Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 4861 à 4870.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/02/2011 15:21:00)

Trimestriels HP : Un marché grand public atone, une activité entreprise rayonnante

« Si vous utilisez Q1 comme un marqueur, il est clair que nous faisons beaucoup de choses bien chez HP. Il est également clair que nous avons isolé les zones que nous devons améliorer », a expliqué Leo Apotheker PDG d'HP aux journalistes lors d'une téléconférence. Le chiffre d'affaires s'établit à 32,30 milliards de dollars, en hausse de 4% par rapport à l'année précédente mais en dessous des 32,96 milliards de dollars attendus par les analystes. Le bénéfice du constructeur pour le trimestre terminé le 31 janvier a été de 1,36 dollars par action, en hausse de 27% sur un an, soit un peu plus que le 1,29 dollars par action estimé par les analystes financiers, cités par Thomson Reuters.

Les revenus de la division HP Services ont diminué de 2% sur un an à 8,6 milliards de dollars. Nous avons réalisé et signé des contrats sur le long terme, mais des contrats à court terme pour l'externalisation et des services d'application sont relativement rares, souligne Leo Apotheker pour expliquer cette baisse de croissance. Autre foyer de déception, la division des systèmes personnels qui a vu ses recettes diminuer de 1% sur un an à 10,4 milliards de dollars. Les ventes de PC d'entreprise ont augmenté de 11%, précise HP, mais la croissance a été contrebalancée par la faiblesse des ventes aux consommateurs, en particulier pour les netbooks. HP précise avoir eu également des problèmes de distribution en Chine, même si Leo Apotheker a déclaré s'être penché sur le problème.

Une activité Entreprise florissante


C'est vers l'activité matériels d'entreprise qu'il faut se tourner pour avoir de bons résultats. Ainsi, le chiffre d'affaires provenant des serveurs, du réseau et du stockage a progressé de 22% à 5,6 milliards de dollars. Et les revenus issus des imprimantes et des produits connexes ont augmenté de 7 % à 6,6 milliards de dollars. « Nous avons montré de bons résultats dans la plupart des activités de l'entreprise, mais nous avons aussi la possibilité d'améliorer la croissance dans certains domaines », précise Leo Apotheker. Des annonces qui n'ont pas convaincu les investisseurs, car l'action a chuté de 12% à la publication des résultats.

Malgré ces signes encourageants, HP a revu à la baisse ses prévisions pour l'ensemble de son exercice fiscal 2011. En estimant que le marché des PC restera atone, le constructeur évalue son chiffre d'affaires annuel à 130 milliards et 131,5 milliards de dollars, contre 132 milliards à 133,5 milliards de dollars auparavant.

Leo Apotheker doit le mois prochain dévoiler son plan pour l'entreprise lors d'une manifestation à San Francisco. L'ancien dirigeant de SAP est attendu sur un plus grand effort d'HP dans les logiciels d'entreprise, ainsi qu'au sein d'autres activités rentables telles que les réseaux et le stockage. Lors de la conférence téléphonique, il a indiqué qu'il décrira aussi la vision d'HP sur les tendances technologiques et il expliquera le maillage entre les produits et les services HP. Un accent sera particulièrement mis sur l'activité mobile. Plus tôt ce mois-ci, HP a annoncé une tablette PC et deux smartphones basés sur le logiciel webOS, acquis lors du rachat de Palm l'année dernière.

HP a également remanié son conseil d'administration en remplaçant quatre administrateurs qui ont participé à la décision d'évincer le PDG Mark Hurd l'an dernier. Parmi les membres récents se trouvent Patricia Russo, l'ancienne PDG d'Alcatel-Lucent et Meg Whitman d'EBay.

(...)

(23/02/2011 13:57:52)

Le cloud générera 90 000 emplois dans le secteur public britannique

L'adoption de services cloud dans le secteur public devrait conduire à la création de 90 000 emplois au Royaume-Uni, selon les dernières statistiques publiées par le Centre for Economics  and Business Research (CEBR).
Cela pourrait être une bonne nouvelle pour les employés de l'administration britannique. Ces derniers sont en effet sous la menace de suppressions de postes, en raison de la mise en application de la Comprehensive Spending Review, le plan de réévalution budgétaire présenté par le gouvernement. En outre,   ils pourraient ne pas être réemployés par le secteur privé. Dans la seconde partie de son rapport, qui examine les avantages économiques du cloud computing pour les entreprises et l'économie européenne, le CEBR a révélé que le plus grand nombre de nouveaux emplois serait créé dans la fonction publique en raison du faible niveau des salaires moyens qui restent inférieurs à ceux des autres secteurs. Selon nos confrères d'IDG News Service, ce document aurait été commandé par le spécialiste des solutions de stockage EMC. Focalisé sur le Royaume-Uni, le rapport donne une vision du potentiel du cloud sur l'emploi public.

16,6 Md£ de contributions économiques

Le rapport fait suite à aux récentes prévisions du cabinet Ovum, qui indiquait que l'informatique gouvernementale serait plus ouverte aux technologies cloud et à l'externalisation en 2011, alors que les ministères cherchent à accroître leur efficacité
La première partie indique ainsi que 289 000 postes devraient être créés entre 2010 à 2015 au Royaume-Uni, ce qui signifie que les emplois du secteur public représenteront 31% du total des fonctions liées au cloud. Ces calculs tiennent compte des réductions de dépenses du gouvernement britannique. Cependant, malgré la création de cette forte proportion d'emplois, le gouvernement, et notamment les secteurs de l'éducation et de la santé, ne devraient en retirer qu'un avantage économique estimé à 16,6 Md£, ce qui les classe au troisième rang derrière la distribution, le commerce de détail et l'hôtellerie (soit 34,3 Md£ de contributions économiques), et également la finance et les services aux entreprises (25,8 Md£ d'avantages économiques). Les secteurs du retail et de la banque devraient quant à eux, autoriser la création de 39 000 à 55 000 métiers relatifs au cloud.


65 000 emplois créés dans l'agriculture, l'énergie et les transports

En attendant, le CEBR prévoit que l'adoption du cloud au Royaume-Uni conduira à créer 65 000 emplois (ce qui représente une contribution économique de14,3 Md£)  dans d'autres secteurs, à savoir l'agriculture, l'énergie et les transports, et également 40 000 postes (soit 9,7 Md£ de contributions) dans l'industrie.
En dehors de l'Allemagne, où le secteur des services financiers est le plus important, les dernières tendances adoptées par le Royaume-Uni sont en ligne avec celles pratiquées dans l'ensemble de la zone EMEA (en France, en Italie et en Espagne), où l'on prévoit que les secteurs de la distribution, du retail et de l'hôtellerie tireront l'économie européenne, avec  entre 233,4 à 196,8 Md£ générés d'ici à 2015.
La seconde partie du rapport sur les dividendes du cloud va plus loin que les conclusions du document initial, en indiquant que l'adoption du cloud pourrait apporter à l'Etat une part contributive de 100,7 Md£ entre 2010 et 2015 aux efforts de dépenses . Ceci inclut  un cumul net total d'économies de 22,4 Md£ intégrant des réductions de coûts sur l IT et ses activités opérationnelles (travail, énergie et refroidissement). La part restante des contributions économiques étant réalisée par les possibilités de développement des entreprises (25,2 Md£),  la création d'entreprises (17,1 Md£) et d'autres avantages indirects.

Illustration : L'University College de Londres. Crédit photo : D.R
(...)

(23/02/2011 12:43:19)

Les Français veulent la TV connectée mais gratuitement

Annoncée comme une nouvelle révolution, la TV connectée devrait représenter 70% des ventes de téléviseurs d'ici 2013/2014. Les Français s'avèrent encore peu au fait de la télévision connectée dont les ventes représentent pourtant un quart des ventes de téléviseurs à l'heure actuelle, selon GfK. Seuls 37% des sondés savent que la TV connectée dispose d'un accès à Internet.

Rattraper un programme s'impose comme le service le plus plébiscité par les personnes interrogés (70%), devant l'accès aux programmes TV (64%) et aux fichiers stockés dans l'ordinateur ou les ordinateurs familiaux (57%). L'accès aux informations météorologiques et de trafic sont aussi appréciés (56%), à l'instar des fiches de résumés sur les programmes (56,6%). Les Français entendent toutefois profiter gratuitement de ces services pour une grande majorité (74%). Seuls 13% d'entre eux estiment que payer 10 euros par mois, en plus de l'accès web, serait un bon compromis.

GroupM a réalisé son étude du 21 au 25 octobre 2010 et du 21 au 25 janvier derniers auprès de 604 internautes âgés de 16 à 65 ans redressé sur la population français du même âge en terme de sexe, âge, CSP et région UDA5.

(...)

(23/02/2011 11:03:25)

L'utilisation du mobile a un impact physiologique sur le cerveau

Les scientifiques ont observé le cerveau de 47 personnes téléphone portable juché à l'oreille, éteint ou non. L'étude a révélé une poussée du métabolisme du glucose (+7%) dans les régions du cortex orbito-frontal et du pôle temporal en cas d'utilisation prolongée.

La démonstration des chercheurs pointe du doigt une augmentation de l'activité cérébrale en cas de contacts prolongés aux ondes magnétiques émises par les téléphones portables. Ils ont en revanche été incapables d'en percevoir d'éventuelles conséquences néfastes sur le cerveau à long terme, peur souvent associée à l'utilisation de portables. D'autres recherches seront nécessaires, préviennent-ils. En matière de prévention, la communauté scientifique et les autorités sanitaires appellent à privilégier l'utilisation d'oreillettes plutôt que de plaquer son terminal sur l'oreille.

(...)

(23/02/2011 10:10:54)

Le smartphone, achat le plus populaire

Selon le Gartner, qui a interrogé 1557 consommateurs dans plusieurs pays développés (Japon, États-Unis, Chine, Inde, Italie et Royaume-Uni), les consommateurs préfèrent acheter un smartphone plutôt que tout autre terminal : PC, téléphone mobile, e-reader, tablette, jeu.

Les smartphones devraient, par exemple,  passer de 67 à 95 millions d'unités vendues entre 2010 et 2011. Par comparaison, les PC portables devraient baisser, de 50,9 millions d'unités vendues en 2010 à 45,6 en 2011. Derrière les smartphones, on trouve dans les six pays observés, les PC portables, puis les PC de bureau, quatrième : les téléphones mobiles. Ensuite, viennent : les e-books et les tablettes.

Les smartphones ont bénéficié en 2010 de subventions agressives des opérateurs pour être adoptés et de l'attractivité de plusieurs applications : la navigation web, e-mail, Twitter, Facebook, GPS et les jeux. En 2011, les opérateurs vont offrir des politiques de retour généreuses pour capter les nouveaux utilisateurs moins familiers de ce type d'appareils. (...)

(23/02/2011 09:51:22)

Annuels Sopra : De bons résultats mais prudence pour 2011

La croissance organique de Sopra Group se monte à 6,2% sur l'exercice 2010, avec un chiffre d'affaires de 1, 169 milliard d'euros. La rentabilité est également très satisfaisante. Le résultat opérationnel courant se monte à 116,6 millions d'euros (10% de marge), le résultat opérationnel s'élève à 109,3 millions d'euros (9,3% de marge), le résultat net est de 74,8 millions d'euros (marge nette de 6,4%). 

Tous ces chiffres sont largement au-dessus des attentes des analystes financiers. Toutefois, la SSII reste très prudente sur 2011 indiquant simplement s'attendre à une croissance organique et une légère amélioration de sa marge opérationnelle. 

Sopra Group donne quelques précisions sur ses activités. La partie Conseil et intégration de systèmes et solutions, CISS, progresse à 961,5 ME en 2010, contre 912,1 en 2009. Soit + 5,1% en croissance organique. La France progresse de 6% en organique à 786,1 ME, l'Europe ne progressant que de 1,2%.  La partie Axway affiche un CA de 208,4 ME en hausse de 11,8%. Axway devrait être introduit en bourse après un vote des actionnaires intervenant au 2ème trimestre.

(...)

