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(16/07/2010 21:03:51)

Apple offre un étui pour régler le problème d'antenne de l'iPhone 4

Reconnaissant que le dernier smartphone d'Apple était en effet victime d'un problème d'antenne, Steve Jobs a annoncé que tous les clients ayant acheté un iPhone 4 vont se voir offrir gratuitement un étui permettant de protéger le dispositif de réception. Deux modèles d'étui devraient être proposés aux clients.

Autre solution indiquée lors de la conférence : les clients qui ont déjà acheté un étui, mais uniquement de marque Apple, pourront également se le faire rembourser. Enfin, tous les clients qui le souhaitent pourront rendre leur iPhone 4 sans frais, si la solution de l'étui n'est pas jugée idéale.

Steve Jobs, qui s'est par ailleurs excusé auprès des clients Apple pour cette faiblesse de l'antenne, a jugé disproportionnée la couverture médiatique sur ces problèmes de réception. La firme de Cupertino a également proposé hier jeudi une mise à jour de son système d'exploitation pour iPhone, iOS 4.01, qui corrige quelques bugs agaçants.

 

Crédit photo : IDG NS
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(16/07/2010 17:00:50)

Trimestriels AMD : Retour aux pertes

Après deux trimestres profitables, la firme de Sunnyvale renoue avec les résultats négatifs. AMD a, en effet, enregistré une perte nette de 43 millions de dollars, ou 0,06 dollars par action, pour son deuxième trimestre de l'année 2010, terminé le 26 juin dernier. C'est toutefois une nette amélioration par rapport aux 330 millions perdus l'an dernier à la même époque. Dans le détail, AMD a annoncé une perte de 120 millions $ liée au spin off de son activité de fonderie désormais baptisée GlobalFoundries. En comptant ce détail et quelques autres peccadilles, AMD aurait déclaré un bénéfice - sur une base non- base GAAP - de 83 millions de dollars.

Un chiffre d'affaires supérieur aux attentes

Le concepteur de puces a déclaré des recettes de 1,65 milliard de dollars, contre 1,18 milliard l'année dernière. Les analystes interrogés par Thomson Reuters attendaient un chiffre d'affaires de 1,55 milliard de dollars. Il y a eu "une forte demande" pour les produits mobiles, a indiqué Dirk Meyer, CEO d'AMD dans un communiqué. La compagnie a ajouté Sony parmi ses clients, et d'autres constructeurs, comme HP par exemple, ont élargi leurs gammes de PC équipés de puces AMD. Toutefois, AMD a peut être perdu pied sur le marché des serveurs face à la rude concurrence d'Intel. Lors d'une téléconférence, Dirk Meyer a expliqué que les décideurs informatiques ont été très lents à adopter les dernières plates-formes Opteron pour serveurs. AMD a en effet lancé en mars les Opteron 6000, nom de code nom de code Magny-Cours, qui comprennent jusqu'à 12 coeurs par processeur. Le calendrier a été particulièrement défavorable pour AMD, puisque Intel a lancé presque en même temps ses Xeon  Nehalem-EX qui peuvent accueillir jusqu'à huit coeurs par puce.


Bon trimestre pour les cartes graphiques

Le chiffre d'affaires de la division Computing Solutions, qui comprend les
microprocesseurs, chipsets et les puces embarquées, a été de 1,2 milliard de dollars contre 926 millions sur l'exercice précédent. Les recettes de l'activité circuits graphiques ont augmenté de 87% pour atteindre 440 millions de dollars. La croissance a été tirée par les livraisons records de cartes graphiques. AMD espère voir ses livraisons de puces se développer dans les prochains trimestres, la demande des consommateurs pour les ordinateurs se redresse, a déclaré Thomas Seifert, directeur financier d'AMD. La société prévoit d'introduire un peu plus tard cette année la prochaine génération de cartes DirectX 11, a indiqué Dirk Meyer. 

Beaucoup d'annonces récentes

AMD précise que les fabricants de PC tels que Hewlett-Packard, Acer et Lenovo ont intégré un grand mélange de puces maison dans leurs ordinateurs portables et leurs PC de bureau au cours du dernier trimestre. Plusieurs processeurs triple et quadruple coeurs ont en effet été commercialisés par le concepteur de puces dans une gamme baptisée Phenom II. La société a également annoncé une série basse consommation, les Athlon II Neo et Turion II pour PC portables ultraminces. AMD a également introduit des puces serveurs à prix serré pour reprendre des parts de marché à Intel. Les Opteron 4100 démarrent en effet à un prix inhabituel sur ce segment : 99 $.

Crédits photo : AMD

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(16/07/2010 15:57:17)

Initiative Services Mobiles, un incubateur d'applications

Après Proxima Mobile pour les applications mobiles à destination des citoyens et les grandes orientations de la GSMA (Association mondiale des acteurs de la téléphonie mobile) autour de la création d'une boutique unifiée pour les services mobiles, Initiative Services Mobiles est une contribution supplémentaire autour de l'écosystème mobile. Les membres de cette association sont l'INRIA, l'Institut Telecom, les Pôles de Compétitivité Cap Digital, Systematic et SCS, l'association Mobile Alley, Telecom Valley, OSEO, Alcatel-Lucent, Bouygues Telecom et un groupe de PME.

Deux actions concrètes

Plusieurs actions vont être menées par cette initiative dont deux ont été dévoilées. Data Publica est un projet de portail de données publiques ou privées pour les développeurs d'applications. Il devrait être effectif en septembre prochain. L'autre programme concerné est mobile-jungle.com, un agrégateur et un site de rencontre dédié à l'écosystème mobile. Ce dernier sera en charge de réaliser une cartographie des applications, de leurs usages, des technologies disponibles (dans les laboratoires et dans les entreprises), des formations, des acteurs (grands groupes, PME et laboratoires), des expertises (individuelles ou dans les entreprises).

Ces différentes actions bénéficient de la part des membres d'Initiative Services Mobiles, de centres de ressources et de compétences, de projets d'accompagnements des PME (avec OSEO et l'INRIA), de panel de tests, etc.

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(16/07/2010 15:52:23)

Mozilla augmente ses primes pour la découverte de failles de sécurité

La fondation qui est à l'origine du navigateur Firefox a annoncé avoir sensiblement augmenté, de 500 à 3000 dollars, la prime dédiée aux chercheurs, hackers, dévelopeurs qui travailleront sur les questions de sécurité de ses produits. Ce programme existe depuis 2004 sous le nom Security Bug Bounty Program. « Beaucoup de choses ont changé au cours des six dernières années depuis le lancement de ce programme. Nous estimons que l'une des meilleures façons de fidéliser nos utilisateurs en toute sécurité est de récompenser à sa juste valeur les chercheurs en sécurité qui participent à la mise à jour de nos produits », a écrit Lucas Adamski, directeur de l'ingénierie de sécurité, dans un blog.

Conditions  assouplies et champs d'application élargis

Le programme qui s'adressait à l'origine à Firefox et à l'outil de messagerie Thunderbird, s'étend maintenant au navigateur sur mobile et à d'autres produits. Les mises à jour et les versions bêta sont également éligibles. Lucas Adamski a souligné que « les primes étaient auparavant attribuées de manière discrétionnaire. Aujourd'hui, nous allons le faire de manière plus explicite » et d'ajouter « Mozilla ne pourra pas refuser une prime à un chercheur qui aura trouver véritablement une faille sauf si la fondation estime que la personne n'a pas agi dans le meilleur intérêt des utilisateurs ». Enfin une partie de la prime pourra être octroyée si un chercheur a publié des informations sur une faille de sécurité ou s'il n'a pas eu le temps de travailler en collaboration avec les équipes de sécurité de Mozilla.

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(16/07/2010 14:54:33)

Un labo médical sur une puce IBM

IBM voit dans l'informatique appliquée aux soins de santé un avenir rentable. L'entreprise a annoncé qu'elle investirait 100 millions de dollars au cours des trois prochaines années pour financer des recherches médicales et notamment celles qui utiliseront de nouvelles technologies pour améliorer les soins de santé. Une partie de cet argent sera consacrée au recrutement de médecins et d'experts médicaux qui aideront à affiner ces nouvelles technologies. IBM prévoit également de faire travailler au moins une centaine de ses propres experts - des spécialistes en cloud computing, comme ceux travaillant dans des services de recherche et d'analyse - sur divers projets mettant en oeuvre des technologies médicales. «Pour améliorer la qualité des soins de santé il faut faire plus que simplement s'occuper du traitement des données de la santé. Il faut élargir la coordination entre les prestataires de soins, proposer une analyse des résultats qui permettent de prendre des décisions cliniques, des facteurs qui pourrait améliorer le traitement des patients et permettrait de réduire les coûts de la santé aujourd'hui, » a déclaré Chalapathy Neti, le chef de file de la recherche en soins de santé chez IBM Research au niveau mondial. L'entreprise espère que technologie de l'information contribuera à améliorer le succès du diagnostic et des traitements médicaux, et à rationaliser le processus des soins médicaux en le considérant d'une manière plus globale.

Plusieurs programmes déjà en oeuvre

IBM n'a pas attendu cette annonce pour financer plusieurs initiatives de recherche et de développement dans le domaine de la santé dans ses laboratoires. Au début du mois, l'entreprise a signé un partenariat avec le fabricant de matériel médical Roche pour produire un lecteur ADN bon marché. Le centre de recherche d'IBM à Zurich travaille pour sa part sur ce qu'il appelle « un laboratoire sur puce » (voir illustration ci-dessous). Ce matériel, élaboré selon des techniques identiques à celles utilisées pour la fabrication de microprocesseurs, se présente sous forme d'une bande de petite taille  capable d'absorber un échantillon de sang et de détecter les protéines qui marquent la présence de virus et de maladies. Produit en nombre, ce type de matériel pourrait réduire le temps d'analyse et les coûts de traitement des échantillons de sang dans un laboratoire. «C'est une puce très polyvalente. Il suffit de changer les protéines déposés sur la puce pour modifier la nature de ce qui est analysé, » a déclaré Luc Gervais (voir illustration principale), le chercheur qui travaille sur la mise au point de cette technologie.



Crédits photo : IBM Research Zurich

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(16/07/2010 14:16:03)

Trimestriels TCS : Les outsourceurs indiens entre forte demande d'externalisation et pénurie de personnel

L'importante augmentation du chiffre d'affaires et des bénéfices annoncés au 30 juin par Tata Consultancy Services (TCS), le plus grand outsourceur indien, attestent de la forte demande de services d'externalisation dans le pays. Pour son dernier trimestre fiscal, le chiffre d'affaires de TCS a atteint 1,8 milliard de dollars, en hausse de 21 %, et ses bénéfices sont passés à 403 millions de dollars, en augmentation de 29 %, par rapport à l'année dernière. Ces résultats sont conformes aux US GAAP (Generally Accepted Accounting Principles). « Nous faisons face à une très bonne demande dans les marchés verticaux, » a déclaré Natarajan Chandrasekaran, PDG de TCS, lors d'une conférence de presse donnée à Mumbai et diffusée sur le web. Celui-ci a indiqué que son entreprise avait signé une dizaine de gros contrats au cours du trimestre, et qu'elle était en cours de négociation sur une quinzaine d'opérations de grande envergure. Selon les analystes, le marché de l'externalisation se porte mieux, mais la plupart des contrats concernent encore essentiellement des opérations de petite envergure , dont un certain nombre retardé du fait des restrictions budgétaires imposées par la crise aux acteurs du marché.

Les recrutements ont repris pour suivre la demande

Par ailleurs, TCS comme les autres outsourceurs indiens doit compenser le manque de personnel, et l'embauche a repris après la pause de l'an dernier. « La rétention du personnel est une priorité absolue pour TCS, » a déclaré son président. L'entreprise a augmenté les salaires de ses employés indiens de 10 % en moyenne au cours du second trimestre, et prévoit encore d'autres augmentations ce trimestre, accompagnées par la promotion de certains membres du personnel. Les salaires du personnel travaillant à l'étranger ont augmenté de 2 à 8% environ selon les postes. Au cours du trimestre, la perte de personnel avait encore augmenté de 13,1%, contre 11,5 % l'an dernier. Tata a revu à la hausse son objectif de recrutement, le faisant passer de 30. 000 à 40.000 pour l'année fiscale se terminant au 31 mars 2011, et ce, pour faire face au nombre croissant d'affaires à traiter et au taux d'attrition qui atteint 20 % dans les contrats d'externalisation. Au cours du trimestre, l'entreprise a recruté 3.271 employés supplémentaires, portant l'ensemble du personnel à 163.700 salariés.

Un marché européen moins porteur

Comme Infosys Technologies, second externaliseur indien, TCS a vu ses recettes provenant d'Europe baisser en pourcentage, passant à 24% des recettes totales contre 28 % l'an dernier, du fait de la crise de la dette affectant certains pays du continent européen. Infosys fait état d'une croissance soutenue de son chiffre d'affaires pour le second trimestre, mais l'augmentation de ses bénéfices a été plus lente en dollars, et négative en roupies, en raison des fluctuations des devises et des augmentations de salaire accordées dans cette période.

Un modèle qui doit évoluer

Selon les analystes, la reprise des outsourcers Indiens, en particulier la hausse de leurs marges, ne devrait pas durer au-delà des trois à cinq années à venir. « Les clients ont commencé à consolider et à réduire le nombre de fournisseurs auxquels ils achètent des services, et vont sans doute négocier à la baisse avec les fournisseurs restant pour satisfaire à l'augmentation du volume d'affaires, » a déclaré Jimit Arora, directeur de recherche à Everest Group. « Pour satisfaire leurs objectifs commerciaux aux États-Unis notamment, où ils visent des secteurs clefs comme l'administration et la santé, plus d'autres secteurs à forte valeur ajoutée, les outsourcers indiens devront mettre en place des opérations à grande échelle sur les marchés cibles, » a déclaré Jimit Arora. « Pour cela ils devront embaucher du personnel local qualifié ayant de solides connaissances en matière de business aux États-Unis, et payer des salaires beaucoup plus élevés que ceux pratiqués en Inde, ce qui va réduire un peu plus leurs marges, » explique-t-il. « Car pour ce faire, le vieux modèle qui consistait à envoyer du personnel indien à l'étranger ne fonctionnera pas, » estime-t-il.

Illustration : Natarajan Chandrasekaran, PDG de Tata Consulting System, crédit photo D.R.

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(16/07/2010 12:35:12)

Vers une standardisation de la mesure de l'efficience énergétique des datacenters

Le PUE (Power Usage Effectiveness) a été élaboré par le Green Grid, qui compte parmi ses membres, Intel, HP, Schneider Electric, etc, pour mesurer l'efficience énergétiques des datacenters. Il compare l'énergie totale consommée par un centre de calcul par rapport à celle produite par les meilleurs équipements informatiques actuels. Il prend aussi en compte les pertes de certains éléments  tels que les systèmes de refroidissement.

Si cette méthode est soutenue, il lui manque encore une reconnaissance officielle en devenant un standard. Plus tôt cette année, le Green Grid s'est réuni avec le Département américain de l'énergie, l'agence de protection de l'environnement,  le programme Energy Star, l'Uptime Institute, le conseil américain du bâtiment et d'autres pour définir une méthode commune de calcul des PUE. Fruit de cette réflexion, ils viennent de publier des recommandations pour les installations de datacenters. Une seconde version est prévue à destination des centres de données intégrés à des immeubles de bureau.

4 catégories de PUE

Ils ont défini quatre façons de calculer le PUE pour englober un large éventail de centres de données, y compris ceux qui n'ont pas encore la capacité de mesurer avec précision toute leur consommation d'énergie. La catégorie 0 est le niveau le plus bas. Elle est basée sur les pics de charge au cours d'une période de 12 mois. La mesure est prise auprès du compteur électrique. Bien que cette mesure offre seulement une image, en omettant les fluctuations de charges, elle peut aider les opérateurs à suivre leur efficacité énergétique, a indiqué le Green Grid.

Le niveau le plus précis est la catégorie 3. La consommation d'énergie est calculée sur 12 mois avec des mesures prises sur les points de connexion des équipements informatique au système électrique. C'est la méthode la plus précise, dit le groupe, car il élimine tout effet de pertes liées à la distribution d'énergie. A noter que les différentes sources d'énergie sont pondérées avec un coefficient, l'électricité est affecté de la note 1, le gaz naturel 0,31, l'eau chaude municipale 0,30.

 

 

Crédit Photo: APC

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