Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 5281 à 5290.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/01/2011 17:55:52)

Beanstalk, un outil qui fédère les services du cloud d'Amazon

AWS Beanstalk est maintenant disponible pour utilisation par les développeurs Java. Pour commencer, le développeur transmet une application Java à Beanstalk, qui gère automatiquement les détails du déploiement et de l'allocation de ressources comme la capacité de calcul, le load balancing entre les serveurs, l'évolutivité maximum et minimum, ainsi que la surveillance du bon fonctionnement de l'application.

L'outil s'appuie sur les services AWS, y compris EC2, S3, Simple Notification Service, Elastic Load Balancing et Auto-Scaling. Sans Beanstalck, les clients sont obligés de faire interagir individuellement les services AWS. Parfois, cela exige que les développeurs écrivent du code et intègrent des API pour appeler les services. « C'est un moyen de mettre en commun la puissance d'utilisation du cloud et cela continuera à l'avenir », a déclaré Adam Selipsky, vice-président d'Amazon Web Services. « Certains clients ou ceux intéressés par notre offre nous ont dit qu'ils ne disposaient pas des compétences technique pour écrire du code ou qu'ils ne le souhaitaient pas, car ils préfèrent passer leur temps sur d'autres choses » précise-t-il. Une fois qu'un client transmet l'application Java, elle sera opérationnelle et en ligne en quelques minutes. Les utilisateurs de beanstalk seront en mesure de changer de CPU, la mémoire d'un serveur individuel et de déployer un serveur avec un niveau différent de la disponibilité, sur la base des besoins d'une application. Les développeurs peuvent modifier les paramètres automatiques d'évolutivité pour ajouter de nouveaux serveurs plus rapidement ou lentement.

Une simplification à portée de beaucoup de monde

Les développeurs ne sont pas tenus d'écrire de code supplémentaire pour utiliser ce service. « Il suffit d'écrire votre application Java à partir du logiciel Apache Tomcat , comme vous le feriez pour la déployer sur n'importe quelle infrastructure, la transmettre et elle fonctionne. Cela devrait plaire aussi aux entreprises qui s'inquiètent du verrouillage des fournisseurs de cloud. Avec ce service, elles pourront retirer leur application et l'exécuter ailleurs. » souligne le dirigeant.

Il n'y a pas de coût d'utilisation pour Beanstalk, (seules l'utilisation des différents services d'AWS sont payantes) ainsi nommé parce que, comme l'histoire de Jack et le haricot magique, « l'ascension du haricot est facile au début et impossible à terminer », a déclaré Adam Selipsky. Alors que la version initiale est compatible avec les applications Java, Beanstalk est conçu pour être étendu et fonctionner avec d'autres langages de programmation, conclut Amazon.

(...)

(19/01/2011 17:09:46)

Des détails sur les brevets vendus par Novell au consortium dirigé par Microsoft

Ainsi, dans la demande déposée le 14 janvier par Novell auprès de la Securities & Exchange Commission américaine (SEC), on peut lire que « les brevets délivrés et les dépôts de brevet qui seront vendus à CPTN... concernent essentiellement des logiciels de gestion des systèmes informatiques, des outils collaboratifs et de gestion de fichiers pour l'entreprise, plus certains brevets en rapport avec des produits liés à la gestion des accès et des identités, même s'il est possible que certains de ces droits de propriétés intellectuelles se retrouvent dans une gamme de produits logiciels différents, » indique le document déposé par Novell.

« Historiquement, les brevets et les dépôts de brevets concernés par la vente ont été utilisés pour faciliter et protéger nos activités actuelles et à venir, et pour limiter le risque potentiel d'une action en justice qui nous accuserait de violer les droits de la propriété intellectuelle, » précise Novell. L'éditeur, qui ne licencie actuellement aucun de ces brevets, ne touche donc aucun reversement en contrepartie. Cependant, ces brevets restent « soumis à des licences n'ouvrant pas droit à des redevances, et ont été accordés par Novell pour la période pendant laquelle elle disposait de la propriété intellectuelle de ces brevets. » En novembre dernier, Novell avait d'abord annoncé son rachat par Attachmate, mettant fin à des mois de spéculations sur l'avenir de l'entreprise. Simultanément, celle-ci avait annoncé la vente de ses brevets, suscitant une nouvelle série de questions sur la nature de ce qui était vendu. Il est également apparu par la suite qu'Apple, Oracle et EMC étaient impliqués dans le consortium CPTN.

