Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 4811 à 4820.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(28/02/2011 15:59:55)
Google canalise les utilisateurs vers la bureautique dans le cloud
Avec la volonté d'attirer davantage d'entreprises vers ses logiciels bureautiques en ligne, Google a fait coup sur coup deux annonces la semaine dernière. La première, déjà évoquée, concerne l'ajout du plug-in « Cloud Connect pour Microsoft Office ». Téléchargeable pour Office 2003, 2007 et 2010 sous Windows, celui-ci permet à des utilisateurs de travailler simultanément sur un même document Word, PowerPoint ou Excel en venant s'insérer comme une barre de menu en haut de l'interface du logiciel. Avant d'être proposé à tous, le plug-in aurait été déjà testé avec des clients des Google Apps. A partir d'une URL commune communiquée aux différents utilisateurs, il apporte des capacités de collaboration simultanée entre utilisateurs des logiciels Office, fournit l'historique des corrections et la synchronisation via le cloud.
Pour l'instant, le plug-in n'est pas disponible pour la version Macintosh d'Office, celle-ci ne proposant pas d'API ouvertes.
La société de Larry Page et Sergey Brin a par ailleurs lancé Appsperience, un galop d'essai de 90 jours de ses logiciels Google Apps pour les entreprises. Cette offre couvre l'accès à Docs, Sites et Cloud Connect, ainsi que l'assistance d'experts de Google pour améliorer la productivité des utilisateurs en mode collaboratif, sans se préoccuper des versions de documents, des droits d'accès et des pièces jointes. Les entreprises testant les Apps pourront également s'appuyer sur le nouveau tableau de bord qui renseigne sur la façon dont les outils sont utilisés : nombres de documents créés, partagés et modifiés sur différentes périodes (jour, semaine, mois...) par catégories (tableaux, formulaires, présentations...)...
Google Collaboration Dashboard (cliquer ici pour agrandir l'image)
Faciliter la transition du desktop au cloud
« L'attraction vers le cloud s'accélère. L'offre Google Apps pour les entreprises tourne autour des utilisateurs et constitue par nature une plateforme de collaboration », souligne Anil Sabharwal, responsable produit des Google Apps, considérant que, par nature, les produits qui l'exploitent ont un caractère social. Interrogé par nos confrères de CIO Australie, il explique les raisons qui ont conduit Google à proposer Cloud Connect pour Office. Principalement, il s'agit de constituer un pont qui pourrait aider les utilisateurs de logiciels desktops à passer vers les applications disponibles dans le cloud. « Même si cette transformation radicale se produit, elle va prendre du temps, reconnaît Anil Sabharwal. Nous travaillons sur la façon de la faciliter la transition du desktop au cloud. »
De nombreuses entreprises utilisent déjà Sharepoint, de Microsoft, comme un outil de collaboration, mais le responsable des Google Apps estime que nombre d'entre elles doivent évoluer vers la version 2010 de Sharepoint pour profiter de l'essentiel des fonctionnalités. « Il faut réarchitecturer en 64 bits et utiliser Office 2010, ce que l'on ne trouve pas encore dans de nombreuses entreprises. Ce que nous disons à celles qui exploitent toujours [Office 2007] ou 2003, c'est-à-dire 99% de celles avec lesquelles nous parlons, c'est « voici une opportunité d'évoluer vers un environnement plus social, mais nous reconnaissons qu'il s'agit d'un pont ». Et nous voulons procurer aux utilisateurs d'Office, en particulier les utilisateurs avancés, une façon d'entrer graduellement dans la plateforme ».
Appsperience, une offre pas tout à fait gratuite
Google a régulièrement ajouté des fonctionnalités à ses Apps, y compris des outils de traduction et un mode de vérification en deux étapes pour s'y connecter (les utilisateurs téléchargent une application sur leur smartphone qui génère une clé pour apporter un niveau supplémentaire de sécurité).
Bien que l'offre Appsperience soit gratuite, les entreprises doivent tout de même payer une redevance pour l'intégration de la suite par les partenaires de Google. Celles qui ont moins de 500 utilisateurs débourseront 7 000 dollars, au-delà, le coût tourne autour de 15 000 dollars. Les partenaires peuvent adapter le prix au cas par cas en fonction de la complexité du projet et des législations sociales propres à chaque pays.
Illustration : Collaboration Dashboard
Intel crée des API pour permettre aux clouds de s'adapter au poste de travail
Intel veut rendre le cloud computing un peu plus intelligent et a développé pour cela des technologies qui permettent aux applications et aux services Internet d'en savoir plus sur le terminal qui y accède, que ce soit un PC, une tablette tactile ou un smartphone. Cela afin d'adapter les services en conséquence. Rien de nouveau en apparence : les serveurs d'applications adaptent déjà le contenu en fonction de l'appareil connecté, ne serait-ce que pour qu'il s'affiche correctement sur l'écran d'un smartphone, par exemple. Mais Intel veut aller plus loin et fournir des informations détaillées sur le type de processeur, la bande passante disponible, et même l'autonomie de batterie.
Cela pourrait permettre à des sites web et à des annonceurs de recourir plus largement à un contenu plus riche, comme la vidéo haute définition, au lieu d'avoir à se conformer à un « plus petit dénominateur commun. » Ils pourraient, par exemple, réserver une version de leur site aux clients connectés via un réseau WiFi haut débit, et une simple page web à des clients se connectant via un réseau mobile. Cela pourrait également profiter aux sites d'e-commerce. Ainsi, Amazon.com pourrait prévenir un client en train d'effectuer des achats en ligne que la procédure pourrait être interrompue à cause de la faible puissance de sa batterie et lui conseiller soit de terminer rapidement son achat, soit indiquer que le panier sera conservé uniquement si le client se déconnecte et se reconnecte plus tard.
Des puces ARM non supportées
La technologie n'est pas compliquée. Intel a livré les versions bêta de ses API (interfaces de programmation d'application) permettant de collecter les données qui renseignent sur le processeur d'un appareil, la bande passante disponible et la durée de vie de la batterie. « Les développeurs web peuvent utiliser ces API en ajoutant de simples scripts Java dans leurs applications, » a indiqué Daniel Chang, directeur des alliances stratégiques chez NetSuite, l'entreprise qui pilote la technologie. Celle-ci est surtout connue pour son application de gestion de la relation client (CRM) en ligne, et parce qu'elle héberge les sites d'e-commerce d'environ 2 000 entreprises sur le web. « Une demi-douzaine de ces magasins en ligne, essentiellement des sites qui veulent offrir du contenu riche, de la vidéo haute définition en particulier, testent actuellement ces API, » a ajouté Daniel Chang. Gproxy, une entreprise de design Web et d'hébergement située à Miami, fait aussi partie de ce programme pilote. « La technologie existe déjà, il ne reste plus qu'à l'adopter, » a déclaré le directeur de NetSuite.
[[page]]
Pour Intel, l'un des défis est d'amener les principaux navigateurs web à implémenter ses API. Le fondeur a indiqué être en pourparlers avec « un grand nombre » de prestataires de services, de fournisseurs de logiciels et de fabricants de PC afin qu'ils supportent sa technologie, sans dire encore de qui il s'agissait. En attendant, les sites d'e-commerce qui ont commencé à tester les API doivent demander aux utilisateurs finaux de télécharger un plug-in pour leur navigateur. Intel affirme que l'API processeur devrait fonctionner avec les périphériques à base de puces x86 d'autres fondeurs. « Pour l'instant, cette API n'a pas été testée avec des processeurs non-Intel, mais celle-ci utilise l'ID de la CPU et la ligne de code indiquant la marque du processeur pour déterminer son type. Ce sont des jeux d'instructions x86 standards, » a déclaré Greg Boitano, directeur du marketing de la division Business Client Platform d'Intel. « Cela n'est pas réservé à un fondeur ou un autre. Cela dépend davantage de la valeur que l'on fait passer par le biais de cette puce, » indique-t-il. Toutefois, l'API processeur ne fonctionne pas avec des puces ARM, au moins dans sa version actuelle, ce qui élimine la plupart des smartphones et des tablettes tactiles du marché.
