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(22/02/2011 17:28:08)
Un anti-laser au secours des ordinateurs optiques
Bien que les scientifiques connaissent depuis longtemps différentes manières pour absorber la lumière, les résultats de la recherche des universitaires de Yale sont uniques car les chercheurs affirment pouvoir capter la lumière sur une longueur d'onde particulière. « Après quelques recherches, nous avons constaté que plusieurs physiciens faisaient allusion à cette notion dans les livres et les articles scientifiques, mais que personne n'avait jamais développé concrètement l'idée », a déclaré le physicien A. Douglas Stone, qui co-dirige avec Hui Cao le groupe de chercheur à l'université de Yale. Un résumé de leur travail apparaît dans la revue Science du 18 février. Le laser (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) génère de la lumière cohérente, c'est-à-dire un flux de photons lumineux qui ont tous la même fréquence, amplitude et forme d'onde.
Les chercheurs ont alors élaboré ce qu'ils appellent un absorbeur parfaitement cohérent (CPA), une plaquette de silicium qui piège et dissipe une lumière cohérente entrante de avec une longueur d'onde prédéfinie. En d'autres termes, un laser produit une lumière cohérente, le CPA absorbe la lumière cohérente. L'énergie de la lumière est alors dissipée en chaleur qui peut produire de l'énergie électrique. Un tel anti-laser pourrait aider à résoudre l'un des plus grands défis dans la construction d'un ordinateur optique, à savoir la gestion et la manipulation de la lumière utilisée pour coder les informations.
Des travaux inscrits dans la durée
Par exemple, un CPA pourrait être utilisée dans un commutateur optique et absorber la lumière d'une longueur d'onde particulière tout en laissant passer la lumière d'autres longueurs d'onde. Il pourrait également détecter la lumière entrante et servir de guide pour diriger des faisceaux de lumière vers certaines destinations. Cela pourrait conduire à des commutateurs optiques qui remplaceront les transistors dans les futurs PC. Les ordinateurs optiques devraient être beaucoup plus puissants que ceux d'aujourd'hui avec la réduction de la taille des composants.
Comme pour tout prototype, le CPA a des limites, que les chercheurs estiment pouvoir surmonter avec plus de travail. L'actuel anti-laser absorbe 99,4% de toute la lumière qu'il reçoit, mais les scientifiques aimeraient obtenir ce chiffre de 99,999 %. La taille de la plaquette de silicium est de un centimètre de largeur, qui pourrait être réduite à un élément d'à peu près 6 microns.
Regain d'optimisme pour les dirigeants internationaux de l'IT
Les dirigeants d'entreprises sont plutôt confiants sur les perspectives du secteur mondial des NTIC d'ici les 12 prochains mois. C'est ce que révèle la dernière enquête annuelle sur le niveau de confiance du marché réalisée par le réseau international d'agences de communication Eurocom Worldwide en partenariat avec l'agence française Hardcom. L'étude a sondé l'état d'esprit de 664 PDG opérant dans le domaine IT à travers le monde, et notamment en France. Les résultats indiquent que 61% d'entre eux sont plus confiants aujourd'hui qu'il y a un an sur les perspectives du marché. L'étude laisse donc apparaître un retournement majeur de l'état de confiance des acteurs de l'IT depuis ces deux dernières années. En effet, début 2009, à peine 13% des dirigeants interrogés se déclaraient plus rassurés et près de la moitié moins confiants à propos des 12 mois suivants. Cette année, seules 8% des personnes consultées sont moins sereines sur les perspectives de 2011.
Une sortie de crise pour deux tiers des sondés
Cet optimisme devrait vraisemblablement se traduire par des créations d'emplois. En effet, 57% des responsables d'entreprises interrogés prévoient une augmentation des offres au sein de leur groupe, alors que 9% s'attendent à des réductions de postes et 34% à un maintien du niveau d'emploi actuel. Deux tiers des personnes consultées (66%) pensent que l'économie mondiale est en train de sortir de la crise et un peu plus de la moitié (58%), que leur pays est sorti de la récession. Cependant, elles sont une part importante (37%) à estimer que leur pays est encore en récession.
Crédit photo: D.R
(...)
Plainte supplémentaire contre Google au niveau européen
Toutefois, la Commission européenne a annoncé qu'elle donnerait à Google le temps de réagir avant de décider de poursuivre. La firme de Mountain View fait déjà l'objet d'une enquête antitrust lancée par l'Union européenne, après trois plaintes l'accusant de rétrograder les sites concurrents dans les résultats de recherche et de donner la préférence à ses propres services. Le dernier plaignant, 1PlusV, est la société mère de l'un des plaignants initiaux, le moteur de recherche français eJustice.fr. Les éléments de cette plainte supplémentaire sont très similaires à celle déposée l'année dernière. 1plusV indique que Google a supprimé les pages Ejustice.fr sur son moteur de recherche entre 2007 et 2009. Toutefois, elle prétend qu'elle a des preuves d'une série de nouveaux abus, ainsi qu'une preuve supplémentaire sur l'infraction déjà mise en évidence en 2010.
Cette plainte intervient quelques jours après que les concurrents de Google devaient retourner les questionnaires relatifs à l'enquête initiale. La Commission a envoyé des questionnaires aux annonceurs, éditeurs, propriétaires de sites web et moteurs de recherche rivaux en décembre 2010, pour demander leur avis sur les pratiques commerciales de Google. Les réponses devaient être envoyées au plus tard le 11 février dernier. Le formulaire contenait près de 100 questions pour déterminer si l'algorithme de Google pénalisait injustement les concurrents. Une des questions demandait : « Votre entreprise a-t-elle remarqué des changements soudains et importants dans son classement sur les moteurs de recherche tels que Bing, Google ou Yahoo. Avez-vous remarqué des baisses soudaines du nombre d'utilisateurs redirigés vers vos services par Google qui ne peuvent pas être expliquées par des changements sur votre site web ? »
Eviter une longue procédure
Avec une telle quantité d'informations à décortiquer, la Commission devrait prendre plusieurs mois avant de donner ses conclusions. Et elle rappelle qu'une enquête déterminera aussi si les règles de concurrence ont été enfreintes. Google dialogue avec l'Exécutif bruxellois pour que le règlement de cette enquête soit rapide. En effet, pour Microsoft, cela a pris plus de 10 ans et le PDG de Google Eric Schmidt a récemment déclaré que la société n'a pas les reins assez solides pour une longue bataille juridique. « Nous continuons à travailler en collaboration avec la Commission européenne, en expliquant de nombreux aspects de notre entreprise. Nous croyons qu'il y a toujours place à l'amélioration, de sorte que nous nous employons à répondre aux préoccupations potentielles », a déclaré le porte-parole de Google Al Verney, à propose de la nouvelle plainte.
(...)
Salvatore Ferragamo choisit SAP pour harmoniser son développement mondial
Le Florentin Salvatore Ferragamo, un fabricant de produits de luxe italien comptant 2 600 employés et plus de 550 boutiques dans le monde, a été victime de son succès, particulièrement en Asie-Pacifique. Dans cette région, sa croissance à deux chiffres sur plusieurs trimestres consécutifs a dévoilé les limites d'une informatique principalement locale, qui ne pouvait faire face à la dynamique du marché de la haute couture. C'est ce qui a conduit la maison de luxe fondée en 1927 à s'équiper de solutions SAP, à savoir SAP for Retail, SAP Netweaver Process Integration et SAP Netweaver Business Warehouse. « Les systèmes d'information existants n'étaient pas en mesure de supporter cette rapide progression », a exposé Walter Carmagnini, DSI de Salvatore Ferragamo, lors d'une présentation du projet.
Créer des processus de gestion normalisés
En effet, les ventes réalisées en Asie-Pacfique représentent désormais plus de 50% du chiffre d'affaires annuel du fabricant. Une dizaine de nouvelles boutiques ont récemment été ouvertes en Chine, pays qui regroupe actuellement 45 magasins. Pour le président directeur général de Salvatore Ferragamo, Michele Norsa, la Chine risque de devenir prochainement le premier marché. « En 2010, la Chine n'était pas très loin des Etats-Unis, a t-il rappelé. Et même si le pays n'occupe pour l'instant que le second rang, il nous semble évident que sa croissance devrait avoisiner les 30%. » Le couturier a donc considéré qu'il lui fallait créer des processus de gestion normalisés pour gérer ces nouveaux établissements et les mettre en conformité avec son développement au niveau mondial. Sans la capacité d'accéder aux données précises, une incohérence imprévue dans la chaîne d'approvisionnement pourrait entraîner une rupture de stock sur un produit qui se vend bien. En harmonisant ses processus métiers globaux sur une plate-forme informatique intégrée SAP, Salvatore Ferragamo obtiendra des données cohérentes sur l'ensemble des systèmes d'informations dans les différents pays, du fournisseur jusqu'au consommateur.
Des solutions pour gagner en visibilité
Ainsi, le spécialiste italien des produits de luxe sera en mesure de prendre des décisions commerciales sur la base d'informations les plus récentes et les plus précises : le bon produit sera disponible au bon moment via de multiples canaux, là où le besoin est le plus grand. Le nouveau système permettra à la société de gagner en visibilité sur ses opérations pour mieux connaître ses clients et son activité. Les solutions SAP implémentées devraient permettre à Salvatore Ferragamo d'accroître son efficacité opérationnelle, de maximiser ses profits et d'anticiper les opportunités à venir au travers de plusieurs applications. SAP for Retail, une solution à destination du secteur de la distribution apportera un contrôle centralisé de la gestion des stocks et de la distribution. SAP Netweaver Process Integration permet la jonction entre les anciens systèmes informatiques et les nouvelles solutions SAP. Enfin, NetWeaver Business Warehouse offre des fonctionnalités en vue de créer d'importantes bases de données à analyser.

De gauche à droite : Ferrucio Ferragamo, président de Salvatore Ferragamo, et Walter Carmagnini, DSI de la société, lors de la présentation du projet SAP. (...)(22/02/2011 15:07:46)
SAP se renforce dans le Retail en nouant des partenariats
Les leaders de la distribution de détail (Retail) doivent relever d'importants défis pour réduire le coût de leur chaîne d'approvisionnement, alors même que leur modèle économique change, en particulier la façon dont ils s'adressent aux clients. Ils doivent gérer leur croissance tout en s'adaptant aux contraintes sans cesse changeantes (saisonnalité, produits assortis, emballages, fournisseurs, réglementation...). Le modèle économique du Retail est, de plus, en pleine transition à un moment où le commerce électronique et les achats via les mobiles imposent de nouvelles priorités et de nouvelles pratiques.
En 2010, le commerce électronique a montré clairement qu'il constituait un canal en forte croissance pour les retailers. Il est donc temps de repenser et de reconcevoir les réseaux de livraison à un niveau global. Confronté à ces différentes problématiques, le fabricant de produits de luxe italien Salvatore Ferragamo a choisi de s'équiper de la solution SAP for Retail (voir encadré). « Avec l'avènement d'Internet et des applications mobiles, les comportements des consommateurs ont changé, a récemment souligné Stefan Gruler (en photo), responsable de l'activité Trading Industries chez SAP au niveau mondial. 40% des clients achètent leurs produits en ligne, depuis leur PC ou leur téléphone portable, surtout en Asie où, dans des villes comme Singapour, la majorité de la population est équipée de terminaux mobiles. Nous devons être en phase avec cette révolution mobile ».
