Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 4951 à 4960.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(15/02/2011 17:01:48)

HP entame ses achats dans l'analytique avec Vertica

Hewlett-Packard va racheter Vertica, une société spécialisée dans les solutions de datawarehouse et qui prône le stockage des données en colonnes. Le montant proposé pour le rachat n'a pas été communiqué. Cette initiative intervient peu de temps après de HP ait décidé d'arrêter progressivement la plateforme d'entrepôt de données Neoview qui n'a pas réussi à gagner des parts de marché suffisantes depuis son lancement en 2007.

La technologie de Vertica va permettre à HP de proposer « des solutions analytiques avancées, en temps réel, portant sur d'importants jeux de données sur des environnements physiques, virtuels et dans le cloud », a déclaré dans un communiqué le numéro 1 mondial de l'informatique.

Cette acquisition est probablement à mettre au crédit du tout récent PDG, Léo Apotheker, qui a pris ses fonctions le 1er novembre en expliquant d'emblée qu'il comptait étendre la part du logiciel dans le chiffre d'affaires du groupe. Un rachat sur le marché du décisionnel semblait dès lors le choix le plus probable pour celui qui était quelques mois plus tôt le PDG de l'éditeur SAP. A ce poste, il avait directement participé au rachat fort judicieux du Français Business Objects et de ses logiciels de BI (Business Intelligence). Il est prévu que Léo Apotheker détaille ses projets pour HP, lors d'une conférence programmée pour le 14 mars prochain. On s'attend en particulier à ce qu'il y aborde les investissements qu'il projette dans le domaine des logiciels.

Créée par Mike Stonebraker, architecte d'Ingres et Postgres

Installée à Billerica, dans le Massachusetts, la société Vertica a été co-fondée en 2005 par Mike Stonebraker, une figure du monde des bases de données et l'un des principaux architectes d'Ingres et PostgreSQL. Parmi les concurrents qu'on lui trouve encore (plusieurs spécialistes des datawarehouses ont déjà été rachetés, notamment DATAllegro par Microsoft, Netezza par IBM et Greenplum par EMC) figurent des sociétés comme Infobright et Aster Data Systems, qui sont également perçues comme des cibles de rachat potentielles. Sur ce marché évolue aussi l'éditeur Kognitio (fondé comme Vertica en 2005), sans oublier un éditeur renommé et bien installé comme Teradata, qui a pris son indépendance de NCR en 2007.

« Vertica se présente comme un innovateur dans le domaine du traitement parallèle tout autant que sur les technologies de base de données et HP doit le penser également, a commenté Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service. Toutefois, je ne vois pas Vertica aller, avant longtemps, au-delà des bases de données et des technologies associées, par exemple les solutions analytiques avancées. Mais même en se bornant à cela, il s'agit déjà d'un plan de croissance très agressif pour cette société ». Les développements engagés par Vertica sont solides et cet éditeur a rencontré un succès commercial plus rapidement que certains de ces concurrents, a ajouté Curt Monash.

Un prochain rachat dans le CEP ?

HP mène en ce moment une vaste stratégie sur le terrain de l'analytique, notamment avec le lancement d'appliances en collaboration avec Microsoft. Quoi qu'il en soit, la direction prise par le groupe dirigé par Léo Apotheker ne surprend pas, non seulement à cause du background de ce dernier, mais aussi parce que les ventes de solutions BI sont restées soutenues, même pendant la récession économique.

Pour Curt Monash, HP serait sans doute bien servi s'il complétait le rachat de Vertica par une acquisition dans les technologies de gestion des événements complexes (CEP, complex event processing), par exemple en s'offrant StreamBase. Une société qui a été également fondée par Mike Stonebraker. C'est une option qu'a en tout cas retenu SAP. L'éditeur allemand s'apprête à lancer la version 4.0 de sa plateforme décisionnelle Business Objects BI qui, justement, s'intègre avec les fonctions de CEP développées par sa dernière conquête d'importance, Sybase.
Oracle, IBM et Microsoft disposent eux aussi de leurs fonctionnalités de CEP.

