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(15/02/2011 10:53:30)
Smart Technologies entre dans l'entreprise avec ses tableaux interactifs
C'est un demi-virage pour Smart Technologies. La société compte depuis toujours deux marchés cibles : l'éducation et l'entreprise. En France, elle avait surtout développé le premier depuis son arrivée, en 2008. Elle s'attaque maintenant au deuxième. Avec les mêmes produits ou presque. Smart se présente avec des tableaux interactifs et des logiciels associés, mais les produits entreprises sont différents de ceux vendus dans l'éducation, avec des gammes plus adaptées en termes fonctionnels.
« En fait, nous allons développer avec nos produits quatre arguments pour le marché entreprise », nous explique Richard Ramos, directeur général de la filiale française depuis septembre 2010 (il fut précédemment directeur de la BU Education et recherche chez Apple). Il énumère le collaboratif (avec les logiciels Meeting Pro et Smart Bridgit), la lutte contre dissémination des équipes (dans l'organisation actuelle du travail en entreprise), les coûts prohibitifs des déplacements, la productivité individuelle et collective. Smart Technologies vise donc tout particulièrement les réunions en ligne avec des produits destinés à les animer.
Côté channel, cette nouvelle orientation, se traduira par une spécialisation « business », différente de la spécialisation « education ». Mais ce nouveau marché a vocation à être ciblé par les mêmes partenaires, qui seront par exemple gold « business » et/ou « gold « education ». Smart Technologies va mener des réunions en région pour présenter sa stratégie entreprises, à Lyon et Bordeaux pour commencer, et accueille partenaires et clients dans son siège à Puteaux pour des démonstrations.
Syntec Numérique se dote d'un lobbyiste en la personne de Damien Louvet
Fidèle à son programme, la nouvelle direction du Syntec Numérique renforce son approche des pouvoirs publics. Son Président et le conseil ont déjà sollicité ministres, parlementaires et responsables politiques. Avec des bonheurs divers. Le Syntec Numérique passe aujourd'hui à la vitesse supérieure en créant un poste de « délégué aux affaires publiques ». C'est Damien Louvet venu de Sage qui va développer cette fonction de « lobbying ». Le poste sera créé au 1er mars prochain. Damien Louvet était délégué général de l'Institut Sage depuis deux ans et demi, auparavant il avait passé le même temps, toujours chez Sage, comme responsable des relations institutionnelles.
L'Institut Sage, créé en septembre 2008 par Pascal Houillon (ancien PDG de Sage France promu patron de l'Amérique du nord au mois de décembre dernier), a pour mission de créer un réseau communautaire de chefs d'entreprises (PME , mid market) autour de thématiques qui leur sont propres (la succession des dirigeants par exemple) et à l'aide d'observatoires.
Dernières puces AMD Opteron 6100 avant Bulldozer
Le fondeur de Sunnyvale renforce son offre avec des puces toujours gravées en 45 nm : trois Opteron 6100 12 coeurs (2 x 6) qui fonctionnent entre 1,8 GHz et 2,5 GHz. L'Opteron 6166 HE (873 $) travaille à 1,8 GHz et consomme jusqu'à 65 watts en TDP. L'Opteron 6180 SE (1 514 $) affiche une fréquence de 2,5 GHz, pour un TDP de 105 watts. L'Opteron 6176 reste cadencé à 2,3 GHz, mais ne consomme plus que 80 watts. Selon Bernard Seité, directeur technique chez AMD, il s'agit du dernier bond pour cette famille de produit avant l'arrivée de l'architecture Bulldozer annoncée en 32 nm. « La technologie s'est considérablement améliorée depuis la mise en fabrication du Magny-Cours et les meilleurs rendements permettent aujourd'hui de produire ces processeurs en volume ». La firme a également commencé à livrer deux autres Opteron 6100 huit coeurs (2 x 4). L'Opteron 6132 HE (591 $) fonctionne à 2,2 GHz (60 watts) tandis que le 6140 (989 $) travaille à 2,6 GHz (80 watts).
Dell et Hewlett-Packard vont adopter sans délai ces nouveaux processeurs dans leurs serveurs, nous précise Bernard Seité, puisqu'il n'y pas de rupture au niveau de la plate-forme. Seuls les Bios ont besoin d'être mise à jour pour reconnaître ces processeurs. Dell a par exemple déjà annoncé le PowerEdge C6145, un serveur huit sockets qui peut accueillir jusqu'à 96 coeurs.
Une génération cruciale pour AMD
Ces produits arrivent à un moment où AMD tente de revenir sur le marché des serveurs. La firme de Sunnyvale a perdu des parts de marché au profit d'Intel et ces nouvelles puces Opteron - avec un maximum de 12 coeurs - reposent encore sur une architecture vieillissante. Pour revenir dans la course, AMD compte sur les puces connues sous les noms de code Interlagos (jusqu'à 16 coeurs) et Valence (jusqu'à huit coeurs) qui reposent sur l'architecture Bulldozer. Fabriquées en 32 nm, ces dernières sont attendues au deuxième trimestre 2011 chez les constructeurs pour une commercialisation effective fin 2011, annonce prudemment Bernard Seité. Les processeurs de la classe Bulldozer seront jusqu'à 50% plus rapides et supportent un débit mémoire plus élevé (+ 20%) que les puces serveur actuelles, ajoute le responsable d'AMD. La microarchitecture recombinée avec des unités de calcul flottant partagées entre les coeurs entiers des coeurs de processeurs permettrait d'exécuter plusieurs opérations par cycle d'horloge tout en consommant moins. Ces puces Bulldozer sont également compatibles avec les sockets des Opteron 6100, qui devrait faciliter le travail des clients qui désireront mettre à jour leurs serveurs.
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