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(20/12/2010 11:28:54)
Apple recrute des développeurs spécialisés cartographie et navigation
Les annonces précisent qu'Apple souhaite embaucher quatre (ou plus) personnes pour son équipe de développeurs iOS qui ont une expérience en développement de logiciel de navigation. Les recrues pourront ainsi « nous aider à construire à partir de rien les meilleurs plates-formes hébergées au monde sur une grande échelle ». Les postes sont situés dans la vallée de Santa Clara. La firme de Cupertino recherche des personnes avec plus de trois ans d'expérience « en développement de haut niveau sur des systèmes logiciels reconnus. » C'est un plus si elles ont « une connaissance approfondie de la géométrie algorithmique ou la théorie des graphes. »
L'application par défaut pour les cartes sur iOS a été créée par Google depuis le lancement du premier iPhone en 2007. Maintenant que l'éditeur de Mountain View est devenu un concurrent sérieux dans le monde du système d'exploitation mobile, Apple cherche à minimiser sa dépendance envers les services de Google.
Une démarche déjà engagée
Les offres d'emplois ne sont pas le premier signe qu'Apple s'intéresse au marché de cartographie. Elle avait ainsi abandonné, au profit de sa propre base de données, les informations de localisation de Skyhook et Google lors du lancement de l'IOS 3.2 sur l'iPAD. Elle a également acquis en juillet dernier Poly9, société de logiciel de cartographie et Placebase en juillet 2009. Cette dernière était en concurrence avec Google Maps en proposant des outils de personnalisation, comme le moyen d'ajouter des données sur les cartes.
En novembre 2009, Apple avait proposé un emploi à quelqu'un qui pourrait aider à « travailler, repenser la façon dont les utilisateurs utilisent Maps ». Il semble qu'avec les nouveaux recrutements, le développeur en question verra son équipe s'étoffer.
(...)(20/12/2010 10:52:23)
L'Europe s'inquiète de l'acquisition de McAfee par Intel
L'Union européenne est préoccupée par les plans d'Intel d'intégrer des fonctionnalités de sécurité directement dans ses microprocesseurs, souligne le Wall Street Journal citant des sources anonymes. La société de Santa Clara fournit la majorité des puces pour PC dans le monde, et l'Union européenne craint que si McAfee dispose d'un « accès privilégié » à ces fonctionnalités, cela ne soit un désavantage pour les autres fournisseurs de solutions de sécurité, précise le quotidien économique américain. La direction de la Concurrence de l'UE a émis ces plus vives préoccupations sur cette alliance lors de son examen préliminaire et pourrait décider de le soumettre à un examen plus approfondi.
Le porte-parole d'Intel Chuck Mulloy a refusé de commenter ces informations en indiquant que l'entreprise «continue à travailler avec les autorités, pour qu'elles procèdent aux différents examens ». De son côté McAfee n'a fait aucun commentaire, les seuls propos sur le blog du porte-parole indique « nous sommes heureux d'annoncer que l'ensemble du dépôt des dossiers auprès des autorités réglementaires a été finalisé et l'affaire est en cours d'examen par les différentes instances. Nous estimons que l'acquisition devrait être effective au premier semestre 2011 ».
L'examen approfondi d'une acquisition de cette taille (7,7 milliards de dollars) peut durer plusieurs mois. Ainsi, pour la fusion entre Sun et Oracle, l'enquête a décalé de 4 mois la réalisation effective de cet accord.
(...)
ERP : Microsoft connecte son offre Dynamics NAV à CRM Online
Microsoft livre en France la R2 de Dynamics NAV 2009, le progiciel de gestion intégré qu'il propose aux entreprises à partir de 20 personnes et jusqu'à 1 000 employés (lorsqu'il s'agit de filiales de grands groupes). L'éditeur table sur une migration rapide de ses clients vers cette version, en particulier ceux qui ont déjà installé le SP1 (service pack 1), précise Virginie Garlasain, chef de produit ERP.
L'offre Dynamics NAV, qui compte 2 200 clients en France (80 000 dans le monde) et une trentaine de revendeurs actifs sur le territoire, bénéficie d'une approche verticale sur cinq secteurs d'activité : services, vente au détail, secteur public, industrie, distribution. Une verticalisation qui s'opère quelquefois à un niveau très fin, souligne la responsable produit. L'application, qui peut être hébergée et « consommée en ligne » via les partenaires de Microsoft, est assortie de différentes options tarifaires (acquisition de la licence, ou mode SaaS -software as a service).
Une avancée notable de la R2 concerne l'intégration avec Dynamics CRM, l'application de gestion de la relation client autour de laquelle Microsoft fait grand bruit en ce moment. Il compte en effet concurrencer Salesforce.com avec la version cloud de cette offre de CRM. Désormais, l'éditeur propose son propre connecteur entre cette dernière et Dynamics NAV. « Il sera fourni gratuitement aux clients sous contrat de maintenance récent », précise la filiale française. Il permettra de synchroniser les données entre l'ERP et les deux versions de l'offre de CRM (sur site et en ligne).
Un client d'accès unique
Avec le client RoleTailored, Microsoft avait adapté l'interface de son application Dynamics NAV 2009 aux différents métiers de l'entreprise (à la suite d'une étude menée auprès de plus de 200 clients). « L'écran d'accueil de l'application est un véritable tableau de bord », souligne la responsable produit. Il rassemble un aperçu des activités, des indicateurs de performances, des alertes et des liens d'accès rapides vers d'autres écrans.
« Les principales nouveautés de la R2 ne sont pas forcément les plus visibles ». Ainsi, cette version conserve maintenant le bénéfice du client RoleTailored, quelle que soit la façon dont l'utilisateur se connecte à l'application : en local, depuis un poste distant relié au siège par une connexion Internet à haut débit, ou encore, sur un mode itinérant, en passant par le web. Dans les trois cas, « on accède au serveur distant via la même interface », indique Virginie Garlasain en estimant cette solution moins complexe que celle proposée par Citrix Systems, ou même Terminal Services. Une option qui pourra notamment intéresser les partenaires hébergeurs de Dynamics NAV. L'application peut être déployée en mode hébergé ou sur site avec la technologie Application Virtualization (App-V) de Microsoft. 
Tout en facilitant la mise à jour des postes clients, celle-ci présente aussi l'avantage de conserver les capacités de croisement entre l'application de gestion et les fonctions apportées en local par Windows ou par la suite bureautique Microsoft Office.
Visualisation interactive des données
Parmi les autres améliorations de la R2 figure un accès rapide aux fonctions de l'ERP à partir du bureau Windows 7 (par l'intermédiaire de 'Jump Lists'). 
Une fonction de visualisation interactive, Tree Map, apporte à l'utilisateur de l'ERP une fonction d'analyse des données que l'on pourra manipulera sans formation préalable, assure l'éditeur. Elle pourra servir, par exemple, à identifier rapidement les clients ayant le chiffre d'affaires le plus important et offrant la meilleure rentabilité (illustration ci-dessus). Par ailleurs, Dynamics NAV 2009 R2 dispose maintenant d'une fonction de planification interactive de stocks, pour éviter le surstockage ou les ruptures. « C'est une fonction que l'on trouve habituellement dans des outils spécialisés sur la planification », a souligné la responsable produit.
Enfin, le progiciel se complète d'un service de paiement hébergé qui permettra de gérer des transactions de paiement sécurisées depuis Dynamics NAV. Celui-ci n'est pas encore disponible en France, mais Microsoft est actuellement en négociation pour agréer des fournisseurs dans l'Hexagone. Ce service multicanal pourra être utilisé depuis différents sites marchands ou centres d'appels.
Illustrations (crédit : Microsoft)
Le développement de la BI nécessite une transformation culturelle selon le Gartner
Un nombre croissant d'entreprises recourent à certains outils décisionnels clefs - comme la modélisation et les services de support - pour aider les employés, les gestionnaires et les cadres à prendre les bonnes décisions dans une situation commerciale donnée, explique le cabinet Gartner.
«Traditionnellement, la BI était généralement utilisée pour exploiter les données historiques, et comme un outil de planification et de prévision pour un nombre relativement restreint de personnes dans une organisation qui s'appuie sur les données existantes pour planifier l'avenir », souligne Patrick Meehan, analyste au Gartner. Il poursuit en indiquant que la modélisation des scénarios futurs a permis «d'examiner le bienfondé de nouveaux modèles d'affaires, de nouveaux débouchés et produits, et de créer une culture d'opportunités ». Les travailleurs peuvent non seulement voir l'avenir, mais souvent le créer, a également déclaré Patrick Meehan.
Le Gartner précise encore qu'utiliser l'information pour développer des idées intelligentes pour améliorer les performances de l'entreprise est un défi majeur, et met en évidence trois initiatives qui utilisent la BI pour créer des « entreprises intelligentes» :
- Concentrer les efforts décisionnels pour fournir la bonne information aux bonnes personnes. Développer des pratiques en BI permettant de relier horizontalement des partenaires extérieurs et des clients. Pour maintenir la stratégie sur la bonne voie, la BI doit répondre à tous les niveaux organisationnels de l'entreprise : du personnel à la direction.
- Changer les mentalités pour apporter plus de réponses aux bonnes questions. Améliorer l'impact des « décisions importantes ». Une attention constante sur un ensemble très limité de questions sur les affaires en cours permet de mieux guider les utilisateurs vers les décisions qui ont un impact maximal sur la stratégie et les objectifs commerciaux.
- Créer des équipes de projet en fonction des informations nécessaires. La constitution des équipes ne repose pas seulement sur les personnes qui sont à l'origine des données, mais aussi sur les intérêts du département où les informations ont été générées. Il est nécessaire de briser les silos de propriété des données pour favoriser la circulation de l'information de haut en bas. Cela créera des décisions possédant «plus d'impact». Les décisions avec le plus d'impact n'existeront jamais dans l'isolement, précise le Gartner.
Citrix veut acquérir Netviewer
La branche service en ligne de Citrix vient de contracter avec Netviewer pour discuter de son acquisition. Cette société européenne qui dispose de présence en France, Royaume-Uni, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Italie et en Espagne, etc. propose des outils en mode SaaS de collaboration en ligne, mais aussi de webconférence. A la fin de la procédure, les différents produits feront partie de la gamme de Citrix Online. Soumise aux conditions de clôture d'usage, la transaction devrait être finalisée au début de l'année 2011. Aucun montant n'a été par contre dévoilé.
(...)(17/12/2010 16:23:42)Prévisions 2011 sur le cloud (2ème partie)
Prévision 1 : Réduction des coûts et transparence tarifaire.
Si pour de nombreuses personnes, les avantages indéniables du cloud computing sont l'agilité et l'élasticité, la prestation à la demande permet aussi de proposer des prix attractifs en raison des économies d'échelle et de l'automatisation. D'autant plus que les prix des services sont publics et transparents.
La combinaison de cette évolution économique et la transparence des coûts se traduira en 2011 par une demande au sein des groupes IT d'offrir le même niveau de clarté, et malheur au DSI qui prendra comme excuse « nous ne pouvons pas le mettre en place, car les coûts spécifiques ne sont pas identifiés » . Cette demande de transparence va certainement provoquer un malaise dans certaines directions informatiques, mais elle constitue le fondement de la prochaine révolution en informatique, c'est-à-dire l'explosion des applications en termes de nombre et de types. Si on se réfère à la théorie économique, les applis sont les produits complémentaires de l'infrastructure et quand le prix est bon, la demande pour services est en forte augmentation. Comme le cloud implique une forte réduction de l'infrastructure, il faut s'attendre à une baisse similaire dans les applications.
Prévision 2 : Une plus grande confusion cloud public / privé.
Le débat actuel sur la meilleure voie en matière de cloud va se poursuivre et risque même de dériver. En effet, la pression va être de plus en plus forte sur les entreprises pour choisir une ou l'autre option. Ainsi, le gouvernement fédéral américain a annoncé qu'à partir de 2012, les organismes fédéraux doivent adopter des solutions cloud « chaque fois qu'il s'agit d'un réseau fiable et sécurisé, répondant au rapport coût-efficacité. » Ce qui signifie que pour un DSI notamment américain, il vaut mieux être prêt en 2011. La phase de déploiement privilégiera pendant quelques temps les clouds privés.
Prévision 3: L'hybride, un rêve parfois difficile à atteindre.
On constate que les fournisseurs et les utilisateurs fondent de grands espoirs dans le cloud computing. Les deux se disent que l'avenir sera fondé sur l'intégration sans effort d'applications, de manière transparente, et que la migration sera automatique entre les ressources internes à l'entreprise et les clouds externes.
Cependant, aucun prestataire de cloud, peu importe sa taille et ses compétences, ne peut vaincre certaines lois de la physique. La migration de charge de travail et (surtout) des données entre sites sont confrontées au problème de la connectivité entre les entreprises et les fournisseurs de cloud public. De plus ce genre de migration doit s'appuyer des infrastructures informatiques complexes et des méthodes opérationnelles fiables, ce qui se traduit par des investissements et le renforcement des compétences. Il ne s'agit donc pas d'un projet trivial.
L'ensemble de ces défis fait que dans certains cas, les projets de cloud hybride doivent être revus à la baisse et être moins ambitieux. En 2011, la clé d'une stratégie hybride du cloud sera de positionner clairement les charges de travail en fonction du coût, des moyens mis en oeuvre et de l'interopérabilité.
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Prévision 4: Former les développeurs
Les départements informatiques qui vont déployer leurs premières applications en mode cloud, vont aussi s'apercevoir que l'agilité et l'élasticité ne se décrètent pas et exigent des architectures d'applications spécifiques. Le développement des applications doit prendre en compte les caractéristiques des infrastructures en intégrant certaines contraintes comme la redondance, l'arrêt et la suspension de session. La conception doit être élastique en accompagnant les montées en charge. Des fonctionnalités de modification de l'application à la volée sans intervention humaine, peuvent être intégrées.
Ces évolutions vont demander une mise à niveau des compétences techniques des développeurs. Il faudra donc s'attendre dans les prochains à plusieurs articles sur les défis associés à ses compétences propres au cloud computing.
Prévision 5: Change de mode de pensée.
Au cours de 2011, les responsables IT vont devoir faire face à 3 défis sur le plan opérationnel. Le premier correspond à la réingénierie des processus. Certaines pratiques d'exploitation en place dans la plupart des organisations restent manuelles et vont rentrer en conflit avec la vision libre-service du cloud. Certains groupes d'applications nécessiteront la disponibilité des ressources immédiates via des fournisseurs de cloud public et les systèmes informatiques internes devront s'adapter le plus rapidement.
Le deuxième défi pose la question de la gestion dynamique des applications au sein du cloud . Sur ce dernier, les applications sont des ressources supplémentaires qui peuvent être ouvertes ou arrêtées en fonction du temps de réponse, de la charge de travail, etc. Les décideurs informatiques devront trouver une façon de mettre en oeuvre ces pratiques à travers des outils capables de gérer dynamiquement ces opérations. Cela implique aussi une renforcement des compétences, cité précédemment.
Le troisième défi est la prise en charge de l'évolutivité, notamment sur l'ensemble des applications que l'entreprise veut intégrer dans le cloud. La demande va exploser et les équipes opérationnelles doivent être en mesure de dimensionner et d'anticiper les montées en charge de leurs infrastructures informatiques.
Des cadres de Dell et d'AMD, accusés de recel d'informations confidentielles
Ces cadres employés par des sociétés IT auraient empoché des honoraires très importants, estimés à plusieurs centaines de milliers de dollars, comme consultant pour le compte de Primary Global, une société d'études de marché basée à Mountain View, Californie. Celle-ci travaille avec des experts recrutés parmi les cadres d'un certain nombre d'entreprises, y compris dans le secteur des technologies, pour récolter des informations sur les tendances qu'elle vend ensuite à des gestionnaires de fonds.
Mais selon le Département américain de la Justice, James Fleishman, l'un des directeurs commerciaux de PG Research, a franchi la ligne rouge en vendant des informations confidentielles (d'initiés) à ces hedge funds. « Les informations monnayées par les quatre « consultants » vont bien au-delà du cadre admissible de l'étude de marché », a déclaré le FBI (Federal Bureau of Investigation). Primary Global a refusé de commenter ces informations, sauf pour confirmer que les quatre initiés avaient bien travaillé pour elle en tant que consultants, et pour indiquer que James Fleishman, qui collaborait avec elle depuis juin 2006, avait été congédié.
Des informations sur Dell mais également ses fournisseurs
Le FBI a aussi fait savoir que Daniel Devore, ancien directeur de Dell pour l'approvisionnement mondial, qui a reçu 145 750 dollars de Primary Global entre 2007 et 2010, a plaidé coupable des accusions de fraudes portées contre lui lors de sa comparution le 10 décembre dernier. « Daniel Devore n'est plus salarié de Dell, » a déclaré par ailleurs David Frink le porte-parole de l'entreprise qui a ajouté que « Dell est tenue de respecter des normes d'éthique et d'intégrité les plus strictes et va coopérer pleinement avec les autorités. » Selon des documents détenus par la justice, Daniel Devore aurait également fourni des informations confidentielles concernant certains fournisseurs de Dell, notamment Western Digital et Seagate.
James Fleishman a été arrêté jeudi pour utilisation frauduleuse du réseau de communication et pour corruption, puis libéré contre une caution de 700 000 dollars. Ont également été arrêtés Mark Longoria, ancien responsable de l'approvisionnement chez Advanced Micro Devices (AMD), Walter Shimoon, directeur senior du développement commercial chez Flextronics International et Manosha Karunatilaka, comptable chez Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC), comme l'a indiqué le Ministère de la Justice. Tous trois sont accusés de fraudes. Selon les procureurs, Mark Longoria d'AMD aurait reçu plus de 200 000 dollars sur une période de deux ans. « Il semble qu'AMD soit victime d'un complot d'initiés,» a déclaré AMD le même jour. « Mark Longoria a démissionné de l'entreprise le 22 octobre 2010, et AMD coopère avec les enquêteurs, » a ajouté l'entreprise. Quant à Walter Shimoon, il a travaillé pour Flextronics, un partenaire d'Apple. Celui-ci aurait vendu «des informations hautement confidentielles sur les prévisions de ventes et les nouvelles fonctionnalités du futur iPhone d'Apple, » a déclaré le FBI. Il aurait reçu 22 000 dollars en honoraires comme consultant. Enfin, Manosha Karunatilaka aurait fourni des informations concernant les ventes et les livraisons de TSMC. « L'enquête suit son cours, » a déclaré le FBI.
Illustration : Une du SF Chronicle sur l'affaire de PG Research, crédit D.R.
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