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(24/02/2011 09:56:40)
Le cluster Numelink va présider France IT
Armand Lulka, le directeur du cluster Numelink (anciennement Loire Numérique) devient président de France IT. Ce regroupement comprend six clusters : Numélink (département de la Loire), Franche Comté Interactive, RhôneAlley (département du Rhône), Rhénatic (Alsace), le PEBA (Pôle E-Business sud Aquitain Adour) et le SPN (réSeau des Professionnels du Numérique en Poitou-Charentes). Ils veulent créer un label « entreprise numérique responsable » et favoriser les échanges et les actions mutualisées entre les 600 entreprises membres de leurs clusters. (...)
(23/02/2011 16:44:45)Microsoft corrige en urgence sa mise à jour fatale à des mobiles Samsung
« Nous avons identifié un problème technique au sein du processus de mise à jour de Windows Phone 7 qui n'a impacté qu'un petit nombre de téléphones», a déclaré Microsoft dans un communiqué et d'ajouter « devant les inquiétudes, nous avons temporairement retiré cette procédure pour les téléphones Samsung, afin de corriger le problème et dès que possible la republier ». Celle-ci visait à préparer le processus de mise à jour globale. Elle ne comprenait pas les prochaines fonctionnalités promises par la firme de Redmond, telles que couper-coller, un outil de recherche amélioré sur le marketplace, la gestion du multitâche, etc.
Cette petite « erreur » intervient alors que Microsoft a conclu un accord avec Nokia pour équiper les prochains smartphones de la société finlandaise et que la concurrence avec les autres OS mobiles est rude. La crédibilité se joue aussi sur la fiabilité.
La version complète du SDK d'Android 3.0 est disponible
Google livre la version complète du kit de développement d'Android en version 3.0 qui propose une interface utilisateur tournée vers les tablettes tactiles et davantage d'options de connectivité. Les mises à jour des outils SDK et ADT (Android Development Tools) pour Eclipse (10,0.0) sont également disponibles. «Nous sommes heureux d'annoncer que le SDK complet pour Android 3.0 est maintenant disponible pour les développeurs, a déclaré Xavier Ducrohet, directeur technique d'Android SDK dans un billet de blog posté mardi après-midi. Les API sont finalisés et il est désormais possible de développer des applications sur cet OS et de les publier sur l'Android Market ».
Prise en charge de Media Picture Transfer Protocol et du Bluetooth
Également connu sous le nom « d'Honeycomb » Android 3.0 est spécialement conçu pour des terminaux plus grands, en particulier les tablettes tactiles. L'interface virtuelle et "holographique" a été adaptée pour être multitâche. Cette fonctionnalité donnera aux utilisateurs la possibilité d'accéder à une liste récentes d'applications via une barre des tâches. Les options de connectivité comprennent le support de Media Picture Transfer Protocol qui synchronise des fichiers avec un appareil photo connecté à un port USB ou un ordinateur de bureau sans avoir besoin d'un périphérique USB. Bluetooth est également pris en charge.
Le clavier virtuel a été redessiné. Les touches ont été remodelées et repositionnées pour une meilleure frappe. Certaines touches ont été ajoutées, dont une de tabulation pour fournir du texte plus riche selon Google. Des applications standards ont également été mises à jour pour fonctionner sur un grand écran. Outre son interface revisitée pour les applications sur tablettes tactiles, Android 3.0 tire parti de l'accélération graphique 2D et 3D, supporte une architecture à base de processeurs multicoeurs, dispose de capacités multimédia enrichies.
Un meilleur rendu des pages HTML
Les nouveautés concernent aussi les applications professionnelles et intègrent le support d'outils d'administration, comme le stockage crypté, l'expiration et l'historique du mot de passe. Avec le plugin ADT, les améliorations apportées à l'interface se résument à un rendu plus fidèle aux pages HTML, ainsi qu'à la fonction zoom plus efficace.
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La destruction de fichiers sur les disques SSD problématique
Les chercheurs ont notamment mis en évidence une série de problèmes quant il s'agit de détruire des données de manière sécurisée, que ce soit l'effacement d'un disque SSD dans son ensemble ou la suppression de fichiers individuels inscrits sur ce type de disque. En premier lieu, ils font état de problèmes liés à la façon dont certains firmware de disque mettent en oeuvre les commandes ATA/SCSI pour effectuer la fonction d'effacement. Ceux-ci ont constaté que, parmi les douze disques SSD analysés, seuls quatre d'entre eux avaient complétement effacé l'empreinte utilisée pour le test. Parmi les huit disques restant, quatre ne prenaient pas en charge la fonction d'effacement des données, trois d'entre eux étant des disques amovibles USB, et l'un, crypté, n'a pu être vérifié. Trois autres disques n'ont pas permis d'aboutir : deux à cause de bugs dans le firmware, et le troisième indiquait que les données avaient été correctement effacées alors qu'elles étaient intactes et encore accessibles sur le disque.
Les résultats obtenus pour l'effacement d'un seul fichier sur un disque SSD à partir d'une série de protocoles standards de destruction ont été encore plus mauvais. Ainsi, il s'est avéré que 4 à 75% des données restaient récupérables. Dans le genre, les clés USB font piètre figure, avec un taux d'accès aux données « effacées » de 0,57% à 84,9%. L'équipe a même essayé de démagnétiser les disques avec un matériel recommandé par la NSA, pour confirmer que cette technique ne fonctionnait pas sur les disques à mémoire flash.
Une erreur d'emplacement
Le coeur du problème est que, contrairement aux supports magnétiques, les disques SSD enregistrent les données dans des pages physiques, mais effacent les blocs logiques d'adresses (LBA). Ce processus, géré par une couche appelée Flash Translation Layer (FTL), trompe le driver du contrôleur ATA ou SCSI, qui confond entre l'endroit où se trouvent les données et celui où elles résident physiquement. Le disque compense en recopiant les données et c'est cette copie qui laisse des traces qui ne sont pas effacées. « Ces différences de comportement réel entre les disques durs magnétiques et les disques SSD présentent un risque dans la mesure où il ne se produit pas la même chose et que, dans un cas, la demande de l'utilisateur n'est pas satisfaite, » disent les chercheurs. « Le propriétaire d'un disque SSD qui applique une méthode de destruction de données propres aux disques durs pense, à tort, que ses données seront irrécupérables. En réalité, les données demeurent sur le disque et il est possible de les récupérer sans avoir recours à des outils très sophistiqués. » En d'autres termes, l'hypothèse selon laquelle les techniques de destruction de données actuelles peuvent s'appliquer de la même manière sur les disques SSD et sur les supports à mémoire flash en général est aussi erronée. Parfois, cela marche, parfois non. Cela dépend de la qualité de l'intégration et s'il s'agit ou non de fichiers uniques.
La difficulté de nettoyer de simples fichiers sur des disques SSD va alerter les administrateurs IT, parce que c'est pour eux une exigence quotidienne. Comment par exemple, être sûr de détruire des clés de chiffrement, des fichiers de tableur et autres documents importants sans altérer l'ensemble du disque. Les chercheurs suggèrent plusieurs techniques qui permettraient de modifier le Flash Translation Layer (FTL) du SSD pour répondre à ces besoins en sécurité.
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