(23/02/2011 09:43:46)

Gartner : le marché de la BI a un bel avenir devant lui

Le marché mondial de la BI reste durablement sur une tendance positive. Toutefois, note le Gartner, après la frénésie de consolidation de 2007 et 2008, l'année 2010 a été frustrante. Les entreprises ont continué à rénover et agrandir leurs investissements en BI mais elles sont « tiraillées » entre deux tendances : la facilité d'utilisation et la flexibilité de la BI d'une part, et les besoins de normes et de contrôle qu'elle réclame de l'autre.

Pour 2011, le Gartner prévoit  une croissance de 9,7%, pour atteindre un revenu de 10,8 milliards de dollars. Cette prévision est d'autant plus intéressante que le marché du logiciel dans son ensemble ne présente pas des perspectives aussi brillantes. La BI est donc un îlot de prospérité. «Les entreprises continuent de se tourner vers la BI, qui est vue comme un outil essentiel, leur donnant agilité et efficacité », relève Ian Bertram, directeur chez Gartner. La BI est d'ailleurs classée au cinquième rang des priorités des DSI pour 2011, selon une autre enquête du Gartner.

Le cabinet a identifié trois principaux facteurs, qui continuent de stimuler la croissance de la BI, du côté des clients :

1) La « consumérisation » de la BI

Un outil de BI doit être simple, mobile et même « fun » de manière à étendre son utilisation et sa valeur. Les utilisateurs professionnels ont en effet la même exigence  pour leurs outils de BI que pour leurs outils personnels. Ils les veulent plus intuitifs, plus interactifs et souhaitent  que les  applications s'étendent aux utilisateurs en déplacement. La grande majorité des entreprises n'en sont toutefois pas encore à embrasser la BI mobile. C'est est en train de changer très vite avec la « prolifération » de l'iPhone et des tablettes.

2) L'appui aux performances sur les données extrêmes

L'intérêt de la BI est de permettre l'analyse de données volumineuses, volatiles et diversifiées. Cette capacité d'analyse peut s'ouvrir à une large gamme de nouvelles applications. Cela comprend la technologie de mémoire, l'analyse sociale et celle des contenus. La combinaison de ces capacités avec le support des volumes de données extrêmes sera un autre moteur de la croissance.

3) La BI comme plateforme de décision

Les enquêtes menées auprès des utilisateurs par le Gartner montrent que les achats de BI sont guidés par la volonté de prendre de meilleures décisions. La BI va donc évoluer, passer d'un système de diffusion de l'information à une plate-forme de décision qui permettra d'augmenter la valeur de la BI et d'alimenter sa croissance.

(...)

(23/02/2011 11:18:25)

Avec Liberty, Coheris réconcilie les métiers et la IT autour de la BI

Pour présenter la solution décisionnelle Coheris Liberty, tout juste annoncée, Tom Pertsekos, directeur marketing et stratégie produits de Coheris, expose en préambule ce qui a motivé l'évolution de l'offre. Il rappelle que la BI classique n'a pas été un franc succès à l'échelle de l'utilisateur. « Le taux d'adoption reste bas, constate-t-il. Le problème de fond, c'est généralement la relation entre l'informatique et les utilisateurs métiers. L'IT attend des spécifications détaillées et raisonne en termes de ressources, tandis que de l'autre côté, les utilisateurs veulent pouvoir expérimenter différents scénarios ». Certains outils ont apporté un premier niveau de réponse en permettant de travailler sur des extraits de base, mais cela pose le problème de la validité des données et de leur fraîcheur. « L'informatique n'aime pas trop cela, mais elle n'a rien à proposer d'autre. Ce genre de constatations nous a amené à repenser notre offre », poursuit Tom Pertsekos.

Le directeur de la stratégie produits nous remémore les trois profils d'utilisateurs de la BI. D'abord, le consommateur de rapports et de tableaux de bord. Passif, même s'il navigue dans les données, il n'a pas de compétences informatiques particulières. Ensuite, les analystes métiers qui peuvent être des managers commerciaux, marketing ou RH. « Il ont par définition le besoin d'expliquer l'évolution de leurs activités, leurs résultats. Ce ne sont pas des techniciens, mais ils ont besoin d'outils visuels rapides. » Enfin, le troisième profil est l'utilisateur avancé. « C'est un profil mixte qui comprend à la fois le métier et les modèles de données, qui sait construire un rapport, créer un dictionnaire métier, etc. », définit Tom Pertsekos. Ce sont souvent des contrôleurs de gestion, mais ils peuvent venir d'autres horizons, de l'administration des ventes par exemple. Ce sont parfois des transfuges de l'informatique. « Notre offre BI doit répondre à ces différentes catégories ».

