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(24/06/2010 13:07:01)
Red Hat multiplie ses offres vers le cloud
« Avec cette version, Red Hat est l'une des deux seules entreprises qui offre une solution complète pour les clouds hybrides », a déclaré Scott Crenshaw, vice-président et directeur général de l'activité cloud de la société. L'autre éditeur mentionné est bien sûr Microsoft, avec sa plate-forme Azure. La première édition du paquet Red Hat Fondations Cloud intègre un ensemble de programmes de la compagnie, une architecture de référence, et un certain nombre de services de consultation et des cours de formation. Les programmes comprennent, Red Hat Enterprise Linux (RHEL), Red Hat Network Satellite, RHEV, JBoss et le logiciel de messagerie de l'entreprise.
Cette annonce autour du cloud est une parmi plusieurs qui ont été dévoilées lors du Red Hat Summit, qui se tient cette semaine à Boston. Ainsi, l'éditeur Open Source a indiqué qu'IBM, NTT Communications et Sawis sont de nouveaux partenaires dans le Certified Cloud Provider Program. Ils se joignent à Amazon, qui a été le premier partenaire de ce programme qui garantit que les utilisateurs peuvent exécuter des logiciels cloud de Red Hat dans ces environnements sans modifications.
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Du côté de RHEV, elle comprend pour la première fois, le support de la virtualisation du poste de travail (VDI) a souligné Navin Thadani, directeur de l'unité d'affaires virtualisation de Red Hat. Il utilisera la technologie de SPICE (Simple Protocol for Independent Computing Environment), protocole graphique de prise contrôle à distance des machines virtuelles. Un outil de conversion pour passer de machines déployées sous VMware ou Xen vers le format KVM a également été ajouté à RHEV 2.2. Ces VM peuvent désormais utiliser jusqu'à 256 Go de mémoire chacune. Red Hat a également annoncé un partenariat avec Cisco. Les deux sociétés ont intégré la technologie Cisco VN-Link dans le noyau RHEV. Cette intégration apporte aux opérateurs de datacenters un contrôle similaire de leurs serveurs virtuels, mais également de leurs serveurs physiques, en simplifiant la gestion et en accélérant ainsi le débit.
(...)(24/06/2010 12:24:16)
HP renforce sa stratégie mobile avec le rachat de Melodeo
C'est la seconde acquisition d'HP dans le domaine de la téléphonie. Après le rachat de Palm, c'est au tour de Melodeo de tomber dans le giron de la compagnie. Melodeo propose un service, Nutsie, permettant aux personnes de diffuser leurs listes de musique iTunes sur leur terminal mobile. Pour ce faire, un abonné doit exporter ses morceaux sur le service en ligne Nutsie. Après le téléchargement d'une application sur son smartphone, il peut ainsi écouter sa musique préférée.
Pour offrir ce service, Melodeo utilise les métadonnées qui sont intégrées dans les chansons et lui donne ou non les autorisations de diffusion. Les utilisateurs ce service en ligne peuvent écouter leurs propres listes, celles d'un ami ou créer spécialement par l'application. Cette dernière est disponible pour Android, Windows Mobile, Blackberry.
HP décrit Melodeo comme une société, qui propose de délivrer du contenu en mode cloud sur différents types de terminaux. « Nous sommes très enthousiastes par le potentiel de cette technologie qui apporte de la puissance à la distribution de services en mode cloud à des millions de clients » souligne un communiqué d'HP. Apple avait déjà fait une acquisition de ce type, Lala, pour enrichir iTunes. La musique intéresse même Google qui travaille sur sa plateforme de ventes en ligne, Google Music.
(...)(24/06/2010 11:58:07)
Baisse des ventes de smartphones au 1er trimestre
Selon un rapport du cabinet ABI Research, 55 millions de smartphones ont été vendus dans le monde au cours du premier trimestre 2010. Les ventes sont en baisse par rapport au premier trimestre 2009 (1 million d'unités en moins), mais en hausse par rapport trimestre précédent. Selon cette étude, les ventes de Nokia, leader du marché, ont progressé de 700 000 unités entre les trois derniers mois de 2009 et les trois premiers de 2010, à 21,5 millions d'exemplaires.
Celles de l'iPhone ont également augmenté, mais moins rapidement (8,8 millions d'unités contre 8,7 millions au dernier trimestre 2009). "Généralement, on observe un recul plus importants des ventes au cours du premier trimestre" commente Michael Morgan, analyste chez ABI Research, "le fait que cette baisse soit relativement faible montre que le marché des smartphones demeure dynamique".
(...)(24/06/2010 11:51:21)1 iPhone sur 4 en panne au bout de 2 ans
SquareTrade, qui mène régulièrement des études sur les produits technologiques qu'il assure (PC portables, appareils phoo, etc.), a analysé le retour de 12.796 iPhone 3GS, 12.109 iPhone 3G et 3.824 iPhone Edge, le premier modèle sortie en 2007. Résultat, 25,6% des mobiles étudiés sont tombés en panne avant deux ans d'utilisation. 18,1% des mobiles analysés sont tombés en panne à cause d'un choc ou d'une chute, et 7,5% ont été victimes d'un problème hardware. Dans ce dernier cas, c'est l'écran qui est le plus souvent en cause (problème d'affichage, pixel mort, etc.), devant l'alimentation, la batterie et le haut-parleur. Ces pannes ne sont toutefois pas propres au smartphone d'Apple, les terminaux dotés d'un grand écran sont plus sensibles aux chutes que les petits téléphones.
Cependant, le rapport révèle que plus le modèle est récent, moins le risque de panne est important. Le taux de panne observé en 2008 s'élevait en effet à 33%. L'iPhone 3G S est 20% plus fiable que le 3G, et son écran semble moins sujet aux défaillances techniques. Après 24 mois d'utilisation, le risque de panne pour le smartphone d'Apple augmente logiquement, avec un taux de défaillance qui peut atteindre 35 à 40%, note l'étude.
(...)(24/06/2010 11:41:23)Un SDK Skype pour installer la solution sur plus de périphériques
Ce SDK, qui fait parti du SkypeKit Beta Program, est aujourd'hui prêt pour les développeurs de logiciels sous Linux destinés à l'électronique grand public. « Pour les développeurs de logiciels sous Windows et Mac, le kit sera disponible dans les prochaines semaines, » a fait savoir l'entreprise sur son site Internet.« Cela fait un certain temps que Skype travaille sur le SDK, en raison notamment du nombre considérable de gadgets qui sortent en permanence et de la forte demande existant pour des versions embarquées de Skype, » a déclaré Josh Silverman, PDG de la société, lors d'une conférence à Taipei. «Chaque année, nous voyons arriver chez nous des centaines de nouveaux produits, » a-t-il expliqué. « Et les opportunités pour les rendre Skype Friendly ne manquent pas. Il y a en a même beaucoup trop ! » Pour pouvoir utiliser la version bêta du SDK, les développeurs doivent être sélectionnés. « Une fois seulement que leur produit a été certifié, ils pourront faire valoir qu'il est compatible Skype, » a indiqué l'entreprise.
Prêt à affronter la menace Google Voice
Le jour où Skype a annoncé la sortie de son SkypeKit, Google a mis son application Voice à la disposition de toute personne résidant sur le territoire américain, alors que jusque-là, ceux qui voulaient utiliser Google Voice devaient passer par une étape de sélection avant d'être inscrits. En concurrence directe avec Skype, Google Voice offre également la possibilité de passer des communications en voix seule ou en appels vidéo depuis un ordinateur ou d'autres appareils électroniques compatibles VoIP. Jos Silverman dit ne pas craindre ce changement de stratégie de la part de Google. « D'autres avant Google ont tenté de concurrencer Skype, sans ralentir l'impact de notre logiciel, » a-t-il déclaré. « Nous sommes restés centrés sur notre technologie de pointe, notre marque est reconnue et notre communauté est importante, » a-t-il ajouté. «Aujourd'hui, nous sommes dix fois plus grand que nous l'étions en 2005. Fin 2009, Skype comptait 560 millions d'utilisateurs enregistrés et la plateforme attire 300 000 nouveaux utilisateurs chaque jour, » a-t-il déclaré. L'entreprise pense que les fabricants de PC livreront 100 millions d'ordinateurs avec le logiciel Skype installé l'année prochaine. Mais Josh Silverman n'a pas voulu dire combien de PC seront livrés avec Skype cette année.
(...)(24/06/2010 11:09:58)
Quest livre un outil d'administration pour les bases noSQL
« Pour certaines catégories d'applications, un modèle NoSQL est parfaitement judicieux et peut même se révéler nécessaire dans un environnement cloud. Cependant, des problèmes persistent pour son adoption au sein des entreprises », souligne Guy Harrison, directeur de R&D chez Quest.
Toad pour Cloud Database, une version spécialisée de l'outil d'administration Toad pour bases de données, répond à ces interrogations. Cette solution est capable d'interroger des données sur les bases de données non-SQL en utilisant des requêtes SQL. Le logiciel peut également faire office de passerelle entre des bases de données non-relationnelles et relationnelles. La solution peut servir à faire migrer les données vers et depuis différentes bases et exécuter des requêtes sur plusieurs bases, relationnelles ou non. Pour Guy Harrison « le logiciel est particulièrement adapté pour l'interrogation des bases de données NoSQL à des fins de Business Intelligence ».
SQL pour interroger des bases NoSQL
Les solutions NoSQL constituent une alternative intéressante aux bases de données relationnelles standards, en raison de leur facilité d'utilisation et leur capacité à s'installer sur de multiples serveurs, ce qui est un avantage dans l'environnement cloud. Pourtant, travailler sur ces bases demande une autre expertise pour les administrateurs qui ont l'habitude de SQL. Par exemple, NoSQL propose des API (interfaces de programmation) pour travailler sur les données.
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« Le DBA (administrateur de base de données) ne veut plus passer plusieurs jours à écrire du code Java », afin d'en extraire des données depuis une base non-relationnelle, via une API, affirme Guy Harrison. Avec Toad pour Cloud Databases, l'utilisateur peut donc écrire une instruction SQL et le logiciel convertit cette requête via une API ad hoc pour extraire les données de la base de données NoSQL. « Bien que conçu d'abord pour les bases de données relationnelles, SQL se révèle être un langage de requête parfaitement adapté pour interroger les bases de données non relationnelles ».
La solution proposée par Quest fonctionne avec Apache HBase et la base de données NoSQL d'Amazon Simple DB, mais aussi sur le service Azure Table, base de données non-relationnelle en mode cloud de Microsoft. Elle devrait être également compatible avec toutes les bases de données relationnelles compatible ODBC (Open Database Connectivity). A terme, l'éditeur prévoit aussi une interopérabilité avec d'autres bases de données non-relationnelles comme Apache Cassandra et Hadoop. Elle travaille également sur une version fonctionnant sur un plug-in Eclipse.
Chasser le trafic invisible pour éviter la saturation des réseaux mobiles
Les opérateurs américains ont déjà apporté une première réponse en modifiant leurs offres afin de limiter la consommation de leurs clients. Mais à écouter certains équipementiers, cette question, qui sous-entend qu'il y a un problème d'accès radio, ne serait pas la bonne. Car contrairement à ce que l'on pourrait croire, les goulets d'étranglement ne se produisent pas au niveau des BTS (les stations de base), mais plus haut dans le réseau à commencer par les backhauls (c'est à dire le réseau de centralisation du trafic issu des BTS).
C'est en tout cas la démonstration faite, il y a quelques jours, par Marc Rouanne, le patron de la division network systems de Nokia Siemens networks (NSN). Comme tous les grands équipementiers, NSM reconnaît que le trafic de données va exploser au cours des prochaines années en raison de la forte croissance du nombre de terminaux connectés à l'exemple des smartphones, des tablettes multimédia ou encore des netbooks.
Alors que le volume traité en 2009 était inférieur à 1 Exabyte, il devrait atteindre 23 Exabytes en 2015 ! Ce qui représente 6,3 milliards d'individus téléchargeant chacun un livre numérique par jour. Si les réseaux mobiles sont déjà incapables de supporter le trafic actuel, qu'en sera-t-il en 2015 ?
Une crainte largement infondée, selon Marc Rouanne. Les réseaux actuels des opérateurs mobiles sont constitués par des couches successives qui n'ont pas été modernisées pour pouvoir faire face à la croissance du marché de données. Ainsi les backhauls mis en place, c'est-à-dire la partie du réseau fixe qui va connecter les BTS, sont souvent sous-dimensionnés car ils datent de la 2G ou des débuts de la 3G, quand le marché de la donnée mobile était encore balbutiant.
Mais, l'équipementier a identifié trois autres goulets, à savoir les logiciels, les routeurs et les noeuds de transport. Pourtant, une simple mise à niveau du réseau permettrait d'effacer bien des problèmes. Car, à écouter NSN, la plupart de ces problèmes proviennent de l'afflux du trafic entre lessmartphones et le réseau. Contrairement à ce que bien des abonnés croient, un mobile qui n'est pas utilisé, mais pas pour autant en veille, continue à communiquer à intervalle réguliers avec le réseau, notamment pour localiser l'abonné. C'est ce que l'on appelle les messages de signalisation.
Illustration (D.R.)
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Tant que l'on était dans le monde de la voix, cela ne posait pas de problème. Mais l'explosion du marché dessmartphones et des applications téléchargées sur ces terminaux a provoqué une croissance exponentielle de ce trafic invisible pour le client, notamment pour tenir à jour certaines applications comme les cartes de géolocalisation.
Selon Marc Rouanne, le trafic généré par les messages de signalisation est ainsi devenu supérieur au trafic voix chez les opérateurs nord-américains ! D'où la nécessité d'optimiser les réseaux existants et de mieux paramétrer les terminaux et les applications pour réduire ce trafic. Ainsi, NSN affirme que la mise à niveau du réseau de O2 UK dont il s'est chargé, intervenue en début d'année, a permis d'effacer les problèmes de congestion.
Et d'autres solutions existent pour améliorer encore les performances d'un réseau mobile sans faire exploser les coûts opérationnels ou les investissements des opérateurs. Il faudrait mettre en oeuvre une gestion du trafic en fonction de classes de services prédéfinies, améliorer la gestion du spectre utilisé par chaque opérateur. Ainsi, la technologie du single Ran permet de gérer plusieurs technologies radio différentes, permettant un déploiement en parallèle du HSPA et du LTE.
Au final, selon Marc Rouanne, un réseau mobile moderne pourrait permettre d'offrir une consommation plafond de 5 Go par mois et par abonné compte tenu d'une consommation moyenne de 2 Go pour un prix de 3 € par mois et par abonné, permettant de couvrir les coûts opérationnels et les Capex ! Il ne reste plus aux opérateurs qu'à agir.
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