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(13/09/2010 14:19:29)
Novell déverrouille l'accès aux hyperviseurs avec Cloud Manager
Les entreprises qui mettent en place des clouds privés doivent faire face à certains problèmes de verrouillage existant entre les offres de virtualisation des différents fournisseurs. Novell espère apporter une réponse concrète à cette situation avec son logiciel Cloud Manager. Ce dernier va permettre aux équipes informatiques de gérer à partir d'un seul outil des ressources virtualisées dans différents hyperviseurs, incluant ceux de VMware, de Microsoft et ceux basés sur Xen (de Citrix). Actuellement, lorsque des clouds privés exploitent des hyperviseurs distincts, il faut gérer chacun séparément, en utilisant les outils fournis par leurs éditeurs respectifs. Cela peut s'avérer compliqué.
Avec une console unique, les entreprises accepteront plus facilement de recourir à une combinaison d'hyperviseurs, choisis en fonction de leurs besoins, explique Ben Grubin, directeur du management du datacenter chez Novell. Selon lui, les choix d'infrastructure pourront ainsi se baser sur ce qu'il est nécessaire de mettre en place pour supporter l'activité, plutôt que de chercher à maintenir un seul environnement unifié.
Microsoft emprunte une direction similaire. Son logiciel Systems Center peut maintenant gérer VMware aussi bien que son offre maison Hyper-V, et la prochaine version du produit, prévue pour l'an prochain, prendra également en charge Citrix XenServer. VMware, en revanche, ne gère avec ses outils que ses propres environnements.
Permettre à l'utilisateur de réserver ses ressources
On peut vouloir utiliser des hyperviseurs différents suivant les applications que l'on exploite, pointe Ben Grubin. Certes, VMware domine le marché et c'est aussi lui qui offre le plus de fonctionnalités, mais c'est également le plus cher et certaines applications ne requièrent pas l'ensemble de ses capacités, souligne le directeur du management du datacenter chez Novell. Dans certains cas, pour limiter les coûts, le choix pourrait donc se porter sur des hyperviseurs plus légers et moins coûteux, estime-t-il.
La solution Cloud Manager de Novell inclut par ailleurs des outils permettant aux utilisateurs eux-mêmes de réserver leurs propres ressources de calcul. Y compris celles qui pourraient être hébergées au travers de plusieurs datacenters sur différents hyperviseurs. La console d'attribution des ressources peut afficher un catalogue de services, de même que les différents niveaux de services avec les prix correspondants, afin que l'utilisateur final puisse choisir.
Habituellement, lorsqu'un département ou bien des utilisateurs veulent accéder à de nouveaux services, ils doivent appeler les équipes informatiques et s'engager dans un processus de mise à disposition des ressources qui peut prendre plusieurs mois. Quelquefois, cela entraîne aussi des dépenses d'investissement pour de nouveaux matériels et logiciels. Autoriser ces utilisateurs à réserver eux-mêmes leurs ressources sur un cloud privé réduit sensiblement le temps de mise en place de nouveaux services. Cela permet en outre de ne payer que pour les ressources utilisées.
Gérer clouds publics et privés depuis la même console
Avec Cloud Manager, l'entreprise connecte le serveur d'application, qui gère le portail en self-service, aux serveurs d'orchestration des datacenters. Chaque serveur d'orchestration peut communiquer avec les infrastructures construites sur les différents hyperviseurs.
Novell a créé un adaptateur qui permettra aux utilisateurs d'insérer des services exploités sur le cloud EC2 d'Amazon, mais cette option technologique n'en est encore qu'au stade des tests, précise Ben Grubin. Il explique que les clients de Novell ont demandé à pouvoir combiner clouds publics et privés au sein d'un même outil de management. Le responsable prévoit qu'à terme le logiciel Cloud Manager supportera l'ensemble des services de cloud public que les clients souhaiteront exploiter.
Aucun prix n'est encore communiqué pour Cloud Manager. Novell va commercialiser une version qui pourra gérer jusqu'à 25 charges de travail (workloads) pour permettre à ses clients de le tester. Il sera ensuite possible d'ajouter des packages additionnels supportant jusqu'à 50 charges de travail.
En dehors de ses arguments portant sur les réductions de coût, Novell considère aussi que sa solution pourrait aider certaines entreprises à avancer dans leur politique de virtualisation. « Certaines ne dépassent pas un taux de 20 ou 30% de serveurs virtualisés parce que leurs différents départements répugnent à abandonner les garanties de visibilité, de sécurité ou de compatibilité qu'ils estiment posséder avec les serveurs physiques, explique Ben Grubin. Or l'une des choses que permet justement Cloud Manager, c'est de rendre les commandes au gestionnaire de l'application, au travers d'éléments tels que le portail en libre-service et la capacité à gérer ses propres charges de travail. Il conserve ainsi la visibilité et la responsabilité, en plus de la transparence des coûts. »
Les Américains passent de plus en plus de temps sur Facebook
Citée par la presse américaine, l'étude du cabinet spécialisée dans la mesure d'audience sur Internet révèle que les internautes américains ont passé le mois dernier un total de 41,1 millions de minutes sur Facebook, soit près de 10% des minutes passées sur le web aux Etats-Unis. Google a pour sa part totalisé 39,8 millions de minutes avec ses nombreux sites (moteur de recherche, Gmail, Google Maps, YouTube, etc.). C'est la première que Facebook passe en tête sur un mois complet, en terme de temps passé sur Internet. Il y a quelques mois, l'institut Hitwise avait déjà constaté un inversement de tendance entre Google et Facebook, mais sur des périodes plus courtes, notamment le jour de Noël 2009 ou lors de la semaine du 6 au 13 mars 2010.
Facebook devant Google et Yahoo
En août 2009, Facebook représentait près de 5% du temps total passé par les internautes américains sur Internet, soit à peu près le même niveau que Google, et nettement moins que Yahoo! (12%). Ce dernier est aujourd'hui relégué en troisième position. En France, le réseau social aux 500 millions d'amis pointait, en juillet dernier, en troisième position de l'audience Web (24,4 millions de visiteurs uniques par mois), derrière Google (34,7 millions) et Microsoft (32,4 millions), selon les données de l'institut Médiamétrie.
Crédit photo : Payless Images
Android Froyo pas optimisé pour les tablettes
Hugo Barra, directeur de produits pour mobiles chez Google, a déclaré, dans une interview accordée au site technologique britannique TechRadar, qu'Android 2.0, - nom de code Froyo - n'était pas optimisé pour fonctionner sur des tablettes. Il a en outre ajouté, que l'Android Market ne serait pas disponible pour ce type d'équipements, ce qui constituait une lacune majeure.. «Si vous souhaitez faire tourner Android Market sur ces équipements, les applications ne pourront tout simplement pas fonctionner [Froyo], car elles ne sont pas optimisées pour cela », a-il indiqué. Ces nouvelles sont inquiétantes, en particulier pour les amateurs de tablettes qui se préparent à acheter des Samsung Galaxy, modèles tournant sous Androïd 2,2, qui seront commercialisés en Europe à partir du mois prochain.
Tout aussi étrange, le pré-lancement des tablettes Samsung contredirait apparemment le discours d'Hugo Barra concernant Froyo. Ainsi, le constructeur aurait déclaré que les tablettes Galaxy, qui disposent d'un écran tactile de 7 pouces pour une résolution de 1024 x 600 pixels, étaient compatibles à 85%, voir à 90% avec les applications disponibles sur la boutique Android.
Etirer l'affichage pour une adaptation au format 9,7 pouces
Bien sûr, « compatible » et « fonctionne bien » ne sont pas nécessairement synonymes. Il suffit de demander aux utilisateurs d' iPad qui, lorsqu'ils utilisent des applications iPhone, doivent étirer l'affichage pour qu'il s adapte aux tablettes de 9,7 pouces. Alors qui a raison? Est-ce que Froyo est prêt à tourner sur des tablettes Galaxy? Ou bien, les utilisateurs devront-ils attendre Android 3.0? Samsung a refusé de commenter l'affaire et, de son côté, Google n'avait toujours pas apporté sa réponse, vendredi dernier. Ce débat sur Froyo devrait également affecter d'autres ardoises numériques qui seront bientôt livrées, parmi lesquelles les Folio Toshiba 100, qui ont été dévoilées, à l'occasion du salon high-tech IFA de Berlin. Bien que les commentaires d'Hugo Barra puissent paraître provocateurs, voire même préjudiciables face aux ambitions visées par les tablettes sous Android, il n'est pas secret que les versions futures d'Android devront être affinées pour ces équipements. Ainsi, Susan Kevorkian, analyste pour la division mobile d' IDC a récemment déclaré : «de nouvelles versions d'Android sortent pratiquement tous les mois, voire encore plus souvent. Ce que nous avons compris en parlant aux fabricants de tablettes, c'est qu'elles ne seront pas prêtes pour Android 3.0 , tant que le système d'exploitation ne sera pas entièrement optimisé pour des formats grand écran, de même que pour la navigation. »
Alors que va t-il se passer lorsqu'Android 3.0, (nom de Gingerbread) sortira ? Certaines rumeurs parlent du mois prochain, bien que cela paraisse trop tôt. Alors, si cette sortie est prévue, pourquoi les fabricants de des modèles n'attendent-ils de les optimiser pour Gingerbread au lieu de Froyo?
Pour les utilisateurs il semble que les messages contradictoires provenant de Google et de ses partenaires constructeurs signifient, en clair: nous ne sommes pas tout à fait prêts.
De son côté, l' IOS d'Apple, version concurrente, a réussi sa migration de l'iPhone vers l iPad, avec seulement quelques problèmes mineurs.
(...)
HP s'offre ArcSight pour 1,5 milliard de dollars (MAJ)
Après l'acquisition de 3Par dans le domaine du stockage virtualisé, HP poursuit ses emplettes dans l'écosystème du cloud computing. La firme a annoncé le rachat d'ArcSight, pour un montant d'1,5 milliard de dollars (soit 43,50 dollars par action). La société américaine convoitée propose des logiciels permettant aux administrateurs système de surveiller leurs réseaux et de créer des rapports sur les activités non autorisées ou les risques de piratage. Cette console de sécurité trouverait naturellement sa place dans l'offre d'automatisation du cloud de HP.
Il s'agit de la deuxième acquisition pour HP dans le domaine de la sécurité, après Fortify, au mois d'août dernier.
Microsoft met Dynamics CRM 2011 en bêta dans le cloud
L'une des particularités du logiciel Dynamics CRM 2011, actuellement disponible en version bêta, réside dans son mode de diffusion. Accessible en ligne de plusieurs façons, à la fois hébergé sur les datacenters de l'éditeur ou par le biais de ses partenaires locaux (notamment en France), il pourra également être installé de façon classique par les clients, en interne, sur leurs propres serveurs. Toutefois, Microsoft a résolument décidé de privilégier la version « cloud » de l'offre en la mettant à disposition dès la fin de l'année, sous le nom de Dynamics CRM Online. Le produit à installer dans les entreprises n'arrivera qu'au premier trimestre de l'année prochaine. « Cloud first ! », souligne Sophie Jacquet, chef de produit Dynamics CRM chez Microsoft France. Il est vrai que les utilisateurs américains exploitent déjà CRM Online depuis deux ans.
Rappelons que le périmètre fonctionnel de cette solution couvre tout le spectre de la gestion de la relation client : le suivi des opportunités commerciales, la gestion des actions de marketing et le service client.
Deux versions bêta identiques
Depuis hier, ce sont en fait deux versions bêta (identiques) de Dynamics CRM 2011 qui sont proposées : l'une se télécharge pour s'installer en interne et l'autre est accessible en ligne. Hébergée par Microsoft, la deuxième s'intègre à l'offre Online Services qui est gérée sur le datacenter irlandais de Dublin. Elle s'ajoute ainsi aux services BPOS (Business Productivity Online Standard*) déjà disponibles qui regroupent Exchange Online, Office Communications Online (messagerie instantanée, texte, voix et vidéo), Office Live Meeting et SharePoint Online (portail collaboratif).
Les entreprises qui souhaitent tester la bêta « Online » doivent être réactives. Pour des questions de montée en charge, Microsoft a défini des quotas d'utilisateurs par grandes zones géographiques. Aucun quota en revanche sur la bêta téléchargeable.
400 logiciels en sus sur Dynamics Marketplace
Sur le plan fonctionnel, comme les autres solutions de la gamme Dynamics, l'offre CRM 2011 capitalise sur la connaissance des interfaces de la suite Office (le ruban contextuel) et du client de messagerie Outlook. L'accès au logiciel se personnalise pour chaque utilisateur, en particulier suivant son rôle dans l'entreprise. Les capacités d'intégration avec SharePoint permettent d'accéder à des fonctions de gestion de documents et à des outils de collaboration.
Microsoft rappelle aussi qu'il doit ouvrir ce mois-ci, en version bêta également, son service Dynamics Marketplace offrant un catalogue de logiciels en ligne complémentaires à ses solutions de gestion. Ce catalogue doit rassembler les références d'environ 400 applications, génériques ou spécialisées sur un secteur d'activité, qui ont été développées par des partenaires ou des éditeurs indépendants. Un peu à la manière d'AppExchange, de Salesforce.com, ce service permettra aux utilisateurs cherchant à ajouter certaines fonctions à Dynamics CRM, de vérifier s'il n'existerait pas déjà des applications répondant à leurs besoins et de les télécharger le cas échéant.
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*L'ensemble des services BPOS est accessible à partir de 8,52 euros par mois par utilisateur.
Illustration : Dynamics CRM 2011 (crédit : Microsoft) (...)
Le SaaS au secours des factures entrantes dématérialisées
La dématérialisation des factures entrantes concerne toujours une minorité des entreprises. L'émergence des solutions commercialisées en mode SaaS pourrait cependant débloquer certains utilisateurs potentiels.
D'après une étude menée par IDC et sponsorisée par Esker, « 58 % des factures fournisseurs sont encore reçues au format papier et plus de la moitié des entreprises les saisissent manuellement dans leur comptabilité. Malgré ce constat, les entreprises dans leur globalité sous-estiment le temps passé par leurs comptables à la saisie manuelle des données (30 % de leur temps) tout en reconnaissant que ce mode de traitement est source d'erreurs multiples et d'importantes conséquences (litiges et factures impayées notamment). »
La dématérialisation des factures entrantes a évidemment de nombreux intérêts : réduire les délais de traitement, le temps passé par les comptables, etc. (voir schéma). Il en résulte que 62% des entreprises souhaitent s'équiper d'une telle solution.
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Il n'en demeure pas moins que la mise en oeuvre d'une telle dématérialisation reste un projet lourd dans la plupart des cas. Pour réduire les coûts tant d'administration que de mise en oeuvre, tout en développant des fonctionnalités intéressantes, « 84 % des entreprises interrogées sont prêtes à choisir le mode SaaS » selon IDC.
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