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(29/09/2010 13:55:13)
Un PGI pour les PMI chez Wavesoft
Outre le fait qu'elle apporte une trentaine de fonctions supplémentaires aux différents modules(*) qui exploitent sa BDD centrale, Wavesoft V14 se décline pour la première fois dans une version pour les Petites et Moyennes Industrie de 10 à 100 personnes.« L'arrivée d'un module production dans notre gamme nous permet d'entrer dans l'atelier », résume Eric Orenes, le directeur commercial de Wavesoft.
Tel qu'il a été conçu, ce module permet aux utilisateurs de procéder à quatre types d'opérations métiers : la gestion des données techniques (nomenclatures, gammes de fabrications...) ; le calcul des besoins selon les règles MRPII (Management Ressource Planning) ; le calcul et la simulation des prix de revient ; le suivi des temps et des productions réels dans l'atelier.
Un outil métier adapté à la prospection commerciale
Jusqu'ici, Wavesoft évoluait sur les marchés du négoce et des services. Mais le potentiel du segment de l'industrie l'a incité à faire évoluer son offre. « Ce marché est ciblé par une population très atomisée de petits éditeurs. Ils proposent en général des outils développés il y a 15 a 20 ans avec une vision surtout technique des choses », indique Eric Orenes. Or, selon ce dernier, les petites industries ont également besoin d'un outil métier qui leur permet aussi d'organiser la prospection de nouveaux clients comme le font communément les entreprises du négoce.
Pour l'éditeur, le lancement d'un produit adapté n'est que le premier pas vers sa prise de position en tant qu'éditeur pour les PMI. Misant exclusivement sur une approche indirecte, la société doit encore recruter de nouveaux partenaires connaissant les métiers de l'industrie. « Nous ambitionnons de travailler avec 30 partenaires répondant à ce profil sur la période 2010-2011 », indique Eric Orenes.
L
(*)CRM, gestion commerciale, gestion comptable, module point de vente, décisionnel, télétransmission bancaires, automate de transfert entre le back office et les sites marchands. (...)
Michel Malhomme arrive chez Logica France
La société de services accueille Michel Malhomme au poste de directeur du Delivery. A ce titre, il sera notamment chargé d'animer les équipes françaises de l'entreprise et de s'assurer du développement de leurs compétences. Une tâche qui s'inscrit dans une mission plus globale qui consiste à garantir la qualité, l'industrialisation et la performance de la mise en oeuvre des projets et des contrats de services conclus par Logica avec ses clients dans l'hexagone.
Avant de rallier Logica France, Michel Malhomme était en charge de l'Offshore chez IBM Global Services depuis 2007. Son parcours au sein de cette entité l'a également amené à occuper les postes de directeur technique avant-vente puis de directeur du Delivery. (...)
Sortie de crise en vue chez l'éditeur Infor
Infor réunit ses partenaires distributeurs EMEA à Annecy ce 29 septembre. 370 d'entre eux seront au rendez-vous, contre 250 l'an passé (la conférence se tenait à Milan). Tous les pays de la zone (qui va de la Scandinavie à l'Afrique du sud, de l'Irlande à la Russie) sont représentés. Thème principal : la croissance. « Nous avons traversé ces dix huit derniers mois sans trop de dommages, nous explique Jean-Philippe Pommel, vice président channel et alliances EMEA de Infor, nous voulons maintenant, atteindre 15% de croissance, une croissance agressive ».
Ces 15% seront possibles avec deux boosters : l'accord signé avec Microsoft et l'extension géographique de l'éditeur et de son channel. L'accord avec Microsoft, signé début juillet, entre pleinement en application pour les partenaires. Ils vont pouvoir distribuer les produits Microsoft intégrés dans les solutions d'Infor : SharePoint 2010, Silverlight, SQL Server, Single-On service, Windows Server.
Trois pays émergents ciblés
Quant à l'extension géographique, elle porte sur les pays émergents, avant tout l'Afrique du sud, le moyen Orient avec Bahrein, la Russie. Eux permettront d'arriver aux 15%de croissance prévus, les pays comme la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne étant plus en retrait.
Côté produits, Infor va insister auprès de ses partenaires sur le Saas et l'ERP pour PME. Le Saas s'ouvre aux partenaires avec deux premiers produits ; la gestion d'actifs (enterprise asset management) et la gestion des frais (expensive management). Le cloud d'Infor s'appuyant sur la plate forme Azur de Microsoft.
L'offre ERP, elle, est centrée sur les entreprises réalisant entre 5 et 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, avec Visual ERP. Infor donne ainsi à ses partenaires la possibilité de s'adresser à des PME de plus petite taille. Cet ERP offre aussi un axe de recrutement à Infor.
Illustration : Infor EAM Business Edition, crédit D.R. (...)
Une taxe sur les télécoms pour financer la fibre optique
Citant les propos d'Hervé Maurey, sénateur de l'Eure, le quotidien économique La Tribune précise qu'une taxe directe sur les abonnés serait préférée à une taxe supplémentaire sur le chiffre d'affaires des opérateurs. Cette taxe serait semblable à celle que paient actuellement les consommateurs lors de l'achat d'un appareil électrique pour financer son recyclage.
"Avec 65 millions d'abonnements à l'ADSL et à la téléphonie mobile, la contribution s'élèverait à un peu moins de 10 euros par an et par abonné" indique La Tribune. Cela permettrait de dégager la somme nécessaire pour financer le chantier national de la fibre optique, dont le coût est estimé à 30 milliards d'euros.
Par ailleurs, le ministère de l'Economie a décidé il y a quelques semaines de relever à 19,6% la taxation sur les offres "triple play" (Internet, téléphone, télévision), qui bénéficiaient jusque-là d'une TVA réduite à 5,5% sur la moitié du montant. Les opérateurs devraient répercuter cette hausse sur la facture de leurs clients. Le surplus est évalué entre 2 et 3 euros par mois par abonnement.
(...)(29/09/2010 11:26:19)Dell étoffe ses solutions intégrées pour les datacenters virtualisés
Le constructeur informatique souhaite étendre son rôle au sein des datacenters et se détacher définitivement de l'image de fournisseurs de matériels à bas coût, en proposant un ensemble de produits pour la gestion des infrastructures virtuelles. Grâce à des acquisitions, des partenariats et ses propres développements, Dell a assemblé un ensemble de logiciels appelé Virtual Integrated System), qui facilitera pour les entreprises le déploiement et la supervision des serveurs, du réseau et du stockage dans un environnement virtualisé.
Cette annonce va permettre à Dell de concurrencer des fournisseurs plus expérimentés en la matière sur des solutions plus complexes à mettre en oeuvre. VIS réduira aussi la dépendance de Dell au hardware qui apporte moins de valeur ajoutée que les services et les logiciels. La solution proposée entre directement en concurrence avec l'offre UCS de Cisco et Blade System Matrix d'HP. VIS aidera, selon le texan, les entreprises à virtualiser leurs centres de données pour créer un pool de ressources de calcul, dans lequel la charge de travail peut être modulée pour accompagner les pics de demande. Cette solution s'installe au-dessus des plates-formes de virtualisation de VMware, Citrix et Microsoft, et gère de manière plus cohérente leurs serveurs, réseau et de stockage.
Un millefeuille de logiciels
Au coeur de VIS réside Advanced Infrastructure Manager (AIM), basé sur la technologie Scalent (société acquise par Dell). AIM peut fournir une application sur un serveur - virtuel ou physique - pour répondre à une forte demande immédiate. Le logiciel affecte aussi des ressources de réseau et de stockage nécessaires automatiquement. « Un facteur de différenciation est que notre solution s'adapte à nos produits, mais également à ceux d'autres fournisseurs » souligne Eric Endebrock, responsable marketing Entreprise chez Dell. Elle peut ainsi s'interfacer avec des serveurs HP et IBM, mais aussi avec les équipements réseau de Cisco, Juniper et Brocade. Pour le stockage, elle fonctionne avec EqualLogic, mais Eric Endebrock pense que d'autres plateformes seront supportées dans le futur.
AIM a été présentée plus tôt cette année. Il s'agit donc d'une mise à jour, comprenant une interface graphique plus facile à utiliser et la prise en charge du 10 Gigabit Ethernet et du Fibre Channel over Ethernet. Un plug-in est aussi disponible pour le logiciel de gestion de VMware vCenter qui via son interface accède à AIM. VIS comprend également une composante innovante, le Self-Service Creator, un logiciel de Dynamic Ops que Dell revend sous sa propre marque. Il s'agit d'un portail qui autorise un développeur ou un responsable informatique à sélectionner et à lancer les ressources de calcul dont ils ont besoin. Il prévoit un mécanisme de rétrofacturation, ainsi qu'un contrôle de l'inactivité ou de la sous-utilisation des machines virtuelles. Le prix d'AIM et Self Service Creator est respectivement de 1 810 dollars et 1 495 dollars par socket.
Enfin, Dell lancera dans les prochains trimestres, VIS Director, a expliqué Eric Endebrock. Elle aussi, sera basée sur un partenaire technologique, et offrira des possibilités de suivi et d'analyse pour améliorer les performances.
Changer d'image
Mark Bowker, analyste senior chez Enterprise Strategy Group, estime que le marché des solutions similaires à VIS est encore émergent. Dell pourrait s'appuyer sur les services entreprises de Perot, pour l'aider à vendre ces produits, souligne le consultant. Il pourrait ainsi proposer une offre de bureau virtuel, en fournissant l'infrastructure back-end ainsi que les ordinateurs de bureau et le support. L'un des plus grands défis que Dell aura à surmonter est une perception selon laquelle il n'a pas le savoir-faire technologique pour gérer des environnements virtuels complexes. «Au coeur de cette histoire, Dell va tâtonner pour se forger une légitimité », a déclaré Frank Gillett, analyste de Forrester Research. Un pari qu'il commence à gagner. En effet, certains clients ont plus confiance en Dell qu'avant. Ainsi, Jim Journeay, DSI au Meridian Credit Union à St. Catherines, en Ontario, a déclaré que son entreprise a récemment changé ses serveurs IBM par des Dell. La première raison est une question de coût, mais il a aussi été impressionné par la compétence des équipes Dell Perot, « Dell a parcouru un long chemin au cours des deux dernières années. Il n'était pas perçu auparavant comme une plate-forme serveur solide », a déclaré Jim Journeay. S'il n'utilise pas aujourd'hui la solution VIS, préférant les outils de gestion VMware, il étudiera la question dans le futur.
CIO.PDF 24 : Savoir gérer ses litiges
CIO.PDF 24 étudie les différents types de litiges qu'un DSI peut rencontrer, notamment en matière de projets (le grand classique) et de propriété intellectuelle (le nouveau type qui monte), au travers d'un dossier spécial. Celui-ci précise aussi quelques bonnes pratiques pour éviter la catastrophe et, quand, malgré tout, elle se présente, pour la régler au mieux des intérêts de l'entreprise.
Au delà de ce sujet, CIO.PDF 24 s'intéresse aussi aux relations avec les métiers. Si la priorité du côté de la DSI est de servir les métiers avec une informatique qui fonctionne, on peut constater que la tâche demeure d'autant plus difficile que les métiers ou la direction générale trop souvent ne savent pas vraiment eux-mêmes ce qu'ils veulent !
Les DSI doivent, de plus, apprendre à faire beaucoup en ayant toujours moins de moyens. Pour certains, c'est devenu une spécialité. Enfin, nos confrères de CIO Etats-Unis se sont penchés sur la perception d'une informatique « qui marche » par un DG.
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Selon Markess International, l'Open Source reste un vecteur d'innovation dans le secteur public
Plus de flexibilité dans les nouveaux usages
L'Open Source permet, pas sa culture propre, de faciliter le travail collaboratif et l'organisation horizontale (par opposition à une vision hiérarchique du travail). La grande flexibilité qu'elle offre amène également à tester de nouveaux usages sans investir lourdement dans des outils propriétaires aux coûts initiaux importants (notamment via des licences onéreuses). Ainsi, la culture propre de l'Open Source est un facilitateur de la méthode itérative de création d'un outil informatique. Markess International juge ainsi : « nombreux sont les responsables d'administrations ayant tirés partie de l'Open Source pour stimuler le lancement de projets qui ne l'auraient peut-être pas été sans ce recours. » Et le cabinet cite les exemples des applications métiers dans les collectivités territoriales et des ENT (environnements numériques de travail).
Le recours au cloud encore marginal
L'autre grande innovation de ces dernières années, l'informatique en nuages, semble destinée à se combiner avec l'open-source. Si seulement 6% des répondants déclarent déjà héberger des applications open-source dans le cloud (avec une avance des collectivités locales sur les administrations centrales), c'est une possibilité qui éveille de l'intérêt chez la plupart des responsables interrogés par Markess International. Ils privilégient d'abord le SaaS open-source et seulement en second lieu l'IaaS.
L'Open Source continue sa croissance dans les budgets informatiques du secteur public avec une valeur de 16% du budget global (soit environ un milliard d'euros) et il devrait croître de 15% par an dans les prochaines années.
Les effets secondaires de LOPPSI 2 sur les RSSI
Or le rôle d'un RSSI (responsable de la sécurité des systèmes d'information) est d'empêcher toute intrusion dans le SI d'une entreprise. S'il détruit, dans le cadre de son activité, le spyware policier, ne se rend-il pas coupable de « destruction d'un objet de nature à faciliter la découverte d'un crime ou d'un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables ? »
Le cas peut se présenter lorsqu'un salarié est soupçonné de pratiques illégales et d'utiliser les moyens informatiques de son entreprise pour l'y aider. On peut ainsi songer à la criminalité financière.
A la demande de nos confrères de CIO, Etienne Papin, avocat associé du cabinet Féral-Schuhl / Sainte-Marie, a réalisé une étude juridique de la situation.
Photographie : la prison de la Santé, Paris (par Bertrand Lemaire)
La Fondation Codeplex se rebaptise Outercurve
Créée à l'automne 2009 à partir du portail communautaire de Microsoft, la Fondation Codeplex cherche à prendre quelques distances avec son géniteur. Elle vient de changer officiellement de nom pour devenir la Fondation Outercurve. Paula Hunter, sa directrice exécutive, espère que cette modification dissipe un peu la confusion qui s'opère entre son organisation et Codeplex.com, le site de Microsoft hébergeant les projets Open Source de l'éditeur de Windows. « Nombreux sont ceux qui ont associé les activités de ce site aux nôtres et vice-versa », a-t-elle admis.
La Fondation CodePlex avait été constituée comme un relais entre les communautés Open Source et commerciales. Depuis, l'organisation à but non lucratif a cherché à s'écarter de l'influence de Microsoft en se mettant en quête de financement externe et en insistant sur sa neutralité vis-à-vis de la plateforme.
Paula Hunter rappelle que l'objectif de la Fondation consiste à favoriser la collaboration entre développeurs sur les projets Open Source, que ces développeurs soient des familiers du libre, qu'ils évoluent dans le monde des logiciels commerciaux ou, encore, au sein des entreprises. « Nous nous occupons de l'administration IT et de la supervision et les développeurs se concentrent sur le code associé au projet », explique-t-elle.
Une fondation toujours présidée par Sam Ramji
Toutefois, les racines même de l'organisation, tout autant que l'intérêt de Microsoft pour l'Open Source, ont toujours constitué un sujet de controverse. On a notamment reproché à la Fondation son conseil d'administration, jugé trop proche de Microsoft. Il est notamment présidé par Sam Ramji, désormais vice-président de la start-up Sonoa, mais qui fut jusqu'en novembre 2009 le patron Open Source de Microsoft. En mai, la Fondation a recruté Stephen Walli au poste de directeur technique, encore une fois un ancien collaborateur de l'éditeur.
Pour l'instant, CodePlex gère sept projets Open Source, parmi lesquels Ajax Control Toolkit, CoApp, ou encore Orchad, destiné à fournir des composants réutilisables pour la plateforme ASP.net. D'autres doivent être prochainement annoncés, a indiqué Paula Hunter.
Pour créer son nouveau nom, l'organisation a consulté la société bostonienne Protobrand, spécialiste des marques. La directrice exécutive de la Fondation Outercurve reconnaît que ce fut une tâche difficile. « Trouver une dénomination est devenu délicat ces temps-ci, souligne-t-elle. Il faut non seulement que le nom choisi n'ait pas été déjà déposé comme marque ou protégé par copyright, mais aussi que l'adresse web soit encore disponible. Outercurve convenait dans les trois cas et il sonnait bien.
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