Flux RSS

108538 documents trouvés, affichage des résultats 6501 à 6510.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(30/09/2010 12:35:45)
Apec : les jeunes diplômés IT 2009 victimes de la crise
Au printemps 2010, soit environ 8 mois après leur sortie du système éducatif, 64% de la promotion 2009 des Bac + 4 et plus étaient en emploi, soit une baisse de 4 points par rapport à la promotion 2008. Ce recul est constaté dans toutes les disciplines, mais à des degrés différents. Ainsi, les plus fortes chutes de taux d'emploi sont observées dans des disciplines à orientation scientifique comme celles des sciences de l'ingénieur, aussi bien dans l'informatique et les télécoms, que dans les technologies multimédia.
Dans ces filières, 70% des jeunes diplômés de 2009 étaient en poste, contre 80% en 2008 et 91% en 2007. Si ce recul peut être mis en relation avec celui de la production industrielle, le comportement des diplômés des écoles d'ingénieurs n'y est pas étranger. Cette population est plus exigeante quant à la qualité de l'emploi occupé (intérêt des missions, salaire, statut de cadre...), et elle n'hésite pas à s'accorder un délai de recherche plus long pour trouver l'emploi correspondant à ses attentes
90% des jeunes diplômés décrochent un travail suite à leur stage de fin d'études
Comme chaque année, on constate une différence assez nette selon la nature du diplôme. : 64% des jeunes diplômés de 2009 issus d'écoles d'ingénieurs étaient en poste, contre 59% d'universitaires Parmi les jeunes en emploi dans le secteur privé qui expriment le souhait de travailler dans le secteur public, on note davantage de jeunes issus des filières transversales comme l'informatique (54%) D'ailleurs, ils sont une grande majorité (87%) à travailler dans des entreprises privées. L'étude indique, par ailleurs, que 86% des jeunes diplômés issus des filières informatique, télécoms, et technologies multimédia ont un statut de cadre. La quai totalité (90%) ont trouvé un emploi à la suite de stages effectués dans le cadre de leur cursus de formation. Enfin le salaire moyen d'un jeune informaticien diplômé la promotion 2009 atteignait les 31 400 euros
(...)
Fedora 14 teste la virtualisation de bureau
Plus précisément, cette mise à jour sera la première à intégrer la totalité des Spice (Simple Protocol for Independent Computing Environments), autrement dit les infrastructures de bureau virtuel VDI (Virtual Desktop Infrastructure) de Red Hat. Ainsi, cette version bêta de Fedora permettra d'héberger des bureaux virtuels et de les rendre accessibles via le réseau. "À long terme, Spice permettra à Fedora de fournir une meilleure expérience utilisateur en matière de virtualisation de bureau. Dans le court terme, Fedora s'enrichit d'une intéressante technologie Open Source que de nombreuses personnes ont envie d'essayer," peut-on lire dans la documentation de Fedora.
En plus de Spice, Fedora 14 expérimente plusieurs autres technologies. Elle comprend par exemple le framework Meego qui permettra aux utilisateurs de tester l'interface Meego présente sur certaines tablettes tactiles. Elle inclut également une version de démonstration du logiciel Sugar CRM, ainsi qu'un ensemble d'outils de développement Sugar. Le logiciel fournit également des briques pour l'exécution du langage de programmation objet D, et une version bêta de Perl 6, surnommée Rakudo Star.
Fedora 14 sera également compatible avec le logiciel de gestion serveur à distance IPMI (Intelligent Platform Management Interface) d'Intel. Il comprend aussi la prochaine génération du gestionnaire de session Linux systemd, qui devrait être intégré par défaut dans la version 15 de Fedora. Le logiciel offrira enfin la version 4.5 de KDE et pourra exécuter le noyau Linux 2.6.35.
Une base de tests pour la distribution entreprise de Red Hat
C'est en 2003 que Red Hat a initié le programme Fedora, en fait une version Open Source de son OS RHEL, destinée à être utilisée pour tester de nouvelles fonctionnalités. Jusqu'à présent, selon Red Hat, plus de 20 000 personnes ont contribué au projet. Des portions de Fedora sont ensuite incorporées dans RHEL, ainsi que dans la distribution Linux d'Oracle, qui emprunte beaucoup à RHEL.
Comme avec n'importe quel logiciel en version bêta, Fedora souffrira probablement encore de quelques bugs, de sorte qu'il ne devrait pas être utilisé en production, au moins avant la version finale. Les développeurs espèrent que les utilisateurs feront remonter les bogues afin qu'ils puissent être corrigés.
La version finale de Fedora 14 devrait être livrée en novembre, juste avant un certain nombre de mises à jour de distributions Linux, dont Ubuntu 10.10 de Canonical, RHEL 6 et Debian 6, prévues pour la fin de l'année.
(...)(29/09/2010 16:29:11)CA Technologies s'empare d'Hyperformix
«La virtualisation de la gestion des capacités répond à un besoin critique des clients », déclare Roger Pilc, directeur général des solutions pour entreprises d'automation et de virtualisation chez CA. La plupart des clients de l'éditeur ont besoin d'aide dans les premières étapes de la virtualisation et avec la montée en puissance, il deviendra de plus en plus important de gérer l'infrastructure et de d'anticiper les futurs usages, a ajouté Andi Mann, responsable marketing des produits de virtualisation, dans un post sur un blog.
Les solutions Hyperformix donnera aux utilisateurs la possibilité de réduire le nombre de machine virtuelle inutiles, tout en libérant des capacités de stockage et des ressources serveurs, explique Andi Mann. La société, basée à Austin, est spécialisée dans les logiciels de gestion automatisée des capacités des infrastructures IT dans le cloud. Le logiciel recense l'utilisation des différentes ressources, met en évidence l'inefficacité, aide à une allocation efficiente des capacités et donne des indications sur les prospectives d'architecture IT.
Les deux sociétés prévoient de conclure la transaction d'ici la fin de l'année. Les salariés d'Hyperformix intégreront la business unit « Virtualization and Automation » de CA Technologies.
IBM accompagne la production du film « Moi, moche et méchant »
IBM annonce aujourd'hui avoir collaboré avec les studios Illumination Entertainment et Mac Guff afin de répondre aux besoins liés à la production du long métrage d'animation numérique « Moi, moche et méchant » (Despicable Me). Le studio parisien de production numérique Mac Guff, devait mener à bien 12 mois de travail d'animation graphique et 3D, soit quelques 500 000 images hebdomadaires. «Pour aider le studio à réaliser son projet, nous devions répondre à deux problématiques majeures », a indiqué Eric Taillard, vice-président de la division partenaires et PME chez IBM France et d'ajouter : « il s'agissait d'abord de réduire la consommation énergétique et ensuite de répondre aux contraintes techniques dues au traitement des images en 3D qui imposait une montée en charge du système. »
Afin de réaliser au mieux ce projet, Mac Guff devait configurer, dans les meilleurs délais, une batterie de serveurs dédiés, capables de répondre aux besoins de 330 artistes, producteurs et autres collaborateurs. « Il fallait une solution occupant peu de place, qui soit simple à configurer, gérer et déployer », a exposé Bruno Mahé, DSI de Mac Guff.
Doubler le nombre de systèmes capables de tourner dans un seul rack
IBM et son partenaire Serviware, se sont donc associés pour mettre au point une configuration serveur basée sur le système iDataPlex. L'outil a autorisé un gain de place, en doublant le nombre de systèmes capables de tourner dans un seul rack IBM. De son côté, Serviware a pu faire tenir le datacenter sur quatre places de parking dans le garage de Mac Guff, soit la moitié de ce que qui était initialement prévu. La solution iDataPlex incluait Rear Door Heat eXchanger, une porte refroidie par eau afin que le système puisse fonctionner sans climatisation, économisant jusqu'à 40 % d'énergie en comparaison avec les serveurs classiques. L'installation comportait 6 500 coeurs de processeurs, dont 2 iDataplexes, sans compter les serveurs et les stations de travail supplémentaires ajoutés au centres de calcul (render farm). Au final, l'installation a pris moins d'une journée, et Bruno Mahé et son équipe ont alors pu commencer les premiers traitements d'images. Sachant que pour « Moi, moche et méchant », le procédé d'animation a généré quelque 142 terabytes de données. Ce film, distribué par Universal Studios, sortira sur les écrans français le 6 octobre 2010.
Crédit photo: Universal
(...)
Le cloud d'Amazon soutient le développement PHP
Le SDK d'Amazon Web Services (AWS) pour PHP fonctionne avec PHP 5.2 ou des versions ultérieures. Les développeurs peuvent créer des applications qui se servent des différents éléments du cloud d'Amazon, dont Simple Storage Service (S3), Elastic Compute Cloud (EC2) pour la capacité de calcul et la base de données SimpleDB .
Le kit de développement est basé sur le toolkit CloudFusion et comprend une bibliothèque d'API, des échantillons de code et la documentation. Il convient de simplifier le développement en fournissant des outils sur mesure, selon Amazon. Auparavant, les développeurs avaient besoin de de télécharger plusieurs bibliothèques de différents fournisseurs afin de bâtir une application sur les différentes briques d'AWS.
En mars dernier, le créateur de CloudFusion, Ryan Parman, a rejoint Amazon pour pouvoir se concentrer exclusivement sur l'amélioration du logiciel. Avec les ressources mises à disposition, il a été en mesure de réaliser « d'énormes progrès dans l'amélioration de presque tous les aspects du projet», indique-t-il sur le site de la solution. Il répond aussi à d'autres questions sur les changements que le SDK AWS pour PHP apporte, y compris un commutateur d'une licence BSD vers Apache 2.0. Amazon fournit également un guide qui explique comment migrer de CloudFusion 2.5 à AWS SDK pour PHP.
Ryan Parman consacre désormais tous ses efforts sur le SDK de l'AWS pour PHP, mais CloudFusion continuera à exister comme un projet ouvert, souligne-t-il.
Le cloud d'Amazon est agnostique en matière d'API pour les services web et n'importe quels langages de programmation sont acceptés. Pour ceux, cependant qui désirent plus de support, l'éditeur propose également des kits de développement pour Java et Microsoft. NET en plus du SDK PHP.
Le SDK AWS pour PHP peut être téléchargé sur le site d'Amazon.
Microsoft propose des tableaux de bord pour rassurer ses clients BPOS
Avec ces outils, les clients BPOS peuvent plus facilement vérifier les performances et la disponibilité des applications de la suite, notamment dans le cas d'une défaillance des centres de calcul de Microsoft. "Nous franchissons aujourd'hui une étape dans notre prestation puisque le Microsoft Online Service Health Dashboard livre des informations rapides, précises et ciblées sur l'état du service BPOS," a écrit Morgan Cole, un officiel de Microsoft, dans un blog. L'annonce faite mardi arrive environ trois semaines après que l'éditeur de Redmond ait présenté ses excuses pour plusieurs pannes ayant affecté l'accès aux applications BPOS fin août et début septembre. La suite BPOS Standard, qui comprend Exchange Online, Office SharePoint Online, Office Communications Online et Office Live Meeting, hébergée par Microsoft et vendue par des partenaires, est fournie avec une garantie de disponibilité théorique de 99,9 %.
La démarche de Microsoft suit celle d'autres vendeurs de solutions logicielles hébergées, comme Salesforce.com et Google, qui offrent déjà des tableaux de bord d'état pour leurs applications. Avec une différence cependant : le tableau de bord Trust de Salesforce.com et le tableau de bord Google Apps Status sont accessibles en ligne pour tous les utilisateurs, alors que les trois dashboard BPOS de Microsoft - disponibles pour les régions Amérique, Asie-Pacifique, Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) - ne sont accessibles qu'aux clients possédant un identifiant de connexion.
Une demande des clients
Sur son blog, Morgan Cole a expliqué que la principale raison pour laquelle Microsoft avait lancé ces tableaux de bord BPOS reposait sur une demande générale de la part de ses clients de disposer de davantage de'informations quant à la disponibilité des applications hébergées. Cela semble en effet une préoccupation partagée par l'ensemble des responsables informatiques dont les entreprises ont adopté la solution du logiciel hébergé par les vendeurs. Car, lorsque les applications deviennent indisponibles en raison de problèmes au niveau des datacenters des vendeurs, les responsables informatiques se trouvent confrontés aux plaintes des utilisateurs finaux avec peu ou pas de moyen de remédier à la situation.
Le fait d'être informés de la gravité, de l'étendue et de la nature de l'interruption de service, et de disposer d'estimations sur le temps que prendra la remise en route, permet aux administrateurs de relayer l'information à leurs utilisateurs finaux et de les tenir informer au fur et à mesure de l'avancée des opérations de maintenance. Même si la question de la performance et de la disponibilité reste pour les clients des vendeurs d'applications hébergées une préoccupation importante, le modèle de provisionnement continue à gagner en popularité. Il a l'avantage de libérer les services informatiques des contraintes de la maintenance et de réduire les dépenses en matériel pour les entreprises.
(...)(29/09/2010 14:16:37)Année noire pour Arès qui suspend le cours de son action
Dans un communiqué diffusé à l'occasion de la publication de ses comptes du premier semestre 2010, Arès indique qu'elle table pour l'ensemble de l'année sur un résultat net part du groupe de -11 M€ et sur un résultat opérationnel de -9 M€. Ce dernier chiffre traduirait une réduction de la perte opérationnelle du prestataire de services qui s'établissait à -11 M€ en 2009. En revanche, Arès ne donne pas de précision quant au chiffre d'affaires annuel qu'il compte réaliser. Pour le compte du premier semestre 2010, ses revenus ont atteint 27,M€, soit une hausse d'environ 7% comparé au premier semestre de son exercice 2009.
Par ailleurs, suite à la publication de ses comptes semestriels le 28 septembre, Arès a annoncé la suspension de la cotation de son action sur Euronext le 29 septembre avant l'ouverture de la bourse de Paris. Une suspension effectuée à la demande de la société dans l'attente de la publication d'un communiqué et jusqu'à nouvel avis. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |