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(17/11/2010 12:45:39)

Les entreprises considèrent le Green IT comme un réel enjeu

La SSII Devoteam a livré les résultats de sa seconde enquête européenne consacrée au Green IT. Cette année, 134 entreprises et organisations ont répondu depuis 11 pays européens aux questions mises en ligne par le groupe sur son site. Même si quelques répondants (14%) considèrent que le Green IT n'est qu'un prétexte à la mode pour réduire les coûts, l'immense majorité d'entre eux (67%) l'envisage comme un enjeu important pour le développement durable et un moyen de répondre aux attentes des clients. Par ailleurs, le  datacenter concentre toute l'attention des directions informatiques. En effet, 65% des entreprises connaissent la facture électrique de leurs datacenters contre moins de 40% pour les postes de travail et les infrastructures réseaux. Reste que la situation a très peu évolué depuis l'année dernière : seules un quart des directions informatiques payent elles-mêmes leur facture énergétique. Pourtant, c'est lorsque la DSI informatique paye la facture électrique que le plus d'initiatives sont lancées. L'enquête montre 35% d'initiatives supplémentaires lancées dans ce cas.

Poste de travail : priorité aux actions à faible coût

Les actions telles que la sensibilisation (55% des utilisateurs) et le paramétrage économique des postes (51% des sondés) apparaissent, en outre, comme largement menées dans les organisations interrogées. S'agissant des bonnes pratiques mises en place pour les impressions, les personnes sondées estiment, en moyenne, imprimer 13 pages par jour. La généralisation des imprimantes multifonctions arrive en tête (62%). L'enquête montre également que les solutions de réunion à distance sont devenues  incontournables. L'utilisation d'outils destinés à réduire les déplacements est en augmentation de près de 50% depuis l'année dernière : ainsi, 56% des entreprises interrogées indiquent utiliser des solutions de vidéoconférence, 34% s'appuient sur du webmeeting et 24%, sur de la téléconférence. Mais, si travailler en dehors de son bureau est technologiquement possible, pourtant, seulement 16% des employés télétravaillent en raison de freins sociaux. Néanmoins, les entreprises s'ouvrent progressivement au télétravail. Le pourcentage de répondants l'ayant intégré dans les contrats et conventions a doublé, passant de 30% en 2009 à 67% cette année.

Le bilan carbone à l'arrêt faute de réelles évolutions règlementaires

La part des entreprises à avoir réalisé un bilan carbone n'a pas évolué depuis 2009 et se stabilise à 32%.Cependant, les disparités sont considérables au sein de l'Europe. Le Royaume-Uni fait figure de bon élève avec plus de 90% des entreprises interrogées à avoir conduit un bilan carbone. Ce fossé s'explique par l'arrivée, depuis avril 2010, d'une législation contraignante : le Carbon Reduction Commitment, un système de bourse carbone pour les entreprises.

Enfin, seulement 21% des organisations connaissent le volume de leurs déchets électroniques et suivent leur fin de vie. Outre l'impact que ces déchets ont sur l'environnement s'ils ne sont pas traités dans des filières conformes aux normes en vigueur, ils constituent un risque important d'image pour l'organisation.



(...)

(17/11/2010 12:36:44)

La téléphonie mobile gagne les utilisateurs de Twitter

Les utilisateurs de Twitter sur mobile sont les plus actifs sur le site de micro-blogging. C'est ce qui ressort d'une étude menée par OpinionWay pour le compte de l'Afom (Association française des opérateurs mobiles) sur leurs usages et comportements. L'enquête montre d'abord que le profil des utilisateurs de Twitter sur téléphone mobile est très marqué par la « génération Y » : 36 % d'entre eux ont entre 25 et 34 ans, un chiffre très supérieur au profil moyen des internautes (seuls 24% des internautes ont entre 25 et 34 ans). Si 74 % d'entre eux consultent leur fil d'actualité plusieurs fois par semaine, un tiers des utilisateurs de mobiles est particulièrement influent sur Twitter : une grande majorité (71%) utilise le site comme un moteur de recherche.  67% diffusent des informations qualifiées en intégrant régulièrement des liens dans leurs messages, 62% retweetent régulièrement des messages, et 47% postent au moins un tweet par jour.

Animation de réseau et recherche d'informations

Globalement, les utilisateurs sur mobile consultent Twitter pour deux raisons principales : suivre de l'actualité spécifique (65%) et être en relation avec un réseau personnel (63%).  Ces résultats viennent confirmer ceux de l'Observatoire
sociétal du téléphone mobile 2010 de l'AFOM montrant que les « Smartphoners » cherchent avant tout à garder un lien permanent avec leurs proches et un accès à l'information.
Les utilisateurs de Twitter sur mobile sont également très présents sur les réseaux sociaux : un sur deux offre la possibilité de s'abonner à son compte depuis une page Facebook ou un blog personnel. Ils restent toutefois prudents dans l'ouverture de leur propre fil d'actualité : 48 % en laissent un libre accès.
S'agissant des services de géolocalisation, les utilisateurs de Twitter sur mobile sont très partagés : la moitié d'entre eux considèrent que de tels services permettent d'accéder à des informations très ciblées (49%) alors que pour l'autre moitié, cela empièterait plutôt  sur la vie privée.

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(17/11/2010 12:34:44)

Silicon Valley 2010 : Cartes Flash et sauvegarde cloud (2e partie)

Si vous nous avez suivis en juin dernier, vous vous souvenez peut-être que nous avions déjà rencontré les dirigeants de Fusion-IO dont le directeur scientifique n'est autre que le célèbre Woz, Steve Wozniak,  le cofondateur d'Apple avec Steve Jobs. Malheureusement, une fois de plus Woz nous a fait faux bond pour cause de déplacement en Europe. Nous avons toutefois pu discuter avec les dirigeants de Fusion-IO qui nous ont dévoilé leurs produits à venir. Toujours basée à Sake Lake City mais avec des bureaux commerciaux à San José, la start-up reste spécialisée dans les cartes PCIe équipées de mémoire Flash SLC ou MLC (selon la capacité) pour accélérer les échanges sur les serveurs. Cette mémoire additionnelle, qui vient se placer entre la RAM et les disques SSD internes ou intégrés dans des baies SAN, dope les échanges entre les processeurs et les logiciels en réduisant le temps de latence lié à l'usage d'un réseau. HP, IBM et Dell revendent aujourd'hui ces produits en OEM pour améliorer les performances de leurs serveurs notamment en transactionnels.


Jim Dawson vice président en charge des ventes et Lance Smith COO chez Fusion-IO

Mais pour tenir ses concurrents à distance, LSI et Texas Memory Systems notamment, Fusion-IO préannonce une troisième famille de cartes, en complément des séries ioDrive et ioDrive Duo, les  ioDrive Octal. Cette dernière offre une capacité de stockage maximale de 5,12 To, toujours avec des composants Flash Nand MLC sur un bus PCIe Gen2 16x. Ce qui permettrait un débit théorique de 6 Gbit/s en lecture et de 4,4 Gbit/s en écriture, jusqu'à jusqu'à 740 000 entrées / sorties par seconde (IOPS) en lecture et 1 112 000 IOPS en écriture et un temps de latence de 30 ms. Rappelons que les modèles ioDrive et ioDrive Duo plafonnent quant à elle à 640 Go et 1,28 To. Le prix des modèles ioDrive Octal n'est pas encore annoncé, mais il devrait être coquet (80 000 $ environ. Précisons qu'il faut compter 12 000 $ pour une carte ioDrive Duo de 320 Go et environ 20 000 $ pour la version 640 Go. « Nous avons créé quelque chose entre la DRAM et le stockage pour combler le fossé entre les deux technologies nous explique Jim Dawson vice président en charge des ventes chez Fusion-IO. Personne n'est encore arrivé sur le marché avec ce niveau de performances. Nous allons continuer à innover et nous n'avons pas peur de la concurrence. Nous ne saturons pas encore le bus PCIe, nous pouvons encore progresser. »

Carte ioDrive Octal offrant une capacité de stockage maximale de 5,12 To

Outil de monitoring à venir

En complément, la start-up annonce également un outil pour gérer ses produits. « Nos clients veulent précisément savoir ce qui se passe. Nous fournissons donc la plateforme IOSphere  pour centraliser la supervision de nos produits ». Cet outil, disponible au 1er trimestre prochain, se compose en fait de deux éléments : ioManager pour gérer les cartes Fusion-IO dans un serveur et ioDirector pour un Datacenter. Enfin, pour réduire le temps de latence, ioMemory permettra placer en cache des données habituellement conservées dans une baie SAN ou NAS.

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Sauvegarde en ligne avec i365

La même journée, nous avons été à la rencontre d'i365, une filiale de Seagate spécialisée dans la sauvegarde. Cette dernière annonce une solution de stockage en ligne qui concurrence celle de StorSimple que nous avons détaillé hier (voir lien). Mais là où StorSimple propose un appliance à installer dans l'entreprise pour ensuite dédupliquer et compresser les données qui seront sauvegardées dans un cloud, i365 préfère se reposer sur un VAR. C'est en effet ce dernier qui proposera aux PME-MPI une solution de sauvegarde mutualisée en ligne, un cloud de nos jours, grâce à un appliance i365 baptisé Evault CCSp (Cloud Connect Service Provider Programm). Terry Cunningham, président d'i365, nous a détaillé cette annonce qui compte déjà plusieurs partenaires en France : Akube, CFI, Diademys, Noeva, Act400 ou encore Champagne Informatique. « Nous proposons une solution de sauvegarde aux VARs qui souhaitent ajouter des offres de services cloud à leur catalogue pour ne perdre leurs clients. Les clients paient ici pour l'espace de stockage qu'il utilise dans une architecture multi couches » précise Terry Cunningham. Pour utiliser la solution Evault, les clients doivent installer un agent sur leurs serveurs pour assurer la déduplication et la compression des données qui seront stockées sur les Datacenter d'i365. La compagnie reste très discrète sur le nombre et les capacités de ses datacenters. En Europe un Datacenter à Amtserdam et un autre à Londres répondront aux besoins nous assure le dirigeant de la compagnie. « Le 1er back-up est complet et les suivants incrémentaux », nous précise George Hoening, responsable des produits et des services chez i365. « De base l'appliance est livré avec 10 To dont 3 To seulement sont activés. L'espace disponible est mis en service à la demande. Chaque appliance fonctionne avec une seule instance logicielle pour assurer la sauvegarde de plusieurs clients et éditer des factures détaillées ». Chaque sauvegarde est bien sûr séparée et cryptée dans cette architecture multitenant. Les données sont ensuite répliquées sur les datacenters d'i365 pour garantir une sécurité maximale.

Terry Cunningham, président d'i365

En cas de défaillance du revendeur, le client ne pourra pas s'adresser directement à i365. Il devra repasser par un autre VAR pour retrouver son service. « Il n'y a pas de contrat entre i365 et les entreprises, précise à ce sujet Terry Cunningham. Le business model passe uniquement par les partenaires qui possèdent l'appliance sur leur site. Précisons que cette dernière est vendue 17 800 € avec 3 To activés et la sauvegarde facturée 0,80 centime pour un Go par mois. « Nous avons trouvé un intérêt particulier en France pour notre solution »  explique Valerie Fawzi, responsable marketing chez i365. « C'est une première étape pour que les VARs deviennent des partenaires de confiance pour la sauvegarde d'autres services à venir. Par exemple héberger temporairement des machines virtuelles en attendant qu'un client résolve un problème serveur », souligne Terry Cunningfham. On le voit à différence de StorSimple qui supprime les intermédiaires entre le client et son stockage cloud, i365 souhaite réinstaller les revendeurs spécialisés au coeur du business cloud.

(...)

(17/11/2010 12:35:25)

Une député demande le gel de l'Hadopi

Dans un communiqué publié mardi 16 novembre, Muriel Marland-Militello demande le gel de la procédure de réponse graduée jusqu'à la labellisation des premières offres légales. Elle rappelle que le décret définissant les modalités de cette labellisation a été publié au Journal officiel le 13 novembre dernier, soit plusieurs semaines après la mise en oeuvre de l'Hadopi.

La député considère "qu'il serait inéquitable et antipédagogique vis-à-vis des internautes de faire autre chose que des rappels à la loi tant que la mission d'encouragement du développement de l'offre légale de l'Hadopi n'aura pas suffisamment progressé". Elle demande également aux industries culturelles de prendre des engagements plus forts en faveur de l'offre légale et de la démocratisation culturelle.

Le décret relatif à la labellisation des offres a été publié la semaine dernière par le Journal officiel. Le label en question concerne notamment les sites et plateformes musicales qui comptent proposer de la musique légalement aux internautes. Ils doivent pour cela déposer un dossier à l'Hadopi, qui se charge de délivrer le label pour une période d'un an.

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(17/11/2010 12:37:05)

Cisco adapte ses solutions de vidéoconférence à la virtualisation

L'utilisation croissante de la vidéo et de la vidéoconférence dans les échanges professionnels a obligé les constructeurs comme Cisco à chercher des produits adaptés à la virtualisation qui permettent à leur tour de stocker les données et d'améliorer les applications quand elles sont placées sur des serveurs au sein des datacenters pour fonctionner en même temps sur des bureaux virtuels et des applications pour appareils mobiles. « En général, la voix et la vidéo ne passent pas très bien en mode virtualisé depuis un datacenter, » a déclaré Barry O'Sullivan, vice-président de Cisco pour les technologies Voice. « Mais avec la nouvelle architecture de virtualisation VXI - pour Virtualization Experience Infrastructure - nous pensons avoir résolu ce problème. » Selon lui, le VXI pourra améliorer de 60% la densité des bureaux virtuels sur les serveurs. Disponible de suite, on sait encore peu de chose sur le VXI.

Premier des deux dispositifs, le VXC 2200 se présente comme une tour autonome de moins de 12 cm de hauteur, dotée de quatre ports USB et de deux ports vidéo. « Celle-ci peut trouver sa place entre un téléphone de bureau et un système de téléprésence, » a déclaré Barry O'Sullivan. Le VXC 2100, plus petit, se fixe quand à lui sur le dos d'un téléphone IP Cisco, peut être connecté à deux écrans de bureau traditionnels, et dispose de quatre ports USB pour être notamment relié à un clavier. Tous deux sont alimentés via un port Power over Ethernet et chacun est doté d'un processeur intégré permettant le décodage des protocoles de virtualisation. « Cela signifie que les entreprises peuvent conserver leurs données sur les serveurs dans les datacenter, plutôt que sur l'ordinateur de bureau ou le dispositif mobile de leur salarié, » a déclaré le vice-président de Cisco. Le VXC 2200 et le VXC 2100 devraient être disponibles en mars 2011 pour un prix inférieur à 500 dollars, avec clavier USB, souris et licence client. Ils supporteront VMware View 4.5 et Citrix XenDesktop.

Teleprésence, webconference, iPad et Cius


Cisco a par ailleurs annoncé deux nouvelles solutions de videoconference : le système de TelePresence EX60 et le système 500-32 pouces. Disponible d'ici fin 2010 au prix de 6 900 dollars, le EX60 et son écran 21 pouces haute définition peut facilement servir de moniteur de bureau. Quant au CTS 500 32 pouces, également disponible d'ici à la fin de l'année au prix de 23 900 dollars, il est plutôt destiné aux dirigeants pour leurs besoins de vidéoconférence. Il peut être fixé au mur ou placé sur un pied. Ces dispositifs pourront être géré par le système unifié Cisco Unified Communications Manager. Ce qui signifie que ce système de contrôle d'appel unique pourra être utilisé à la fois pour la vidéoconférence et la voix.

Une autre innovation combine WebEx de Cisco avec la vidéo de haute définition. Dans la nouvelle interface, il est possible d'agrandir l'image de la personne qui parle à l'écran et apporte plus de souplesse dans la manière dont sont organisées les images des documents partagés par les participants. Cisco a également annoncé que le nouveau WebEx Meeting Center et sa vidéo haute définition seront compatibles avec l'iPad d'Apple dès le mois de décembre, puis avec la tablette Cius attendue en mars prochain. L'équipementier a profité de l'occasion pour signaler que sa tablette serait compatible avec VMware View, Citrix Receiver, et avec le logiciel de virtualisation Wyse Pocket Cloud et serait capable d'interagir avec tout ordinateur sous Windows utilisé dans un datacenter. Enfin, Cisco travaille aussi à rendre ses outils de vidéoconférence interopérables avec les terminaux standards de l'industrie, y compris ceux de concurrents comme Polycom et LifeSize.

 

Illustration: VXC 2200

Crédit Photo: Cisco

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(17/11/2010 12:47:59)

Les opérateurs mobiles misent sur la Galaxy Tab de Samsung

(Source EuroTMT) Il est vrai que, contrairement à Apple, Samsung mise sur les opérateurs pour la commercialisation de sa tablette multimédia. Alors que l'iPad n'est pas disponible chez les opérateurs, qui ne la subventionnent donc pas, SFR et France Télécom, les deux premiers à avoir annoncé leurs forfaits pour la Galaxy Tab, vont subventionner cette dernière massivement.

Selon SFR, le montant unitaire de la subvention opérateur s'élève à quelque 300 €. Ce qui explique un prix de vente quasiment identique pour France Télécom et SFR : 299 € pour le premier, 299,90 € pour le second. Cette aide à l'achat, proposée par les opérateurs mobiles à l'image de ce qui se fait dans les terminaux mobiles, explique d'ailleurs pourquoi la tablette de Samsung est souvent présentée comme un « iPad killer. »

C'est aussi la raison qui pourrait amener Apple, comme le parient déjà certains spécialistes, à modifier sa politique commerciale pour autoriser les opérateurs mobiles à vendre, en subventionnant, son nouveau gadget. Il faut dire que les prix de vente sont très élevés (à partir de 499 € pour le premier modèle uniquement Wifi) et peuvent constituer un frein à l'achat.

De la 3G, des services sur Samsung

D'autant plus que les forfaits 3G+ proposés par les opérateurs tricolores pour la Galaxy Tab sont bien plus généreux que ceux mis en place pour l'iPad. Les opérateurs mobiles préfèrent en effet que les acquéreurs de la tablette siglée par Apple se connectent en Wifi. Pour la tablette de Samsung, les deux opérateurs proposent un forfait permettant de consommer 1 Go par mois. SFR va plus loin avec un deuxième forfait « illimité », le débit étant toutefois réduit à partir d'une consommation supérieure à 3 Go par mois. Si SFR mise surtout sur le niveau de consommation de l'abonné, France Télécom a, pour sa part, décidé de se différencier par les services en proposant pour son principal forfait une gamme de services enrichis avec un bouquet de 60 chaînes télé, Deezer et le kiosque en ligne. 

De son côté, SFR repose l'essentiel de ses services sur ceux de Google, dont le système d'exploitation Androïd équipe la Galaxy Tab. Ces services sont enrichis de quelques fonctionnalités supplémentaires comme les jeux, le kiosque en ligne et la VOD. D'autre part, France Télécom propose aussi un forfait comprenant 2 heures de communication, alors que ce service constitue soit une option, soit un achat à l'acte chez SFR. Si les opérateurs misent donc beaucoup sur la Galaxy Tab, son positionnement demeure, néanmoins, très différent de l'iPad, en raison de la différence de taille significative de l'écran : 7 pouces pour le produit de Samsung, près de 10 pouces pour la tablette d'Apple. 

Si l'iPad est moins facilement transportable, son écran rend la navigation sur Internet et la lecture très facile et en fait un concurrent très sérieux pour les netbooks, contrairement à la Galaxy Tab, plutôt fait pour être un terminal de jeux ou de vidéo. (...)

(17/11/2010 12:36:06)

Le groupe Altitude se diversifiera dans les datacenters

« La vocation d'Altitude Télécom était d'être consolidé avec un opérateur plus important » glisse Jean-Paul Riviere son P-dg et fondateur. Pas de surprise donc dans l'opération de vente à Completel annoncée en début de semaine. « Maintenant, dans un an ou dans deux ans, l'opération devait se faire ». Depuis douze mois, le Groupe Altitude souhait se défaire de sa filiale télécoms, pourtant fort prospère.  Calyon était mandatée pour réaliser un deal.

Le rapprochement avec Completel est logique en terme de compétences souligne Jean-Paul Riviere, « ils sont forts sur la voix, nous sur la data, ils ont des infrastructures, alors que nous travaillons avec d'autres opérateurs, ils déploient même le 1er réseau alternatif à France Télécom ». L'économie est donc évidente. Completel récupère également un parc client orienté grands comptes, Altitude Télécom est connu pour  ses grands VPN, en moyenne chaque client compte 16 sites.

Tous les salariés repris

L'intégration devrait se faire rapidement. Seule réserve, l'Autorité de la concurrence doit encore valider l'opération, ce sera fait d'ici cinq semaines. Les salariés d'Altitude Télécom seront tous repris. Les instances représentatives du personnel ont été informées. Et la direction de Completel souhaite renforcer le site historique d'Altitude à Rouen.

Dans cette opération, Le Groupe Altitude que Jean-Paul Riviere dirige avec sa fille s'est défait de 65 millions d'euros de chiffre d'affaires pour en conserver une cinquantaine. Il va opérer dans deux directions : les infrastructures et les datacenter. Sur le premier point, ce sera avec Altitude Infrastructure, filiale  engagée en longue durée auprès des collectivités locales au travers de DSP. Elle compte elle-même une filiale, Wibox, opérateur de services Wimax. La partie datacenter est en cours de développement. Le groupe compte déjà un centre à Rouen qui sera loué à Altitude Télécom - Completel. D'autres centres sont en projets. (...)

(17/11/2010 12:35:45)

Trimestriels: Netgear engrange des bénéfices

Le fabricant de produits réseaux a réalisé un bon troisième trimestre 2010 à l'issue duquel son chiffre d'affaires s'est établi à 236 M$, soit une hausse de 38% à période comparée de 2009. Son bénéfice net (GAAP) est ressorti quant à lui à 13,1 M$ contre 8,5 M$ enregistrés un an plus tôt. La marge brute et la marge opérationnelle représentent respectivement 32,7 et 11% des revenus du troisième trimestre.

Présent sur le segment des particuliers, des PME et des opérateurs, le fabricant réalise 19% de son chiffre d'affaires total auprès de cette dernière cible de clients. Cette proportion atteignait 25% lors du troisième trimestre 2009.  L'Amérique du Nord reste le pôle d'activité mondial de Netgear qui y réalise 49,7% de ses revenus contre 38% dans la zone EMEA.

Pour le quatrième trimestre 2011, l'entreprise table sur un chiffre d'affaires compris entre 240 et 250 M$ et une marge opérationnelle (non GAAP) de 11 à 12%.
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