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(13/09/2010 17:43:44)

Développement : Codesion livre un service Git hébergé

Codesion, qui héberge des services de gestion de code source pour les équipes de développement réparties, a ajouté à sa panoplie d'outils le système de contrôle de versions distribué Git. Anciennement connu sous le nom CVSDude, le fournisseur situé à Redwood City (près de la Silicon Valley) permet aux développeurs de travailler sur un référentiel centralisé, jusqu'à présent en utilisant les systèmes de gestion de versions Subversion et CVS (Concurrent Versions System). Ces référentiels sont déployés sur des plateformes de clouds publics comme EC2 d'Amazon.

Le nouveau Codesion Git Service est actuellement en version bêta. Les entreprises disposent pour y accéder de contrôles basés sur les rôles et d'autorisation d'adresses IP via des 'listes blanches'. Créé par Linus Torvalds, Git devient populaire, principalement en raison de ses liens avec Linux et de sa rapidité, explique Guy Marion, PDG de Codesion.

Le prix du service Git hébergé démarre à 99 dollars par mois pour les cinq premiers utilisateurs.

(...)

(13/09/2010 17:00:55)

Les élus ruraux à la recherche d'un second souffle pour l'Ecole Numérique

Le plan Ecole Numérique Rurale, lancé pour la rentrée 2009 a été le premier plan d'ensemble décidé par l'Etat en matière d'équipements informatiques dans les classes rurales. Il concerne les communes de moins de 2 000 habitants. 6 700 écoles sont concernées. Un effort supplémentaire est toutefois nécessaire estime le président de l'Association des maires ruraux de France, Vanik Berberian. Celui-ci vient d'écrire au Président de la République. Il lance également une pétition en ligne pour ses adhérents.

Son raisonnement ? Le 1er plan a intéressé beaucoup plus de communes que celles qui ont été effectivement subventionnées. D'autres communes restent en attente. L'effort financier de l'Etat doit donc se poursuivre. « Les 67 millions d'euros du plan ENR n'ont représenté que 0,28% sur les 24 milliards du plan de relance. Les 250 millions nécessaires pour un plan ENR 2 couvrant l'ensemble des 25 000 écoles publiques des communes de moins de 2 000 habitants représenteraient à peine 0,4% du budget de l'Education nationale en 2010 (environ 60 milliards d'euros) ».

L'association travaille également à l'écriture d'un guide méthodologique sur l'école numérique en milieu rural. Il sera présenté début décembre. (...)

(13/09/2010 16:10:55)

Des puces Qualcomm dans le prochain iPhone ?

En rachetant l'activité wireless d'Infineon, Intel a peut-être accéléré un changement radical de la part d'Apple. Partenaires de longue date (depuis 2007 sur le premier iPhone), la firme de Cupertino pourrait rompre ses relations avec Infineon et se tourner, selon une étude, vers les puces de Qualcomm pour équiper le prochain iPhone, dévoilé probablement l'été prochain. Ce rapport effectué pour le magasin chinois Commercial Times, souligne que les intégrateurs resteront Hon Hai Group et Foxconn.

(...)

(13/09/2010 15:52:05)

Flash Pro pourra créer des applis pour iPhone

Cette annonce, qui devrait permettre l'arrivée d'applications conçues et développées dans le format Flash Professionel CS5, a suscité une brève déclaration de la part d'Adobe. Ainsi, selon un porte-parole de la société, l'éditeur de San José se dit "encouragé de voir qu'Apple lève ses restrictions sur ses conditions de licence, ce qui donne aux développeurs la liberté de choisir les outils qu'ils utilisent pour développer des applications pour les appareils Apple."

Pour l'instant, ni Apple ni Adobe n'ont confirmé que les applications créées avec Flash Pro passeront l'étape rigoureuse de sélection mise en place par la firme de Cupertino. Mais ce changement dans les termes annule l'interdiction d'Apple quant à la possibilité de proposer des applications réalisées avec l'outil d'Adobe. Il élimine également les problèmes potentiels que pourraient poser des logiciels conçus pour consulter des contenus numériques et réalisés dans InDesign, comme le Wired Reader - actuellement en version bêta - créé pour l'iPad en partenariat avec le magazine Wired. Pour l'heure, Adobe n'a publié aucun détail sur la façon dont ces applications sont compilées, mais elles pourraient être techniquement considérées comme ayant été créées par un outil tiers. En avril dernier, Adobe avait annoncé qu'elle arrêterait le développement d'outils pour concevoir des applications pour l'iPhone avec les futures versions de Flash. À la question de savoir si Adobe envisage de revoir sa décision, la réponse est d'ores et déjà oui. Sur un blog maison, l'éditeur confirme que Flash Pro pourra bien créer des applications pour la plate-forme App Store.

Un revirement stratégique devant la menace Android

La raison pour laquelle Apple a d'abord interdit puis autorisé ces Apps fait l'objet de beaucoup de conjectures. Dans un premier temps, Apple a fait valoir qu'en ne choisissant pas cette solution pour produire rapidement et facilement des jeux - la plupart des jeux accessibles sur Internet sont disponibles dans ce format -  elle voulait préserver la qualité de l'expérience utilisateur... et s'assurer un meilleur bénéfice. Ce type de développement, relativement coûteux, signifiait aussi que les développeurs devaient se faire payer même le plus simple des jeux, en laissant au passage les 30% de commission habituelle au constructeur. Autre motif souvent évoqué : en empêchant le développement d'applications pour plusieurs plates-formes à la fois (Android, Windows Mobile, Blackberry OS ou Symbian) - comme vise à le faire Flash CS5 - le développement de logiciels pour les plates-formes autres que l'iPhone et l'iPad est moins rentable pour les agences.

Comme d'habitude, Apple en dit le moins possible. Mais il est clair que de nombreux services interactifs se réjouissent de la nouvelle : le coût de la création de jeux pour iPhone a chuté de façon spectaculaire, ce qui leur permet de proposer des projets d'applications à un nombre de clients beaucoup plus large. Les développeurs Flash vont être aussi particulièrement gâtés. Reste à savoir si les consommateurs apprécieront l'avalanche rapide d'advergames, ces jeux vidéo publicitaires, qui encombreront inévitablement leur mobile. Reste que le lecteur Flash est toujours persona non grata sur les terminaux iOS d'Apple tout comme les applications AIR.

Crédit photo : D.R.

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(13/09/2010 14:31:10)

Informatica : bientôt racheté par Oracle ?

Lors d'un sondage réalisé au cours des deux derniers mois par le cabinet Software Advice, l'entreprise Informatica arrive en tête dans les réponses à la question "Quelle pourrait être le prochain achat d'Oracle ?" avec 178 citations, suivie de près par Teradata qui récolte 175 voix, et VMware qui totalise 143 votes. Un sondage similaire réalisé par Dennis Moore sur un blog réputé pour ses articles abordant les questions de logiciels d'entreprise, donne une "majorité écrasante" à Informatica. Le sondage, toujours ouvert, a récolté 250 réponses.

Avec ses 500,7 millions de dollars US de bénéfices déclarés en 2009 et une capitalisation boursière qui atteignait 3,2 milliards en fin de semaine dernière, l'un des plus importants et derniers vendeurs indépendants en intégration de données de l'industrie ne serait pas une acquisition de second plan pour Oracle. Pour l'instant, ni l'éditeur de Redwood Shores, ni Informatica n'ont commenté ces spéculations qui ont régulièrement alimenté les rumeurs ces dernières années. D'ailleurs, d'autres observateurs de l'industrie ont minimisé les résultats de ces sondages. Pour Rob Karel, analyste chez Forrester Research, il existe trop de chevauchements entre les portefeuilles produits de ces vendeurs. En outre, "l'acquisition d'Informatica serait", selon lui, "un aveu d'échec de la part d'Oracle, signant l'abandon de la voie de l'intégration de données prise en 2006 après le rachat de Sunopsis, et la perte sèche des investissements consacrés à l'intégration d'Oracle Data Integrator dans leur portefeuille middleware", a-t-il estimé.

Qui d'autre peut acquérir Informatica ?

"Mais il serait imprudent de nier le fait qu'Oracle pourrait acheter Informatica", a-t-il ajouté. "D'une part, Oracle est l'une des rares entreprises capables de payer plusieurs milliards de dollars pour acquérir Informatica, et d'autre part, beaucoup de leurs bases de données existantes et d'applications clients sont standardisées sur Informatica", a-t-il commenté. "Même si cet achat suppose de nombreux équilibrages de portefeuilles et implique des choix difficiles pour résoudre le chevauchement des produits, la question n'est pas hors sujet", a-t-il précisé. "Oracle pourrait très bien acquérir Informatica, autant pour sa base installée que pour la mettre hors de portée d'autres prétendants", a ajouté Rob Karel.

L'achat d'un intégrateur aurait plus de sens

Un autre observateur, Adrian Merv de IT Market Strategy, est du même avis. "Informatica est une cible idéale pour de nombreuses entreprises, mais le niveau de chevauchement avec l'activité d'Oracle laisse à penser que cette acquisition viserait plus à éliminer un concurrent sur le terrain qu'a  prendre une position stratégique," a-t-il souligné. "Je pense que le prochain mouvement d'Oracle se situera dans le domaine du hardware, et non du software", a-t-il ajouté. En effet, "cela ferait plus de sens pour Oracle d'aller chercher un fournisseur réseaux comme Juniper Networks ou un intégrateur systèmes, depuis que l'acquisition de Sun Microsystems l'a poussé sur le marché du hardware", a déclaré Ray Wang, analyste chez Altimeter Group.

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