Illustration : La technologie Vertica présentée par son éditeur.

(...)

(15/02/2011 15:30:43)

Vision IT recrute 400 ingénieurs en Europe

Le groupe franco-belge de conseil en technologies Vision IT prévoit de recruter 400 personnes en Europe d'ici la fin de l'année, dont 140 dans l'Hexagone. Après avoir mis l'accent sur la croissance externe du groupe ces dernières années, nous souhaitons cette année nous concentrer sur la croissance interne de l'entreprise, commente Marc Urbany, le co-président du groupe, dans un communiqué. Ce plan de recrutement devrait en effet permettre à la SSII de renforcer ses effectifs de quasiment 40%, puisque Vision IT Group compte actuellement 1 150 collaborateurs.

Du support trading à la virtualisation

70% des postes à pourvoir concernent des profils confirmés, la part restante étant réservée à des juniors  : il s'agit de consultants PMO (Project Manager Officer) et SOX (Sarbanes-Oxley) de spécialistes d'Unix et de Microsoft, de développeurs (Java et .Net)  et également d'ingénieurs tests.  Les candidats interviendront sur des missions allant du support trading en salle de marché à des applications de virtualisation dans des grandes entreprises et dans des PME. Ils pourront  participer à des projets internationaux en rejoignant l'un des dix bureaux européens du groupe situés en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal et Suisse.

(...)

(15/02/2011 15:15:56)

RSA 2011 : Symantec veut protéger les utilisateurs contre les malwares mutants

En soi, la défense antivirus basée sur les signatures devient de moins en moins efficace parce que les développeurs de logiciels malveillants sont de plus à plus habiles et parviennent à trouver des moyens pour engendrer des taux énormes de mutations de virus. Dans ce cas, le blocage des malwares par des méthodes qui reposent uniquement sur l'analyse des signatures est pratiquement impossible. « En 2009, Symantec avait dénombré 240 millions de virus et n'a pas encore fini de comptabiliser ceux en circulation l'an dernier, sans doute le double, » a déclaré Hormazd Romer, directeur du marketing produit pour le département Sécurité d'entreprise chez Symantec. « Les auteurs de malware ont adopté un modèle de micro-distribution basé sur la mutation de virus » a expliqué le responsable de Symantec. « Du coup, c'est l'explosion. »

Pour se défendre contre ces assauts, Symantec a mis au point une méthode d'identification de fichiers basée sur le cloud computing.  Baptisée Symantec Insight, elle sera ajoutée à Symantec Endpoint Protection 12. Symantec a déjà testé sa technologie Insight l'an dernier dans son logiciel antimalware grand public Norton qui analyse les fichiers téléchargés par l'utilisateur depuis un service cloud. « En évaluant les évènements rencontrés par des millions d'utilisateurs de la solution de Symantec, ainsi que d'autres facteurs, l'objectif est de déterminer le risque que présente le fichier en cours d'inspection, » a expliqué Hormazd Romer. Selon lui, il est notamment important de savoir si le fichier est connu, combien de fois il a été repéré, et de quand il date. « Ces malware mutants résistent aussi bien qu'un panaris sur le pouce, » a-t-il commenté, ajoutant que Symantec avait tracé plus de 2 milliards de fichiers en ayant à l'esprit « qu'un logiciel normal ne se modifiait pas comme ça. »

Des options activées en fonction des groupes d'utilisateurs

« Dans la nouvelle version de Endpoint Protection, l'usage de la technologie Insight est laissé à l'appréciation des gestionnaires de sécurité de l'entreprise, lesquels pourront décider de l'activer ou non, » a précisé Hormazd Romer. Insight permet au gestionnaire de sécurité d'appliquer ses propres paramètres en fonction de groupes d'utilisateurs. De même, les paramètres de la « configuration dial» de Symantec Endpoint Protection 12 permettent de choisir différents seuils de risques. Selon le niveau de risque, il est possible soit de bloquer tout type de fichiers provenant du web ou de la messagerie, soit d'informer simplement l'utilisateur que tel ou tel fichier est suspect. Un message de mise en garde peut aussi proposer à l'utilisateur de ne pas ouvrir le fichier.

La protection antivirus basée sur la signature des fichiers est toujours maintenue comme une autre une ligne de défense possible. Et pour la première fois dans une mise à jour de logiciels, Symantec ajoutera Sonar, une troisième méthode de détection basée sur le comportement et déjà introduite dans des produits grand public de l'éditeur. « Celle-ci procède à une vérification des fichiers en temps réel, et au moment de leur ouverture, ils sont exécutés dans une sandbox », explique Hormazd Romer. L'objectif de Sonar est d'arrêter tout ce qui passe au travers d'Insight ou qui n'est pas détecté par l'analyse des signatures.

Pour l'instant Symantec Endpoint Protection 12 est disponible en version bêta, la mouture finale pour Windows, Mac et Linux étant attendue cet été. Une version optimisée est recommandée pour les environnements VMware ou Hyper-V. Symantec annonce qu'elle sortira également une version distincte pour les petites et moyennes entreprises (de cinq à 99 employés), similaire, mais pas optimisée pour les environnements virtualisés et avec une gestion de console différente.

(...)

(15/02/2011 14:58:04)

Objectif 2011 : 80% des démarches administratives sur Internet

L'Etat entend faciliter la vie des Français avec vingt mesures censées simplifier les démarches administratives, notamment en matière de notifications de reprise d'emploi ou de vente de véhicule. Des projets qui s'ajoutent à la possibilité récente d'alerter les différents services d'administration d'un changement d'adresse, par exemple, via le site Mon-service-public.com.

Une campagne de communication sera prochainement lancée autour du 3939, numéro permettant de joindre des conseillers en matière de démarches administratives. L'entrée de l'administration dans l'ère numérique passera aussi par une suppression de plusieurs centaines de sites afin de se concentrer sur environ 60 sites. Le référencement de ceux-ci sera aussi développé à l'aide de partenariats conclus avec Google et Microsoft. François Barouin a par ailleurs annoncé le passage de la barre de 10 millions de télé-déclarants concernant l'impôt sur le revenu.


Crédit photo : D.R.

(...)

(15/02/2011 14:45:01)

Atos Origin se fixe un objectif "zéro e-mail" pour 2014

Thierry Breton, PDG d'Atos Origin a récemment indiqué qu'il souhaitait voir les collaborateurs de la SSII qu'il dirige abandonner l'envoi de courriers électroniques pour communiquer entre eux. Le dirigeant pense que la messagerie classique pourrait être avantageusement remplacée par d'autres applications qu'il juge plus adaptées à la collaboration. Selon lui, les managers, qui passent de 5 à 20 heures par semaine à lire et écrire des emails, utilisent déjà les réseaux sociaux plus que les moteurs de recherche et passent 25% de leur temps à rechercher de l'information.

Au sein d'Atos Origin, des outils collaboratifs et des plateformes communautaires ont déjà été mis en place pour « partager et garder une trace des idées qui naissent sur des sujets allant de l'innovation au Lean Management en passant par les ventes, a notamment expliqué le PDG. L'e-mail ne sera bientôt plus considéré comme la meilleure manière de travailler et d'échanger ». L'objectif affiché est de muer la SSII en entreprise « zéro e-mail » d'ici trois ans.

Messagerie instantanée et plateformes communautaires

Le groupe français a donc décidé de mettre en place des solutions qu'il qualifie de « novatrices » dans le domaine des réseaux sociaux afin de partager une information plus personnalisées, de façon plus immédiate. Des outils qu'il considère en outre plus efficaces en termes de coûts. Afin de devenir une entreprise « où il fait bon vivre », Atos Origin en a déjà déployé certains.

La société dit notamment encourager l'usage de la messagerie instantanée Office Communicator de Microsoft (désormais renommée Lync) et avoir installé des plateformes communautaires. Selon les premiers résultats qu'elle a constatés, le recours à ce type de logiciels aurait d'emblée réduit le volume des e-mails de 10 à 20%.

Illustration : la messagerie instantanée Lync de Microsoft (...)

(15/02/2011 14:39:11)

Le standard HTML5 sera prêt en 2014 selon le W3C

« C'est la première fois que nous sommes en mesure de dire à quel moment le standard sera achevé, » a déclaré Ian Jacobs, directeur du marketing et des communications du W3C. « De plus en plus d'industries et de gens se demandent quand cette norme sera prête. Ils doivent pouvoir compter sur sa stabilité et sur une très forte interopérabilité ». Les préoccupations concernant la date de disponibilité du HTML5, prochaine version de l'HyperText Markup Language, un standard indépendant de toute plate-forme et utilisé dans le monde entier pour le rendu des pages web, se sont multipliées ces dernières années. Dans le même temps, Apple, Google et Microsoft ont commencé à promouvoir les avantages du nouveau langage de l'Internet et à le choisir comme base pour construire des applications web, alors même que la norme n'est pas achevée. Malgré l'enthousiasme de ces entreprises et des autres soutiens dont elle bénéficie, beaucoup mettent en garde contre l'utilisation du HTML5 avant qu'il ne soit tout à fait finalisé. En raison de la complexité de la tâche, les estimations quant à la date de livraison de la version finale n'ont pas cessé de varier : entre un à deux ans et pas avant 2022. La dernière communication entendue à ce sujet faisait même état du 22 mai de cette année !

« À partir du 22 mai 2011 et jusqu'en 2014, le HTML Working Group, chargé de plancher sur la nouvelle norme, aura plusieurs tâches à accomplir avant la finalisation, » a déclaré Ian Jacobs. En effet, le groupe doit examiner et traiter les observations qui auront été soumises à l'organisation jusqu'à cette date butoir. Le groupe s'attend à un feedback considérable pour ce « dernier appel », lequel pourrait entraîner une nouvelle révision du document de travail. Le groupe a également pour mission de concevoir une suite de tests, qui doit prendre en compte le large éventail des navigateurs et plates-formes sur lesquels seront rendues les pages web et exécutées les applications écrites en HTML 5.

Les prochaines évolutions sont déjà envisagées

Compte tenu de la gamme croissante d'appareils permettant d'accéder à Internet, dans laquelle figure les téléviseurs, les tablettes tactiles et les téléphones mobiles, cette interopérabilité est capitale. « L'objectif est d'assurer cette vaste interopérabilité, » a ajouté le responsable du W3C. L'organisme chargé de la normalisation ne prévoit pas d'ajouter de nouvelles fonctionnalités après ce dernier appel. « À partir de là, le groupe ne prendra en compte que les avis concernant l'implémentation et agira en fonction des résultats obtenus au cours des tests réalisés, » a déclaré Philippe Le Hégaret, qui dirige le W3C Interaction Domaine chargé de superviser le développement du HTML, du CSS (Cascading Style Sheets), du SVG (Scalable Vector Graphics) et d'autres normes pour le Web.

En même temps que le groupe finalisera le HTML5, il commencera à travailler sur de nouvelles fonctionnalités et préparera des améliorations pour les versions suivantes. Les membres du groupe de travail ont décrété qu'ils n'attribueraient pas de numéro de version - HTML5.1, HTML6  - aux versions successives. Mais Ian Jacobs et Philippe Le Hégaret ne sont pas aussi affirmatifs. « Pour l'instant, les travaux en cours seront classés sous la dénomination HTML.next, » a dit Ian Jacobs. Le W3C a également annoncé qu'il avait étendu la charte du groupe de travail HTML à 2014. Le HTML Working Group comporte plus de 400 membres, dont des vendeurs de navigateurs Internet, des développeurs de logiciels et d'autres organismes dont l'activité est dépendante du standard de l'Internet.

Illustration principale : page de test HTML5 d'Apple, http://www.apple.com/html5

(...)

(15/02/2011 12:41:34)

Serre Chevalier a installé un réseau unifié redondant

La station de sports d'hiver de Serre Chevalier disposait il y a plusieurs années d'un réseau fragile entre ses différents bureaux répartis dans son domaine. Une coupure sur une liaison donnée isolait au moins un site. Les services hébergés le cas échéant sur ce dernier devenaient de fait inaccessibles aux autres. Voire, la panne sur un site pouvait déclencher une coupure à un autre endroit. 

A partir de 2006, un plan d'investissements est déclenché. Dans un premier temps, les équipements actifs sont juste remplacés par des outils plus performants pour éviter des pannes. En 2007, la station renforce son réseau en créant des liens redondants, optiques et en cuivre, tout en continuant d'investir dans les équipements actifs. Enfin, en 2010, les équipements coeur de réseau sont renouvelés.

Le réseau est aujourd'hui unifié et supporte autant la bureautique, les applications métiers, les transactions monétaires sécurisées, le contrôle d'accès aux ressources, la téléphonie sur IP et la connexion Internet pour tous les utilisateurs.



L'ensemble des équipements actifs ont été acquis auprès d'Allied Telesis pour faciliter leur administration par le choix d'un fournisseur unique. L'intégration a été réalisée par Dolonis. La facilité d'administration, de paramétrage et de maintenance a d'ailleurs été un des critères de choix du fournisseur.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

Source illustration : Site web de Serre Chevalier

(...)

(15/02/2011 12:18:52)

Dématérialisation : Les DRH identifient les gains, mais les attentes restent fortes

La dématérialisation des processus RH est largement pratiquée mais l'approche des DRH est très immature selon une enquête de Markess International. Dans certains cas, celle-ci est poussée par des dispositions obligatoires, comme dans le cas des déclarations sociales. Mais la plupart des processus sont au mieux numérisés, c'est à dire qu'ils sont d'abord gérés sous forme papier, puis scannés et retraités au format numérique, par exemple au sein d'une GED, avec ou sans reconnaissance automatique de caractères et intégration des informations. Les doubles flux papier et numérique sont également très fréquents.

Les gains importants de la dématérialisation sont connus. Selon l'enquête de Markess International, le premier recherché est l'accès simplifié et permanent aux documents traités (72% des répondants approuvent ce point de vue). Evidemment, la réduction des coûts arrive aussitôt après (70% des répondants) ainsi que les délais (60%). Si environ la moitié des organisations numérisent ou dématérialisent d'ores et déjà des documents liés aux processus RH, la quasi-totalité envisagent d'y passer.

Markess International s'est aussi intéressé, document par document, à ce que les organisations dématérialisaient et envisageaient de dématérialiser dans les prochaines années. Tous les documents et tous les processus sont concernés (de 30% à 50% des répondants selon les documents) et partout on voit un intérêt pour accroître la part numérisée des documents (d'ici 2012, de 60% à 90%). Il y a cependant un net retard sur le bulletin de paye où les réticences sont les plus grandes. Il n'en reste pas moins que la valeur juridique des documents est un vrai problème, ce qui justifie que le double flux papier et numérique soit la règle générale.

Bénéfices de la dématérialisation des processus RH selon Markess
Cliquer ici pour agrandir l'infographie

Des attentes fortes parmi les responsables

Les responsables interrogés ont pourtant de fortes attentes et souhaitent des solutions les plus intégrées possibles, y compris d'un côté avec le SIRH et de l'autre avec les coffres-forts électroniques qui garantiront la préservation avec valeur juridique des documents le temps nécessaire (plus de 50 ans pour un bulletin de salaire).

Le modèle économique des offreurs est généralement toujours le même : chaque document est archivé le temps nécessaire contre un paiement initial unique.

L'immaturité de l'approche des utilisateurs est caractérisée par le manque d'intérêt a priori pour le partage des informations et la réversibilité du stockage externalisé des documents archivés sous format numérique.

Des discussions seraient en cours entre acteurs et sous l'égide de l'Afnor pour aboutir, dans un premier temps, à un « bulletin de salaire numérique » standardisé et, dans un second temps, à une normalisation des coffres-forts électroniques afin que chaque salarié puisse posséder le sien auprès du prestataire de son choix, exactement comme il possède un compte en banque où toucher son salaire auprès de la banque de son choix. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >