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(19/11/2010 16:23:00)

Osiatis prévoit de recruter 500 informaticiens

La société de services Osiatis (3 000 collaborateurs) annonce un plan de recrutement ambitieux pour l'année 2011. Pour accompagner la montée en gamme de ses offres  d'infrastructure telles que le conseil, l'ingénierie et l'infogérance, le groupe prévoit d'embaucher 350 personnes, dont 60% d'ingénieurs. Les profils recherchés sont des consultants, des architectes et des experts techniques, débutants et confirmés. Des postes en virtualisation serveur et poste de travail, annuaires d'entreprise, messageries et supervision systèmes et réseaux sont également ouverts. Le groupe qui entend parallèlement se développer dans le secteur du cloud computing recherche aussi une trentaine de spécialistes du domaine.

Par ailleurs, la filiale Osiatis Ingénierie, spécialisée en développements applicatifs nouvelles technologies, envisage d'intégrer 150 ingénieurs : il s'agit de chefs de projets, de consultants MOA en environnements Java/JEE, .Ner et Open Source.

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(19/11/2010 15:33:39)

Facebook et Myspace redéfinissent leur territoire

Myspace a dévoilé ce qu'elle appelle un « Mashup avec Facebook ». Ce terme est essentiellement un lien entre les deux sites qui permet aux utilisateurs d'afficher les goûts et intérêts de leurs profils Facebook vers leurs pages Myspace, via Facebook Connect. La fonction est présentée comme la possibilité donnée aux utilisateurs de MySpace de créer un flux personnalisé de contenus de divertissement. Cette fonctionnalité est disponible immédiatement à travers le monde.

Grâce à ces mesures, MySpace renonce à concurrencer Facebook. À la mi-2009, ComScore a rapporté que Facebook a attiré 70,278 millions de visiteurs uniques aux États-Unis, juste devant MySpace totalisant 70,237 millions. En avril 2010, MySpace avait près de 111 millions de visiteurs uniques et le site de réseau social affichait 519 millions de visiteurs uniques monde.

Chacun dans son rôle


Myspace s'est alors concentré sur la musique et le cinéma. Lors d'une conférence de presse téléphonique, Mike Jones, PDG de MySpace, n'a d'ailleurs pas considéré son site comme un réseau social, mais comme « une des plus grandes expériences de divertissement sur le Web. »

Ezra Gottheil, analyste de Technology Business Research, a jugé symbolique de l'annonce de MySpace qui souhaite laisser l'espace de réseau social à Facebook. « C'est la reconnaissance d'une vieille défaite », souligne la consultante et de conclure « MySpace a cessé depuis longtemps d'être l'endroit pour trouver et communiquer avec des amis. Il a renforcé  sa valeur, c'est-à-dire un site de publication. Facebook n'est pas, et ne sera pas, un site de publication. Alors ce partenariat permet de définir et distinguer les deux, et il est plus facile pour les utilisateurs à être des membres actifs des deux sites et bénéficier chacune de leur savoir-faire. »

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(19/11/2010 14:27:53)

Des start-ups européennes sur le cloud s'affrontent pour séduire les investisseurs

Les 25 entreprises finalistes ont été sélectionnées parmi 234 startups candidates impliquées dans le domaine du cloud en Europe. Un premier écrémage effectué par le Comité de sélection des ETT avait déjà réduit la liste initiale à 85 entreprises appartenant à 16 pays européens. Après examen de leur business plan, le Comité a retenu les 25 entreprises qu'elle estime être les plus prometteuses et novatrices, invitant leurs PDG à présenter leur vision et leurs stratégies devant de gros investisseurs internationaux, des patrons de l'industrie technologique, et des fournisseurs de services IT.

Parmi les entreprises sélectionnées, 20 cherchent un financement et/ou des partenariats internationaux pour accompagner leur expansion et leur croissance, et 5 sont en phase de démarrage. Sur les 25 entreprises finalistes, 6 sont basées au Royaume-Uni  et en Irlande, 5 viennent du Benelux, 5 d'Europe centrale (Allemagne-Autriche-Suisse), 3 d'Espagne, 3 de France, 2 de Scandinavie et une de Russie. Elles ont été réparties entre entreprises Software-as-a-Service - qui ont initié de nouvelles offres grâce au cloud - et celles qui fournissent des technologies de rupture de type Infrastructure-as-a-Service et Platform-as-a-Service, qui peuvent contribuer à accélérer la migration de l'IT traditionnel vers l'informatique en nuage.

En faisant l'énoncé des candidats retenus, Pierre Liautaud, Président du Sommet ETT Cloud & TIC 2.0 2010, a déclaré: « Au cours des six derniers mois, beaucoup d'évènements ont ouvert la voie à une plus large adoption du cloud par les entreprises de toutes tailles et par le secteur de l'industrie, pas seulement aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et dans le reste du monde. Les principaux acteurs investissent des milliards de dollars dans l'infrastructure sous-jacente et la plateforme de services, poussant ainsi les innovateurs et les entrepreneurs à imaginer de nouveaux modèles économiques viables. Ce sommet est un moyen unique pour enrichir la communauté cloud en aidant les start-ups en Europe, quelle que soit la phase de développement dans laquelle elles se trouvent. »

 

Illustration: Runonmyprocess.com, un des finalistes français du concours

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(19/11/2010 14:14:44)

Handicap : Steria forme les candidats au métier de développeur

Les entreprises du secteur de la high-tech semblent être sensibles au problème du handicap. A l'instar de l'équipementier Alcatel Lucent, la SSII Steria oeuvre pour l'égalité d'accès à l'enseignement, et l'emploi des personnes handicapées. Aujourd'hui, l'entreprise a rassemblé collaborateurs et clients afin de récolter des fonds au profit de l'association Interface Handicap. En 2009, elle avait réuni près de 90 000 € lors de sa journée de solidarité. Le groupe est également intervenu le 17 novembre lors d'une conférence organisée par l'Adapt (Association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées) afin de dresser une présentation des métiers de l'informatique. La proportion de personnes handicapées formée aux professions high-tech ne suffit pas », regrette  Emmanuelle Pays, directrice du recrutement, de la diversité et du développement des ressources humaines chez Steria. « Les profils d'ingénieurs de niveau Bac+4  et Bac +5  sont particulièrement difficiles à trouver », indique t-elle. Pour aider les personnes souffrant de handicap à se reconvertir à l'informatique, Steria a signé début 2010 une convention tripartite entre l'Agefiph et l'organisme de formation GTM Ingénierie.

Un diplôme de développeur reconnu par la branche

Les candidats acquièrent un socle de connaissances informatiques durant trois mois chez GTM Ingénierie. Puis ils effectuent, pendant un an, leur formation continue dans les locaux de Steria avant d'obtenir un diplôme de développeur nouvelles technologies  reconnu par la branche Syntec numérique. « Une dizaine de personnes, avec ou sans bagage informatique, ont été formées en partenariat avec l'Agefiph et préparent un diplôme de niveau bac+4 », ajoute Emmanuelle Pays, « Elles ont toutes été embauchées en contrat de professionnalisation et peuvent ainsi travailler tout en continuant à être formées ».

La fédération Syntec Numérique a d'ailleurs décidé de s'inspirer de ce projet et de le généraliser à tout le secteur dès l'année prochaine. Par ailleurs, Steria entend poursuivre son action de promotion en faveur des personnes handicapées. « Nous souhaitons mener des actions auprès d' une cinquantaine d'écoles  et y associer des universités, prévoit Emmanuelle Pays. « Des conférences seront organisées sur le thème du handicap de même que des ateliers de sensibilisation pédagogiques. Nous avons également sollicité la fédération Syntec pour qu'elle mutualise des actions sur ce thème au sein de la branche. »

Une vingtaine d'employés reconnus travailleurs handicapés

Pour développer l'intégration des personnes en situation de handicap, la SSII lance également, chaque année, une campagne d'information à destination de ses employés. Son objectif est double: sensibiliser les employés non-handicapés aux difficultés rencontrées par leurs collègues en situation de handicap mais aussi permettre à ces derniers d'entamer une démarche de reconnaissance de leur pathologie. « Aujourd'hui, une vingtaine d' employés de Steria ont demandé à être déclarés travailleurs handicapés, contre seulement  un en 2008 », souligne Emmanuelle Pays. Cette année encore, la société de services informatiques proposera à ses collaborateurs une campagne d'information, sous forme d'une pièce de théâtre pour les entités basées en province.

Illustration : Crédit photo : Ministère du travail et de la solidarité
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(19/11/2010 14:10:40)

Trimestriels : Dell progresse sur fonds d'arrêt de l'activité mobile

Au troisième trimestre, le constructeur enregistre un chiffre d'affaires (CA) en progression de 19% à 15,4 milliards de dollars. La partie entreprise enregistre les meilleurs scores. En chiffre d'affaires, la progression sur ce segment est de 24% avec 12,4 milliards de dollars. Sur les grands comptes, la progression est même de 27% à 4,3 milliards de dollars de CA. Les TPE et PME sont en progression de 24% avec 3,7 milliards de CA.

A l'inverse, la partie grand public enregistre une progression de seulement 4% avec 3 milliards de CA. Dell précise sobrement que cette division est en phase de « mutation ».

La profitabilité est plus faible que la progression de l'activité. Le revenu opérationnel GAAP est de 1,02 milliard de dollars, représentant 6% du CA,  en progression de 77% par rapport au même trimestre de l'an passé. Le revenu, non GAAP, se monte à 1,17 milliards, soit 7,6% du CA, en hausse de 58%.

Sur l'ensemble de l'exercice fiscal (clos fin janvier), Dell s'attend à une progression comprise entre 14 et 19% de son chiffre d'affaires et entre 28 et 32% de sa profitabilité.

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(19/11/2010 14:00:23)

Le cloud, outil idéal pour casser les mots de passe

Le pirate a à sa disposition deux grandes sources de capacité de calcul à la demande : les botnets constitués par les ordinateurs des utilisateurs et l'Infrastructure-as-a-Service (IaaS) proposée par des prestataires de services. Chaque système peut offrir du calcul à la demande, adapté pour réaliser des attaques par force brute. Les réseaux de zombies ne sont pas fiables, ils sont hétérogènes et prennent plus de temps à démarrer. Mais ils ne coûtent rien, et comme ils sont composés par des centaines de milliers de PC, ils peuvent s'adapter à des besoins énormes. Comparativement, une offre commerciale de cloud sera plus rapide à mettre en oeuvre, ses performances sont prévisibles et les pirates peuvent se l'offrir avec une carte de crédit volée. Si l'on comprend qu'un attaquant peut avoir accès au calcul haute performance à un coût dérisoire, on peut constater que le rapport entre contrôle de sécurité et méthodes d'attaque est en train de changer de manière spectaculaire.

Prenons le cas des mots de passe, par exemple. La longueur et la complexité d'un mot de passe conditionne l'effort nécessaire pour élaborer une attaque en force brute. Supposons qu'un attaquant ait accès à la valeur « hashé » d'une base de données où sont stockées les mots de passe, et que celle-ci soit installée derrière un serveur web ou un serveur d'authentification mal protégés. L '« empreinte », généralement basée sur un algorithme de type Secure Hashing Algorithm, ne peut pas être contournée. Mais avec une attaque de type force brute, il devient possible de lancer un test sur toutes les valeurs d'un mot de passe. Cette attaque se produit loin du serveur d'authentification et n'est donc pas limité par le mécanisme qui bloque un log-in après trois tentatives. Il faudrait une éternité pour essayer toutes les combinaisons possibles d'un mot de passe de huit caractères sur un processeur simple core - sans doute des mois, voire des années, en fonction de la complexité de l'algorithme et du mot de passe. Mais ce calcul est hautement parallélisable : en fonction des besoins, la recherche peut être divisée en autant de «batchs» et répartie entre plusieurs processeurs qui effectuent les essais en parallèle. En utilisant un botnet ou un cloud IaaS, un attaquant peut désormais obtenir, en quelques minutes ou en quelques heures, le résultat de ce calcul qui aurait pris des années.

2,10 dollars et 49 minutes pour casser un mot de passe


Un chercheur allemand a fait la démonstration de la technique avec l'Elastic Compute Cloud d'Amazon et son nouveau service de cluster informatique conçu pour des applications graphiques très gourmandes en temps processeur. Le traitement graphique et le crack de mots de passe sont très similaires du point de vue algorithmique : ils mettent tous deux en oeuvre des mathématiques matricielles et vectorielles. Les résultats sont assez édifiants : en utilisant seulement 49 minutes d'une instance de cluster unique, le chercheur a été capable de cracker des mots de passe longs de six lettres. Coût de l'expérience : 2,10 dollars pour une heure de calcul (la base d'utilisation étant d'une heure minimum).

Avec l'avènement du cloud computing, comme c'est le cas avec tout autre type de technologie, les « bad guys » se retrouvent également avec un nouvel outil. Quand on compare le rapport risques/bénéfices à l'évaluation coûts/avantages en matière de contrôle de la sécurité, il faut désormais tenir compte du prix très bas de l'informatique pour tous - pirates inclus. Les mots de passe, les clés de chiffrement des systèmes sans fil, le chiffrement des données non opérationnelles et même le vieil algorithme SSL doivent être réévalués à la lumière de ces changements. Ce que l'on pensait être « impossible » hier est devenu accessible au pirate ordinaire.

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(19/11/2010 11:11:00)

Nokia Siemens Network et Huawei en tête pour les zones blanches 3G

(Source EuroTMT) Pression de la direction générale pour créer un mini-évènement à l'occasion du Broadband World Forum qui s'est tenu à Paris les 26 et 27 octobre, pression de la maison-mère pour satisfaire l'appétit de bonnes nouvelles des analystes financiers et des investisseurs ? Toujours est-il que l'équipementier Nokia Siemens Networks a décidé de rendre public le contrat gagné auprès de SFR pour déployer le réseau 3G de l'opérateur dans les zones blanches. Ces zones font l'objet d'un accord de RAN-sharing conclu cet été avec Orange et Bouygues Telecom sous le contrôle de l'Arcep. Selon nos informations, les acteurs s'étaient engagés à ne pas communiquer sur ce dossier, et SFR aurait manifesté son mécontentement en apprenant que NSN n'avait pas respecté la règle.

Bouygues Telecom choisit Huawei et France Télécom hésite encore.

Selon une source proche du dossier, si SFR, donc, a confié son contrat d'équipement à Nokia Siemens Networks, c'est l'équipementier chinois Huawei qui a été choisi par Bouygues Telecom pour déployer son réseau dans les zones blanches de la 3G.

Selon cette même source, France Télécom n'aurait pas finalisé ses discussions avec les équipementiers. Dans la 3G, l'opérateur historique se fournit auprès d'Alcatel-Lucent et de Nokia Siemens Networks. Selon les termes de l'accord de RAN-sharing conclu cet été, chaque opérateur doit équiper quelque 800 sites, ce qui correspondrait à des contrats de quelques dizaines de millions d'euros pour chacun des fournisseurs.

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