Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 5431 à 5440.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(07/01/2011 11:16:37)

Opiniâtre, l'Afdel poursuit ses actions pour doper l'industrie du logiciel

De Patrick Bertrand, le très carré président de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) sont venus plusieurs rappels sur l'activité déployée en 2010 par l'organisation, renforcée par 60 nouveaux adhérents, parmi lesquels Sage, ESI Group et Isagri tout récemment, ce qui porte le total de ses membres à 230. « Une adhésion dont le retour sur investissement n'est plus à démontrer », devait lancer un président très en verve après le rappel de tous les services lancés par son association.

Versant débat public, Patrick Bertrand devait rappeler la procédure du grand emprunt qui a permis à l'Afdel de travailler aux côtés du Commissariat général à l'investissement dont les appels à projets peuvent intéresser  ses adhérents.  L'association  a également « planché »  aussi bien sur des revendications, comme la taxe professionnelle, que sur des projets, comme le cloud  avec l'édition d'un Livre Blanc, ou bien encore sur la neutralité du Net. Mention particulière pour le cloud qui a de fortes implications pour les éditeurs, un impact sur leurs développements de logiciels, leurs formes de vente et la composition de leurs résultats financiers (à un chiffre d'affaires immédiat succède un revenu étalé dans le temps).

Statut de la JEI : sa réforme fragilise 2 000 entreprises

L'évocation du statut de la Jeune entreprise innovante (JEI), révisé par l'adoption en décembre de la Loi de Finances 2011, a donné l'occasion à Patrick Bertrand d'insister sur plusieurs points. De souligner d'abord que dans tous les pays, l'idée est acceptée que les TIC favorisent une croissance élevée. De rappeler qu'en France, 70% des créations emplois viennent des PME. « Dès lors, comment peut-on raboter les PME et l'innovation en France ?  Comment peut-on abroger une règle ? Ce qui est engagé doit être mené à bien, sans méconnaître les éléments nécessaires » (sous-entendu les contraintes de réduction de budget). La réforme du statut de la JEI fragilise 2 000 entreprises innovantes ».

Patrick Bertrand, président de l'Afdel
Patrick Bertrand, président de l'Afdel
(crédit photos : Stéphane Lagoutte)

En six ans, l'Afdel estime avoir dynamisé son secteur. Il lui faut maintenant réfléchir aux nouveaux enjeux, les approfondir, créer des éco-systèmes, revoir la chaîne de valeur et rassembler encore pour mieux peser sur les pouvoirs publics et sur l'échéance de 2012. Un ou deux rapprochements (« de bonnes nouvelles pour nous, de mauvaises pour d'autres ») devraient conforter la dynamique de l'association. Une dynamique soulignée à plusieurs reprises par l'acteur n°1 du secteur en France, Bernard Charlès, CEO de Dassault Systèmes qui a dressé plusieurs observations.[[page]]
Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes
Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes
(crédit photos : Stéphane Lagoutte)

Les 5 idées du PDG de Dassault Systèmes

1ère observation : « on a tendance à séparer les logiciels et l'Internet, ils vont se rapprocher, former un seul secteur, avec l'essor des infrastructures très haut débit ». Bernard Charlès souligne au passage le rôle des centrales numériques (dont il est prêt à être actionnaire minoritaire) que l'Afdel réclame, elles joueront un véritable rôle de souveraineté économique en garantissant la sécurité et l'intégrité des données.

2ème idée, « le logiciel n'est limité que par notre imagination. A la fin, ce qui compte, c'est le niveau de services que l'on offre. Le logiciel est donc un élément majeur de transformation de l'économie et des processus d'innovation ».

3ème idée, on ne peut plus parler des pays émergents mais des  « pays en forte croissance ». Finie l'idée de pays à bas coûts salariaux, ils ont une foi incroyable dans l'avenir et dans les grands projets ». Et leur industrie est dans une logique d'autonomisation et non plus de sous-traitance. « La notion de coûts du travail nous empêche de voir leurs efforts d'automatisation et d 'industrialisation ».

4ème idée, l'importance du numérique pour toute transformation. La virtualisation des finances a transformé la finance, la virtualisation des services va changer de la même manière les services et une partie de l'économie. « Nous aurons des conséquences sur la valeur finale de nos offres et la manière dont nous les proposons ».

5ème idée, Bernard Charlès déplore les retards pris sur trois dossiers. La propriété intellectuelle et les brevets (leur dépôt coûte 10 fois plus cher qu'aux Etats-Unis), sujet où 23 des 27 pays européens sont pourtant d'accord. Le scandale du Small Business Act (SBA), où l'accord est général mais la traduction dans les pratiques administratives françaises encore à venir. Les dossiers fiscaux enfin (TVA, impôt sur les sociétés, publicité) forment trois autres sujets douloureux.

Les « cost killer» de l'Etat critiqués

Pour sa part, Pierre Gattaz, président de la FIEEC, à laquelle adhère l'Afdel, mentionne plusieurs points. D'abord, la pratique  du « bottom up » (du bas vers le haut ) qu'il a retrouvé dans les Etats généraux de l'industrie, lancés à l'automne par le ministère du même nom. Elle va dans le bon sens, Ensuite, la pratique, nouvelle pour les entreprises IT, de « chasser en meute » c'est-à-dire de se rassembler, comme l'ont fait l'Afdel avec la FIEEC, ou la FIEEC avec le Pacte PME et le comité Richelieu.  

Pierre Gattaz a également repris l'idée, qui est loin de s'être imposé, de procéder aux réductions d'achat par l'innovation. Il estime que l'Etat français utilise des spécialistes qui cherchent à réduire la dépense des ministères, sans voir plus loin (« comme des acheteurs de la grande distribution »). En Allemagne, ces « cost killer » de l'Etat demandent aux prestataires informatiques d'évoluer, d'innover, de réduire leurs coûts par ce biais plutôt que par des réductions brutales de leurs factures. Enfin, il n'a pas manqué de raviver le slogan de Laurence Parisot, celui du « besoin d'air » que l'on peut traduire par la nécessite de simplifier la règlementation.

Pierre Gattaz, président de la FIEEC
Pierre Gattaz, président de la FIEEC
(crédit photos : Stéphane Lagoutte)

Illustration d'ouverture : Patrick Bertrand, président de l'Afdel

(...)

(07/01/2011 10:52:23)

Avec la Surface 2.0, Microsoft tente de sortir du simple gadget

Lancée il y a un peu plus de deux ans auprès des professionnels (hôtels, restaurants, salons d'exposition, marques automobiles, etc.), la table Surface 1.0 de Microsoft permet de manipuler des images, des fichiers ou des catalogues en glissant ses doigts sur l'écran en surface. Un peu léger quand on connait le tarif annoncé à l'origine par MS : 12 000 dollars HT environ. Aujourd'hui Microsoft et samsung commercialisent la Surface 2.0/SUR40 à 7 600 dollars HT.

L'américain qui s'est associé à Samsung pour la seconde génération de sa table basse high tech, propose une mise à jour de taille. La Surface 2.0 s'enrichit de la technologie PixelSense. Alors qu'auparavant, la détection du toucher s'effectuait via plusieurs caméras placées sous l'écran, cette mouture transforme chaque pixel de l'écran en petit capteur sensitif. Cette grande tablette peut ainsi scanner, reconnaître et interagir avec vingt doigts évoluant en même temps. Elle est également capable d'analyser des objets posés sur l'écran. Les textes imprimés sont également reconnus et numérisés. Outre la technologie PixelSense, la Surface est présentée comme plus puissante, plus réactive et plus performante. C'est un des gros reproches qu'on pouvait faire au produit après quelques minutes d'usage. Elle est également plus fine (10 cm d'épaisseur) que la version précédente, et peut s'utiliser en position horizontale, comme une table de restaurant, ou verticale, comme un écran de télévision.



Coté technique, on a affaire une écran tactile multipoint d'une diagonale de 40 pouces, reposant sur un processeur Athlon II X2 à 2,9 GHz épaulé par une carte graphique Radeon HD 6700M. Le système d'exploitation retenu est Windows 7 Pro 64 bits. Avec ces avancées, Microsoft élargit les champs d'application de sa table numérique (hôpitaux, services administratifs, lieux touristiques, éducation, etc.), d'autant que le système sera accessible à la communauté des développeurs. Microsoft a d'ores-et-déjà fait savoir que la Royal Bank of Canada déploiera les nouvelles Surface 2.0 dans certaines de ses agences. Les clients pourront par exemple, déposer un coupon sur l'écran, et ce dernier leur annoncera s'ils ont ou non gagné un prix de leur banque.

(...)

(07/01/2011 10:40:46)

5,1% de croissance en 2010 pour la high tech selon le Gartner

Selon le rapport de Gartner, les dépenses high-tech à l'échelle mondiale se sont élevées à 3,4 billions de dollars (ou 3.400 milliards de dollars/environ 2.600 milliards d'euros) en 2010, soit une croissance de 5,4% par rapport à 2009. A en croire les prévisions des analystes, le secteur high-tech devrait peser en 2011 quelque 3,57 billions de dollars (2,72 billions d'euros), soit une croissance annuelle de 5,1%.

Le secteur des télécoms (téléphones mobiles, services, équipements, etc.) représente le poids lourd de l'univers high-tech, avec environ 2 billions de dollars dépensés l'an dernier, et 2,1 billions prévus en 2011. Suivent le secteur des services technologiques (782 milliards en 2010, 817,9 milliards en 2011), le matériel informatique (364,1 milliards en 2010, 391,3 milliards en 2011), et les logiciels (235,9 milliards en 2010, 253,7 milliards en 2011), portés par la migration des ordinateurs vers Windows 7, le dernier OS de Microsoft.

En 2009, la crise avait provoqué une chute de 4,5% des dépenses mondiales de biens high-tech (3,2 billions de dollars). Cette forte baisse a notamment été provoquée par le ralentissement des équipements sur les marchés émergents, la limitation des achats de remplacement sur les marchés matures, et la réduction des dépenses en matériel informatique de la part des entreprises.

(...)

(07/01/2011 10:36:57)

Alfresco s'impose comme solution GED chez Smatis

La mutuelle de santé Smatis, forte de 250 000 adhérents et de 18 agences, doit traiter quotidiennement 5 000 à 7 000 documents (courriers, décomptes, etc.). Pour faciliter les échanges entre ses collaborateurs et permettre que ceux-ci se concentrent sur des tâches à valeur ajoutée, Smatis a décidé de se doter d'un circuit documentaire totalement dématérialisé reposant sur une GED collaborative en accès full web possible à partir de n'importe quel navigateur. Il était important que l'outil permette intégration, stockage, indexation, recherche et workflow de traitement. Smatis disposait déjà d'outils de dématérialisation, notamment d'acquisition de Kodak. Plus d'un million de documents avait déjà été dématérialisé, mais sans bénéficier d'une véritable GED collaborative.

La mutuelle a finalement retenu la solution de GED Open Source d'Alfresco, intégrée par SQLI en quatre mois. Elle a notamment apprécié la possibilité de s'interfacer avec les outils Kodak autant que de gestion des clients et des contrats pré-existants ainsi que de migrer l'ensemble des documents déjà dématérialisés. De plus, l'ergonomie du système a permis de diminuer de 30 à 40% le temps d'acquisition d'un document par rapport au système antérieur de dématérialisation. Le coût du projet n'a pas été précisé.
(...)

(07/01/2011 10:08:01)

Une messagerie unifiée hybride à la Fédération Française de Gymnastique

« Nous n'étions pas satisfaits de notre prestataire hébergeant notre Microsoft Exchange et, de plus, il devenait nécessaire d'unifier les adresses de messagerie de l'ensemble des structures déconcentrées qui variaient trop » indique Bruno Jacquetin, responsable des Systèmes d'Informations de la Fédération Française de Gymnastique. Courant 2010, la fédération sportive lance donc un appel d'offres pour refondre et unifier totalement sa messagerie. Il fallait d'un côté une solution collaborative complète pour les 70 comptes assez fixes du siège et d'autre part une messagerie classique pour les 2 000 comptes des différentes structures locales (clubs, fédérations départementales...). Chaque structure était en effet dotée jusqu'alors de ses propres outils et il y avait de ce fait une grande variété dans les adresses qui devenait de plus en plus compliquée à gérer.

Bruno Jacquetin se souvient : « nous avons reçu des propositions d'un peu tous les types : un gros serveur Microsoft Exchange installé chez nous, ou bien hébergé, etc. Nous avons choisi la solution qui était la plus intéressante en termes de tarif et la moins contraignante du point de vue de l'administration. » Déployer un Microsoft Exchange pour plus de 2000 comptes aurait été à la fois inutile, complexe et cher.

La Fédération Française de Gymnastique a opté pour une solution mixant Microsoft Exchange pour les comptes en ayant l'usage et Alinto Pro pour tout le monde. L'ensemble est hébergé chez Alinto. Techniquement, Alinto Pro est le serveur de messagerie mais Microsoft Exchange vient y récupérer les données pour les comptes pour lesquels il est paramétré. Les aspects collaboratifs sont gérés dans Microsoft Exchange. Les boites POP/Imap, dont les identités et titulaires sont très variables dans le temps, sont crées et administrées via une interface web par le RSI. A l'inverse, les comptes Exchange, plus stables mais aussi plus complexes à gérer, sont administrés par Alinto.

Le coût de la solution repose sur un modèle de forfait au nombre de comptes par an. Elle a été déployées en production mi-décembre 2010.
(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >