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(19/01/2011 10:14:10)

Défaillances d'entreprises IT, résultats contrastés pour 2010

En 2010, l'amélioration de la conjoncture économique se traduit également par une diminution du nombre de défaillances d'entreprises. Le cabinet Altares a en effet comptabilisé 5% de défaillances de moins qu'en 2009 pour l'ensemble de la France. Il s'agit clairement d'une inversion de tendances, car les trois années précédentes avaient été marquées par une augmentation du nombre de procédures (liquidations, redressements ou plans de sauvegarde). Malgré cette amélioration, le total des procédures reste d'environ 60 000.
Tous secteurs d'activité confondus, Altares constate que l'amélioration concerne tout d'abord les PME, qui avaient été les plus touchées au cours des trois années précédentes. Pour les entreprises de 100 à 199 salariés, la baisse du nombre de défaillances frôle ainsi 40%.

Les surprises des filières IT

En ce qui concerne le secteur informatique et télécoms, les situations restent très différentes, mais les principales victimes ne sont plus les mêmes. Les dégradations les plus fortes concernent en effet les services (notamment avec 10% de défaillances supplémentaires par rapport à 2009 pour les activités liées à la programmation). A l'inverse, les entreprises de négoce de produits IT sont quasiment les meilleurs élèves : 30% de défaillances en moins que l'année précédente. Ces évolutions demandent bien sûr à être modérées, dans la mesure où le nombre de défaillances dans la distribution IT avait atteint un niveau record en 2009, tandis que les entreprises de services avaient été comparativement épargnées. « Au-delà de ces chiffres, on peut considérer qu'il y a eu « deux » années 2010, explique Thierry Million, Responsable des Etudes chez Altares. Autant le premier semestre est resté médiocre, autant l'amélioration a été de plus en plus marquée durant la seconde moitié de l'année, et la diminution du nombre de défaillances a même dépassé 9% au dernier trimestre 2010 », conclut-il.

(...)

(18/01/2011 16:41:49)

Microsoft concurrence Salesforce.com sur son terrain

Voilà plusieurs mois que Microsoft prépare le marché français à l'arrivée de son application de gestion de la relation client en ligne, hébergée sur ses propres datacenters (*). Cette fois, Dynamics CRM Online est officiellement disponible, quatre mois après la mise à disposition de sa version bêta. Solution reposant sur une architecture multitenant, elle est directement concurrente de celle de Salesforce.com, leader mondial incontesté du CRM en ligne. Un rival qui a « ouvert les mentalités » dans ce domaine, a-t-on reconnu ce matin chez Microsoft France.

Comme annoncé, cette version « dans le cloud » précède de quelques semaines le produit à installer sur site, Dynamics CRM 2011, entièrement iso-fonctionnel. Par ce décalage de date, l'éditeur entend manifester une forte implication dans le cloud. Mais il conserve néanmoins deux modes de commercialisation pour son logiciel de CRM, afin de laisser le choix de l'un ou de l'autre à ses clients. Ceux-ci sont même invités à panacher les deux modes entre leurs différents utilisateurs, voire, à passer de l'un à l'autre au fur et à mesure de leurs évolutions. « Il y a une symétrie de développement entre les environnements cloud et 'on premise', souligne Sophie Jacquet, chef de produit chez Microsoft France. On peut mixer les proportions de consommation pour les modifier. » 
A noter que sur le marché français (notamment), la version sur site peut également être hébergée chez un partenaire.

Pas de mauvaise surprise sur le prix, assure Microsoft

Aux Etats-Unis, l'offre CRM en ligne de Microsoft existe depuis plus de deux ans. Elle tardait en revanche à arriver en Europe. Sa version bêta, proposée sur 40 marchés depuis septembre 2010, a été téléchargée par 11 500 clients. Lancée mondialement hier, l'application peut être testée gratuitement pendant 30 jours. Et pour tenter de mordre les talons de Salesforce.com, Microsoft propose un prix d'appel jusqu'au 30 juin prochain : 31 euros par utilisateur et par mois, avec un engagement de douze mois. « Sans mauvaise surprise », affirme Sophie Jacquet, en assurant que le logiciel peut s'utiliser tel quel, sans surcoût. Au-delà du 30 juin, le prix passera à 40,25 euros par utilisateur et par mois. En revanche, Microsoft ne fait encore pas d'offres préférentielles de migration pour attirer les clients de Salesforce.com vers son produit Online.             (.../...)

(*) Les datacenters hébergeant Dynamics CRM Online sont situés aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. Pour les clients français, l'éditeur s'appuie sur son site de Dublin.

Illustration : Tableaux de bord sur Dynamics CRM Online et interface Outlook pour les utilisateurs de la messagerie (crédit : Microsoft)[[page]]
L'un des intérêts de Dynamics CRM est de pouvoir s'utiliser avec le client de messagerie Outlook. Ce dernier permet notamment de travailler hors connexion sur les données clients, puis de les synchroniser de nouveau avec CRM Online à la connexion suivante. Néanmoins, Outlook n'est pas incontournable. Les utilisateurs qui n'en disposent pas sur leur poste de travail pourront se contenter de l'interface web de Dynamics CRM Online. Attention toutefois, le seul navigateur accepté est Internet Explorer (7, 8 ou 9). On peut aussi recourir à un add-on fourni par un partenaire pour se servir, par exemple, d'un client messagerie Lotus Notes. Par ailleurs, l'intégration avec les services bureautiques en ligne Office 365 est prévue pour ce premier semestre.

Microsoft Dynamics CRM Online
Cliquer ici pour agrandir l'image : le fameux « pipeline » servant à visualiser les opportunités de concrétisation d'affaires sur les prochains mois.

Des offres complémentaires sur la Marketplace

Parmi les nouveautés de Dynamics CRM Online, Sophie Jacquet met en avant les capacités de personnalisation accrue qui permettront aux grands entreprises d'adapter l'application aux flux métiers des grands comptes. A l'autre bout du spectre client, la nouvelle tarification rapproche le produit des PME, desquelles l'éditeur s'était un peu éloigné avec la version 4.0 de son logiciel de CRM. Au passage, la responsable produit rappelle que le logiciel est pré-paramétré dans différents domaines, mais que l'expertise sectorielle est laissée aux partenaires. L'accès à la Marketplace en ligne permet déjà de puiser dans des offres complémentaires. Parmi les apports de la CRM Online, Vincent Poncet, ingénieur avant-vente chez Microsoft, fait remarquer la multiplication des fonctions de reporting : « Les cockpits de pilotage sont omniprésents pour surveiller l'activité de CRM » (capture d'écran ci-dessus). Il rappelle aussi l'intégration avec les réseaux sociaux et les capacités de scripts avancées pour bâtir des scénarios, par exemple, pour qualifier les demandes sur la partie service client.

Logica suit un projet chez Servair

Partenaire privilégié de Microsoft sur sa stratégie cloud, Logica a déjà engagé des réflexions avec plusieurs clients autour de Dynamics CRM Online. Parmi eux figure notamment Servair (restauration pour les compagnies aériennes). « Nous procédons par atelier et au bout de trois semaines, il est déjà possible de montrer au client une application pilote qu'il peut utiliser », explique Jean-François Jarno, directeur associé de Logica Business Consulting. Il confirme par ailleurs que les entreprises intéressées par l'offre se penchent aussi sur les notions de réversabilité entre version online et version sur site.

Actuellement, la base installée de l'offre CRM de Microsoft, lancée depuis 2003, réunit 460 clients dans l'Hexagone. Elle en compte 23 000 dans le monde.

Illustration : Tableaux de bord en temps réel sur Dynamics CRM Online et interface Outlook
pour les utilisateurs de la messagerie (crédit : Microsoft) (...)

(18/01/2011 16:04:50)

L'optimisation WAN bénéficie au cloud computing

Une étude d'Aberdeen Group a constaté que les entreprises qui utilisent des techniques d'optimisation WAN bénéficieront de réduction de coûts. Dans le rapport, « Cloud Services Redefine the Need for WAN Optimization », le cabinet a déclaré que le coût moyen d'utilisation des services réseaux par employé dans un environnement de cloud computing est réduit de moitié par rapport à celui d'un employé sur site. En pourcentage, selon Aberdeen, cela représente une augmentation du coût pour un employé qui utilise le cloud de l'ordre de 3,9%, comparativement à une hausse de 5,8% pour un employé sur site.

En outre, l'étude a montré que l'optimisation des applications est amplifiée quand elle est appliquée à des environnements cloud. Par exemple, le cabinet d'analyse a constaté que ces technologies de type accélération ou compression sur un système de VoIP améliorent de 19% l'application en entreprise, mais de 30% lorsque l'entreprise utilise des services de cloud computing.

De plus en plus d'acteurs combinent optimisation et cloud

De plus, Aberdeen Group constate que l'optimisation WAN serait en mesure d'atténuer certains des risques liés à des domaines tels que la gestion de la complexité du système, la perte de données et la surveillance du réseau. En complément du rapport, on constate que la plupart des constructeurs intègrent dans leurs solutions réseaux des services d'optimisation d'applicatifs. De la même façon, les éditeurs de solutions d'optimisation se tournent vers le cloud, comme le montrent les annonces de Riverbed par exemple.

(...)

(18/01/2011 15:42:31)

Un chercheur prend le contrôle des smartphones, via le composant radio

Plus de trois ans après le piratage de l'iPhone, un expert en sécurité informatique pensent en effet avoir découvert une toute nouvelle manière de prendre le contrôle des téléphones mobiles. Cette méthode pourrait poser un vrai casse-tête aux constructeurs de smartphones. « Je vais démontrer comment utiliser la fonction du décroché automatique, active sur la plupart des téléphones mobiles, pour détourner un téléphone et en faire un système d'écoute illégale à distance » a déclaré le chercheur dans une interview.

Ralf-Philipp Weinmann affirme pouvoir y parvenir en cassant les données inscrites dans le processeur utilisé pour la transmission et la réception des signaux radio lorsque le téléphone communique avec le réseau cellulaire. Pour cela, le chercheur a identifié des failles dans le firmware, intégré dans les puces vendues par Qualcomm et Infineon Technologies, qui traite le signal radio des réseaux GSM (Global System for Mobile Communications), utilisés par la majorité des opérateurs de téléphonie mobile dans le monde. Jusqu'à récemment, les attaques contre les systèmes de téléphonie mobile visaient les programmes et les systèmes d'exploitation tournant sur le processeur de l'appareil mobile. C'est le cas par exemple, lorsque, en incitant une personne à visiter un site web malveillant, ils parviennent à tirer profit d'un bug du navigateur Internet présent sur le téléphone pour trafiquer dans la mémoire de l'appareil. Mais cette méthode ouvre un tout nouveau domaine de recherche.

Une attaque très technique

En travaillant sur le piratage de l'accès radio, les chercheurs en sécurité s'intéressent à une toute autre manière de s'introduire dans la mémoire du terminal. «  C'est comme faire tomber un rocher que l'on pensait ne jamais pouvoir renverser, » a déclaré Grugq - un hacker au pseudonyme connu et respecté dans le domaine de la téléphonie mobile, qui fait partie de ceux, peu nombreux, qui ont aidé à effectuer des recherches dans cette direction. « Il y a beaucoup de bogues cachés à ce niveau-là, » explique-t-il. « Il faut juste prendre le temps de les repérer.» Néanmoins, le piratage d'un smartphone via les composants radio reste très délicat, et c'est peu dire. En effet, le signal radio du mobile est transmis à une station de base. Aussi, dans l'attaque imaginée par Ralf-Philipp Weinmann, il faut en premier lieu installer un faux relais de téléphonie mobile, puis amener le téléphone cible à s'y connecter. Alors seulement, le code malveillant peut être introduit. Et même après cela, ce code infecté doit pouvoir s'exécuter sur le firmware en utilisant les failles des processeurs radio - un domaine inconnu de la plupart des hackers. « C'est une attaque très technique,» fait remarquer Don Bailey, un consultant en sécurité chez Isec Partners. Si, selon lui, le travail sur ce type de piratage est très excitant, il peut poser un jour un gros problème à l'industrie du téléphone mobile. Cependant, ce type d'attaque ne devrait pas rapidement représenter une menace selon lui.

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Mais la recherche dans ce domaine commence à peine à décoller, alimentée par le nouveau logiciel Open Source OpenBTS qui permet, à pratiquement n'importe qui, de créer sa propre sa station de base cellulaire avec un budget de 2 000 dollars en matériel informatique. Il y a seulement cinq ans, les fabricants de téléphones n'avaient pas à se soucier de ce type de piratage, car il fallait des dizaines de milliers de dollars pour mettre en place une telle infrastructure cellulaire. Mais OpenBTS a modifié la donne. « Maintenant, les données du problème sont complètement différentes, » explique Don Bailey. Et le jeu est aussi très risqué. Aux États-Unis, les lois fédérales sur l'écoute électronique interdisent d'intercepter les appels téléphoniques sur les fréquences autorisées et utilisées par les téléphones mobiles. Au mois d'août dernier, les avocats de l'Electronic Frontier Foundation ont dû, à la dernière minute, mener d'intenses négociations avec la Federal Communications Commission, pour que le chercheur en sécurité Chris Paget puisse faire la démonstration d'un système d'interception de communications téléphoniques mobiles lors de la conférence Defcon de Las Vegas, consacrée au piratage informatique.

Un défi qui se poursuit

Dans deux mois, une autre conférence de hackers, CanSecWest qui se tient chaque année à Vancouver, mettra des hackers au défi de pirater des téléphones mobiles en utilisant un émetteur de faible puissance. Dragos Ruiu, l'organisateur de la conférence, indique que, au Canada, même si le sujet reste délicat, les lois concernant la radiodiffusion sont «plus souples,» ce qui permet aux chercheurs qui effectuent des recherches dans ce domaine de monter des tours de faible puissance. « L'an dernier, nous étions inquiets de contrevenir aux lois fédérales», dit-il. « Cette année, nous avons trouvé une méthode sécurisée qui empêche de s'introduire dans le téléphone mobile d'un quelconque participant à la conférence. » L'organisateur s'attend à des résultats intéressants au concours Pwn2Own, qui récompense les gagnants en espèces. « Il semble que les composants radio des téléphones soient en effet très fragiles et très vulnérables. »

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(18/01/2011 14:55:52)

Les entreprises gaspillent toujours autant de papier

En France, les entreprises peinent à adopter les technologies qui leur permettraient d'optimiser leurs coûts d'impression. Tel est le principal enseignement d'une étude menée par le fabricant d'imprimantes Oki auprès de 1 740 professionnels dans 16 pays européens, dont 240 entreprises françaises.  L'enquête montre d'abord que dans l'Hexagone, plus de 72% des utilisateurs ne connaissent pas la politique d'impression de leur entreprise. Ainsi, 64,5% des personnes interrogées pensent qu'il n'existe pas de règles internes dans ce domaine, et 7,6 % avouent n'en avoir aucune idée. Seules 27,9% des entreprises sondées savent que  des règles s'appliquent pour le recto-verso ou la couleur par exemple. En outre, ils ne sont qu'un peu plus de 16% à imposer l'indication « réfléchissez avant d'imprimer » dans leurs  emails.

20% des entreprises n'utilisent pas le recto-verso

Le document révèle également que près de 20% des professionnels externalisent leurs travaux d'impression par manque de temps, en faisant appel à des sous-traitants pour éditer des cartes de visite, des brochures des posters ou des bannières, alors qu'ils pourraient aisément les éditer en interne. De plus, près d'une entreprise sur  cinq n'utiliserait quasiment jamais la fonctionnalité recto/verso. Pourtant, 36,1% des sondés déclarent posséder des imprimantes capables de publier des documents dans ce mode et ont donc les capacités de véritablement réduire la consommation de papier. Même constat pour les éditions couleur avec 20% d'utilisateurs qui déclarent ne jamais utiliser cette fonction. Enfin, à la question « quel serait le premier changement que vous effectueriez dans le processus d'impression ? », 31,3% des personnes interrogées souhaitent une imprimante capable de prendre en charge différents types de papier. Pour 28%, l'ajout de capacités multifonctions (imprimante/photocopies/scanner/fax) serait un plus indéniable.

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