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(17/01/2011 16:54:41)

Centres d'appels en Tunisie : cellule de crise chez Orange

L'activité des centres d'appels délocalisés en Tunisie s'est trouvée perturbée ces derniers jours, en particulier vendredi dernier, jour de grève générale. Ce jour-là, certains clients de la hotline d'Orange ont dû différer leur demande d'assistance, les téléconseillers avec lesquels ils étaient entrés en contact s'étant vu contraints de regagner leur domicile plus tôt que prévu en raison du couvre-feu. Les centres de Téléperformance, l'un des prestataires sous-traitants de l'opérateur national français, ont dû fermer à partir de 15 heures ce vendredi, explique Sébastien Crozier, élu de la CFE-CGC/Unsa au Comité Central d'Entreprise de France Télécom. Le syndicaliste souligne le rôle de plus en plus important que ces sous-traitants jouent dans les relations entre les opérateurs de téléphonie et leurs clients. Selon un communiqué de la CFE-CGC & Unsa Télécoms, « la part d'appels traités en Tunisie représente de 5 à 15% du nombre d'appels total des opérateurs impactés ».

Concernant l'assistance technique internationale portant sur les abonnements Internet Orange, la Tunisie prend en charge 9% des appels des clients en France, précise un porte-parole du FAI. Il explique que « des mesures d'urgence ont été prises qui passent par la mobilisation des équipes de formation en France. Les formateurs sont au téléphone, les managers également. » Par ailleurs, les opérations programmées de mise à jour de Live Box ont été annulées afin d'éviter que celles-ci ne génèrent des appels supplémentaires. Malgré tout, les temps d'attente peuvent être un peu plus longs, reconnaît le porte-parole de France Télécom.

Délocaliser au nom de la réduction des coûts

« Ce matin, tout le monde est sur le pont sur le plateau des téléconseillers, confirme de son côté Sébastien Crozier, de la CFE-CGC/Unsa. Toutes les activités annexes sont suspendues. Dans le courant de l'après-midi, nous allons très certainement recourir aux heures supplémentaires pour désengorger le stock d'appels qui n'a pas été pris par la Tunisie ». Evoquant les problèmes ainsi engendrés, le syndicaliste rappelle que la délocalisation, en particulier l'activité dominicale des centres d'appels (entraînant le paiement de salaires plus élevés), a été faite « au nom de la réduction des coûts ». Pour autant, il ne disconvient pas de l'impératif de créer des emplois dans des pays comme la Tunisie au moyen d'investissements structurés. Il rappelle que les centres d'appels tunisiens sont connus pour la qualité de leur personnel, eu égard au niveau d'études et de diplômes des téléconseillers.

Orange Tunisie, 800 000 clients à servir

Chez France Télécom, on rappelle que, sous le nom d'Orange Tunisie, le groupe est également opérateur de télécommunications dans le pays. Il compte 1 100 collaborateurs sur place et 800 000 clients. « Dès jeudi, nous avons mis en place une cellule de crise à Tunis qui assure, dans un lieu protégé, la supervision du réseau tunisien. Les services Internet et de téléphonie fixe et mobile sont assurés pour nos clients », indique son porte-parole qui explique que les équipements fonctionnent avec des équipes techniques réduites qui sont près du coeur de réseau. Les principaux problèmes de sécurité se posent le soir. Le personnel ne travaille que jusqu'en début d'après-midi, en raison du couvre-feu et des problèmes de transport et d'approvisionnement.

Pour réagir en fonction du déroulement des événements, la cellule de crise mise en place par France Télécom se réunit deux fois par jour pour faire le point. « Il semble qu'il y ait aujourd'hui un petit retour à la normale. Des centres d'appels ont été ouverts chez certains prestataires », indique le porte-parole d'Orange interrogé.
De son côté, l'élu de la CFE-CGC/Unsa Sébastien Crozier affirme que, pour l'instant, France Télécom est de toute façon « à même de faire face, en France, avec son personnel ». Si la situation perdure, des mesures seront mises en place.

Source illustration : www.emploi.gov.tn

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(17/01/2011 16:43:13)

24 villes TIC reçoivent le label "5 @"

Fondé en 1999 par l'association Villes Internet, ce label est le pendant high-tech des Villes et villages fleuris, distinction récompensant le fleurissement des communes françaises. Les villes sont ici labellisées d'un certain nombre d'arobases (5 au maximum) en fonction de leurs initiatives en faveur de la démocratisation des TIC auprès de leurs citoyens (accès des TIC au public, utilisation des outils numériques dans la vie locale, etc.). Cette année, 52 villes ont été labellisées 4 ou 5 arobases, soit 12 de plus qu'en 2010. 24 villes ont reçu 5 @, et 28 ont décroché 4@. En tout, 303 communes ont été couronnées "Ville Internet 2011".

Toutes les régions sont représentées, notamment l'Ile-de-France, Rhône-Alpes et Nord-Pas-de-Calais, qui regroupent à elles seules la moitié des villes récompensées. A noter, 64 villages de moins de 3.000 habitants font partie des lauréats cette année.

La ville de Saint-Médard-en-Jalles, organisatrice de l'édition 2011, a ainsi été récompensée de 5 @ pour son action en faveur des logiciels libres. La ville a par exemple fait l'acquisition de 60 ordinateurs fonctionnant sous Linux Ubuntu et participe au projet pilote européen Isac 6+, visant à développer un nouveau moteur de recherche intelligent.

 

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(17/01/2011 16:35:52)

Cegid crée six clubs utilisateurs

Cegid a décidé d'impliquer ses clients dans l'évolution de leurs solutions technologiques en mettant sur pied six clubs utilisateurs. Destinés à répondre aux besoins des entreprises sur des processus liés à la vente, aux achats et à la gestion comptable et financière, ces espaces  visent à renforcer le dialogue et le partage autour de différentes offres fonctionnelles et métiers de Cegid. Le club U Finance sera dédié aux outils de comptabilité et de gestion des immobilisations, U Consolidation portera sur les offres de consolidation statutaire et de reporting de gestion, tandis qu'U Performance Management sera centré sur les solutions d'élaboration budgétaire proposées par l'éditeur.
Le Club U Fiscalité abordera  l'ensemble de la gamme fiscale éditée par Cegid, U Négoce permettra aux utilisateurs d'échanger autour du logiciel de gestion commerciale et de ses différents modules, tandis qu'U Service sera consacré aux solutions à destination des sociétés de services via l'application « gestion d'affaires ».

Illustration : l'an dernier, le club utilisateurs Cegid Manufacturing avait réuni plus de 110 industriels et partenaires. Crédit photo : Cegid
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(17/01/2011 16:16:23)

Steve Jobs de nouveau en arrêt maladie

On n'en saura pas beaucoup plus sur les problèmes de santé (ancien ou nouveau) de Steve Jobs, mais le message envoyé aux employés d'Apple indique que le conseil d'administration lui a accordé un congé maladie pour se soigner. Le message continue par le fait qu'il demeure PDG et continuera à s'occuper de la stratégie de la firme de Cupertino. La gestion des affaires courantes est déléguée à Tim Cook, qui assuma également ce rôle lorsqu'en janvier 2009, Steve Jobs avait arrêté de travailler pour soigner un cancer du pancréas. Il avait subi une greffe du foie et était revenu aux affaires en juin 2009. Aucune date de retour n'a été donnée par le patron charismatique, mais un simple souhait respecter sa vie privée...

Interrogé par la rédaction, un membre du personnel d'Apple nous a simplement indiqué qu'ils avaient été très surpris par ce mail et qu'aucune rumeur interne ne faisait état d'une rechute de Steve Jobs. Ce mail "laconique" engendre également de grandes craintes sur l'avenir de leur PDG.

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(17/01/2011 16:12:31)

Symantec dévoile des appliances de dédup et de stockage

Les baies de stockage reposant sur les plates-formes NetBackup 5200 et FileStore 5.6 N8300, arrivent avec une application Symantec préchargé. «La commodité est un facteur  essentiel», souligne Colin Davitian, directeur de la ligne de produits chez l'éditeur, qui poursuit en expliquant qu'il est nécessaire de réduire la durée et le travail de configuration initiale.

L'appliance NetBackup 5200, basée sur le logiciel NetBackup 7, est une solution de sauvegarde et déduplication d'une capacité de 32 To utilisables en déduplication à la source ou vers la cible. La capacité de traitement en dédup monte jusqu'à 10,5 To/ h, selon Peter Elliman, directeur marketing produit chez Symantec.  « Le moteur de déduplication et les disques sont regroupés dans une boîte » ajoute-t-il. Il est possible de gérer cette appliance depuis une console unique comme pour tous les produits NetBackup et utiliser à l'aide de l'agent NetBackup. Des études récentes de Symantec sur les besoins des entreprises indiquent qu'elles gèrent des données de plus en plus importantes et que 75% des ces informations doivent être conservées de façon indéfinie, précise Peter Elliman. Ce dernier poursuit en expliquant qu'il semble y avoir une forte volonté manifeste de stocker des données même quand aucun cadre juridique spécifique ne l'oblige.

Stockage cloud ou NAS

De type NAS, l'appliance FileStore 5.65 N8300 est destinée à un usage cloud ou comme solution de stockage principale en complément du Symantec Enterprise Vault. En plus de rendre son déploiement plus facile, l'éditeur affirme que tous les problèmes de dépannage 
seront plus faciles à régler avec un seul fournisseur. « Vous ne n'achetez pas l'archivage à un  fournisseur et le stockage à un autre», ajoute sûr de son argument David Davitian. Une autre caractéristique du FileStore N8300, dont la capacité de stockage maximale peut atteindre jusqu'à 2 pétaoctets de données dans un cluster unique, est l'intégration de la solution antivirus de Symantec. Le coût additionnel étant couvert dans le contrat de support matériel.

Dans les prochains mois, l'éditeur a prévu de rapprocher les solutions FileSore et Enterprise Vault, voire même de les fusionner dans une seule  plate-forme. Mais Symantec a également précisé son intention de continuer à vendre Enterprise Vault comme un produit distinct.

 

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(17/01/2011 14:15:42)

Microsoft offre aux développeurs une version gratuite d'IIS

« La version IIS Express 7.5 qui combine les points forts de IIS 7.5 et la souplesse des capacités du serveur web, permettra aux développeurs de mieux travailler pour développer et tester des applications web sur Windows, » a indiqué Microsoft. « Ainsi, pour travailler sur des projets de type ASP.Net Web Forms et ASP.Net MVC, IIS Express 7.5 requiert le téléchargement de moins de 5 Mo de données et ne nécessite pas de compte administrateur pour exécuter ou déboguer des applications à partir de Visual Studio, » a déclaré Scott Guthrie, vice-président de la division développeurs de Microsoft. Le produit offre toutes les fonctionnalités nécessaires d'un serveur web, y compris le protocole SSL, la réécriture d'URL (URL Rewriting), et d'autres modules IIS 7.x. « Nous pensons que IIS Express allie la facilité d'utilisation du serveur web ASP.Net (connu aussi sous le nom de Cassini), actuellement intégré dans Visual Studio, à la puissance de IIS, » a-t-il commenté. Téléchargeable sur le site de Microsoft, IIS Express 7.5 peut être installé côte à côte avec un serveur web IIS complet et le serveur ASP.Net Development. Il fonctionne sous Windows XP et les systèmes d'exploitation suivants.

Des outils pour faciliter les tests

Cette plate-forme est disponible dès cette semaine
, en même temps que ASP.Net MVC 3 et l'outil de développement WebMatrix. Microsoft livrera aussi gratuitement un moteur de base de données intégrée SQL Server Compact Edition 4 qui tourne en mémoire dans une application ASP.Net. « SQL CE ne nécessite pas d'exécuter ou d'installer un serveur de base de données pour être utilisé. Il suffit simplement de copier les fichiers binaires de SQL CE dans le répertoire \bin de l'application ASP.Net pour que l'application Web puisse l'utiliser comme moteur de base de données, » a expliqué Scott Guthrie. Destiné au développement, aux tests, ou à des scénarios de production légers, SQL CE 4 fonctionne avec les API de données .Nets existantes et supporte la syntaxe de requêtes compatibles avec SQL Server. « Cela signifie que l'on peut utiliser les API de données existantes comme ADO.Net et utiliser des ORMs de niveau supérieur comme Entity Framework et NHibernate avec SQL CE. Cela demande les mêmes compétences de programmation pour les données ou les API que celles utilisées par les développeurs aujourd'hui, » a-t-il ajouté. La version 4 de SQL CE a été conçue de manière à ne pas planter ou à ne pas se bloquer lorsqu'elle est utilisée avec un serveur multithread, comme avec ASP.Net.


Un éditeur de blogs baptisé Orchard

Microsoft vient également de livrer Orchard 1.0, un outil de gestion de contenu et de blogs qui permet de développer et de gérer des sites web sans avoir à écrire du code. « Orchard lui-même est construit comme une application ASP.Net MVC 3 et utilise des modèles Razor. Par défaut, il s'appuie sur SQL CE 4 pour le stockage de données. « Les développeurs qui souhaitent enrichir un site Orchard avec des fonctionnalités personnalisées peuvent l'ouvrir et l'éditer comme un projet Visual Studio. Ils peuvent notamment y ajouter de nouveaux contrôleurs et aperçus ASP.Net MVC, » indique Scott Guthrie. Enfin, autres sorties de Microsoft cette semaine, les services web Deploy V2 et Web Farm Framework V2, « qui offrent un moyen souple et puissant de déployer des applications ASP.Net sur un serveur unique, ou à travers une batterie de serveurs Web », comme l'a indiqué le vice-président de la division développeurs de Microsoft.

Illustration : Scott Guthrie, vice-président de la division développeurs de Microsoft, crédit photo D.R.

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(17/01/2011 11:35:22)

Malgré Hadopi, les téléchargements continuent de plus belle

Alors que la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet entame la deuxième phase de la riposte graduée (l'envoi des avertissements aux internautes récidivistes), ce sondage indique que la part des internautes ayant cessé de téléchargé depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi demeure très faible. Ainsi, 4% des internautes interrogés déclarent avoir complètement arrêté de télécharger, car ils pensent être devenus plus facilement repérables.

A l'inverse, 15% des sondés reconnaissent continuer à télécharger malgré la mise en place d'Hadopi. En détail, 9% continuent de le faire en faisant plus attention qu'avant aux contenus et aux moyens de téléchargement, et 6% n'ont rien changé à leur pratique. Concrètement, sur les personnes qui téléchargeaient illégalement avant Hadopi, 75% n'ont pas cessé de le faire aujourd'hui.

Des internautes très méfiants vis à vis des sondeurs

Enfin, 80% des internautes déclarent n'avoir jamais, ou presque jamais, téléchargé de contenus, et que leurs habitudes n'ont pas changé (newsgroup, VPN, téléchargement direct...). Pour rappel, l'Hadopi a envoyé entre octobre et décembre 70 000 emails d'avertissement aux internautes soupçonnés de téléchargement illégal sur les réseaux peer-to-peer, les seules surveillées par les factotums de Hadopi. La Haute autorité entend passer à la vitesse supérieure et espère envoyer quelque 10 000 mails d'avertissement envoyés par jour.

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(17/01/2011 11:29:38)

Oracle livre une mise à jour de sécurité de 66 correctifs

Prévu pour le mardi 18 janvier, le « Critical Patch Update » d'Oracle contient plusieurs dizaines de rustines destinées à corriger des failles de sécurité dans différents logiciels. En tout, soixante-six correctifs. La liste des produits concernés est consultable sur le site de l'éditeur qui recommande vivement de les appliquer le plus rapidement possible. Un certain nombre d'entre eux viennent en effet rectifier des vulnérabilités classées dans la catégorie présentant le niveau de risque le plus élevé, selon le système de notation Common Vulnerability Scoring System (CVSS). Ces failles de niveau 10.0 concernent le logiciel Audit Vault (consolidation de données d'audit), la machine virtuelle Java JRockit, le système d'exploitation Solaris et le serveur d'applications WebLogic.

Six autres patches sont destinés à la base de données d'Oracle. Parmi les bugs qu'ils viennent corriger, deux peuvent être exploités à distance, sans nom d'utilisateur, ni mot de passe. La faille présentant le risque le plus élevée est notée 7.5. Le logiciel Secure Backup doit également être mise à jour (niveau de risque : 6.4).
Seize correctifs concernent par ailleurs les produits de middleware. Là encore, ils viennent notamment s'appliquer à douze failles pouvant être mises à profit à distance sans authentification.

Les autres mises à jour amendent Enterprise Manager Grid Control (niveau de risque : 7.5), la solution d'administration d'environnements physiques et virtuels, GlassFish, le serveur d'applications Open Source Java EE, mais aussi la suite bureautique OpenOffice et les applications de gestion PeopleSoft (CRM, HRMS et PeopleTools) et JDEdwards Suite.

En février, Oracle prévoit de livrer des correctifs pour Java SE et Java for Business.

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