Trois axes pour répondre aux exigences du marché
La vente au détail est considérée comme une industrie stratégique pour SAP qui entend capter une part du gâteau sur un marché estimé à 2 milliards de dollars annuels en termes de ventes de licences. Sa stratégie est donc en ligne avec les exigences d'un marché où il est déjà très présent (4 800 retailers utilisent les logiciels SAP dans le monde, selon l'éditeur). Il définit notamment trois axes liés pour y parvenir : être capable de mettre en place une chaîne d'approvisionnement tirée par la demande, pouvoir contacter le client sur son mobile et lui faire des offres personnalisées grâce à l'analyse des données déjà recueillies. Il développe des applications mobiles et des solutions analytiques permettant de réagir aux comportements des clients, si besoin en temps réel. Ce positionnement tire profit de rachats d'acteurs comme Business Objects pour les outils décisionnels et Sybase pour la technologie mobile.
Travailler à l'avenir sur les services cloud
Stefan Gruler a aussi rappelé que, selon Goldman Sachs, les achats effectués sur Internet et via les applications mobiles surpasseraient ceux réalisés dans les boutiques traditionnelles d'ici les cinq prochaines années. IDC, de son côté, note que les consommateurs multi-canaux dépensent, en moyenne, entre 15 à 30% de plus avec un vendeur que ceux qui utilisent un seul canal. « SAP recherche activement des retailers pour en faire des co-partenaires innovants avec lesquels l'entreprise développera des offres en travaillant sur des scénarios spécifiques », a ajouté Stefan Gruler.
Sur ce terrain, SAP travaille en particulier avec le groupe de commerce alimentaire Casino sur un projet de système de consommation mobile utilisant le marketing one-to-one, des offres spéciales personnalisées et la suggestion des listes de courses réalisées d'après les habitudes de consommation du client. En plus des projets de e-commerce et les applications mobiles, comme celui mis à l'essai avec Casino, SAP est également bien positionné pour basculer, dans l'avenir, vers des services cloud. Le cloud computing n'est certes pas un modèle vers lequel les détaillants traditionnels se précipitent, a estimé Stefan Gruler, mais nous sommes convaincus qu'il sera utilisé plus largement dans d'autres pays qui souhaiteraient rattraper la région Asie-Pacifique où il existe déjà des avancées concrètes, en particulier en Chine et au Japon où certains détaillants utilisent des ERP en mode cloud.
Illustration : Stefan Gruler, responsable de l'activité Trading Industries chez SAP au niveau mondial (crédit : photo)
En savoir plus :
- sur le projet mené avec Casino - Interview de Franck Cohen, président de SAP EMEA
L'Etat crée une DSI interministérielle
Le Journal Officiel du 22 février 2011 a publié un décret créant une direction interministérielle des systèmes d'information et de communication de l'Etat (DISIC). En tant qu'entité interministérielle, elle est rattachée au secrétariat général du gouvernement. Son objet est d'assurer la cohérence des travaux des différentes DSI des diverses administrations et établissements publics d'Etat ainsi que de mettre en oeuvre, le cas échéant, des mutualisations qui pourraient être ouvertes aux collectivités locales. La DISIC aura aussi un rôle de représentation de l'Etat dans les organisations internationales, notamment pour les travaux de normalisation. La création de réseaux ou de centres de calculs mutualisés (pour créer une « informatique en nuage » inter-administrative par exemple) relèvera de sa compétence. L'article 9 du décret créé un conseil des systèmes d'information et de communication où sont représentés les principaux ministères (dont le Budget et la Défense) ainsi que la DGME.
La DGME privée de son rôle informatique
La DGME avait été créée par fusion d'une série d'offices publics, notamment l'ADAE (Agence pour le Développement de l'Administration Electronique). Le décret créant la DISIC retire à la DGME toutes ses attributions informatiques. Mais la nouvelle DISIC aura un rôle bien plus important que l'ancienne ADAE puisqu'elle couvre l'ensemble des systèmes d'informations et pas seulement l'administration électronique. La DGME perd également son rôle d'appui à l'ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information) en matière de certification des solutions de signature électronique.
On peut ainsi comparer le trio DGME-DISIC-ANSSI à ce qui serait, dans une entreprise, une direction de l'organisation et de la qualité, une direction des systèmes d'information et une direction de la sécurité, le tout au niveau « groupe ». Chaque administration et chaque collectivité restent malgré tout très autonomes.
Le portail unique des données publiques
La DISIC n'est cependant pas pour l'instant en charge de la création du portail unique interministériel des données publiques. Créée par un décret du même jour que celui instituant la DISIC, la mission Etalab en sera en charge. Elle est également rattachée au secrétaire général du Gouvernement. Le but de la mission Etalab est de faciliter la réutilisation la plus large possible des informations publiques des administrations et collectivités.
Notons cependant que l'indépendance de gestion des collectivités locales et territoriales est préservée par les décrets instituant aussi bien l'Etalab que la DISIC : leur participation à l'oeuvre commune se fait sur la base du volontariat.
Google livre sa technologie Native Client aux développeurs
Google a décidé de mettre ce récent SDK dans les mains des développeurs afin qu'ils commencent à créer des applications Native Client. L'idée est d'introduire la technologie dans le navigateur Google Chrome, sans laquelle les applications restent inaccessibles aux utilisateurs. Google n'a pas donné d'estimation quant à la date à laquelle Native Client serait pris en charge par Chrome. « Notre objectif est de faire en sorte que cette technologie soit aussi portable et sûre que le JavaScript. En livrant aujourd'hui une première version remaniée du SDK Native Client, nous avons franchi une étape importante,» a déclaré dans un blog Christian Stefansen, membre de l'équipe Native Client de Google.
Les développeurs peuvent visualiser les API, consulter la documentation et avoir accès à des exemples pour écrire des modules en C ou C + + capables de communiquer avec du code JavaScript qui s'exécute dans un navigateur web. Le SDK améliore la sécurité, supprimant les restrictions d'hébergements locaux (local host) des versions précédentes. « Au-delà de la sécurité, nous avons également amélioré le mécanisme de récupération des modules Native Client sur la base du jeu d'instructions de la machine cible, afin que les développeurs ne soient plus préoccupés par cette question, » a déclaré le responsable de Google. Le kit de développement supporte également un ensemble d'interfaces nommées « Pepper, » qui ajoutent des fonctionnalités de calcul, audio, et 2D aux modules Native Client. Pepper permet aussi un meilleur accès aux plug-ins des systèmes de navigation.
Une sécurité renforcée par un code de validation
Le problème avec les applications natives, et avec les plug-ins, c'est le fait qu'ils accèdent à la totalité de la machine, et donc à tous les fichiers qu'elle contient. En conséquence, les utilisateurs doivent décider à quelles applications ils acceptent de faire confiance. Native Client de Google permet de déterminer un code pour les modules et de limiter l'accès à l'ordinateur d'un utilisateur. Notamment, NaCl offre des fonctionnalités de validation, de manière à empêcher l'exécution d'un module non valide. L'an dernier, Google avait livré un aperçu de son SDK. Dans les prochains mois, la firme de Mountain View prévoit d'ajouter des API pour la gestion graphique en 3D, le stockage de fichiers en local et le réseau peer-to-peer. Une ABI (Application Binary Interface) est également prévue. «Tant que l'ABI n'est pas stable, Native Client restera désactivée par défaut, » a déclaré Christian Stefansen. « Cependant, étant donné les progrès que nous avons fait, il est possible maintenant d'activer Native Client dans Chrome 10 via le menu « A propos des drapeaux. » Sinon, on peut continuer à utiliser la ligne de commande « flag » pour activer Native Client à la demande. »
Google a positionné Native Client comme une technologie destinée à permettre aux développeurs de profiter de la puissance du processeur du client et de créer des applications web plus riches et plus dynamiques, tout en préservant la neutralité de son navigateur, en s'assurant de la portabilité des OS et en améliorant la sécurité des applications. NaCl a été initialement construit pour être compatible avec des systèmes x86 en 32 et 64-bits tournant sous Windows, Mac OS ou Linux.
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