Deuxième axe : améliorer la sécurité
En plus de vouloir rendre l'Internet plus intelligent, Intel espère que son projet va doper la demande pour ses puces. L'entreprise ajoute régulièrement de nouveaux éléments de sécurité et de nouvelles fonctions de gestion à ses puces, et en apportant des moyens supplémentaires pour en tirer parti, Intel veut donner aux clients plus de raisons de choisir ses processeurs plutôt que ceux de ses concurrents. « Ils peuvent dire aux clients que, en choisissant Intel, ils pourront utiliser ces API, et profiter de la sécurité intégrée, » a déclaré Daniel Chang. Greg Boitano, n'a pas parlé de calendrier précis en matière d'API supplémentaire, mais il a laissé entendre qu'une API de sécurité pourrait être en développement. Par exemple, une application peut être en mesure de détecter si un processeur dispose de la technologie Trusted Execution Technology (TXT) d'Intel, qui permet de se protéger contre les « root kits » (kits de démarrage) malveillants. « Par exemple, vous êtes sur le terrain, et vous voulez accéder, via un PC, à une application hébergée dans un datacenter. À l'aide d'un ping, l'application peut déterminer si TXT est actif sur votre matériel, et si vous êtes autorisé à télécharger des données sécurisées, » explique-t-il. La prochaine version du processeur vPro d'Intel, destiné aux utilisateurs professionnels, devrait inclure une technologie d'authentification à deux niveaux, et l'acquisition de McAfee devrait permettre à Intel d'intégrer dans ses puces des technologies de sécurité les plus sophistiquées. Le fondeur espère également que les fabricants de PC vont utiliser ses API comme moyen de différencier leurs produits. Par exemple, Dell, qui travaille également avec Intel, pourrait être en mesure d'utiliser l'API de sécurité pour offrir à ses clients un système totalement sécurisé pour fournir des applications et des données aux employés nomades. « N'importe qui pourrait choisir ce genre de solution pour disposer d'un avantage concurrentiel, » a ajouté Greg Boitano.
Depuis l'annonce faite en octobre dernier, Intel n'a pas dit grand-chose de son projet de « cloud adapté au client ». Selon Rick Echevarria, directeur général de la division Business Client Platforms d'Intel, qui s'est exprimé lors d'une conférence organisée par Dell à San Francisco ce mois-ci, « les clients en entendront davantage parler au cours des trimestres à venir. » En fait, le mois prochain, Intel organise un événement dans l'Oregon pour exposer « sa vision du cloud à l'horizon 2015 ». Et son projet fait parti des sujets qui seront abordés. Les autres sujets concerneront davantage les datacenter : comme la fédération des données - c'est à dire le partage de données entre plates-formes cloud différentes - et l'automatisation des services en ligne. « Nous avons été discrets ces temps-ci sur le cloud, » a encore déclaré Rick Echevarria. « Nous laissons l'industrie et ceux qui ne comprennent pas ce qu'est le end-point computing, présenter le cloud comme un simple moyen de donner accès à des informations via un navigateur internet. Nous croyons que le cloud a beaucoup plus de potentiel que cela. »
(...)(28/02/2011 15:12:21)LibreOffice récolte des fonds pour assurer son avenir
Suite au rachat de Sun par Oracle, certains contributeurs d'OpenOffice ont décidé de faire bande à part avec LibreOffice en créant la Document Foundation. Et grâce à la contribution de quelque 2 000 donateurs, cette dernière vient de recueillir 68 800 dollars (soit 50 000 euros) en seulement huit jours. Ces fonds participeront à la mise en place de l'entité juridique de la fondation en Allemagne. « Nous ne pouvons toujours pas y croire, s'est réjoui Florian Effenberger, l'un des membres du comité directeur. Ces dons sont arrivés dans un laps de temps particulièrement court et ont dépassé nos attentes les plus folles. » Les fonds levés seront gelés, mais la fondation pourra toutefois puiser dans les intérêts annuels qu'ils génèreront. À partir de maintenant et jusqu'au 21 mars 2011, elle recherche des capitaux pour financer son marketing, son matériel, ses infrastructures, sa participation aux salons ou son développement d'idées nouvelles. Cette semaine, la Document Foundation a également félicité l'éditeur d'Ubuntu, Canonical, pour sa contribution au développement de la suite bureautique Open Source LibreOffice. L'organisation a remercié Bjoern Michaelsen pour sa contribution en tant que membre de l'équipe à plein temps. « Bjoern Michaelsen apporte une expertise avancée à LibreOffice et a supervisé de nombreuses améliorations lorsqu'il était chez Oracle, peut-on lire sur un blog publié par la Document Foundation. Nous sommes ravis de voir son impact positif sur LibreOffice, ainsi que sur les versions à venir de Debian et d'Ubuntu ».
Correction de bugs et meilleure traduction pour LibreOffice 3.3.1
La fondation a parallèlement annoncé la sortie de la version 3.3.1 de sa suite bureautique. Lancée mercredi dernier, cette micro-mouture améliore la stabilité du logiciel en éliminant les bugs et les crashs affectant Windows, Linux et MacOS. Les traductions du logiciel ont été mises et à jour et des icônes pour les fichiers de données ont été ajoutées. Une autre mise à jour « mineure » est prévue d'ici un mois ou deux, suivie d'une seconde qui sera présentée début mai. En attendant, LibreOffice 3.3.1 peut être téléchargé pour Windows, Linux ou Mac OS X à partir de la page de téléchargements LibreOffice.org : http://www.libreoffice.org/download/
Le logiciel est distribué sous licence GNU Lesser General Public License (LGPL v3).
(...)(28/02/2011 14:44:25)
La présence d'Apple progresse sur Internet
Sur un an, la part des Européens allant sur Internet depuis un ordinateur Apple est passée 6,4% à 8,7%. A contrario, les internautes navigant depuis un PC équipé de l'une des plateformes Microsoft sont en baisse mais représente toujours près de 90% des utilisateurs, selon le baromètre AT Internet publié ce lundi 28 février.
Pour la marque à la pomme, la progression la plus nette quant à l'utilisation de l'un de ses produits pour naviguer sur la toile est à mettre au crédit de la plateforme iOS, passant de 1,4% à 2,2% en une année. Cette plateforme est présente dans les iPhone, les iPod Touch et iPad. Fort logiquement, Windows 7 voit son taux progresser largement pour représenter désormais une visite sur quatre. XP reste toutefois la plus utilisée avec 45,7% des visites des internautes européens.
(...)(28/02/2011 14:38:40)iPad 2 : les dernières rumeurs avant le lancement
Chaque annonce de conférence par Apple s'accompagne de son lot de rumeurs et de spéculations, alimenté par les blogs et sites spécialisés. Celles de la semaine prochaine, concernent en toute logique l'iPad 2, deuxième génération de la tablette tactile d'Apple. Généralement bien informé, le site américain Engadget.com a dévoilé quelques caractéristiques de l'iPad 2, s'appuyant sur des sources confidentielles. L'ardoise serait plus fine que la première, sans que les capacités de sa batterie ne soient altérées, un premier capteur photo/vidéo ferait son apparition au dos de l'appareil, et un autre pour les appels FaceTime en WiFi serait intégrée à l'avant.
Pour la partie technique, la tablette de la firme de Cuppertino profiterait d'une plus grande quantité de mémoire vive, d'un micro-processeur plus performant (A5), et sans doute d'une capacité de stockage accrue. En revanche, il semblerait que le port de cartes SD, qui permettrait par exemple de transférer les clichés de son appareil photo sur la tablette, serait toujours absent, Apple ayant fait le choix de réduire les entrées physiques de sa machine au maximum. Il sera toujours possible de passer par un adaptateur pour le faire. Par ailleurs, la résolution de l'écran serait inchangée. Enfin, l'iPad 2 serait animé par la dernière version du système d'exploitation mobile d'Apple, iOS 4.3. L'iPad 2 serait commercialisée en avril aux Etats-Unis et en juin en Europe.
Un marché de plus en plus concurrentiel
Lancé au printemps 2010, l'iPad s'est écoulé à environ de 15 millions d'exemplaires dans le monde. A en croire les rapports des cabinets d'études, la tablette d'Apple a représenté 90% des ventes mondiales sur ce segment high-tech, situé à mi-chemin entre les smartphones et les ordinateurs portables. Le succès d'Apple a poussé les concurrents à lancer avec retard des modèles concurrents, la plupart fonctionnant sous le système d'exploitation mobile de Google. La Motorola Xoom, dotée d'Android 3.0 Honeycomb et pourvue des fonctionnalités absentes du premier iPad (appareil photo, enregistrement des vidéos en HD, etc.), a notamment reçu des critiques positives lors de sa présentation au CES de Las Vegas en début d'année. La presse américaine a également fait de la tablette HP TouchPad l'un des challengers les plus sérieux à l'iPad.
Java EE 7 : Objectif Cloud
« La version 7 va servir de base pour rendre Java EE pertinent pour le Cloud, » a déclaré Ajay Patel, vice-président de la gestion des produits chez Oracle, lors d'un webcast. Telle qu'elle avait été présentée lors de la conférence JavaOne qui s'est tenue à l'automne dernier à San Francisco, la modularité était l'un des objectifs de la version 7 de Java EE, une spécification entreprise de Java SE (Java Platform, Standard Edition) qui s'adresse aux architectes logiciels et aux développeurs d'applications. Celle-ci sert notamment à définir une plate-forme de référence - Java EE Reference Implementation - du nom de Glassfish. Selon un post publié sur le blog d'une équipe de développeurs Java d'Oracle, la mise à jour comprendra des ajouts significatifs pour construire des interfaces utilisateurs côté serveur dans JavaServer Faces, l'amélioration du développement Web tiers, de la persistance Java et de JAX-RS (API Java pour les services web RESTful).
Les demandes de spécifications relatives à Java EE 7 ont été approuvées par le Java Community Process (JCP) en janvier, dont la JSR 338, pour l'API 2.1 de persistance Java et la JSR 339, pour le JAX-RS 2.0. Destinée à être utilisée avec Java EE et Java SE, l'API Java Persistence (JPA) gère la façon dont les données relationnelles sont réparties en objets Java et la manière dont les objets sont stockés dans une base de données relationnelle pour un accès ultérieur. Des fonctionnalités comme le multi-tenant et l'ajout de métadonnées pour le mapping sont envisagées pour la version 2.1 de JPA. Le JAX-RS fournit pour sa part une API pour la création de services web en utilisant l'architecture REST. Parmi les principales caractéristiques de la nouvelle JSR, on compte la livraison d'une API client, un support amélioré pour les URI, et un pattern MVC (Modèle-Vue-Contrôleur) basé sur JSP et Scalate.
La version finale des deux JSR est prévue pour 2012. Les autres JSR afférentes à Java EE 7 seront présentées prochainement. Comme l'a indiqué Ajay Patel, « à côté de Java EE, on prévoit aussi pour cet été une version 2.0 de JavaFX, une plate-forme rich media basée sur Java, avec des nouveautés comme un moteur graphique haute performance et des capacités de langage dynamique. »
(...)(28/02/2011 12:00:30)Qui pour siéger au Conseil National du numérique ?
Les incompréhensions entre les acteurs de l'Internet et les pouvoirs publics étant nombreuses, Eric Besson a proposé la mise sur pied d'un Conseil national du numérique (CNN). C'est Pierre Kosciusko-Morizet, fondateur de PriceMinister, qui a été chargé de rédiger un rapport pour préparer le lancement du CNN.
Ce futur Conseil national du numérique doit permettre aux acteurs du secteur de mieux faire entendre leur voix (en particulier dans la préparation de textes qui règlent leur activité : avant-projets de loi, décret, règlements) et aux pouvoir publics de trouver des interlocuteurs représentatifs d'un secteur plutôt atomisé. C'est un véritable lieu d'échange et d'influence qui se profile. Tout le monde se souvient des incompréhensions et des heurts nés des lois Loppsi, Hadopi, ou des projets de taxation plus récents.
Le CNN devrait agir en amont pour éviter ces bugs. Pierre Kosciusko-Morizet préconise que ses membres soient élus (lui même ne souhaite pas y siéger) et puissent s'entourer de représentants des consommateurs, des acteurs proches (opérateurs, hébergeurs, e-commerçants etc...) avec un mandat de deux ans, renouvelable une seule fois.
http://www.economie.gouv.fr/services/rap11/110225rapCNN.pdf
Des offres de sécurité et de paiement en ligne chez Solutions 30
Solutions 30 a terminé son exercice 2010 avec un chiffre d'affaires de 54,6 millions d'euros (ME) en progression de 22% par rapport à l'exercice précédent (45 ME). 85% de ce chiffre d'affaires provient de l'activité initiale, le dépannage, l'assistance et la formation des utilisateurs de PC et d'accès Internet à domicile. Près de 15% provient de nouvelles activités. Elles sont quatre, deux lancées il y a un an, Energie 30 et TV 30, deux sur le point de l'être : Securi 30 et Money 30. Il y a une logique dans le développement de Solutions 30, c'est l'équipement numérique au foyer. L'an passé, constatant que 31% des foyers français passaient par l'adsl pour leur télévision, Solutions 30 lançait « TV 30 ». Une offre de dépannage complémentaire à celle des PC.
80 000 compteurs intelligents installés pour ERDF
Parallèlement, la société s'occupait des compteurs intelligents d'ERDF. Le marché potentiel s'élève à 35 millions de compteurs à changer d'ici 2018. Sur 2010, 260 000 compteurs étaient concernés, Solutions 30 en a géré 80 000. Une vraie mutation pour la société qui a du former et certifier plus d'une centaine de techniciens à la norme B2T pour opérer sur le réseau électrique. La domotique devient ainsi le nouveau terrain de chasse de Solutions 30. Maintenant, la société prépare deux nouvelles offres : Securi 30 et Money 30. Il s'agit de solutionner deux nouvelles problématiques au foyer : la sécurité des biens et des accès internet (et le contrôle biométrique), le paiement en ligne et sa sécurité. Les entreprises sont également concernées par l'offre de sécurité. Et Solutions 30 va opérer pour de grands donneurs d'ordre.
Par ailleurs, l'international prend une part de plus en plus importante dans l'activité. 12,8% en 2009, 15% en 2010. Solutions 30 est présent en France au Bénélux et en Italie. En Allemagne depuis l'an passé. Deux nouveaux marchés sont ciblés : le Royaume-Uni et l'Espagne. Sans doute par la croissance externe, en commençant par l'Espagne.
Le Cebit 2011 ouvre ses portes ce soir
En 2010, 4 150 exposants en provenance de 68 pays et plus de 330.000 visiteurs se sont rendus au Cebit d'Hanovre. A la grande époque, l'expo pouvait attirer jusqu'à 700 000 visiteurs, mais c'est du passé. Cependant, avec ses 450 000 m2 d'exposition, le Cebit reste l'un des événements clés dans le domaine des télécommunications numériques de l'IT et éclipse même le Computex, le CES et le Sitex de par sa superficie. En 2011, la foire se divisera en quatre parties: Cebit pro pour les professionnels, Cebit gov pour le secteur public, Cebit lab pour la recherche et Cebit life pour les dernières tendances en matière d'électronique grand public.
http://www.cebit.de/homepage
Illustration principale : Les allées du salon en 2010, crédit photo Deutsch Messe AG (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |