Flux RSS

108538 documents trouvés, affichage des résultats 5301 à 5310.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/01/2011 12:50:59)
EMC étoffe ses solutions Data Domain avec les DD860 et DD890
Comme annoncé depuis plusieurs semaines sur son site web, EMC a commencé à dévoiler ses nouvelles solutions de stockage et de déduplication. Après les baies de stockage NAS VNX, également connues sous le nom de code Neo, et avant les Symmetrix, le constructeur renouvelle ses systèmes de dédup Data Domain milieu et haut de gamme. Au programme amélioration des performances, avec l'adoption de puces Intel Nehalem, et du volume de stockage, avec l'intégration de disques de plus grande capacité. La société a également annoncé le Data Domain Archiver, pour sauvegarder en ligne et conserver à long terme (90 jours et plus) des données.
La solution Data Domain Archiver peut traiter jusqu'à 9,8 téraoctets de données par heure et stocker un maximum de 768 To en capacité brute, soit un total de 28,5 pétaoctets dédupliqués, selon Rob Emsley, directeur marketing de la division Backup Recovery Systems chez EMC. Le DD Archiver supporte tous les outils Data Domain, y compris le DD Replicator, une application de réplication des données capable de copier des fichiers entre des appliances Data Domain, et le logiciel DD Retention Lock , qui sauvegarde les fichiers dans un format non réinscriptible et non effaçable.
«Nous avons introduit une routine dans le Data Domain Archiver pour s'assurer que
quelque que soit l'âge des sauvegardes, par exemple plus de 90 jours, nous déplaçons en bloc les données associées vers d'autres parties du système de stockage ou dans d'autres couches » explique Rob Emsley. « Nous remplissons les bacs de stockage avec les archives et nous les scellons pour les garder disponible en ligne, pas à partir de bandes, mais bien à partir de disques. »
EMC rafraichit ses DD880 et DD690 avec les DD890 et DD860
Le constructeur remplace également sa baie haut de gamme DD880 par la DD890, qui repose sur un contrôleur équipé d'un processeur Intel Nehalem, ce qui permet à cette boite de traiter jusqu'à 14,7 To par heure. Son prédécesseur travailler à une cadence maximale de 8,8 To
par heure. Le DD890 a maintenant une capacité brute totale de 384 To, soit deux fois celle du DD880 (192 To). Grâce à son algorithme de déduplication, l'appareil est capable - en théorie - de stocker jusqu'à 14,2 pétaoctets de données, précise Rob Emsley.
La DD860 qui vient remplacer la DD690, repose quant à elle sur un contrôleur équipé d'un processeur Intel Westmere ce qui lui permet d'absorber jusqu'à 9,8 To de données par heure. Le dispositif de déduplication offre une capacité brute de 192,2 To. Son prédécesseur gérait jusqu'à 1,1 To de données par heure et pour une capacité maximale de 48 To. Avec la déduplication, la DD860 pourrait théoriquement stocker jusqu'à 7,1 pétaoctets de données. Rob Emsley précise que cette mise à niveau signifie que plus d'utilisateurs peuvent être protégés plus rapidement. «De toute évidence, si vous parlez de sauvegarde, les questions de vitesse font la différence. Avec la réduction du temps disponible pour la sauvegarde, plus la capacité de traitement en téraoctets par heure est importante, plus les systèmes peuvent jouer leur rôle de protection », a-t-il dit.
Mise à jour GDA disponible pour la DD890
Les DD860 et DD890 sont équipés d'un contrôleur unique supportant des grappes de disques SATA pour une capacité maximale respective de 7,1 et 14,2 pétaoctets de données. Le constructeur annonce également pour ces deux baies la disponibilité de la mise à jour matérielle GDA (Global Deduplication Array) proposée en avril dernier pour le DD880. Cette upgrade repose sur un double contrôleur en configuration GDA (Global Deduplication Array). Ainsi équipée, lae DD890 double sa capacité de stockage (570 To max) et son débit (jusqu'à 26,3 To par heure ).
La mise à jour GDA ajoute également le support pour les bibliothèques de bandes virtuelles (VTL), où les grappes de disques prennent en charge la sauvegarde. Le GDA travaille comme périphérique cible du VLT, ce qui lui permet d'agir comme une unité de sauvegarde à long terme. La première mouture de la GDA pouvait être utilisée avec les logiciels de sauvegarde Symantec NetBackup et EMC NetWorker. « Aujourd'hui, le GDA supporte également IBM Tivoli Storage Manager, car il prend en charge le VTL » précise encore Rob Emsley. Ce dernier signale encore que le GDA prend également en charge des produits IBM série i, anciennement connu sous le nom AS/400. « Aujourd'hui, un client peut envisager d'utiliser les Data Domain avec ses systèmes ouverts comme avec les systèmes i d'IBM ».
Pour les tarifs, le DD890 sans capacité de stockage émarge à 300 000 $. Le DD860 a un prix de départ de 160 000 $. Le ticket d'entrée du DD Archiver, qui se compose de son contrôleur et grappe de disques, démarre à 222 000 $.
Facebook livre les numéros de mobiles et les emails de ses abonnés (MAJ)
(MAJ*) Expliquant sa décision dans un billet de blog, Facebook précise que les développeurs d'applications seront en mesure d'accéder aux informations de contact seulement si l'utilisateur l'y autorise. Le site de réseau social ajoute par ailleurs avoir créé de nouveaux paramètres d'autorisation pour permettre ce transfert. Il souligne également que « l'accès et l'utilisation de ces données est régie par les règles régissant la plateforme. » En l'occurrence, le volet n°3 stipule « une politique de confidentialité qui impose d'avertir les utilisateurs sur la nature des données personnelles utilisées et comment celles-ci seront exploitées, rendues publiques, partagées, ou échangées. » La règle 6 interdit aux développeurs « de transférer directement ou indirectement des données émanant du réseau social, y compris les données utilisateur ou les ID utilisateur de Facebook, à une régie publicitaire, des plateformes d'échange, un courtier en informations, ou vers des systèmes connexes impliquant une publicité ou une monétisation, même dans le cas où l'utilisateur consent à un tel transfert ou à un tel usage. »
Une menace réelle
Mais pour Graham Cluley, expert en sécurité chez Sophos, ce choix « pourrait accroître le niveau d'exposition des utilisateurs de Facebook. » Celui-ci rappelle que les cybercriminels ont déjà fait leurs preuves et montré leur capacité à tromper les victimes pour récolter des informations personnelles sensibles. « Il va devenir plus facile que jamais pour des développeurs d'applications inconnus de recueillir encore plus d'informations personnelles sur les utilisateurs. On peut imaginer, par exemple, que des individus mal intentionnés mettent en place une application malveillante uniquement pour récolter des numéros de téléphone mobile afin de les utiliser ensuite pour du spamming par SMS ou de vendre ces données à des entreprises pour du cold calling (ou appels à froid), » écrit l'expert de Sophos. « La possibilité d'accéder à ce type de données personnelles accroit les risques de vol d'identité, » conclut-il.
*Dernière minute : Facebook a décidé de suspendre la délivrance des données personnelles (adresse postale et coordonnée téléphonique) à l'attention des développeurs. Le site de réseau social souhaite réfléchir pour mieux communiquer auprès des utilisateurs et améliorer les boîtes de dialogue invitant à partager leurs informations privées.
(...)(18/01/2011 10:50:46)Bosstoboss.fr cible l'achat et la revente de matériel professionnel
Après 6 premiers mois d'activité en tant que plate-forme de mise en relation directe entre vendeurs et acheteurs d'entreprises, Bosstoboss.fr propose aux internautes un nouveau service de vente et de rachat de matériel professionnel. Qu'il s'agisse de se débarrasser d'un surplus de matériel ou de libérer de l'espace, le système permet aux cédants d'accélérer leurs recherches d'acheteurs. Ce service à la disposition des particuliers et des professionnels concerne aussi bien du matériel neuf que d'occasion, quel que soit sa nature : menuiserie, transport, informatique, impression, électricité, agriculture, commerce... Chaque transaction est accompagnée d'un service diagnostic avant-vente et d'un service d'accompagnement tout au long de la transaction.
Bosstoboss.fr a également mis en place l'opération « Première installation ». Les internautes cèdent leur matériel pour 1€ symbolique afin de se débarrasser facilement de tout matériel encombrant tout en soutenant les jeunes entrepreneurs. Toutes les annonces sont diffusées sur le réseau européen de Bosstoboss.fr. L'entreprise est en effet basée au Luxembourg et implantée en France, en Suisse et Belgique. Le site revendique plus de 3 000 visiteurs par jour.
Spécialisation en systèmes embarqués Linux pour Eurogiciel à Rennes
Rennes. Elle se distingue toutefois en remplissant un double rôle. D'action auprès des clients, comme toute autre agence, dans l'informatique de gestion (avec des technologies Java, J2EE, Dot.net et majoritairement avec des méthodes agiles). De développement en informatique industrielle, et particulièrement sur systèmes embarqués Linux, un pôle national Eurogiciel basé à Rennes.
L'agence est ambitieuse, elle compte 4 personnes, en recrutera 10 cette année et se voit à terme aux alentours de 100 collaborateurs.
Off-shore : les leçons à retenir de la crise tunisienne
« Nous n'avons pas de chiffre mais l'externalisation IT vers le Maghreb reste modeste » juge Jean-Paul Binot, président de la commission Global Sourcing de l'EOA (European Outsourcing Association France). Pour lui, « l'exposition aux risques locaux des entreprises françaises est marginale. Le Maghreb est surtout une destination pour les centres de contact B2C et il y a très peu, dans ces pays, de développement ou de BPO [Business Process Outsourcing, externalisation globale de processus métier, NDLR]. » Les risques sont donc limités et les solutions de replis aisées. Il en serait tout autrement en cas de crise majeure en Inde (comme une guerre avec le Pakistan par exemple). Les risques liés à la Tunisie semblaient être connus depuis des années, tant des entreprises françaises que du gouvernement aujourd'hui renversé. Jean-Paul Binot se souvient d'une conversation qu'il avait eu avec un officiel qui lui avait avoué : « le défi de la Tunisie est de fournir des emplois pour occuper une main d'oeuvre abondante, jeune et qualifiée ».
Des leçons à retenir pour l'off-shore, à commencer par le global sourcing
Doit-on fuir la Tunisie pour toute externalisation et trouver des solutions de replis ? Pour Jean-Paul Binot, la situation va rapidement se stabiliser et, surtout, « aider la Tunisie passe par l'encouragement au vrai near-shoring dans ce pays ». La crise tunisienne aura au moins l'avantage de rappeler que tout off-shore, même le near-shore, comporte une part non-négligeable de risques. « Des pays comme l'Ile Maurice ont su tirer parti de leur stabilité politique, du fait que c'était un état de droit, pour attirer les investissements » rappelle Jean-Paul Binot. Pour lui, « le risque politique est associé à l'off-shore car les pays de destinations sont des pays à bas coût, par nature peu stables politiquement ou socialement. Même l'Inde, la plus grande démocratie du monde, connait ses crises... » (...)
Quand, en France, quelques centimètres de neige peuvent paralyser le pays, il faut aussi se rappeler que les pays à bas coût sont soumis à des phénomènes naturels sans commune mesure : tremblements de terre, raz-de-marée, mousson, ouragans... « Le global sourcing [une politique d'acquisition répartissant les achats au niveau mondial, NDLR] repose d'ailleurs sur la prise en compte des différents risques, la répartition des investissements entre les zones afin de diminuer l'exposition à un incident localisé et enfin sur la prévision de plans de secours en cas de problème » rappelle Jean-Paul Binot. Comme toujours, le moins-disant en terme de prix n'est pas toujours le meilleur choix. Un moins-disant dans une zone à forts risques peut, au final, coûter très cher.
Mais tout conserver en France ne réduit pas forcément tous les risques à zéros. Jean-Paul Binot indique ainsi : « quand on fait une analyse de risques sérieuse en France, ce n'est pas triste. Une simple crue majeure de la Seine aurait bien plus de conséquences sur l'économie française que les évènements en Tunisie. »
Illustration principale : Jean-Paul Binot, président de la commission Global Sourcing de l'EOA (European Outsourcing Association France), crédit photo D.R.
ToIP en entreprise, une adoption en demi-teinte en 2010
Grande conclusion de cette étude, en 2010, les acheteurs potentiels ont retardé leurs investissements en IPBX. Et ce, contrairement à l'édition précédente, 2009 située en période de crise, qui montrait une progression de l'investissement en ToIP(**). Les intentions de fin 2009 ne se sont donc pas traduites en décision. 2010 dessine un marché plus atone, comme si la crise jouait à retardement. « Les entreprises naviguent encore à vue, 2011 devrait montrer un rattrapage et des investissements à hauteur de ceux de 2009, les intentions d'investissement restant relativement élevées, mais tout cela reste à confirmer » analyse le Directeur du cabinet Scholé, Nicolas Amestoy et d'ajouter « les entreprises progressent d'ailleurs rarement de façon linéaire et planifiée, mais plutôt site après site, étape par étape ». L'étude Scholé montre d'ailleurs où se situent les intentions d'achat. En matière d'IPBX, par exemple, ces futurs clients sont des entreprises multi-sites, de plus de 500 salariés ou de 50 à 249 salariés.
Autre confirmation de la stagnation du marché, le chiffre global d'entreprises en ToIP reste le même en 2010 qu'en 2009 : 26%. Logiquement, les trois quart des entreprises françaises constituent donc une cible. Toutefois, la progression globale de la ToIP en France a atteint certaines limites. Plusieurs facteurs l'expliquent.
PME et les TPE sont très mal informées
La communication n'a pas éclairci le sujet. Les PME et les TPE sont très mal informées. Certaines sont équipées en ToIP sans le savoir. Elles reconnaissent des services avancés sans savoir qu'ils sont issus de la ToIP. Outre cette mauvaise communication, l'existant joue son rôle de frein. L'opérateur historique a habitué le client français à une certaine qualité de service (communication non interrompues, absence d'échos ). La ToIP a du mal à proposer une qualité supérieure, en France du moins. C'est pourtant par les services et la qualité de ces services qu'elle peut faire la différence.
La ToIP connaît d'ailleurs un indice de satisfaction encore limité : 71% des entreprises interrogées jugent cette qualité aussi bonne que celle des communications traditionnelles, 11% la trouvent meilleure, mais 18% la situent moins bonne que celle des communications traditionnelles ! Et le retour sur investissement n'est pas le critère de satisfaction principal : 40% de entreprises le jugent tout à fait satisfaisant, 32% a peu près satisfaisant, 7% pas du tout, 21% restent sans réponse.
Globalement, sur un ensemble de 435 000 entreprises, l'étude montre que 86% des entreprises disposent d'une solution de communication. 68% ont un PBX, et 39% une box adsl, ce sont les choix principaux. Deux alternatives, les logiciels de téléphonie, situés à 6%, l'IP centrex a 2% complètent le tableau. 14% des entreprises interrogées assurent n'avoir aucune de ces solutions, 6% n'en savent rien. Autres caractéristiques : Ils ont déjà un ou plusieurs sites équipés, leur PBX est hors d'âge (neuf ans ou plus, donc le renouvellement est proche), ils ont l'intention d'acheter un routeur, et pour les plus grandes, sont vouées aux liaisons spécialisées. Autant de critères intéressants pour les prestataires.
(*) 1 600 établissements interrogés par téléphone, 700 de 6 à 49 salariés, 750 de 50 à 499, 150 de 500 et +.
(**) La ToIP s'entend au sens large : box adsl (pro pou grand public), Pabx et routeur, IPBX, IP centrex, logiciels de téléphonie.
(...)(18/01/2011 12:13:18)SAP réorganise ses directions opérationnelles au niveau mondial
L'éditeur allemand SAP vient d'annoncer plusieurs promotions au sein de son encadrement global pour, dit-il, simplifier la structure de sa société et accélérer sa vitesse d'innovation. Ainsi José Duarte (en photo), qui était jusque-là président de SAP pour la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), devient président de l'activité Services à l'échelle mondiale. Ses responsabilités englobent les entités SAP Consulting, SAP Education, SAP Custon Development et SAP Maintenance Go-to-Market.
Prenant la suite de José Duarte, c'est désormais Franck Cohen qui présidera SAP EMEA. Il assurait jusqu'à cette date la direction des opérations de cette zone géographique.
Franck Cohen, président de SAP EMEA
Eric Duffaut est nommé président des réseaux de distribution et de l'écosystème, au niveau mondial (Global Ecosystem & Channels). A ce poste, il est chargé des relations avec l'ensemble des partenaires, intégrateurs, éditeurs de logiciels, revendeurs et OEM. Ses attributions incluent la place de marché EcoHub, ainsi que l'équipe chargée de commercialiser l'offre Business ByDesign (solution de gestion « dans le cloud » pour PME) qui doit renforcer son réseau de partenaires revendeurs.
Les équipes d'Eric Duffaut (ci-dessus) se concentreront notamment sur le développement de la co-innovation avec les partenaires et l'extension des approches de vente multicanales sur tous les segments de clientèle (des PME aux grandes entreprises). SAP entend améliorer sa couverture du marché.
La responsabilité des ventes mondiales est confiée à Robert Enslin, qui était jusqu'alors président de SAP Amérique du Nord. Il est remplacé à la tête des activités américaines par Robert Courteau. Enfin, Sanjay Poonen devient président de Global Solutions Go-To-Market ce qui couvre notamment les solutions analytiques et d'optimisation des performances, de la Business Intelligence et de l'EIM (Enterprise Information Management), de la gestion du risque et des solutions par industries A ce poste, il rendra compte conjointement aux deux co-PDG, Bill McDermott et Jim Hagemann-Snabe.
Illustration : José Duarte, désormais président de l'activité Services de SAP au niveau mondial (crédit photo : SAP) (...)
Les directeurs financiers des entreprises cloud ready ?
Sans grande surprise, les systèmes de comptabilité financière sont les applications que les directeurs financiers ont le plus réticence à voir dans le cloud. Ils sont 37% à ne pas souhaiter la disparition de ces applications au sein de l'infrastructure de leur entreprise, comparativement à 13% qui ne souhaitent pas voir leur site web supprimé. Toutefois, les directeurs financiers sont toujours très désireux de voir leurs sociétés aller vers le cloud - près des trois quarts d'entre eux voudraient sortir les datacenters de leur bilan - mais elles ne sont pas pressés, seulement un quart des répondants s'attendent à ce que cela se produise dans les cinq prochaines années.
Pas uniquement le ROI
Et, contrairement aux affirmations selon lesquelles les coûts sont le principal moteur pour le déploiement du cloud, l'enquête a révélé que la plupart des directeurs financiers sont à la recherche d'un fournisseur de services garantissant de la résilience et la protection des donnée plutôt qu'un impressionnant ROI (Retour sur Investissement). Keith Tilley, directeur général Royaume-Uni et vice-président exécutif Europe de SunGard Availability Services, a déclaré: « lorsque vous sélectionnez un fournisseur de cloud, il semble, à l'heure actuelle, que la garantie de la résilience et la sécurité des données est beaucoup plus important que d'atteindre un significatif retour sur investissement. Bien que cette prudence est tout à fait légitime, déplacer vos données ou l'infrastructure informatique dans le cloud ne devraient pas nécessairement être considérés comme un risque, bien au contraire »
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |