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(29/07/2010 17:34:33)

Cisco, NetApp et VMware proposent une solution Full FCoE

Pour Soni Jiandani, vice-présidente marketing serveurs chez l'équipementier de San Jose, cette annonce entre les trois acteurs, à savoir Cisco, NetApp et VMware, signifie « qu'ils sont capables de construire sur un datacenter avec des serveurs et des machines virtuelles sur tout type de périphérique de stockage : Fibre Channel over Ethernet ou Fibre Channel natif, NAS ou iSCSI sur une architecture réseau de type fabric. » 
Le même Soni Jiandani explique que le switch fabric sur lequel repose le réseau FCoE pour les environnements de serveurs fortement virtualisés peut entrainer de substantielles économies. Par exemple, précise-t-elle, en utilisant un tuyau 10 Gbit Ethernet au lieu de commutateurs Fibre Channel natif et les adaptateurs FC nécessaires aux transports des données, les entreprises pourraient économiser 40% des coûts de mise en réseau, « tout en conservant les investissements qu'ils ont déjà réalisés pour leur l'infrastructure ». L'Université de l'Arizona, par exemple, qui a installé un réseau FCoE unifié, a indiqué qu'elle était en mesure de réduire de 50% ses coûts d'exploitation, avance Soni Jiandani.

Une adaptation efficace

Une fois mis en service, le protocole FCoE emballe les blocs Fibre Channel dans des trames pour les envoyer sur des réseaux Ethernet traditionnels tout en préserver les bénéfices du FC. En règle générale, parce qu'il est nécessaire de mieux partager la bande passante avec le trafic de données entre serveurs, les systèmes FCoE fonctionnent mieux sur les équipements Ethernet 10Gbit. Ethernet reste toutefois un protocole réseau moins robuste que Fibre Channel, qui a été spécialement conçu pour assurer un transport fiable et rapide des données en mode bloc des serveurs aux baies de stockage. En raison de 
problèmes inhérents à sa structure, Ethernet perd des paquets de données qui doivent être renvoyées pour assurer l'intégrité des fichiers, ce qui entraine inévitablement des retards. Plusieurs équipementiers ont déjà présenté des propositions distinctes à l'IEEE pour améliorer la fiabilité d'Ethernet lors du transport de blocs Fibre Channel. « Ce n'est pas quelque chose de nouveau, les 3 sociétés travaillaient déjà sur cette question » a déclaré Jim Sangster, en charges des alliances et des solutions de virtualisation chez NetApp.  La technologie clef de ce réseau convergent repose sur le logiciel de virtualisation VMware vSphere, qui est désormais certifié sur les commutateurs de la gamme Nexus 5000 de Cisco et sur les baies de stockage unifié de la série FAS de NetApp. En complément, les adaptateurs réseau CNAs de QLogic assureront la conversion des blocs Fibre Channel en paquets IP au niveau du serveur hôte.

Oracle avance aussi sa solution Full FCoE

Un peu plus tôt, cette même semaine, notre confrère Computerworld s'est entretenu avec le porte-parole de QLogic Steve Zivanic, qui indiqué qu'Oracle a récemment commencé à rebadger des adaptateurs 8100 CNA de l'équipementier pour construire sa propre offre de réseau convergent FCoE. La société de Reedwood a également choisi les commutateurs FCoE de Brocade pour compléter sa solution. QLogic n'offre pas encore de switch autonome FCoE, mais simplement des composants émulant le FCoE, précise Steve Zivanic. La société prévoit toutefois de proposer très bientôt différents modèles de commutateurs FCoE. « L'essentiel, c'est qu'avec Oracle c'est la première fois que nous entendions parler d'une plate-forme totalement FCoE » ajoute le porte-parole. « Nous connaissions leurs logiciels, matériels, serveurs de base de données et baie de stockage, mais maintenant nous parlons d'éléments composant un réseau convergent intégré. » 

Une pré-annonce ?

Stu Miniman, analyste et chercheur chez Wikibon, se demande comment un accord aussi important à pu réunir NetApp et Cisco pour affirmer qu'ils lançaient la première solution pour FCoE dans un environnement serveur VMware. « Je me demande plus précisément en quoi cette configuration est utile, autrement que comme un environnement de test », a déclaré Stu Miniman sur son blog. « Si une configuration est assez petite pour se suffire d'un seul commutateur top-of-rack, pourquoi un utilisateur NetApp passerait sur une solution FCoE ? » L'analyste souligne encore que pour un réseau convergent, «le commutateur de coeur Nexus 7000, qui a 512 ports - contre seulement 56 pour le Nexus 5000 (NDLR) - paraît beaucoup plus indiqué ». Lors de sa dernière conférence utilisateurs, Cisco Live, l'équipementier californien  a toutefois déclaré qu'il intégrerait le support du FCoE dans son Nexus 7000 au cours du prochain trimestre 2010. «Au final, l'écosystème du stockage reposant sur Ethernet continue de croître », conclut Stu Miniman.« Les pièces commencent à se mettre en place pour obtenir des solutions FCoE de bout en bout crédibles qui pourront être déployées fin 2010 ou début 2011. "

Illustration Cisco Nexus 5020, crédit D.R.

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(29/07/2010 17:28:32)

HP tient un double langage sur ses futures tablettes

Le constructeur, engagé dans la plupart des technologies disponibles actuellement, a décidé d'adopter pour ses futures tablettes une approche qui va à l'encontre des stratégies choisies pour l'iPad d'Apple mais aussi pour des tablettes pro comme la Cius de Cisco. Interrogé pour savoir si HP était également intéressé par les terminaux sous Android, Phil McKinney a déclaré que le constructeur se concentrerait exclusivement sur les deux systèmes d'exploitation, à savoir Windows 7 et WebOS.

Les faits et les spéculations autour de la stratégie d'HP ont fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines, alimentés en partie par des informations révélées par IDG News Service la semaine dernière indiquant que HP préparait une tablette professionnelle - la Slate HP 500 - sous Windows 7 et cherchait également à créer une marque propriétaire nommée PalmPad. Le constructeur avait déjà fait connaître ses projets à propos d'une tablette Slate HP sous Windows 7 cette année (http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-tablette-internet-hp-revoit-son-projet-slate-3144.html), et ce avant l'acquisition de Palm en avril, pour laquelle l'entreprise a déboursé environ 1,2 milliard de dollars(https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-hp-acquiert-palm-pour-1-2-milliard-de-dollars-30555.html).

Obtenir un hub Wi-Fi/3G

Selon Phil McKinney, la connectivité Internet partagée à travers un appareil mobile de type tablette joue un grand rôle dans la manière dont HP envisage l'avenir. Le Palm Pre propose déjà ses fonctionnalités : il peut se connecter au réseau cellulaire de l'opérateur et être relié en même temps en WiFi à des périphériques situés à proximité. Le Palm n'est qu'un exemple parmi d'autres de ces "hubs" vendus sur le marché aujourd'hui, capable de coupler réseaux cellulaires et WiFi. L'Overdrive de Sprint, l'Evo 4G et le Mifi de Verizon en font également partie. « En apportant un traitement différencié des fréquences sur un appareil mobile, HP va permettre une mise à jour plus fréquente des périphériques » explique Phil McKinney.

Il ajoute que « dans un appareil mobile, c'est sans doute la couche logicielle qui est la plus complexe. Elle doit être modifiée à chaque fois que le constructeur adopte une nouvelle fréquence. En revanche, les logiciels d'interfaçage pour le Wi-Fi changent rarement de manière significative ».

D'autres innovations

« Si la firme travaille sur des technologies, comme le UWB (Ultrawide Band), elle n'a cependant pas encore l'intention de créer un hub sous forme de montre, comme le concept montré il y a cinq ans » a t-il déclaré. « Mais, un autre fabricant, intéressé par l'idée, a déjà réalisé un prototype qui devrait bientôt arriver sur le marché," a t-il dit. Inspiré par les futures plates-formes, HP veut également promouvoir des écrans séparés pour les appareils mobiles, comme les écrans pliables ou au contraire de grands écrans que l'on pourrait disposer dans des salles d'attente et qui se connecteraient avec les appareils mobiles. « Les écrans pourraient être imprimés sur des feuilles de mylar et placés n'importe où, » dit-il. «Tout support pourra devenir un système d'affichage », conclut Phil McKinney.

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(29/07/2010 17:16:24)

Google mise sur le jeu pour terrasser Facebook

Le géant de la recherche, qui lorgne sur les 500 millions d'utilisateurs de Facebook, est en train d'assembler les pièces nécessaires et de renforcer sa stratégie avant d'aller affronter directement son rival. L'information selon laquelle Google serait en négociations avec les plus importants développeurs de jeux spécialisés dans les médias sociaux n'est qu'un épisode supplémentaire attestant des préparatifs engagés pour le lancement d'un concurrent à Facebook. Selon le Wall Street Journal, Playdom, Electronic Arts, Playfish, et Zynga Game Network sont en pourparlers avec Google. Cela ne surprendra personne que le géant de la recherche se tourne vers les développeurs de jeux, surtout si l'on prend en compte son intention de lancer "Google Me", un réseau alternatif à Facebook.

Les jeux pour défier Facebook

Les jeux sociaux sont assurément dans un tourbillon ascensionnel, et sont tout désignés pour donner du poids à un nouveau concurrent de Facebook. Ainsi, Farmville Zynga (voir illustration), l'un des jeux les plus populaires de Facebook, attire à lui seul 60 millions de membres actifs chaque mois. On estime aussi qu'en Asie les joueurs dépensent des milliards de dollars dans les jeux en ligne. Aux États-Unis, ThinkEquity, qui a gagné 700 millions de dollars en 2009 en revenus générés par le jeu social, prédit un triplement d'ici 2012. Ces gros chiffres n'attirent pas seulement des entreprises comme Google. Les poids lourds du divertissement se mettent aussi de la partie. Comme Disney qui vient d'acheter Playdom pour 563,2 millions de dollars, augmenté d'un bonus de 200 millions de dollars pour avoir atteint les objectifs de rentabilité.

Une concurrence attendue par beaucoup

Une alternative à Facebook serait également bien accueillie par de nombreux développeurs de jeux, à la recherche d'un marché plus profitable pour leurs logiciels. À l'heure actuelle, Facebook prélève 30 pour cent des revenus réalisés par les jeux qui utilisent ses services. Déjà, le besoin de diversification a incité Zynga, l'un des plus importants développeurs de jeux présents sur Facebook, à conclure un accord avec Yahoo, et à ouvrir ses portes à Google en acceptant 100 millions de dollars d'investissement du géant de la recherche.

En attendant le choc des titans, la question reste de savoir si Google pourra tenir sa place une fois entrée sur le terrain de jeux de Facebook. Si l'incursion du géant de la recherche sur les terres de Twitter avec son Google Buzz devait servir d'indicateur quant à l'issue d'un tel affrontement, alors, mieux vaudrait conseiller aux parieurs de continuer à miser sur Facebook.

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(29/07/2010 16:42:17)

France.fr s'oriente vers un nouvel hébergeur

Selon le site Challenges.fr, le Service d'Information du Gouvernement a changé de prestataire d'hébergement pour le site France.fr. La société Cyberscope est écartée au profit de Typhon qui s'occupe notamment de Meetic.  France.fr a eu une vie éphémère le jour de la fête nationale, avant d'afficher un message d'indisponibilité avec une reprise dans la deuxième quinzaine d'août.

Selon les responsables gouvernementaux, les problèmes rencontrés par le site vitrine ne seraient pas du fait d'un trop grand nombre de connexions et d'un mauvais paramétrage des serveurs. Les errements seraient plutôt à trouver dans le nombre importants de pages introuvables et les requêtes de changement de langue. L'outil de CMS, Drupal, est aussi pointé du doigt, sur la panne du site. Dries Buytaert, créateur de Drupal s'est défendu dans un entretien au Monde  en expliquant  qu'il « a envoyé un e-mail aux autorités françaises pour leur proposer d'héberger le site ou de leur fournir des conseils sur sa conception, gratuitement. Je n'ai pas eu de réponse, mais je suspecte qu'un problème qui dure aussi longtemps ne peut pas être uniquement technique, il est peut-être aussi politique ».

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(29/07/2010 16:02:45)

Des prévisions très optimistes sur le SaaS

Les prédictions de Gartner et d'IDC sont très optimistes pour les revenus issus du SaaS (Software as a service) sur le marché entreprise. Pour l'année 2010, le chiffre d'affaires est estimé par Gartner à 8,5 milliards de dollars. « Après une décennie d'utilisation, l'adoption du SaaS continue sa progression et son évolution au sein du marché applicatif dédié aux entreprises. Les restrictions budgétaires poussent les sociétés à se tourner vers des modèles plus économes. »  Il ajoute « l'adoption varie entre et au sein des marchés, et bien que l'usage se développe avec un large éventail de solutions, on trouve principalement ce modèle dans les applications horizontales, avec des processus communs et dans des initiatives de type Web 2.0. »

Le Gartner prévoit que 75% des revenus actuels  du SaaS pourraient être classés comme un service cloud et qu'il passera à 90% en 2014. A cette date, le cabinet IDC estime que le chiffre d'affaires du SaaS atteindra 40,5 milliards de dollars avec un taux de croissance annuel de 25%. Il indique qu'à cette période 85% des logiciels en entreprise seront délivrés par ce mécanisme.

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(29/07/2010 17:18:24)

Facebook connaîtra-t-il le même sort qu'AOL ?

Alors que Facebook vient tout juste de célébrer son 500 millionième inscrit, certains développeurs envisagent un avenir dans lequel les réseaux sociaux seraient décloisonnés. Certaines technologies Open Source pourraient autoriser le partage de statuts, photos ou commentaires sur Internet entre utilisateurs de différents réseaux sociaux, affirme Evan Prodromou, directeur de l'éditeur de logiciels libres de microblogging StatusNet. Les services « Open Social » de ce type existent depuis de nombreuses années, bien qu'ils ne connaissent clairement pas la popularité des leaders actuels du marché.

Les développeurs mettent donc en avant l'interopérabilité de telles offres, qui pourraient libérer les utilisateurs et leurs données des enceintes propriétaires des sites actuels. Ils ont mis en pratique une solution, dans laquelle une personne met en ligne la photo d'une autre sur un service de partage quelconque, marquant cette dernière avec le nom de l'individu représenté. Celui-ci voit alors l'image sur son réseau social de prédilection, tandis qu'une tierce personne, à partir d'une autre plateforme, peut aussi la voir et la commenter. Le message serait alors relayé aux autres services, les deux internautes initiaux pouvant alors le lire. « Un réseau social fédéré serait le réseau ultime, autorisant quiconque à participer » explique Evan Prodromou.

AOL, géant déchu de l'email


Celui-ci illustre son propos en prenant l'exemple des mails. Dès lors qu'une technologie propriétaire devient populaire, elle tend à être remplacée par des spécifications libres. Celles-ci sont alors utilisées par une multitude de fournisseurs de services qui proposent alors des versions génériques du même système. Ce fut le cas dans les années 90 : il fallait, par exemple être chez AOL, en 1992 pour envoyer un mail à un d'abonné de ce FAI. Il était dès lors relativement difficile de relayer les messages provenant de différentes plateformes, celles-ci étant entièrement cloisonnées. Mais en deux ans, les différents acteurs avaient fini par passer à des programmes utilisant le protocole SMTP, fédérant à la fois internautes et fournisseurs de services autour du libre envoi de courriers électroniques. AOL était, avant cela, très populaire, offrant des fonctionnalités Internet tels que les mails, le chat et le surf à des dizaines de millions d'utilisateurs. Et comme Facebook de nos jours, le FAI était critiqué pour ses politiques de confidentialité, der sécurité et pour son usage d'outils exclusivement propriétaires. Mais son éclat s'est terni au fur et à mesure de la mise en place d'un accès Internet plus libre et direct.

L'Open Source avance, mais ne fait pas encore le poids

Quelques standards allant dans le sens d'un réseau social fédéré existent déjà. OpenID et OAuth pour l'authentification, Activity Streams et Pubsubhubbub (Google) pour la publication de notifications multiplateformes, et Salmon pour la soumission de commentaires eux-aussi à différents services sont les exemples les plus aboutis. Un package de différents protocoles existe déjà, dénommé OStatus, combinant les trois derniers cités, ainsi que Portable Contacts et Webfinger. Cette pile de standards va d'ailleurs être utilisée pour concevoir Diaspora, réseau social alternatif qui sortira à la rentrée, tandis que d'autres encore sont en préparation. Evan Prodromou admet toutefois que certains éléments manquent encore : la confidentialité pose problème avec ces outils conçus sur le mode du partage, et des interfaces de programmation d'applications seraient elles-aussi bien utiles.

Ces protocoles seraient pourtant en voie d'être ratifiés. Le World Wide Web Consortium (W3C) étudie des standards destinés aux activités sociales sur le web, et pourrait approuver OAuth prochainement. Pourtant, Chris DiBona, responsable Open Source chez Google, consent à dire que la demande en la matière est encore peu claire, étant donné que le marché est dominé par un oligopole restreint. Le besoin d'intercommunication n'est donc pas si évident. Selon lui, il faudrait pour cela qu'émergent d'autres challengers. Evan Prodromou conclue en indiquant que les leaders ne rejoindront le réseau fédéré que lorsque ce dernier sera devenu incontournable. Google, qui prévoit de lancer prochainement sa propre plateforme, travaille activement la question en rassemblant les technologies nécessaires.

Crédit Photo : D.R.

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(29/07/2010 12:07:35)

Trimestriels Dassault Systèmes : Forte croissance globale

Les résultats du second trimestre et du premier semestre de Dassault Systèmes sont bons. Le chiffre d'affaires pour les différents exercices sont respectivement de 385,6 millions d'euros en croissance de 24% et de 697,5 millions d'euros en hausse de 12%. La partie logiciel représente 346,4 millions d'euros (+28%) au deuxième trimestre et 626,1 millions d'euros (+15%) au premier semestre 2010. Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes explique ces résultats par « une bonne performance commerciale et opérationnelle ». Il ajoute que le trimestre a été marqué par l'intégration de l'activité PLM d'IBM, la mise en place de partenariats stratégiques avec des groupes comme Michelin ou Gap. Plus récemment encore, la société a acquis Exalead pour prendre pied dans le métier des « Search Based Applications ». Elle s'est emparée aussi de Geensoft, spécialisée dans les systèmes embarqués.

Sur le plan géographique, la croissance a été plus soutenue en Europe (+20%) et en Asie (+22%), qu'en Amérique (+12%). Sur les différentes activités, les logiciels PLM progresse de 24% au deuxième  trimestre à 268,4 millions d'euros et la conception mécanique 3D croit de 14% à 78 millions d'euros.

Avec ses résultats, le bénéfice par action ressort à 0,40 euros soit une hausse de 82% sur un an. La trésorerie nette est de 714,1 millions d'euros. Sur les perspectives, Thibaut de Tersant, directeur général adjoint aux Affaires Financières a déclaré « nous visons une accélération de la croissance à un niveau d'environ 22% à 25% pour le second semestre 2010. Nous révisons à la hausse l'objectif de croissance de notre chiffre d'affaires dans une fourchette de 16 à 18% ».

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(29/07/2010 12:07:36)

Le CRM, service majeur de la place de marché Google Apps

Pas moins de 13 applications de gestion de la relation client sont déjà disponibles sur la place de marché Google Apps selon le blog officiel de la compagnie. La page liste les solutions CRM disponibles qui peuvent être installées sur un domaine Google Apps. Certaines offres sont basiques et se concentrent sur l'essentiel, à savoir le duo client/vente. Parmi ces fournisseurs, on retrouve Zoho (déjà partenaire de Google Apps), Applane, Capsule, Tactile et Timetonote. D'autres applications, telles que BatchBook et Bantam Live, sont plus orientés vers une niche : les "CRM sociaux" axés sur la surveillance des réseaux sociaux et la gestion du dialogue avec les clients. Un troisième groupe, qui comprend les produits d'Insightly et de Solve360, rassemble des logiciels destinés aux projets spéciaux.

Intégration à minima avec Apps

Toutes les fonctions de ces applications s'intègrent à des degrés divers à la suite Google Apps. Si à minima ils proposent l'authentification unique à partir de Google Apps, d'autres vont plus loin avec l'ajout de fonctionnalités comme la synchronisation de contacts  et le partage de calendriers. La compagnie de Mountain View a créé cette place de marché pour étoffer l'écosystème de sa plateforme Apps, qui vient désormais concurrencer les solutions de Microsoft, IBM et autres. L'ambition affichée est bien de rassembler autour des Apps un tableau de bord de l'entreprise. Toutes les applications de gestion étant fédérées par la plate-forme cloud  de Google.

Bien cerner les besoins des utilisateurs

Cette place de marché dédiée comprend également des applications complémentaires à la gestion de relation client, comme MailChimp pour l'email et FreshBooks pour la facturation et les relances. Mais cette plate-forme a peut-être besoin de mieux répondre aux intérêts des utilisateurs. Ces offres de CRM  « sont efficaces en soi » soulignent des commentaires sur le blog, rapporte l'analyste Denis Pombriant de Beagle Research, joint par email. « Les utilisateurs demandent à leur direction une solution efficace pour leur usage propre et pour l'entreprise », précise-t-il encore. « Tout cela semble confirmer que le CRM est une méthodologie et une approche commerciale, et pas seulement une question de technologie. Certains fournisseurs et clients commettent encore l'erreur manifeste de rechercher une solution miracle. »

 

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(29/07/2010 12:00:19)

Semestriels Capgemini : Prêt à basculer dans la reprise

Les chiffres sont parfois trompeurs. A première vue, la comparaison du chiffre d'affaires du premier semestre 2010 et celui de 2009 porte à croire à une baisse d'activité (-3,8%), mais si on le compare avec le second semestre 2009, il progresse de 5,4% à 4,211 milliards d'euros. Cela confirme un point d'inflexion des activités du groupe et une stabilisation des principaux marchés. Capgemini indique que le chiffre d'affaires du deuxième trimestre 2010 ressort à 2,159 milliards d'euros, soit une hausse de 5,2% par rapport au premier trimestre.

Les prises de commandes croissent de 14% au premier semestre. Sur les métiers, comme son concurrent Atos Origin, l'activité Intégration de systèmes subit un repli de son chiffre d'affaires en raison d'une forte pression sur les prix. L'infogérance ralentit elle aussi à cause d'une baisse du volume d'affaires. La branche conseil continue de souffrir avec des revenus en recul de 9,3%. Enfin, l'activité des services informatiques de proximité (Sogeti) enregistre elle aussi une contraction de son chiffre d'affaires (-4,1%).

Si les résultats du premier semestre reflètent une bonne résistance aux reliquats de la crise, les dirigeants sont maintenant tournés vers le second semestre 2010. Paul Hermelin, directeur général de Capgemini souligne « le groupe renouera avec la croissance au deuxième semestre. Nous avons d'ores et déjà relancé une politique de recrutement dynamique et nous mettrons particulièrement l'accent sur nos cinq lignes de services mondiales ». Le spécialiste des services informatiques et d'infogérance prévoit pour le second semestre 2010, un chiffre d'affaires 2010 en croissance de 3 à 5% par rapport à la même période en 2009. Par ailleurs, le taux de marge opérationnelle devrait être supérieur à 6,5%.

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