont l'ambition de nos solutions entreprises de BPM ». Le cloud va donc faire évoluer l'entreprise vers ce que le dirigeant nomme « l'extreme collaboration », c'est-à-dire la fin du dialogue en mode silo entre le monde applicatif et l'univers du marché (client, produits, etc...). Pour établir ce lien, Software AG dispose de deux outils, ARIS et WebMethod, qui se chargent, d'un coté, de gérer et de modéliser les processus de gestion et, de l'autre, d'appliquer les meilleures méthodes d'intégration ainsi que leur contrôle. Pour devenir cloud ready, l'éditeur allemand a travaillé sur une meilleure coordination entre les deux solutions en implémentant deux nouveaux composants. Le premier est CEP (Complex Event Processing) issu de l'acquisition de la société allemande RealTime Monitoring au début de 2010. Il effectue des requêtes sur des flux continus d'événements, une approche qui fournit des résultats suivis et redondants. Cette méthode permettra aux entreprises, via l'outil MashZone du logiciel ARIS, de visualiser les événements d'entreprise en temps réel. Par ailleurs, le second composant est l'intégration des outils de MDM (Master Data Management), issus du rachat de Data Foundation en octobre dernier, au sein de webMethods OneData.
Montée en puissance progressive
Le potentiel du cloud est très important selon le dirigeant de Software AG qui envisage de réaliser des grosses acquisitions toutes les deux ou quatre ans et pas uniquement en Allemagne. Cette démarche est poussée par le fait que seuls 25% des processus métiers des entreprises sont numérisés. Devant l'intérêt de certaines entreprises pour le cloud public, l'éditeur allemand a décidé de rendre compatible sa couche logicielle avec la plate-forme EC2 d'Amazon. Le cloud privé n'est pas oublié avec un support pour VMware. La majorité des annonces seront disponibles au troisième trimestre 2011. Un ensemble de service de conseil « cloud ready » sera aussi proposé aux clients lors du lancement officiel des solutions. Ces services comprendront « préparation avancée, la formulation de stratégies, la numérisation et l'analyse des processus pour les besoins du cloud ». Aucun prix n'a été communiqué sur les différentes solutions annoncées.
Illustration principale : ARIS MashZone (...)
Produits numériques : La BSA craint pour les droits des consommateurs
La BSA (Business Software Alliance) monte au créneau à Bruxelles. L'association, qui défend la propriété intellectuelle de ses membres, parmi lesquels Microsoft, SAP, IBM, Dell et HP, estime qu'inclure les services et contenus numériques dans la directive sur les droits des consommateurs (Memo/11/39) pourrait être préjudiciable aux personnes achetant en ligne.
L'objectif de la directive en question, proposée par la Commission européenne, est d'harmonisant la protection du consommateur dans le domaine du commerce électronique. A ce jour, la proposition a essuyé les critiques d'associations de consommateurs au motif qu'elle ne prenait pas suffisamment en compte les droits des acheteurs de produits numériques (musique, vidéos, livres et logiciels). Pour la BSA, la proposition déposée ne constitue tout simplement pas la bonne solution pour assurer cette protection.
Le texte doit être soumis le 24 mars au Parlement
Les acheteurs pourraient devoir se débrouiller seuls si l'échec d'un téléchargement est imputable au FAI (fournisseur de services Internet) et pas au e-commerçant, fait ainsi valoir la BSA. L'association de défense des fournisseurs IT avance aussi que les vendeurs pourraient arrêter de proposer des correctifs et des mises à jour parce qu'ils ne se trouveraient responsables des défauts qu'au moment de l'achat.
Un accord préliminaire avait été trouvé sur la proposition de directive le mois dernier entre la Commission européenne et les Etats membres. Toutefois, le Parlement européen doit approuver le texte avant que celui-ci puisse être appliqué.
DigitalEurope et l'European Digital Media Association ont aussi manifesté leur inquiétude et préparent une lettre conjointe avec la BSA à l'attention des députés européens, afin de leur demander de s'opposer à l'insertion des produits numériques dans la directive proposée. Cette dernière doit être mise au vote au Parlement européen le 24 mars, mais certaines formations politiques envisagent déjà de la rejeter.
256 puces Atom double coeur dans un serveur SeaMicro
Après un premier ballon d'essai en juin dernier, SeaMicro semble bien décidée à poursuivre son effort avec le SM10000-64. Ce serveur dispose de 256 puces Atom N570 cadencées à 1,66 GHz (soit 512 coeurs au total), qui se combinent pour offrir une puissance de traitement de 850 GHz, a indiqué la compagnie. Chaque noyau est capable de fonctionner avec deux threads simultanément, ce qui contribue à stimuler les performances des applications. Les processeurs Intel Atom de faible puissance sont généralement utilisés dans les netbooks. Mais ces puces sont considérées comme plus économes en énergie que les processeurs traditionnels pour serveur et conviennent plutôt bien pour certaines tâches telles que les transactions Web, qui contiennent de petites quantités de données rapidement traitées.
Ce serveur est destiné aux datacenters de nouvelle génération qui prennent en charge des services Internet, tels que la messagerie, la recherche en ligne et le réseautage social, a déclaré Andrew Feldman, CEO de SeaMicro. La société cherche également à convaincre les fournisseurs de solutions d'hébergement et les prestataires de services cloud. En fonction de l'application utilisée, une collection de coeurs Atom pourrait fournir une meilleure performance par watt que des puces Intel Xeon ou AMD Opteron, qui consomment plus d'énergie et sont mieux adaptées aux calculs d'ingénierie, de mathématiques ou aux bases de données, poursuit Andrew Feldman. Par exemple, les moteurs de recherche Internet ne récupèrent pas toutes les données sur une machine géante, précise le CEO. Les informations sont réparties sur plusieurs groupes de petits serveurs qui se regroupent pour réaliser rapidement les opérations demandées. Les serveurs avec des puces de faible puissance utilisent moins de ressources pour l'exécution de ces tâches, explique encore le Californien.
Alléger la consommation des datacenters
«Il y a un mouvement des matériels et des logiciels « lourds» vers des solutions plus légères. Nous construisons des systèmes qui sont conçus pour optimiser les opérations de calcul par watt. » L'intérêt pour la construction de serveurs avec des puces basse consommation augmente à mesure que les entreprises cherchent à réduire leur facture énergétique. Dell propose des serveurs avec des puces x86 de faible puissance et Microsoft a récemment demandé à Intel de mettre au point une puce Atom avec 16 coeurs pour équiper les serveurs de ses datacenters. AMD évalue actuellement l'utilisation de ses puces Fusion pour netbook sur des plates-formes serveurs. Les processeurs ARM basse consommation, généralement utilisés dans les smartphones et les tablettes, pourraient aussi bientôt arriver sur le marché des serveurs. Le fondeur Marvell a déjà annoncé une puce serveur basée sur l'architecture ARM et un peu plus tôt cette année Nvidia a dévoilé le projet Denver, le nom de code d'un processeur ARM pour PC, serveur et supercalculateur.
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SeaMicro est l'une des rares sociétés qui tente exclusivement de construire des serveurs équipés de puces pour netbook. La firme est sortie de l'anonymat en juin dernier avec le lancement du serveur SM10000, qui comprenait 512 puces mono coeur Atom Z530. Selon Andrew Feldman, beaucoup d'entreprises, comme les fournisseurs de services cloud computing et des sociétés de télécommunication, ont montré un réel intérêt pour son produit et l'ont utilisé pour des différentes tâches. Le SM10000-64 est plus rapide et plus économe en énergie que la première version du constructeur. Le passage à une puce double coeur plus rapide, la N570, a diminué le nombre de processeurs dans le serveur, ce qui a réduit sa consommation d'énergie. Le serveur consomme 15 à 17 % d'énergie en moins. Il prend également en charge les systèmes d'exploitation 64 bits, et supporte jusqu'à 4 Go de mémoire par puce. Le précédent serveur, le SM10000, ne prenait en charge que les applications 32 bits avec un plafond de 2 Go de RAM.
Des améliorations souhaitées
Pour améliorer ses plates-formes, SeaMicro attend d'Intel qu'il développe les fonctionnalités de ses puces basse consommation avec les instructions pour l'instant réservées à ses processeurs Xeon. « Le N570 fournit la meilleure performance sur le segment des puces basse consommation », ajoute encore Andrew Feldman. SeaMicro évalue également des processeurs ARM. Ce dernier n'a toutefois pas l'écosystème logiciel indispensable ce qui le place dans une situation désavantageuse, puisque la plupart des centres de calculs sont aujourd'hui équipés de serveurs avec des puces x86. Mais ARM travaille à l'édification d'un tel écosystème et SeaMicro garde un oeil sur les progrès accomplis dans ce domaine.
Sur le plan technique, le SM10000-64 repose sur des puces Atom intégrées sur des mini lames de la taille d'une carte de crédit et reliées entre elles par un lien offrant un débit de 1,28 Térabit par seconde. La carte mère dispose d'un circuit dédié de type ASIC (Application-Specific Integrated Circuit), qui virtualise les fonctions telles que les entrées/sorties et qui réduit la nécessité de recourir à des composants spécifiques pour le réseau et le stockage. Le SM10000-64 peut accueillir jusqu'à 1 To de mémoire vive DDR3 et jusqu'à 64 disques durs ou SSD. La taille de ce serveur en rack est de 10 U, soit 17,5 pouces.
Le prix du serveur commence à 148 000 $. Il est disponible aux États-Unis et dans le reste du monde, indique la compagnie.
Citrix investit dans un logiciel gérant des services dans le cloud
Citrix Systems vient d'investir dans Primadesk, un éditeur qui développe une application gratuite conçue pour suivre la trace de contenus stockés dans différents services cloud. C'est le premier engagement financier réalisé par Citrix Startup Accelerator, une initiative lancée en décembre dernier avec l'objectif de favoriser l'amorçage de start-up. Le montant de la somme investie n'a pas été communiqué.
Installée à Novato, en Californie, la société Primadesk a été fondée en 2009. La version bêta de son logiciel doit être présentée à l'occasion de la conférence Demo Spring(*) qui offre une vitrine aux innovations logicielles et se tient en ce moment à Palm Desert, sur la côte Ouest des Etats-Unis. L'éditeur explique que son application permet de retrouver, gérer et sauvegarder des services cloud à partir d'une interface centralisée, quel que soit le terminal utilisé. 
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Ci-dessus, la sauvegarde des données gérées en ligne peut se faire à différents niveaux (compte, répertoire, album dans le cas de photos...)
Les utilisateurs peuvent par exemple afficher, envoyer, répondre et lancer des recherches à travers différents services de messagerie et sites de réseaux sociaux, à partir d'une seule interface. L'application autorise aussi le déplacement de contenus (documents, e-mails, photos) d'une application ou d'un service vers l'autre. Primadesk donne en exemple la copie de documents entre Google Docs et Dropbox, ou encore le transfert de photos entre Picasa et Facebook.
La version bêta de l'application sera disponible en mars 2011.
(*) organisée par Demo, une filiale du groupe de presse informatique IDG.
Illustration : L'application Primadesk
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