Même si Novell a déclaré qu'Attachmate conserverait le contrôle des droits de propriété intellectuelle sur son système d'exploitation Unix, on ne savait encore rien sur la nature des droits cédés à CPTN. Dans sa demande déposée le 14 janvier, Novell fait uniquement référence à des technologies associées à la vente des brevets, mais certaines interprétations semblent possibles. Ainsi, la référence à « des logiciels de gestion des systèmes informatiques pour l'entreprise » pourrait s'appliquer à la famille d'outils de gestion de charge de travail PlateSpin. Novell vend également une suite de gestion des systèmes de fichiers, File Management Suite, ainsi qu'une plate-forme de collaboration GroupWise et une gamme de logiciels de gestion des accès et des identités. Selon le document déposé à la SEC, environ 43 % des droits de propriété intellectuelle concernent des brevets délivrés aux États-Unis, 30 % se référent à des dépôts également sur le territoire américain, 22 % concernent des droits utilisés dans des pays étrangers, et 5 % sur des dépôts.

Une liste que le consortium souhaite compléter


À l'origine, CPTN devait acheter 882 brevets à Novell. Mais, sur le point de conclure l'affaire, Novell a découvert que «19 devant être cédés à CPTN conformément au Patent Purchase Agreement signé entre les parties étaient caducs et concernent des dépôts effectués en Australie, Allemagne ou Autriche, et non des brevets délivrés dans ces pays. » Novell a également constaté que l'un des droits de propriété avait été référencé deux fois. « En conséquence, si la vente de brevets se réalise, CPTN en achèterait 861 » indique encore le document. CPTN a proposé que Novell ajoute d'autres brevets et dépôts dans le portefeuille, afin de « compléter certaines familles de droits » et « de compenser ceux rendus caducs ou arrivés à expiration » Novell indique à ce sujet qu'« Attachmate n'a pas actuellement l'intention de consentir à ce que la liste des brevets, cédés en vertu de l'accord Patent Purchase Agreement, soit modifiée. »

Le document déposé par Novell éclaire également sur le calendrier de la transaction menée avec Attachmate et le CPTN. Il précise notamment que, en mai dernier, huit autres acheteurs potentiels, en dehors d'Attachmate, avaient présenté une offre de rachat non-contraignante. Y apparaît également la liste d'un certain nombre d'autres transactions possibles, impliquant de multiples partenaires. La première concerne une société identifiée sous le nom de « repreneur B, » lequel « a proposé une transaction à un prix d'achat global de 550 millions de dollars en numéraire. » Dans ce montage, un consortium d'achat devait reprendre la plate-forme des solutions logicielles de Novell et le « repreneur B » devait hériter des brevets. L'identité du repreneur B n'est pas révélée dans le document, de même qu'il n'est pas clair si le consortium évoqué fait référence à la Holdings CPTN ou à une entité liée. Novell n'a, de son côté, pas souhaité faire de commentaire à ce sujet.

(...)

(19/01/2011 16:07:02)

Annuels IBM : un bénéfice net en hausse de 10%

IBM termine l'année en grande forme. Pour son quatrième trimestre 2010 (clôt le 31 décembre dernier), Big Blue a dégagé un bénéfice net à 5,3 milliards de dollars en hausse de 9% par rapport à l'année précédente. Sur cette période, le chiffre d'affaires a crû de 7% pour s'établir à 29 milliards de dollars. La rentabilité du groupe s'est également améliorée sur l'ensemble de l'exercice 2010 : le bénéfice net ressort à 14,8 milliards de dollars, en hausse de 10%, et les revenus annuels, en augmentation de 4% atteignent les 99,9 milliards de dollars. « Nous avons terminé une année exceptionnelle avec des bénéfices et des flux de liquidités records qui dépassent le haut de la fourchette d'objectifs des résultats du groupe », s'est réjoui le PDG  d'IBM Samuel Palmisano dans un communiqué. Le dirigeant a également précisé que Big Blue avait été couronné par une réorientation, au cours des dix précédentes années, de son business vers des activités à forte valeur ajoutée, et par ses 60 milliards de dollars investis dans la recherche et le développement. Il a ajouté que l'acquisition, par Big Blue de 116 entreprises avait aidé la firme a tripler son bénéfice par action, et à verser 100 milliards de dollars aux actionnaires.

Forte progression dans les pays émergents

Par zones géographiques, le chiffre d'affaires réalisé au cours du dernier trimestre 2010 est mitigé : il a augmenté de 9% en Amérique du Nord à 12,2 milliards de dollars, mais il a diminué de 2% en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique pour atteindre 9,5 milliards de dollars. En Asie-Pacifique, les revenus ont grimpé de 14%  à 6,6 milliards de dollars. Le géant informatique s'attend, par ailleurs, à une forte croissance dans les marchés émergents (BRIC) :  selon lui, les recettes provenant du Brésil, de la Russie, de l'Inde et de la Chine ont augmenté de 19%, tandis qu'une cinquantaine d'autres pays ont enregistré une croissance à deux chiffres.

Au cours du quatrième trimestre, les revenus générés par la division logicielle ont augmenté de 7% à 7 milliards de dollars. Dans ce segment, les ventes du middleware WebSphere ont augmenté de 32%, alors que, de leur côté, les livraisons de logiciels Lotus ont chuté de 3%, ce qui, pour IBM, résulterait de sa difficulté à concurrencer des outils de collaboration tels que ceux développés par Microsoft. Le chiffre d'affaires de la partie décisionnelle reste solide (+19%) que ce soit sur les activités logiciels ou services. La firme d'Armonk avait récemment acquis Netezza, pour sa technologie de datawarehouse concurrente des systèmes Exadata d'Oracle. D'après Mark Loughridge, directeur financier d'IBM, cette technologie a  connu un important démarrage au cours du quatrième trimestre.

+69% pour les ventes de System Z

De son côté, la branche systèmes et technologies a progressé de 21% pour totaliser 6,3 milliards de dollars de chiffre d'affaires. L'activité systèmes a été en partie stimulée par les fortes ventes du mainframe System z, qui ont bondi de 69% sur un an. Ce quatrième trimestre a également été marqué par un redémarrage des contrats de services (+18%) dont la valeur s'est établie à 22,1 milliards de dollars. La firme espère que le premier trimestre de 2011 sera à nouveau tiré par les ventes de matériel et de logiciels,  estime son directeur financier. Ce dernier s' attend à ce que les recettes de l'activité services insufflent une nouvelle impulsion à l'entreprise.

Illustration : Sam Palmisano, PDG d'IBM (crédit photo : IBM)
(...)

(19/01/2011 15:27:20)

EMC refond l'ensemble de sa gamme de stockage

Comme nous vous l'expliquons depuis plusieurs semaines, EMC préparait des annonces majeures pour le 18 janvier. Après les premières informations sur les baies de stockage unifiées NAS/SANVNX5000 et VNX7500, puis les solution de sauvegarde avec déduplication Data Domain DD890 et DD860, EMC termine sa remise à jour avec les Symmetrix. Pas moins de 41 produits auront été présentés par Joe Tucci, chairman et CEO de la compagnie, Pat Gelsinger, président et COO (Chief operations officer), et Jeremy Burton CMO  (Chief marketing officer) durant un marathon de trois jours qui les a menés de New York à Londres puis Singapour.

Avec l'arrivée des VNX, notamment le modèle d'entrée de gamme à 9499 dollars baptisé VNXe, la compagnie enterre définitivement les gammes Clariion (SAN) et Celerra. Le support sera toujours bien sûr assuré comme les demandes d'augmentation de la capacité nous a assuré Pat Gelsinger. Au sujet de l'accord commercial qui lié depuis 10 ans EMC à Dell pour la revente des baies Clariion, Pat Gelsinger a été très clair. Il prend fin avec l'arrêt de la gamme, mais les discussions ne sont pas interrompus même si on bien comprend pas bien ce que pourrait apporter EMC à Dell qui vient d'acquérir, par dépit, Compellent après avoir raté le rachat de 3Par parti dans le giron de HP. Pour ce qui concerne l'offre cloud VBloc développée avec VMware et Cisco, les baies VNX vont naturellement remplacer les systèmes Clariion, nous a assuré Pat Gelsinger. Pour revenir au VNXe et souligner les efforts réalisés pour simplifier son administration, le COO a fait monter sur scène un garçon de 10 ans du nom d'Edward qui a utilisé un iPad pour configurer la capacité de stockage d'un VNXe. Il a ensuite procédé au retrait et au remplacement d'un disque dur défectueux en moins d'une minute.

La gamme VNXe est constituée de deux versions reposant sur des processeurs Intel  Westmere associés à deux ports 6Gbit/s qui viennent remplacer les Clariion NX4 et AX4 iSCSI. Un modèle 2U, le VNXe3100, peut accueillir jusqu'à 96 disques durs et supporte Network File System (NFS), Common Internet File System (CIFS) et le système de fichiers réseau parallèle ou pNFS, destiné aux systèmes de calcul hautes performances. Le second modèle, le VNXe3300, repose sur un châssis 3U et utilise le protocole iSCSI avec un maximum de 120 disques. Les VNXe sont livrées avec des fonctionnalités avancées telles que le thin provisioning, la compression et la déduplication de fichiers. Elles sont également équipées d'un système intégré d'auto- diagnostique pour informer les utilisateurs des défaillances dans le système. 

Comparant son produit à d'autres systèmes multiprotocole (NetApp, IBM, Dell et HP), Pat Gelsinger a précisé que le VNXe était aujourd'hui le point d'entrée le plus bas sur le marché (9499 $) quand tous les autres démarrent à plus de 10 000 $. Précisons toutefois qu'un système FAS2000 chez NetApp avec un contrôleur et  3 To capacité démarre à 7 920 $ aux États-Unis.

Isilon désormais intégré à la gamme EMC

Cette conférence de presse londonienne était également l'occasion pour le géant de Boston d'exhiber son dernier achat : Isilon Systems. Interrogé sur le positionnement de ces baies de stockage capable de gérer des volumes de 10 pétaoctets avec OneFS, Pat Gelsinger nous a indiqué qu'« il n'y avait pas de compétition entre les solutions Isilon et VNX. Cette dernière a été conçue pour les besoins des entreprises disposant de grandes infrastructures, Isilon répond à des usages complémentaires notamment dans le domaine des fournisseurs de services de divertissement. Près d'un tiers des clients d'Isilon sont dans les médias. C'est un bon produit unique sur le marché ». L'intégration avec l'outil d'administration d'EMC, UNiSphere, permettra de superviser tous les systèmes depuis une même console. Pour l'avenir, Pat Gelsinger qui était auparavant chez Intel, confirme que les prochaines baies seront équipées de contrôleur reposant sur des processeurs Sandy Bridge, notamment pour accroitre les performances et les capacités en entrée/sortie. Au passage, le COO souligne qu'Intel équipe 100% des solutions d'EMC.

Au cours de cette conférence de presse, Joe Tucci, le PDG de la compagnie, a expliqué qu'aujourd'hui le stockage est dans le cloud que ce soit dans le cadre d'une infrastructure privée ou dans un modèle SaaS. Les lignes de produits EMC sont destinées à soutenir les besoins en ligne  avec notamment des technologies comme le stockage dynamique automatisé et le multicouche, a-t-il ajouté. « Les systèmes informatiques sont devenus trop complexes, trop inefficaces, trop rigides et trop coûteux. [Les responsables] ont le sentiment qu'ils ont trop de matériels, trop de systèmes. Des systèmes qui fonctionnent sur un trop grand nombre de plates-formes distinctes et d'architectures sous-jacentes. Les grands comptes comprennent qu'ils ont trop de centres de calcul et trop de fournisseurs », a encore déclaré Joe Tucci. « Il y a trop d'argent consacré aux sociétés de services pour personnaliser  les applications ... et les utilisateurs estiment qu'ils manquent de contrôle. »

EMC refond sa gamme VMAX

Dans une autre partie de la présentation ponctuée par différentes performances (saut à moto, entassement de 26 danseuses dans une Mini...), EMC a annoncé une mise à jour significative de sa gamme haut de gamme Symmetrix VMAX. Pat Geslinger indique qu'à cette occasion EMC a ajouté 55 nouvelles fonctionnalités à sa baie et doublé ses performances. La VMAX peut accueillir de 48 à 2 400 lecteurs pour un maximum de 2 pétaoctets en capacité. La VMAX a également la possibilité de crypter ses données sur ses disques en mode natif et de piloter la gestion des clés jusqu'à un seul disque via le logiciel EMC RSA. Comme les baies VNX, la VMAX dispose de la mise à jour du logiciel FAST VP, qui permet d'allouer à la volée de l'espace supplémentaire aux volumes de stockage virtuel. 


(...)

(19/01/2011 15:33:00)

Tunisie : des centres d'appels s'organisent pour maintenir la qualité de service

L'activité des plateformes de centres d'appels tunisiens, dont certaines assurent la hotline de clients français, a été perturbée ces derniers jours par les événements politiques que vit le pays. Le couvre-feu mis en place a contraint le personnel de ces sociétés à quitter plus tôt leur lieu de travail et remis certains donneurs d'ordre sur le pont (chez France Télécom, par exemple). Sur place aussi, les prestataires tunisiens ont déployé des mesures afin de maintenir la qualité du service fourni à leurs clients. Contactée par courriel, la société Advancia (SPG Group) explique qu'elle a d'abord donné la priorité, pour l'essentiel de ses opérations, aux appels entrants, les campagnes d'appels sortants pouvant être plus facilement différées.

Son centre tunisien compte 300 positions intervenant pour l'international (parmi ses clients figurent des groupes comme 3Suisses International, Packard Bell ou Microsoft). « Nous ne pouvons pas prétendre à l'absence d'impacts », reconnaît Sahbi Gargouri, CEO de la société. En revanche, il trouve que certaines informations, faisant part de l'impossibilité d'assurer les prestations des centres d'appels à partir de la Tunisie, ont été disproportionnées par rapport à la réalité. « Il y va de notre économie et de notre crédibilité face à la confiance de donneurs d'ordre qui, pour certains, ont nécessité plusieurs années à convaincre de la fiabilité des prestations assurées en Tunisie », rappelle ce chef d'entreprise. Il assure que ses engagements de qualité de service ont toujours été respectés et évoque les plans de contingence, mis en place de concert avec ses partenaires.

Veiller à la sécurité du personnel


« Notre entreprise se mobilise pour assurer la continuité des services de clients prestigieux qui nous font confiance, dont des opérateurs télécoms. Leur qualité de service n'a nullement été impactée à notre niveau ». Sahbi Gargouri explique que, pour la maintenir, des équipes sont restées la nuit dans le centre d'appels (« avec toutes les commodités : restaurant d'entreprise, lits et équipements de sport), en veillant à la sécurité des collaborateurs et en demandant même la protection des forces de l'ordre. Certaines opérations en appels entrants se terminent en effet à 21 heures, et il n'est pas possible de sortir après le couvre-feu. De même, le Back Office s'effectue  à 4 heures du matin. « Nous sommes responsables vis-à-vis de nos collaborateurs, de nos familles et de nous-mêmes : en restant sur le site, par exemplarité, nous n'avons jamais mis en cause la sécurité de quiconque », assure le dirigeant d'Advancia.

Pour lui, c'est l'implication des patrons tunisiens qui sont restés avec leur personnel qui a fait la différence. De futurs grands donneurs d'ordre européens pourraient tirer de ces événements des choix décisifs, estime-t-il, en n'excluant plus des grandes opérations des acteurs locaux qui sont peut-être plus engagés que de grands prestataires internationaux et qui ont, de surcroît, les mêmes certifications et accréditations que ces derniers. Sahbi Gargouri ajoute avoir terminé la soirée, lundi dernier, avec une qualité de service de 95% pour 90% demandés sur l'ensemble des opérations (« et ce depuis le début des événements »).

Sahbi Gargouri, CEO d'Advancia
Sahbi Gargouri, CEO d'Advancia

Illustration : plateforme de centre d'appels d'Advancia / Bee Call (crédit photo : Advancia)
(...)

(19/01/2011 14:28:44)

Plus de téléchargements légaux et gratuits pour les internautes français

Selon le baromètre REC de l'institut GfK, diffusé mercredi 19 janvier en exclusivité par l'AFP, les internautes seraient de plus en plus enclins à télécharger légalement de la musique sur des sites dédiés. 43% des sondés ont utilisé des magasins de musique en ligne, gratuits comme payants, plutôt que des réseaux d'échange ou de partage de fichiers en ligne (41% des personnes interrogées), au 4ème trimestre 2010.

Ces résultats montrent aussi l'importance de la gratuité sur le web. En effet, 74% des personnes interrogées ont consulté ou téléchargé plus de livres gratuits que d'ouvrages payants sur Internet. A contrario, la presse reste encore largement majoritaire au format papier (62 %). Seuls 14% des lecteurs lisent exclusivement la presse numérique.

En ce qui concerne la vidéo, les contenus les plus téléchargés et/ou visionnés sur la Toile sont les séries télé (59%), devant les films (57%). Ce baromètre trimestriel analyse les comportements des Français sur la Toile et propose une vue d'ensemble des marchés de contenus numériques. Il a été établi par Gfk sur la base d'un échantillon de 1 000 personnes âgées de 15 à 65 ans, représentatif de la population française des internautes.

(...)

(19/01/2011 14:03:40)

La cyberguerre s'invite à la conférence Black Hat

Le consultant en sécurité, Jeff Moss, qui siège depuis 2009 au Conseil Consultatif du Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security - DHS), n'est pas d'accord pour dire, comme certains experts, que Stuxnet représente « la première attaque ciblée effectuée avec une cyber-arme. » De son point de vue, « ce n'est pas la première du genre, mais c'est la première qui soit vraiment visible de tous, » a t-il commenté. « Je pense aussi que c'est la première attaque dont nous pouvons tous parler publiquement, » a t-il ajouté.

Les débats sur les techniques utilisées pour monter des attaques offensives sont également de plus en plus publiques. C'est le cas des thèmes abordés à la conférence Black Hat qui se tient cette semaine à Washington, dans un hôtel situé à deux stations de métro du Pentagone. Certains sujets parlent ainsi spécifiquement de pistes, jusque là qualifiées de « tactiques irrégulières » et « d'escarmouches sur le web, » pour mener des cyber-guerres offensives. Comme l'indique Jeff Moss, la dernière conférence a ajouté ces sujets de discussions « à l'attention des personnes qui exerce légalement ce type d'actions. » Des sessions consacrées aux cyber-attaques font depuis longtemps parti des thèmes abordés à la conférence, mais jusqu'à présent, les sujets étaient essentiellement axés sur des tactiques permettant de tester les moyens de défenses. « Aujourd'hui, les techniques d'attaques sont traitées à part entière, » a t-il déclaré.

Une riposte cyber graduée ?


Entre temps, le ver Stuxnet a enrichi la bibliothèque des cyber-attaques, lesquelles sont par ailleurs de plus en plus portées à la connaissance du grand public. Comme cette intrusion l'an dernier dans les systèmes informatiques de Google, une action probablement menée par la Chine contre le géant de l'Internet. Le fondateur de Black Hat pense que la divulgation publique de ces attaques donne aussi plus de poids aux responsables de la sécurité informatique, qui peuvent désormais faire valoir auprès des dirigeants la réalité de certains incidents pour expliquer les risques encourus. Mais beaucoup reste à faire. Lorsque Stuxnet a mis hors de contrôle certaines centrifugeuses destinées à l'enrichissement d'uranium au sein de l'installation nucléaire iranienne, l'attaque a largement montré la vulnérabilité des systèmes de contrôle, y compris ceux utilisés dans diverses installations électriques à travers le monde.

Pour Franklin Kramer, ancien secrétaire d'Etat adjoint à la Défense dans l'administration Clinton, une cyber-guerre ne se limitera pas à un secteur en particulier et le gouvernement aura besoin de disposer de solutions diverses pour parer à ce type de menace. « Le premier niveau de réponse pourrait être diplomatique et le second économique, » a déclaré Franklin Kramer. Mais, un troisième niveau de réponse pourra être d'ordre cybernétique, ou «cinétique» comme disent les militaires quand ils évoquent une éventuelle action de ce type. L'ancien secrétaire d'Etat a également indiqué qu'une action militaire en réponse à une cyber-attaque ne pouvait pas être exclue des scénarios possibles. A ce propos, il a rappelé l'intervention menée en 1989 par les États-Unis au Panama, conduisant à l'arrestation de son dirigeant Manuel Noriega, condamné et emprisonné pour trafic de drogue, racket et autres charges. Franklin Kramer a également appelé à une plus grande collaboration sur les questions soulevées par les cyber-menaces. Celui-ci estime aussi que les responsables politiques devront examiner de près la question de savoir si la Security and Exchange Commission (SEC), le gendarme américain de la bourse, doit obliger ou non les entreprises à rendre publique leurs problèmes liés à la sécurité et à communiquer sur les solutions possibles pour se défendre de ces cyber-attaques, de manière à sensibiliser davantage encore à telle ou telle menace. « Je pense qu'il y a beaucoup à dire à ce sujet, » a conclu Franklin Kramer.

Crédit Photo : D.R

(...)

(19/01/2011 13:21:50)

SBP mise sur les réseaux sociaux pour recruter des développeurs

Crise ou pas, la filière développement reste l'une des plus courtisée du secteur informatique  Face à l'accroissement du numérique dans de nombreux domaines, les demandes des entreprises restent largement supérieures au nombre d'ingénieurs/développeurs disponibles sur le marché. Pour pallier à la tension rencontrée sur ce type de spécialité, les sociétés qui recrutent doivent faire preuve d'ingéniosité afin d'attirer un maximum de candidats. Au lieu de démarcher en utilisant les canaux traditionnels (job boards, sites d'emplois spécialisés et institutionnels), SBP, une entreprise spécialisée dans la délégation de personnel de profils web a décidé d'opérer un revirement vers le recrutement 2.0. Cette PME, qui compte cinquantaine de collaborateurs, espère repérer une centaine de spécialistes de la programmation et du développement en utilisant les réseaux sociaux Viadeo, Linkedin et Facebook, des sites de micro-blogging (comme Twitter) et également des blogs.

Peu de présence sur les sites d'emploi traditionnels

«La plupart des candidats potentiels sont en poste, expose Vincent Klingbeil, directeur commercial de SBP. Ils rechignent généralement à poster leur CV sur des sites d'emploi traditionnels car sur ces derniers, leur candidature serait trop visible. Nous avons donc choisi d'approcher des développeurs en direct via les sites communautaires ou sur des forums, espaces où ils sont particulièrement actifs. ».

Les profils recherchés par SBP sont des spécialistes de Zend et de PHP, en grande majorité,  des développeurs Java/J2EE .net. et également des administrateurs réseaux. Cette stratégie se traduira, en parallèle, par l'embauche d'une dizaine de community managers qui iront sourcer les candidats sur Internet. Désormais aux côtés des chargés de recrutements et des consultants ils seront chargés de scruter le web en se rendant sur différents sites et forums afin de dénicher des nouvelles recrues.  

(...)

(19/01/2011 11:14:07)

Apple : des résultats trimestriels en excellente santé

Le chiffre d'affaires a progressé de 71% par rapport au même trimestre un an plus tôt, tandis que les bénéfices ont augmenté de 78% à 6 milliards de dollars, ou 6,43 dollars par action souligne Apple. L'entreprise a vendu 4,13 millions de Mac au cours du trimestre, qui s'est terminée le 25 décembre, en hausse de 23% en glissement annuel. Les ventes de l'iPhone ont continué à un bon rythme de croissance avec 86% d'augmentation par rapport à l'an dernier à 16,24 millions d'unités. Sur l'iPad, Apple en a vendu 7,33 millions d'unités au cours du trimestre.

Dans un communiqué, Steve Jobs, qui vient de prendre un congé maladie a qualifié ces résultats de «phénoménaux», en soulignant le record des ventes de Mac, iPhone et iPad. Aucun commentaire supplémentaire sur les raisons de son retrait pour une durée indéterminée n'a été apporté. Cette annonce a inquiété les analystes et les marchés, qui apprécient peu le goût du mystère d'Apple autour de la santé de son PDG.

Pas d'inquiétude sur la concurrence dans les tablettes

Le marché des tablettes est dominéé par Apple, mais cela pourrait changer avec l'arrivée sur le marché de tablettes sous Android. Selon IDC, la firme de Cupertino dispose d'une part de 87,4% du marché mondial au troisième trimestre. Toutefois, la croissance cette année et au-delà proviendra de dispositifs basés sur Android et autres systèmes d'exploitation, selon IDC.

Néanmoins, Apple a prétendu ne pas être trop préoccupé par la concurrence. Certaines des tablettes proposées sont de tailles imparfaites, « si vous vous retrouvez avec un smartphone de grande échelle, cela est un produit étrange à nos yeux», a déclaré le CEO par interim Tim Cook et d'ajouter « d'autres ont des problèmes d'autonomie ou ont des moyens de saisie peu ergonomiques. Il ne s'agit pas de tablette, donc nous n'avons pas d'inquiétudes à leur sujet ». Sur la concurrence avec Android, le dirigeant a déclaré «nous sommes très à l'aise avec l'entrée en concurrence avec quiconque ». Les ventes de l'iPad pourraient avoir un impact négatif sur les ventes de Mac, mais Tim Cook ne le croit pas. « Nous n'assisterons pas à une certaine cannibalisation, mais je pense qu'il pourra y avoir un effet de halo», dit-il, ce qui signifie que quand une personne achète un produit Apple, ils achètent souvent d'autres produits de la marque.

Une adoption importante au sein des entreprises


Apple est satisfait de son adoption au sein des entreprises. L'iPad, lancé en avril, est utilisé ou mis à l'essai dans environ 80% des sociétés du classement Fortune 100, souligne Tim Cook. « C'est du jamais vu, du moins dans mon dialogue avec les entreprises depuis quelques années, dit-il. Les entreprises sont connues pour une approche plus prudente, dans l'attente de nouveaux produits pour être prouvée sur le marché avant de les utiliser. » En outre, Apple a indiqué que 88% des entreprises du même classement sont en train de tester ou de déployer des iPhones. Tim Cook considère la consumérisation IT au sein de l'entreprise comme une grande tendance.  « Je pense que la plupart des DSI visionnaires estime que la productivité et la créativité des employés sont sensiblement plus important si tout le monde utilise le même équipement », dit-il.

Enfin, la firme de Cupertino s'attend à ce que ses résultats pour le trimestre en cours gardent une croissance continue. Il prévoit des recettes de 22 milliards de dollars, comparativement à 13,5 milliards de dollars durant la même période l'an dernier. Le bénéfice par action devrait être de 4,90 dollars, a indiqué la firme.

Illustration: Tim Cook, CEO d'Apple par intérim

Crédit Photo: D.R
(...)

(19/01/2011 10:16:05)

Silver Peak arrive en France et se dote d'un responsable

Eric Leblanc vient de rejoindre le fabricant d'appliances réseaux d'optimisation WAN pour les data centers au poste de responsable France et Europe du Sud. Il a désormais pour mission d'assurer le développement commercial des solutions Silver Peak en France et en Europe du Sud en créant et développant un réseau de partenaires dans ces territoires.

Eric Leblanc apporte à Silver Peak 18 ans d'expérience dans les nouvelles technologies et le management au niveau international. Avant de rejoindre le spécialiste de l'optimisation WAN pour les datacenters, il dirigeait la société Need IT qu'il avait lui-même créée. Il a précédemment occupé différents postes de direction chez Packeteer, Radware et 3Com.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >