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(07/01/2011 17:08:02)

500 millions de dollars de bénéfices pour Facebook en 2010 ?

L'établissement Goldman Sachs et un investisseur russe anonyme ont en début de semaine annoncé leur souhait d'investir 500 millions chacun dans Facebook. Depuis, les informations sur la valorisation potentielle du réseau social n'en finit pas d'alimenter les conversations et suscitent des interrogations de la part des régulateurs des marchés financiers, comme la SEC aux Etats-Unis.

Dernier élément en date, des données financières sur Facebook ont filtré de la part de Goldman Sachs qui tentent de lever 1,5 milliards de dollars auprès d'établissements pour investir dans le réseau social. Parmi les indicateurs publiés, on retrouve le chiffre d'affaires sur les 9 premiers mois de 2010 évalué à 1,2 milliard de dollars. La société a également dégagé un bénéfice net de 355 millions de dollars. Les analystes estiment que le bénéfice net sur la totalité de l'année pourrait atteindre 500 millions de dollars. Cette frénésie autour de Facebook, qui est valorisée à 50 milliards d'euros pourrait aboutir à une introduction en bourse cette année.

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(07/01/2011 16:13:00)

Les Français consomment de la téléphonie mobile et délaissent un peu le fixe

Selon le régulateur français des télécoms, qui a arrêté ces chiffres au 30 septembre 2010, la France compte 62,6 millions de cartes SIM en service. Ce chiffre est en nette augmentation depuis fin 2008, de l'ordre de 5 à 6% par an. Sept lignes de téléphonie mobile sur dix sont de type forfait mensuel, et un quart correspondent à des forfaits bloqués. En moyenne, la facture d'une ligne de téléphonie mobile s'élève à 26,7 euros HT par mois au troisième trimestre 2010, soit sensiblement le même prix qu'à la même période en 2009. En matière de consommation, un client mobile génère en moyenne 2 heures 13 minutes de communication par mois, et envoie pas moins de 134 SMS.

Le fixe en retrait

Le parc de lignes fixes est quant à lui en diminution (-1,7% au troisième trimestre 2010) après plusieurs années de croissance continue liées au boom des offres triple play. Au 30 septembre dernier, l'Arcep recensait 35 millions de lignes hébergeant 40,3 millions d'abonnements. Un utilisateur de téléphone fixe dépense en moyenne 35,5 euros HT par mois, et consomme 3 heures 56 minutes de communication (4h32 en téléphonie par Internet (VoIP), contre 2h39 en téléphonie fixe classique).

Le régulateur souligne par ailleurs que les réseaux mobiles sont de plus en plus utilisés pour échanger des données plutôt que de la voix. En septembre 2010, la France comptait 26 millions d'utilisateurs actifs de services multimédia, et 21 millions d'utilisateurs actifs de la 3G. A noter enfin, un quart des cartes SIM activées au 3e trimestre sont des cartes « non voix », exclusivement réservées à un usage Internet (netbooks, tablettes).

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(07/01/2011 16:10:10)

La SNCF soigne son image verte avec l'éco-mobilité

Jeudi 6 janvier 2011 au soir, la SNCF a organisé sa manifestation annuelle au Carrousel du Louvre, les « Rendez-vous clients ». Celle-ci vise à présenter les innovations de services de l'opérateur ferroviaire historique. Pour 2011, la tonalité était très « développement durable » grâce à de nombreux projets dont beaucoup s'appuyaient sur l'IT. Les cadres dirigeants se sont succédés pour les présenter, notamment Jean-Louis Jourdan, directeur du développement durable de la SNCF. Guillaume Pépy, président de la SNCF, a fait une courte apparition. L'enjeu pour la SNCF est de traiter « l'éco-mobilité » sur la totalité du trajet, en porte-à-porte et pas seulement sur la seule partie ferroviaire gare-à-gare. « La SNCF a la chance d'être une solution au problème du CO² et pas une cause » comme a souligné l'animateur de la soirée.

Certains projets sont purement industriels et ne comportent une part informatique que, au mieux, sous la forme de logiciels embarqués pour optimiser le fonctionnement électromécanique. On peut citer ainsi Plathée, une locomotive expérimentale hybride diesel/électricité/pile à combustible. Un programme de recherche et développement est également mené avec l'université de Versailles Saint-Quentin sur l'optimisation du pilotage de la consommation électrique assistée par logiciel.

D'autres projets concernent des services connexes, comme le panier fraicheur (des légumes de petits producteurs locaux) mis à disposition en soirée pour une commande en gare le matin. Certains sont juste une amélioration du service normal, comme la mise en place des autoroutes ferroviaires. D'autres concernent juste des pratiques internes, comme l'amélioration des processus d'achat pour favoriser des « achats responsables et solidaires ». Mais beaucoup des projets ont une dimension informatique qui leur est fondamentale.

Optimiser l'usage de la voiture

Ainsi, l'optimisation de l'usage de l'automobile est devenu un axe majeur pour la SNCF : 9 utilisateurs sur 10 sont seuls dans leur véhicule, occupent de la place sur la route mais aussi dans les parkings saturés des gares et polluent de fait beaucoup plus que nécessaire. Malgré tout, les trajets départ-gare ou gare-destination ne peuvent souvent se faire qu'en automobile. La SNCF va ainsi multiplier les projets pour faciliter et susciter le co-voiturage mais sans pour autant sortir de son métier en opérant elle-même un service. L'entreprise nationale s'est ainsi associée au service Greencove, déclaré partenaire de Transilien (SNCF Proximité). Le service Greencove est en cours d'intégration au site web de Transilien. En gare, des écrans vont présenter les listes d'automobiles disponibles pour un trajet en co-voiturage avec les précisions nécessaires (notamment le trajet) et un code-barre scannable. En flashant celui-ci avec son smartphone, un demandeur de trajet pourra être mis en relation aussitôt avec le chauffeur.

En Languedoc-Roussillon ou à Pau notamment, des offres de partage d'automobiles (sur le modèle de l'Autolib' parisienne) sont intégrées à une offre de transport globale comprenant aussi le train voire les vélos partagés et gérée avec une identification unique du voyageur.

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Le développement durable, c'est aussi mieux s'occuper des personnes en difficulté, notamment les handicapés. Un boitier intégré à des panneaux d'information issu de cinq ans de recherche et développement va bientôt transmettre en Bluetooth aux smartphones de malvoyants les textes informatifs sous forme de synthèse vocale. Le web est aussi mobilisé au service du développement du transport éco-responsable : la SNCF a mis en place un site web destiné aux enseignants et comportant des supports pédagogiques qui ont été téléchargés 75 000 fois en six mois.

Un éco-calculateur automatique

Enfin, en prolongation de l'annonce effectuée l'an passé par Guillaume Pépy, le projet CO²Go mené en partenariat avec le MIT (Massachusetts Institute of Technology) poursuit son développement. Cet éco-calculateur se présentera sous la forme d'un gadget pour smartphone. Il utilisera les fonctions de GPS et d'accéléromètre du terminal pour calculer la distance en reconnaissant automatiquement le mode de transport (marche, course, vélo, voiture, train...). Il calculera le CO² produit pour un déplacement, qu'il comparera aux performances d'autres utilisateurs pour un déplacement similaire, et permettra de partager les « bons plans » d'optimisations des trajets entre utilisateurs via un réseau social dédié. Actuellement, CO²Go existe en version alpha. Une version béta sera disponible au printemps 2011. Pour être béta-testeur, il convient d'envoyer un SMS au 31000 avec le texte CO2[espace][numéro de portable sur dix chiffres].
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(07/01/2011 15:46:56)

Une faille de sécurité dans la sandbox du Flash d'Adobe

Billy Rios, ingénieur de sécurité chez Google, a publié sur son blog personnel un moyen de contourner le « bac à sable » proposé récemment par Adobe. Cette méthode permet aux fichiers Shockwave Flash (SWF) d'être lus comme en local, mais de ne pas envoyer des données sur le réseau. Il empêche également les fichiers SWF de faire appel à des JavaScript ou des requêtes HTTP ou HTTPS, souligne le chercheur. Un fichier local correspond à celui qui utilise "file : protocole" ou un chemin référencé par la Convention Universel de nommage (Universal Naming Convention), poursuit Billy Rios.

Mais il a constaté que toutes les restrictions du « bac à sable » ne sont pas aussi rigides. Il a découvert un moyen de contourner la sandbox, en reformulant une requête du type file://request to a remote server. Adobe a toutefois limité ces requêtes à des adresses IP en local et en fonction du nom des machines, relativise Billy Rios. Adobe a intégré une liste noire sur certains gestionnaires de protocole, mais pas tous, une méthode que le chercheur considère comme dangereuse et d'ajouter « si on peut trouver un gestionnaire de protocole qui n'a pas été référencée par Adobe et qui se connecte au réseau, c'est gagné ».

Il prend comme exemple le protocole « mhtml », qu'exploite Outlook Express installé sur les systèmes Windows et qui n'est pas recensé par Adobe dans sa liste noire. Ainsi, un fichier SWF peut exporter des données en utilisant une requête par ce protocole, a détaillée Billy Rios dans son blog. Il souligne que cette procédure est particulièrement efficace car, si la requête échoue, les données seront toujours transmises au serveur de l'attaquant sans que la victime le sache. Il tire donc deux leçons de cette expérience: « l'exécution de code SWF non fiable est dangereux et que les listes noires de gestionnaire de protocole sont mauvaises si incomplets ».

Une faille peu critique selon Adobe

Une porte-parole d'Adobe a indiqué l'éditeur a analysé les travaux de Billy Rios et a confirmé un bug, en le classant comme un risque «modéré» dans son échelle de gravité. « Un hacker doit d'abord accéder au système de l'utilisateur et placer un fichier SWF malicieux dans un répertoire sur la machine locale avant de pouvoir tromper l'utilisateur en lançant une application qui exécutera le fichier SWF en mode natif » écrit-elle dans un e-mail. Elle ajoute « dans la majorité des scénarios d'utilisation, le fichier SWF malveillant ne pouvait pas simplement être lancé en double-cliquant dessus. L'utilisateur devra ouvrir manuellement le fichier depuis l'application elle-même ».

Adobe et Google ont travaillé ensemble sur l'amélioration de la sécurité dans Flash. Le mois dernier, les deux sociétés ont dévoilé aux développeurs la première version de Flash qui utilise ce système de bac à sable. Il fonctionne sur le navigateur Chrome de Google sur les OS Windows XP, Vista et 7. Adobe utilise également une sandbox dans son Reader PDF X, produit, qui a été publié en novembre.

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(07/01/2011 15:06:12)

Conférence LMI/CIO : Le cloud, passage obligé des systèmes d'information

Pour tirer le meilleur parti de ces services de nouvelle génération, l'entreprise doit disposer des réponses ad hoc qu'il s'agisse de sécurité, de qualité de service, de reprise de l'existant ou du respect des réglementations. Les décideurs IT devront être très attentifs aux aspects contractuels, voire opter pour un cloud privé afin de répondre à certaines contraintes.

Dans le même temps, la palette des applications d'entreprise basculées dans un cloud s'élargit. Elle englobe désormais des services stratégiques. On trouve aussi des usages du cloud computing pour de l'hébergement souple d'applications de gestion, pour la mise en ligne de sites Web ou de stockage, du test et du développement de logiciels, des outils collaboratifs, des applications décisionnelles, du BPM (Business Process Management), et du déploiement d'applications métiers destinées à un large usage via internet.

Clarifier les différentes offres

L'offre de cloud mérite cependant encore des clarifications afin de réaliser les bons arbitrages. Quel cloud choisir : privé, public ou hybride ? Quels types de services retenir : Paas (Platform as a Service), Iaas (Infrastructure as a Service) ou Saas (Software as a Service) ? Quelles applications basculer dans le cloud ? Comment marier son système d'information à un cloud ? Comment contractualiser le recours au cloud ? Quelle sécurité (confidentialité, récupération, traçabilité, sauvegarde) pour ses données ? Comment respecter les contraintes réglementaires ? Comment changer de fournisseur ?Outre l'hébergement d'applications virtualisées, le cloud se décline également en offres verticales via des services dédiés : Testing as a service, Desktop as a service, Database as a service, Data Recovery as a service, Storage as a service, Business Process as a service, Integration as a service, MDM as a Service ou Labs as a service.

Pour vous aider à bien comprendre ces enjeux, vous pourrez bénéficier de l'expertise de :

- Patrick Joubert, directeur transformation architecture et technologie, infrastructure du groupe à la Société Générale, co-pilote du groupe de Travail "Cloud Computing" au CRIP

- Pascal Pignon, responsable partenariats chez Google Enterprise Europe du Sud

- Pascal Thomas, directeur marketing audiences chez Pages Jaunes

- Jean-Pierre Dumoulin, responsable exploitation et infrastructure des SI pour le groupe PSA Peugeot Citroën

- Et enfin une table ronde sur les gains et les limites du Cloud Computing, privé ou public avec la participation de Hubert Tournier (DSI adjoint au groupement des Mousquetaires), Pascal Thomas (directeur marketing audiences de Pages Jaunes), Frédéric Charles, direction des systèmes d'information, stratégie et gouvernance - SI collaboratif à la Lyonnaise des Eaux et enfin de Benoit Tiers, CTO de Sanofi Aventis.


Pour vous inscrire à cette conférence du mardi 25 janvier 2010 à l'Automobile Club de France à Paris 8e rendez-vous à cette adresse : Le cloud, passage obligé des systèmes d'information

Enfin pour découvrir  le planning des prochaines conférence LMI/CIO, une seule adresse : http://conferences.lemondeinformatique.fr/

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(07/01/2011 13:55:54)

Amazon Web Services enrichit ses offres de support et baisse ses prix

Cette stratégie accroît la concurrence avec des rivaux comme Rackspace et marque un positionnement clair pour les entreprises qui souhaite transférer certaines de leurs opérations dans le Cloud. AWS propose également une nouvelle offre de support Bronze, spécialement destinée aux développeurs de logiciels, qui ont constitué le coeur de cible de AWS au cours des dernières années : pour 49 dollars par mois, le support Bronze offre un soutien quotidien - calé sur les heures d'ouvertures et les jours ouvrables habituels - avec un temps de réponse garanti allant de 12 heures à un jour ouvrable.

Comparativement, la nouvelle offre Platinium cible plutôt les grandes entreprises, offrant pour sa part un temps de réponse garanti de 15 minutes dans les cas critiques. Ce niveau de support est également assorti d'un gestionnaire de compte attitré « aux compétences élargies, qui connaîtra le domaine d'activité et les besoins du client, saura l'accompagner dans toutes les phases d'utilisation de AWS et servira de contact principal, » comme l'indique Amazon dans son communiqué. Le tarif du support Platinium a été fixé au plus à 15 000 dollars par mois ou 10 % des frais d'utilisation mensuelle d'AWS par le client.

Silver et Gold moins cher


L'option Silver, qui couvre un support technique les jours ouvrables, avec des temps de réponse de quatre heures pour les questions «plus sérieuses», coûtera désormais au plus 100 dollars par mois ou 5 % des frais d'utilisation mensuelle d'AWS. Un plan Gold ajoute une assistance téléphonique 24h/24 et 7j/7 avec des de temps de réponse d'une heure pour les questions urgentes pour un prix fixé à 400 dollars par mois ou 5 à 10 % de l'abonnement mensuel. Ce pourcentage peut baisser en fonction du volume. Enfin, Amazon conserve son offre de base, laquelle donne accès à un centre de ressources, des FAQ, des forums et un « tableau de bord d'états » sans frais.

Cette modification de l'offre de support d'AWS intervient alors que certains fournisseurs de logiciels d'entreprise comme Oracle ont commencé à proposer un support total de leurs produits et à certifier certaines applications tournant sur Amazon. L'offre Platine d'AWS semble destinée en particulier à des clients qui pourraient être intéressés par un déploiement Cloud pour réduire leurs coûts et profiter de plus de souplesse, tout en ayant l'assurance de bénéficier d'un support haut de gamme pour l'infrastructure sous-jacente.

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(07/01/2011 12:51:00)

Un ingénieur d'EMC vole 1 million de dollars de matériel

Kevin Kelly, ingénieur testeur chez EMC, a plaidé coupable sur des accusations de fraude, d'usurpation d'identité et de recel de biens volés, suite à une plainte déposée contre lui par le ministère américain de la Justice du Massachusetts. Selon les documents du tribunal, il aurait enfoui du matériel informatique dans un petit sac à dos avant de commercialiser le tout sur Internet, en utilisant le nom d'un associé identifié seulement comme « DB ». Selon les procureurs, la plupart de l'équipement volé a été retrouvé chez BL Trading, un revendeur situé à Hanovre (Massachusett). Ce dernier a été accusé de recel et de vente de biens volés et également de fraude électronique. Cette affaire est actuellement en instance. De plus, le revendeur a été soupçonné d'avoir installé le firmware d'EMC sur un équipement qui n'était pas couvert par le contrat requis et de l'avoir mis en vente. Les procureurs ont déclaré que l'employé de BLTrading  - aujourd'hui décédé -  était à la fois responsable de l'arnaque concernant le firmware et de l'achat de matériel volé. «Celui-ci devait forcément être au courant des agissements de Kevin Kelly à moins qu'il n'ait volontairement fermé les yeux », a estimé le Tribunal.

32 ans de prison et 2 M$ de dollars d'amende

Joint par nos confrères d'IDG New Service, BL Trading a déclaré qu'il reconnaissait ses torts dans cette affaire et qu'il acceptait de verser à EMC une somme non encore divulguée. La compagnie a également indiqué avoir conclu un accord avec le Ministère public pour la mise en place d'un programme de conformité destiné à tracer la façon dont il obtiendrait ses futurs produits. Reste que ce point ne figure pas officiellement au dossier et qu'il n'a pas encore été accepté par le juge. La plupart des activités illégales ont eu lieu avant 2006, a précisé  EMC. Fondé en 1988, BL Trading, qui possède plus de 4 000 clients dans le monde entier, est le principal revendeur de la gamme de stockage réseau de milieu de gamme EMC Clariion.
Kevin Kelly encoure une peine maximale de 32 ans de prison et une amende de près de 2 millions de dollars. Il a accepté de rembourser 929 891 dollars à EMC. Il doit être condamné, le 7 avril. Il a travaillé chez EMC entre 2000 et 2009, selon l'accusation.
Le géant du stockage n'en est pas à son premier vol. Dans une affaire similaire, Mark Rothfuss, technicien de maintenance, avait également été accusé d'avoir volé son employeur pour un montant de 140 000 dollars. Il aurait commis son larcin en utilisant différentes ruses, notamment en demandant à EMC de lui fournir davantage d'équipement que nécessaire pour réaliser des opérations de support et au final garder le surplus du matériel pour lui.

Illustration: le site d'EMC à Apex. Crédit photo: EMC

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(07/01/2011 11:44:13)

4 repreneurs déclarés pour la reprise de Normaction

Le dossier Normaction (en redressement judiciaire) avance. Le dépôt des offres de reprise a été reporté à lundi dernier 3 janvier (*). Finalement (**), 4 repreneurs se sont manifestés, 2 pour une offre globale, 2 pour une offre partielle concernant les filiales. Ces 4 prétendants vont défiler le 11 janvier devant le juge-commissaire qui les auditionnera une heure chacun. Ce même juge rédigera ensuite son rapport, le tribunal devrait statuer  ensuite, le 18 janvier, au vu du rapport du juge-commissaire et donner, ou pas, le nom du, ou des, repreneurs.

Il s'agit d'une procédure de plan de cession, donc de reprise de tout ou partie des actifs et des personnels. L'exercice 2009 s'était conclu pour Normaction par un chiffre d'affaires de 17,040 millions d'euros, un résultat net négatif de 3,370 millions d'euros, un effectif de 57 salariés.

(*) dossier géré par la Selarl FHB Facques-Hess-Bourbouloux, dans le cadre d'une procédure collective (ordonnance de centralisation émise le 29 novembre auprès du tribunal de commerce de Nanterre).

(**) mi décembre, 6 sociétés avaient déposé un dossier auprès du greffe du Tribunal de commerce de Nanterre, avec des propositions allant de 1 euro à 930 000 euros. Le 3 janvier elles n'étaient plus que 4.

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(07/01/2011 11:37:08)

Pour succéder au Blu-ray, l'industrie mise sur la dématérialisation des contenus

Conçu comme une alternative légale aux usages liés au piratage, UltraViolet proposera à ses utilisateurs de disposer de contenus tels que des films, séries télé, chansons ou encore livres, sur n'importe quel terminal avec pour condition une connexion à Internet. Ce service de gestion des droits numériques repose sur le cloud computing (technologie de dématérialisation via serveurs dédiés) avec l'ambition d'accompagner les bouleversements des pratiques de consommation des contenus audiovisuels.

Un maximum de six comptes sera autorisé par foyer. Jusqu'à douze terminaux (ordinateurs, boxs, lecteurs Blu-Ray et télévisions connectés, consoles de jeux, produits nomades, etc.) pourront accueillir les contenus achetés ou loués profitant de la technologie UltraViolet. Une limite de trois visionnages en streaming a été arrêtée. Les produits achetés pourront toutefois être téléchargés vers des supports de stockage classiques, à l'image des clés USB.

Après les Etats-Unis, ce service s'exportera au Canada et au Royaume-Uni fin 2011. Parmi les sociétés soutenant UltraViolet figurent des poids lourds, tant du point de vue matériel (Dell, HP, Samsung, IBM ou Intel) que du contenu (Warner Bros., Sony Pictures ou Fox) ou encore du transport de données (Comcast) ainsi que de l'achat (Best Buy ou Netflix). DECE espère ainsi tenir le futur successeur du Blu-ray. Une ambition développée par ailleurs par le groupe Disney, derrière un projet similaire baptisé Keychest.

Pour en savoir plus, le site UltraViolet : www.uvvu.com

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