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(18/11/2010 11:04:48)

Google signe un accord pour la numérisation des livres épuisés avec Hachette

Cet accord historique pour un éditeur français concerne 40 000 à 50 000 ouvrages actuellement indisponibles. Le protocole pourra ensuite être étendu aux autres éditeurs qui le souhaitent. L'accord entre Google et Hachette devrait être finalisé dans les six prochains mois. L'éditeur pourra déterminer les oeuvres à numériser ainsi que les tarifs de vente. Ces ouvrages seront ensuite proposés sous différentes formes, notamment sur Google Livres.

Ce protocole d'accord survient après de nombreuses années de contentieux entre Google et les éditeurs. Cet accord n'est pas « un quitus donné à Google pour son comportement passé, mais un cadre permettant de repartir sur de nouvelles bases, équitables, équilibrées et respectueuses de nos droits et de ceux de nos auteurs », précise Arnaud Nourry, PDG d'Hachette Livre, dans le communiqué de presse.

En effet, Google fait l'objet de plusieurs poursuites judiciaires, notamment des éditions La Martinière et du Syndicat national de l'édition, pour avoir numérisé en six ans plus de 12 millions d'ouvrages sans autorisation. Google a fait appel, après avoir été condamné le 18 décembre 2009 pour contrefaçon par le Tribunal de grande Instance de Paris.

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(18/11/2010 11:08:54)

Microsoft transforme Windows Azure en supercalculateur

Le premier Service Pack pour Windows HPC Server 2008 R2, sera livré avant la fin de l'année. Il permettra aux clients de connecter leurs systèmes informatiques haute performance situés sur site à Windows Azure, lequel apporte « une offre à la demande et des capacités pour des applications de calcul haute performance, » comme l'a précisé Microsoft. L'entreprise fournira aussi une ressource Azure pour les scientifiques qui n'ont pas besoin d'installer Windows HPC Server. Le service donnera la possibilité à la technologie BLAST utilisée par les scientifiques du National Center for Biotechnology Information travaillant dans la recherche sur le génome humain, de travailler sur Azure. Lors de la conférence SC10, la firme de Redmond doit d'ailleurs faire la démonstration de l'application NCBI BLAST sur Windows Azure, et montrer comment elle effectue 100 milliards de comparaisons de séquences de protéines sur son système.

Selon l'éditeur, l'intégration du nouveau Service Pack Windows HPC à Azure introduit une différence de taille entre son système et les systèmes comparables comme Elastic Compute Cloud d'Amazon : c'est le seul en effet à offrir possibilité de réaliser des calculs haute performance à la fois sur site et dans le service Cloud. « Amazon ou Google ne proposent pas de capacité de calcul sur site,» a déclare Bill Hilf, directeur général chargé de la technique informatique chez Microsoft. « C'est un avantage important en notre faveur », a t-il ajouté.

Le logiciel HPC est « simplement un répartiteur de tâche qui sait comment découper les charges et les distribuer à travers un ensemble de serveurs, » explique encore Bill Hilf. « L'intégration de Windows HPC Server à Azure permet au client d'un centre de calcul « de communiquer avec le système Windows Azure » et de choisir la manière dont il souhaite répartir la charge de travail entre les deux systèmes, » ajoute t-il. Cela a un sens pour les charges de travail qui présentent des pics importants en besoin de calculs mais temporaires.

Une initiative pas isolée


D'une certaine manière, Microsoft utilise le concept de « cloud-bursting, » c'est à dire la possibilité d'accéder automatiquement aux ressources informatiques du cloud quand les applications ont des besoin de puissance supplémentaire pour le traitement de leurs données, et l'applique au monde du calcul haute performance. « Cette demande pour le « cloud-bursting, » figurait en tête des attentes de nos clients HPC» a déclaré Bill Hilf.

En ce qui concerne NCBI BLAST, le directeur général fait remarquer que le code est dans le domaine public, mais affirme que la possibilité de réaliser des calculs BLAST sur le service Azure permettra aux scientifiques de lancer des quantités énormes de requêtes sans avoir à investir dans un matériel coûteux. « En plus du portage de BLAST dans Azure, Microsoft a développé des interfaces utilisateurs web afin de faciliter la mise en route des opérations de calculs, » a t-il fait savoir.

Le coût pour faire tourner BLAST sur Azure sera le même que pour exécuter n'importe quelle charge de travail. Plus le client utilise de la puissance de calcul, plus le prix augmente. Par exemple, la requête nécessaire à BLAST pour effectuer les 100 milliards de comparaisons, mobilisant 4 000 coeurs sur une période de six jours environ, a couté moins de 18 000 dollars. BLAST est la première application HPC offerte par Microsoft dans son service Azure, mais d'autres applications suivront, comme l'a déclaré le vendeur. Malgré l'absence d'autres offres spécifiques, Microsoft a indiqué que certains clients avaient déjà commencé à gérer leurs propres charges de travail HPC sur le cloud Azure.

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(17/11/2010 17:33:05)

Brocade unifie réseau et stockage pour les environnements virtualisés

L'équipementier a présenté sa dernière gamme de commutateurs VDX. Elle est le fruit de la finalisation de Foundry Networks et entend bien concurrencer directement Cisco avec son UCS. Les produits présentés sont livrés avec un ASIC chargé d'apporter le logiciel Virtual Cluster Switching, autorisant le regroupement jusqu'à 10 commutateurs, géré au sein d'une seule interface.

« Les applications d'aujourd'hui impliquent plusieurs clusters, la technologie Web 2.0 et la communication entre les serveurs vont souvent de pairs. Ce besoin implique la création d'un nouveau réseau où les technologies plus anciennes comme Spanning Tree ne sont plus adaptées », a déclaré Doug Ingraham, vice-président de Brocade des produits Datacenter.  Le constructeur se base donc sur la technologie TRILL (Transparent Interconnection of Lots of Links ) capable de construire des fabriques Ethernet. En fusionnant les couches d'accès et d'agrégation des réseaux, elles donnent la possibilité de créer un réseau maillé. « Cela permet d'avoir une évolutivité des serveurs dans un environnement virtualisé sans ajouter la complexité du réseau. »

Le premier commutateur Brocade de cette gamme est le DVX 6720, qui se décline en deux modèles: un 1U, unité 24 ports et un 2U, le châssis 60 ports. Les commutateurs peuvent être configurés avec des connectivités 10G ou Gigabit Ethernet.

Assurer la convergence entre le réseau et le stockage


« Un groupe de 10 commutateurs VDX  peut comprendre jusqu'à 600 ports 10G Ethernet et peut prendre en charge 8 000 machines virtuelles », souligne Douglas Ingraham et d'ajouter « dans ce type d'architecture, les VM peuvent être déplacées entre serveurs physiques sans interruption ». La migration fonctionne en copiant les VM vers un nouveau serveur physique et en redirigeant automatiquement le trafic réseau. Les commutateurs sont compatibles avec n'importe quel hyperviseur sur le marché, VMware, Citrix et Microsoft.


Les commutateurs Brocade proposent aussi pour la première fois un équipement de bout en bout en Fibre Channel over Ethernet (FCoE), permettant à des blocs de données d'être sauvegardé d'un réseau local (LAN) à un SAN. Les administrateurs peuvent également utiliser le protocole iSCSI pour la sauvegarde des fermes de serveurs Wintel (Windows et Intel). L'équipementier propose aussi un service pour aider les utilisateurs à concevoir et mettre en oeuvre une architecture de réseau pour leur environnement de serveur virtuel avec les commutateurs VDX.

La livraison du DVX 6720 est prévue à partir de décembre prochain. Un modèle de base commence à 10 700 dollars, mais les utilisateurs peuvent passer par l'achat de licences supplémentaires  pour 10 ports à la fois.« Donc, vous pouvez acheter un commutateur 60 ports et et n'utiliser que 30, 40 ou 60 ports. Vous ne payez que pour ce que vous utilisez » conclut Doug Ingraham.

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(17/11/2010 15:09:23)

Adobe livre un correctif d'urgence pour son Reader

Le bug le plus notable réparé dans la version 9.4.1 d'Adobe Reader pour Windows et Mac OS X concerne le composant « authplay » qui permet de lire les contenus Flash intégrés dans les fichiers PDF. C'est lui qui a été exploité pour mener avec succès des attaques utilisant des fichiers PDF infectés. Celles-ci ont permis aux attaquants de déposer un cheval de Troie et d'autres logiciels malveillants sur les PC sous Windows de leurs victimes. Ce n'est pas la première fois que l'« authplay » est pris pour cible par les logiciels malveillants cette année, la plus récente attaque datant de juin dernier. Dans la semaine qui avait suivi, Adobe avait expédié un correctif d'urgence pour son Player Flash, et un patch pour Acrobat Reader deux semaines plus tard.

Cette-fois ci, Adobe a réitéré son opération selon un calendrier similaire, corrigeant d'abord son Player Flash le 4 novembre, et maintenant son Reader et Acrobat. Cette méthode à deux niveaux est critiquée par certains qui font remarquer que les exploits sur « authplay » visent généralement Reader et non Flash. Adobe s'est défendu en expliquant que le correctif avait été conçu par son équipe de développement Flash, laquelle transmet ensuite la version corrigée de l'« authoplay.dll » à l'équipe de Reader qui se charge du test et de son intégration dans leurs produits.

L'autre vulnérabilité corrigée avait été rendue publique par la liste de diffusion sur la sécurité Full Disclosure ce mois-ci. À l'époque, Adobe avait déclaré que la faille pourrait être utilisée pour faire planter le Reader, mais pas Acrobat. L'éditeur avait également affirmé qu'il n'était pas certain qu'un ordinateur exécutant son logiciel PDF puisse être affecté par cette faille. Adobe a confirmé cette analyse dans l'avis accompagnant les mises à jour, indiquant que « celles-ci réparent une vulnérabilité de la mémoire qui pourrait conduire à une exécution de code. »

Pas de remise en cause du calendrier des mises  à jour

Le calendrier trimestriel prévu par Adobe pour livrer ses correctifs pour Reader et Acrobat est une fois encore bouleversé par l'obligation de publier des patchs d'urgence afin de réparer des bugs critiques dans ses logiciels PDF. Mais Adobe a rappelé aux utilisateurs que la prochaine mise à jour programmée du Reader aurait bien lieu comme prévu le 8 février 2011.

Seules les versions Windows et Mac de Reader et Acrobat ont été corrigées aujourd'hui. La mise à jour du Reader pour Linux/Unix ne sera pas disponible avant le 30 novembre prochain. Adobe a également reporté un patch pour l'ancienne version 8.x, vulnérable au second bogue. « L'éditeur prévoit de corriger Reader 8.x dans la prochaine mise à jour, » indique le communiqué. Aucun des bugs n'a affecté la version du Reader pour Android livrée au mois d'août. La dernière mise à jour du logiciel date du 5 octobre dernier, laquelle corrigeait 23 vulnérabilités du lecteur PDF d'Adobe.

Reader et Acrobat pour Windows et Mac OS X peuvent être téléchargés en utilisant les liens inclus dans l'avis de sécurité d'Adobe. Les utilisateurs peuvent aussi utiliser les mécanismes de mise à jour intégrés de chaque programme pour récupérer les dernières versions.

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(17/11/2010 15:02:05)

Indicateur Apec : les offres IT ont augmenté de 50% depuis un an

L'indice mensuel de diffusion des offres d'emploi online à destination des cadres, publié aujourd'hui par l'Apec, a bondi de 87 points dans la filière IT au cours du mois dernier. De la même manière, l'indicateur mensuel, qui suit les évolutions du marché par fonction, montre une augmentation du volume des annonces à destination des informaticiens. En chiffres cumulés, sur douze mois glissants, la progression des offres concernant les cadres de la high-tech s'est établie à +51%.  Sur octobre 2010, la fonction a totalisé 9 656 annonces, pour un volume global de 92 803 offres cumulées sur douze mois. La catégorie « Informatique de gestion » reste celle qui regroupe le plus grand nombre de postes, avec 3 416 offres confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 38 079 annonces comptabilisées au cours des douze derniers mois (+ 46%).

Compétences web et technologies Internet toujours en hausse

Suivent les « Systèmes réseaux et données », avec 2 128 offres publiées sur le site de l'association en octobre 2010 et 17 423 annonces diffusées sur la période de novembre 2009 à octobre 2010 (+49%). La demande concernant les compétences en technologies Internet et autour des sites web continue d'évoluer fortement, avec une hausse de 541% enregistrée au cours des douze derniers mois. Autre fonction marquée par une forte progression : les directions informatiques qui ont  crû de 100% soit 2 028 postes à pourvoir.
A l'inverse, les compétences en « Maitrise d'ouvrage et fonctionnel » sont celles qui ont affiché la plus faible évolution au cours des douze derniers mois (+9%, pour 8 566 annonces).

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