Impliquer les utilisateurs puis passer le témoin à la IT

Coheris Liberty se compose de plusieurs logiciels. Liberty Insight s'adresse aux analystes, aux responsables métiers. Il doit leur permettre de faire de l'analyse rapide. Liberty Studio vise l'utilisateur avancé qui peut être amené à créer des rapports, sans être un informaticien. Ces deux outils seront mis entre les mains de ceux qui produisent indicateurs, tableaux de bord et rapports mis à la disposition des « consommateurs d'information » qui représentent 80 à 90% des utilisateurs de la BI et auxquels il faut donner des applications packagées. Ce mode de fonctionnement qui peut conduire à tirer un trait sur les hommes de la IT a pourtant des inconvénients, pointe Tom Pertsekos. Outre les problèmes de sécurité et le risque de voir se multiplier les données, il reste que l'expertise métier demeure liée à une ou plusieurs personnes et lorsqu'elles ne sont plus là, tout est perdu.

« L'idée essentielle dans l'offre Liberty, c'est qu'il y a dans les entreprises des utilisateurs actifs qui savent ce qui est nécessaire pour eux et pour leurs collègues et qui produisent les bons indicateurs. Ce qu'ils font va pouvoir être récupéré par les équipes informatiques qui vont l'industrialiser et assembler les composants réalisés avec Insight et Studio afin de construire des applications analytiques que la IT va ensuite déployer. » Une démarche qui permet à l'informatique de se réapproprier les outils, sans contraindre l'utilisateur à rédiger un cahier des charges, « ce qu'il ne fera jamais ». Il y a plusieurs avantages à la clé, souligne Tom Pertsekos. En premier lieu, « l'application répond aux besoins et elle n'est pas rejetée car c'est l'utilisateur qui l'a faite. Ensuite, elle apporte toute la sécurité nécessaire, la solidité, la fiabilité, des performances optimisées et ces garanties-là ne sont pas négligeables. »

Offre décisionnelle Coheris Liberty
Capture d'écran de Liberty Insight (cliquer ici pour agrandir l'image)

Enfin, c'est avec la troisième partie de l'offre, Liberty Enterprise, que le département informatique pourra construire des applications à déployer ensuite à l'échelle de l'entreprise. « La IT programme, définit des traitements, des contrôles, des enchaînements, la logique organisationnelle, etc. Elle assemble les différents composants analytiques ou construit une nouvelle application par assemblage. » Cette dernière peut ensuite s'installer sur un serveur web spécialisé et s'interfacer avec les annuaires d'entreprise LDAP, avec mise en place de droits d'utilisateur.
Les composants BI réalisés peuvent également être intégrés dans des applications transactionnelles, ou bien être présentés via des interfaces standards de type web services ou portlets. « Nous travaillons aussi sur les mash-up, même si ces technologies ne sont pas encore standardisées ».

Le problème principal n'est pas technique mais relationnel

L'objectif de Coheris, c'est bien de dépasser la première étape, constituée des logiciels Insight et Studio. « Ce dont les utilisateurs ont le plus besoin, c'est de reboucler sur Liberty Enterprise », considère Tom Pertsekos qui tient à souligner l'approche « agile » qui sous-tend l'offre Coheris Liberty « On implique l'utilisateur dès le départ et il peut corriger à chaque étape. On n'est pas loin d'une démarche agile de développement, mais il faut que les deux parties [utilisateurs d'un côté, IT de l'autre] acceptent de jouer le jeu. Le problème principal n'est pas technique, mais relationnel », rappelle-t-il encore.

Sur le marché français du décisionnel, Coheris dit entrer en concurrence avec les acteurs traditionnels du secteur. Son offre comprend également le logiciel Spad conçu pour les applications de datamining et d'analyse prédictive. L'activité principale de l'éditeur reste la gestion de la relation client où 20% de son activité se fait à l'international, la société équipant les filiales de certains de ses gros clients.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >