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(20/07/2010 09:25:23)

Nokia Siemens Networks rachète l'activité réseau sans fil de Motorola

Après des années d'atermoiements, l'américain Motorola a enfin trouvé un acquéreur pour sa division d'équipements de réseau sans fil, GSM, LTE et Wimax. C'est l'équipementier européen Nokia Siemens Networks (NSN) qui en fait l'emplette pour 1,2 milliard de dollars.  Cette acquisition va apporter à NSN une cinquantaine de nouveaux clients. Les deux fournisseurs d'infrastructures sans fil ont peu de clients en commun, bien que ces derniers soient importants à l'instar de China mobile, Vodafone, Verizon Wireless, Sprint ou Clearwire. Motorola conserve toutefois son portefeuille de brevets pour les réseaux sans fil et à sa technologie de radio IDEN, similaire aux réseaux TETRA, pour des systèmes destinés aux professionnels (Police, Pompiers, ...), et déployés entre autres, par l'opérateur américain Sprint Nextel. NSN possédera également les entités de fabrication des principaux systèmes sans fil selon les standards tels que le GSM (Global System for Mobile Communications), le CDMA (Code-Division Multiple Access), le WCDMA (Wideband Code-Division Multiple Access), le WiMax ou le LTE (Long-Term Evolution).

Motorola était une exception sur le marché de la téléphonie mobile, en étant présent aussi bien sur le marché des terminaux que sur les infrastructures de réseau. La plupart des autres acteurs ont déjà séparé ces deux entités. Ericsson a gardé sa branche réseau mais a créé une co-entreprise avec Sony pour produire ses téléphones. Alcatel-Lucent a quant à lui vendu son activité de construction de terminaux mobiles (bien qu'il continue de vendre ses téléphones en nom propre en France), Siemens, quant à lui, a quitté ces deux marchés en vendant son activité mobile et en se joignant à Nokia pour former Nokia Siemens Network, l'entreprise qui vient donc de racheter la branche infrastructure de Motorola.

Environ 7 500 employés de Motorola devraient rejoindre NSN lors de la signature du rachat. Les deux parties espérant que cette signature advienne à la fin de l'année si ils obtiennent l'accord des autorités de régulation. Motorola, malgré cette cession, n'est pas mort pour autant. Pour préparer cette vente, Motorola a créé une filiale se nommant Motorola Mobility et regroupant ses activités de téléphones mobiles et de réseau domestique. Cette dernière élabore des set top boxes.

Crédit photo : Motorola

(...)

(19/07/2010 17:28:54)

Un second plan stratégique pour France Télécom attendu en octobre

(Source EuroTMT) Quatre mois après sa prise de pouvoirs à la tête de France Télécom, l'image de Stéphane Richard commençait à se dégrader. En multipliant les interventions publiques, souvent pour dire quelques banalités tout en attaquant, inutilement, l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes), le directeur général pouvait donner l'impression d'un manque de maîtrise. « Gérer une entreprise semi-publique de 180 000 salariés implantée sur deux continents c'est autre chose que de réaliser un LBO sur une boite d'immobilier » constate, amusé, un spécialiste. D'ailleurs, les premières critiques sur le thème « il n'est pas à la hauteur de la tâche » se faisaient déjà entendre.

Et puis est arrivée la très attendue conférence de presse durant laquelle Stéphane Richard devait dévoiler le nouveau projet d'entreprise promis durant l'hiver pour en finir avec les heures noires vécues par l'opérateur en 2009. Un exercice brillamment réussi, au moins dans la forme. Car, sur le fond des dossiers, le sentiment demeure mitigé, à l'exception du volet social. Le discours était alors clair et convaincant, le directeur général connaissait son sujet et était porteur d'un véritable projet. Sur les trois autres points (les clients, les réseaux et l'international), Stéphane Richard n'en a dit guère plus que durant ses précédentes interventions, laissant beaucoup de questions sans réponse.

Un complément indispensable

« Ce n'est pas étonnant, il n'a pas encore fini de mettre au point sa stratégie pour l'opérateur » affirme l'un de ses proches. Et de justifier son propos en racontant comment fonctionne le directeur général de France Télécom. « Stéphane Richard est un solitaire. Comme il connait mal les télécoms, il consulte, mais à l'extérieur du groupe. Il a toujours fonctionné comme cela. Tant qu'il n'aura pas terminé ce travail, il ne dira rien qui puisse lui être ensuite opposé en fonction des décisions qu'il prendra. C'est pour cette raison que vous avez eu l'impression de ne rien apprendre de nouveau. En fait, on peut parier que le véritable plan sera bouclé en octobre, mais il s'inscrira parfaitement dans les propos qu'il a tenus le 5 juillet ».

Le mois d'octobre semble décidément une date clé dans l'agenda de Stéphane Richard. C'est aussi à ce moment-là que le directeur général de France Télécom devrait finaliser la composition de son comité exécutif. « Pour le moment, rien n'est véritablement éclairci, mis à part le volet social du plan. On en saura plus en ce qui concerne la direction générale et la stratégie à la rentrée » juge ainsi un ancien dirigeant de l'opérateur. Lors de la présentation du nouvel organe de direction en mars dernier, il semblait évident que l'organigramme alors dévoilé était provisoire, notamment en raison de la présence d'anciens dirigeants sur la touche. 

Illustration : Stéphane Richard, Directeur général de France Télécom, crédit photo France Télécom

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Depuis, Jean-Yves Larrouturou, l'ex-secrétaire général qui fut un temps présenté comme un dauphin de Didier Lombard, a quitté l'opérateur. Autre dirigeant sur la sellette, Olivier Barberot, le DRH des années Breton-Lombard, jugé par beaucoup de salariés comme co-responsable de la crise sociale. Son avenir chez France Télécom semble d'autant moins assuré que Stéphane Richard a recruté un spécialiste des ressources humaines, Bruno Mettling, un haut fonctionnaire proche du PS, reconnu par les syndicats. Un duo qui semble déjà parfaitement fonctionné, comme l'a montré la solidité du discours de Stéphane Richard sur le volet social de « Conquêtes 2015 ».

« Normal, ça a été sa première préoccupation dès l'été dernier, raconte un ancien de Bercy. Dès le mois d'août, sans en avertir Didier Lombard, Stéphane Richard s'est rendu discrètement sur le terrain pour comprendre les raisons de la crise sociale ». Un comportement qui, selon un responsable du parti socialiste qui le connaît bien, serait sa signature. «Stéphane Richard ne s'en remet jamais aux réseaux officiels pour se faire sa propre opinion. Je ne serais pas étonné d'apprendre que tous les matins, ou presque, il partage un café avec un responsable syndical ou un autre interlocuteur dans le bistrot en face de chez lui, sans que personne chez France Télécom ne soit au courant ! »

Une mission précise pour les principaux cadres dirigeants

Ses relations avec son état-major seraient du même acabit. Préférant les tête-à-têtes, Stéphane Richard fixerait à chacun un ordre de mission précis. Et gare à celui qui ne le respecterait pas, la sanction pourrait être lourde. « Il a ainsi viré de son bureau en moins de cinq minutes un PDG d'une entreprise publique, parce qu'il ne le trouvait pas au niveau» se souvient un de ses anciens conseillers. Dans le petit milieu des télécoms, on discute ainsi beaucoup des profils de certains nommés en mars dernier, tels que Delphine Ernotte et Vivek Badrinath, ou de l'avenir d'anciens à l'exemple de Georges Penalver, maintenus à des postes considérés comme des voies de garage. De plus, les bons connaisseurs estiment que certaines fonctions mériteraient d'être renforcées, comme la direction des systèmes informatiques, un point faible récurrent de France Télécom, ou la direction de la marque.

Si le comité exécutif devrait donc encore évoluer en septembre - octobre, notamment pour respecter le ratio de 35 % de femmes annoncés lors de la présentation du plan stratégique, Stéphane Richard ne devrait pas faire venir un numéro deux de poids. Fixant les orientations générales à ses adjoints, il sera le seul à avoir une vision globale de l'entreprise et de son avenir.
(...)

(19/07/2010 17:21:13)

Le m-commerce européen balbutie toujours

Le cabinet d'analyses a constaté le niveau d'adoption du commerce sur mobile (ou « m-commerce ») à partir d'un échantillon de 14 000 personnes en Europe. Le résultat, sans réelle surprise, est que ce dispositif peine à s'installer dans les usages. Seuls 2% des personnes interrogées déclarent effectuer des achats de produits par ce biais.

Espoir ou optimisme ?

Le taux de sondés intéressés par ce mode d'achat, 5%, est lui aussi peu reluisant. Malgré ces chiffres, l'étude se veut relativement optimiste quant à l'avenir du m-commerce, le corrélant avec l'adoption croissante des smartphones. Thomas Huchon, analyste chez Forrester constate aussi que de plus en plus de marchands adaptent leur site en le déclinant soit en application soit en site web mobile. Mais les acheteurs en ligne ne sont que 16% à lier cette activité de e-commerce à l'utilisation de leur smartphone, et seulement pour parcourir les rayons virtuels, suivre leur commande ou bien trouver un point de vente correspondant. Or, on peut soupçonner que l'adoption du commerce mobile, puisqu'il passe par des interfaces relativement similaires à celle du e-commerce et fait appel aux mêmes compétences, devrait principalement affecter cette population. Ces 16% sont donc faibles, et presque de mauvais augure malgré les efforts consentis par ces marchands.

Les chiffres empirent si l'on se focalise sur la France : 1% seulement a effectué des achats par mobile, et 3% se déclarent intéressés. A l'opposé, en tête du classement, la Suède et l'Italie avec respectivement 8% et 10% d'intéressés, et 3% affirment, pour les deux pays, avoir déjà effectué un achat de cette manière.

Consulter n'est pas acheter

L'étude souligne le développement de certaines tendances sur les sites web mobile : la mise en place d'outils de comparaisons ou de dépôt et consultations d'avis sur les produits en magasin. Elle cite les exemples des versions adaptées des sites touslesprix.com et Sephora. La recherche de produits et services par l'intermédiaire du téléphone mobile serait, en effet, d'après l'étude, l'usage le plus répandu, et ne concernerait pourtant pas plus de 7% des acheteurs en ligne, mais près de 32% des usagers quotidiens de l'Internet mobile y aurait par contre recours. A l'inverse, 84% des acheteurs en ligne n'utilisent pas du tout leur mobile pour le shopping, alors que seuls 45% des usagers quotidiens n'y ont pas recours. Par ailleurs, les utilisateurs d'iPhone semblent plus enclins à effectuer leurs recherches de produits par mobile, puisque 23% d'entre eux affirment le faire au moins mensuellement. La familiarisation à l'outil nomade est donc clairement le facteur clé, bien plus que l'usage de l'achat à distance par ordinateur, qui se révèle être une condition minime lorsqu'il s'agit de sauter le pas du m-commerce.

Enfin, comme à l'accoutumée, Forrester offre ses recommandations aux entreprises concernées : celles-ci doivent considérer les plateformes mobiles comme faisant partie d'une stratégie multi-canal pour toucher leur clientèle, mais elles doivent aussi fournir une expérience d'achat la plus satisfaisante possible sur ce canal. Cela passe par une adaptation aux différentes plateformes, de l'iOS 4 à Android par exemple, ou par une refonte du site d'achat en ligne afin de lui offrir une ergonomie équivalente sur le web classique et mobile.

 

 

Crédit Photo: D.R

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(19/07/2010 17:11:29)

Rackspace et la NASA s'associent dans le cloud Open Source

A force d'observer les nuages de l'espace, l'agence spatiale américaine a décidé de s'investir dans le cloud computing en mode Open Source. Cela passe par la création d'une plateforme commune baptisée Openstack, avec la société Rackspace. Pour l'instant peu formalisé, l'accord entre les deux sociétés porte sur une étroite collaboration pour initier d'autres initiatives dans le cloud computing. Dans leurs efforts, d'autres entreprises comme AMD, Citrix, Dell, Iomart, Spiceworks participeront à l'aventure.

Rackspace et la NASA ont chacun publié des éléments du code de la plateforme. Ainsi, l'hébergeur apporte le code de ses solutions Cloud Files et Cloud Server. De son côté, l'agence américaine met à disposition le code de sa plateforme cloud Nebula. « Le calcul scientifique moderne nécessite toujours plus d'augmentation de stockage et de puissance de traitement délivrée à la demande » explique Chris Kemp, CTO de la NASA et de compléter « pour répondre à cette demande, nous avons construit Nebula, une plateforme d'infrastructure cloud capable d'adresser les besoins de nos scientifiques et la communauté d'ingénieurs.

Les premiers travaux portent sur deux éléments ; Openstack compute, qui permet le déploiement et la gestion de capacité de calcul à grande échelle. Ce logiciel repose sur le langage Python, des frameworks Tornado et Twisted. La deuxième solution est baptisée OpenStack Object Storage et s'adresse au stockage des données.

En quête de standardisation

Fabio Torlini, à la tête des services cloud de Rackspace, explique que cette solution pourrait accélérer le développement de tels services en apportant un bon niveau d'interopérabilité. « Nous estimons que notre plateforme deviendra de facto un standard à terme » souligne le responsable et d'ajouter « le décollage des services sera alors massif ». Si Fabio Torlini reconnaît que le bénéfice immédiat de l'adoption d'une telle plateforme est limitée, sur le long terme, elle devrait dynamiser le nombre d'applications disponibles.

Le même dirigeant reconnaît que les utilisateurs restent frileux sur le cloud pour des questions de sécurité. La publication du code du projet doit répondre à ces inquiétudes et donner la possibilité aux entreprises d'adapter leur propre règle de sécurité.

 

 

Crédit Photo: NASA

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(19/07/2010 16:37:53)

9 entreprises qui se frottent au cloud public

Le cloud public promet aux entreprises une informatique sans salle machine à demeure ni personnel d'exploitation ainsi que des ressources évoluant presque instantanément à la hausse comme à la baisse, au gré des besoins. Une flexibilité qui s'exprime également au plan de la tarification qui est réalisée à l'usage. Et à l'usage, ça marche. En témoignent des sociétés très diverses qui ont déployé des applications dans le nuage parfois même critiques. C'est le cas de Pages Jaunes Marketing Services, Lokad, la Poste, Ibiza Software, Sarenza ou encore Univar. Et ce devrait être prochainement le cas de la mutuelle Malakoff Médéric ou de l'éditeur de logiciels Micro Application. Quant à Voyages-SNCF.com, le premier site de commerce électronique français, il tire le meilleur parti du Cloud à petit prix pour le test d'applications. 

Les offres de Cloud Computing mises enoeuvre vont alors des plus connues comme celles d'Amazon, Microsoft, Google ou Salesforce, à celles de challengers comme Orange, Ecritel ou T-Systems. Pour autant, il faut reconnaître que des freins demeurent: immaturité de l'offre, contractualisation insuffisante du service, crainte en matière de protection et de confidentialité des données, incertitudes sur la conformité réglementaire liée à la localisation géographique des sites d'hébergement, poids de l'existant. Une source d'inquiétude en (...)

Retrouvez la suite avec les témoignages de Marc Vallée (Pages Jaunes Marketing Services), Serge Esposito (Voyages-SNCF), Pol Evlard (Malakoff Médéric), Christophe Vanbelle (Sarenza), Christophe Jeusse (Univar Europe), Viviane Madinier (La Poste), Joannès Vermorel (Lokad), Edouard Munck (Micro Application), Christian Taltas (Ibiza Software)... dans CIO.PDF 17
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