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(23/06/2010 17:25:35)
Le Player Flash 10.1 d'Adobe se décline sur mobiles
« Seuls les possesseurs de téléphones équipés du système d'exploitation Android 2.2 pourront profiter du dernier Player, » comme l'a déclaré Anup Muraka, directeur en charge de la stratégie et de la technologie chez Adobe. Sauf que la version 2.2 n'est actuellement fonctionnelle que sur un seul modèle de téléphone, un Nexus One de démonstration. Tous les téléphones Nexus One, Droid de Motorola et autres modèles tournant sous Android sont toujours en attente de la version 2.2 du système d'exploitation de Google.
Adobe sort également la version définitive du Player pour RIM, Palm, Symbian et Microsoft, mais on ne sait pas encore quels terminaux aujourd'hui sur le marché pourront intégrer cette version du Player. « Nous devons travailler avec chaque fabricant pour établir la liste des téléphones qui pourront supporter Flash,» a déclaré Anup Muraka. « Si les mobiles existants peuvent faire tourner Flash 10.1, alors Adobe collaborera avec les fabricants afin de décider comment distribuer le Player aux utilisateurs. « Il est certain que, le jour du lancement, peu d'appareils sont en mesure de faire fonctionner Flash, mais avec Noël, le Consumer Electronics Show (CES), et le Mobile World Congress de l'année prochaine en perspective - toutes des occasions pour annoncer de nouveaux produits - c'est très motivant, » a-t-il dit.
Intégré en standard sur les prochains smartphones
« Flash pourra être diffusé aux utilisateurs par mode WiFi ou mis à leur disposition en téléchargement dans des boutiques de logiciels, ou encore par internet, à partir d'un lien sur le site de vendeurs de systèmes d'exploitation, de la même façon que cela se passe pour les versions Flash actuelles, » a-t-il précisé. « Surtout, la version 10.1 pourra être intégrée dans les téléphones qui sortiront à la fin de l'année ou au début de l'année prochaine, » a-t-il encore ajouté.
Le Player Flash 10.1 pour mobiles supportera le multitouch, le clavier soft et autres fonctions comme l'accéléromètre. De même, « il intégrera quelques nouvelles fonctionnalités visant à simplifier l'affichage des pages web sur des appareils de petite taille, avec la possibilité, par exemple, de zoomer automatiquement sur un objet Flash en tapotant deux fois dessus, » a-t-il expliqué. Néanmoins, Anup Murak prévient que le Player Flash 10.1 n'arrive pas avec une tonne de fonctionnalités nouvelles. « C'est une version remaniée de fond en comble avec une architecture qui s'adapte non seulement au Mac, à Windows et à Linux, mais aussi, pour la première fois, à un large éventail de plates-formes mobiles et de télévision émergentes, » a-t-il déclaré. « Cette base est essentielle pour les développements et les fonctionnalités des futures versions. »
Crédit photo Motorola
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Parmi les entreprises citées par Adobe dont les appareils prendront en charge le Flash pour mobile, on trouve Dell, Samsung, Google, RIM, HTC, Arm, Nvidia, Qualcomm, Intel et Texas Instruments. S'y ajoutent des fournisseurs de contenu comme Turner, Viacom, HBO, MSNBC et Photobucket. On ne s'étonnera pas de l'absence d'Apple parmi les entreprises mentionnées, qui s'est publiquement moquée d'Adobe et préfère pousser en avant le format HTML5, plus prometteur selon la firme de Cupertino. Toutes les principales plates-formes à l'exception de l'iPhone soutiendront donc le Player Flash 10.1 d'Adobe. Cela signifie aussi que les développeurs souhaitant mettre leur contenu à la disposition de la majorité des utilisateurs de smartphones pourront utiliser Flash, mais devront créer des contenus ou des applications distinctes pour les utilisateurs d'iPhone.
La bataille d'Adobe avec Apple est identique à celle que se livrent les éditeurs de logiciels pour le marché du mobile. « Ce n'est pas comme dans le monde du desktop où les éditeurs peuvent tout faire eux-mêmes et livrer leur version, » a déclaré Al Hilwa, analyste chez IDC. «Pour les logiciels mobiles, ils doivent travailler main dans la main avec les fabricants. La nature même des logiciels mobiles est conditionnée par les fabricants, de sorte que l'intégration est beaucoup plus compliquée. »
(...)(23/06/2010 17:13:14)IDC prévoit une hausse de 20% des ventes de PC pour 2010
A l'issue d'un premier trimestre solide, on attend des ventes de PC qu'elles augmentent de 20% en 2010, si l'on en croit le cabinet d'étude IDC. Au niveau mondial, les livraisons de PC durant les trois premiers mois de l'année étaient 27,1% plus élevées que durant le premier trimestre 2009, rapporte IDC. Le cabinet d'analyse ajoute qu'il s'attend à une forte croissance - à une allure toutefois un peu plus faible qu'au premier trimestre - pour le reste de l'année, avec une livraison globale de PC atteignant un taux supérieur de 19,8% par rapport à 2009. IDC note que l'apaisement des troubles économiques, combiné à un renouvellement des achats des particuliers et des entreprises, a donné un élan bienvenu à l'industrie du PC. Et tandis que le marché autrefois florissant du netbook commence à ralentir, celui des ordinateurs de bureau retrouve de la vigueur, affichant sa première croissance annuelle depuis le second trimestre 2008.
Des fonctionnalités qui relancent le marché
« Au-delà de la simple continuation du rétablissement du marché, 2010 sera une année remplie de nouvelles formules constitutives de l'expérience PC », prévoit Jay Chou, analyste chez IDC, dans un communiqué. « Des appareils, comme les e-readers et les tablettes, vont venir perturber, et même défier, les usages conventionnels, tout en ouvrant des possibilités intéressantes pour les consommateurs et les entreprises positionnées sur le secteur du mobile ». « A côté des pures capacités informatiques, la force de proposition du PC va se mesurer de plus en plus par la flexibilité avec laquelle il peut répondre à la demande de création et de consommation de contenus, en plus de parvenir à la portabilité optimale. », ajoute-t-il.
Crédit photo Toshiba R700
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Le mois dernier, le cabinet d'analyse Gartner a affirmé s'attendre à ce que les livraisons totales de PC atteignent 376,6 millions d'unités, soit 22% de plus que les 308,3 millions livrées l'an dernier. Gartner dit aussi s'attendre à ce que les dépenses PC mondiales parviennent à 245,4 milliards de dollars en 2010, soit un bond de 12% par rapport à 2009, étant donné que l'économie se rétablit progressivement. D'après IDC, les ventes d'ordinateurs portables vont mener le retour du marché à la fois pour les segments des consommateurs et des entreprises. Les notebooks devraient obtenir 70% de parts de marché sur l'ensemble des PC vendus d'ici 2012. Les chiffres d'IDC concordent avec les résultats fournis au début du mois par iSuppli, un autre cabinet d'étude.
IDC n'est pas le seul à avancer des prévisions optimistes pour 2010
Début juin, iSuppli a annoncé que les livraisons de PC avaient connu une croissance record durant le premier trimestre 2010. Poussé par les ventes solides sur les marchés asiatiques, le segment global des PC a considérablement augmenté : 22,7% durant le premier trimestre, devenant la croissance la plus élevée jamais enregistrée par iSuppli d'une année sur l'autre. Les livraisons du premier trimestre ont atteint 81,5 millions d'unités, un progrès de 66,5 millions par rapport à la même période en 2009, note le cabinet.
(...)(23/06/2010 16:57:57)
AMD Opteron 4000, une vraie puce serveur à partir de 99$
Jusqu'à présent connue sous l'appellation Lisbon, l'Opteron 4000 e, gravée en 45 nm, se destine au marché des serveurs bi-socket qui représente 75% du marché. « Ce segment est en croissance rapide nous explique Bernard Seité, directeur technique chez AMD . « Avec l'Opteron 4000, nous proposons une puce consommant peu et ciblant le marché du cloud computing et du web hosting . »
L'Opteron 4000, qui vient remplacer la puce Istanbul, est en fait une demi-puce Magny-Cours, disponible avec quatre ou six coeurs par socket. Si le 4000 consomme moins d'énergie que la série Istanbul (jusqu'à - 24%), il offre les mêmes performances nous précise Bernard Seité. Commercialisé 99$, le processeur Opteron 4122, qui est au passage la première puce AMD pour serveur vendu moins de 100$, est doté de 4 coeurs à 2,2 GHz par socket (avec 8 Mo de mémoire cache) et consomme 75 watts (mesure ACP). À titre de comparaison, une puce équivalente chez Intel est facturée 167$ selon la dernière liste de prix du fondeur publié le 20 juin dernier.
Une série basse consommation
La famille 4100 comprend également deux puces six coeurs, les Opteron 4162 EE et 4164 EE, consommant juste 32 watts. Cadencé à 1,7 GHz, le 4162 EE est vendu 316$, et le 4164 EE à 1,8 GHz est à 698$. Le fondeur de Sunnyvale a également dévoilé cinq Opteron 4100 six coeurs consommant de 50 à 75 watts à des fréquences comprises entre 2,1 et 2,8 GHz. Les tarifs vont de 174 à 316$.
L'amélioration de performances a été obtenue grâce au passage à la mémoire DDR3, à la vitesse du bus HyperTransport 3.0 qui passe de 4,8 à 6,4 GBit/s et bien sûr aux fréquences supérieures. Bernard Seité assure également que la compatibilité socket et bios des cartes mères sera assuré avec les prochaines générations de processeurs gravés en 32 nm, à savoir la série Bulldozer qui sera présentée en détail à la conférence Hot Chip organisée par l'Université de Sandford. Plusieurs constructeurs dont Dell, Gateways et SuperMicro sont déjà sur les rangs pour intégrer ces puces à leurs gammes serveurs lame selon Bernard Seité.
(...)(23/06/2010 15:02:50)
IBM courtise le marché de la finance avec un framework dédié
« L'ensemble Financial Markets Industry a été conçu pour les sociétés financières, à l'image des sociétés de transactions boursières que l'on rencontre à Wall Street, et qui souhaitent accélérer leur mode de fonctionnement, » a déclaré Guy Tagliavia, directeur de l'activité front office et Websphere d'IBM. «Tout est affaire de vitesse. La clé est de pouvoir traiter les données du marché aussi vite que possible avec l'algorithme des applications de trading, » a ajouté Guy Tagliavia. « L'objectif des vendeurs est d'augmenter la vitesse de transfert des messages entre les systèmes pour la ramener à quelques microsecondes. »
Ce framework vient compléter le nombre, toujours croissant, de solutions pré-intégrées et sur mesure que Big Blue a développé. L'entreprise a déjà créé des frameworks pour les secteurs de la santé, de l'industrie pétrolière, du commerce de détail et pour l'administration. Le serveur d'applications WebSphere d'IBM est au coeur de l'offre. Le framework sera en mesure d'ingérer les flux de données provenant de plus de 100 sources différentes. Les flux sont ensuite filtrés par une plateforme qui identifie les événements spécifiques ou les éléments déclencheurs. Le framework comporte aussi un logiciel de surveillance des marchés financiers et des opérations de trading qui s'appuie sur l'offre de Business Intelligence Cognos, ainsi que sur le logiciel de gestion des règles métiers d'Ilog et d'autres applications. « Au fil du temps, le framework comportera plus d'applications développées par Big Blue mais aussi par des partenaires, » a indiqué GuyTagliavia.
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« Les entreprises du secteur financier sont extrêmement concurrentielles et elles utilisent des logiciels pour être plus performantes », explique Guy Tagliavia. « Le marché financier est aussi en constante évolution. C'est un secteur extrêmement dynamique où il y a une sorte de course aux armements, les clients recherchant toujours à profiter de la technologie la plus récente », a-t-il ajouté. « Et il n'est pas rare que les entreprises de ce marché renouvellent leur système tous les deux ans. » IBM met en avant le fait que sa plate-forme est facilement extensible, et peut donc être facilement mise à jour. Le framework peut être construit autour de serveurs ordinaires reposants sur des processeurs x86, ou exécuté sur les serveurs System P d'IBM. « Ce framework peut être installé par IBM ou par d'autres intégrateurs », a enfin précisé Guy Tagliavia.
(...)(23/06/2010 14:31:03)L'enseignement secondaire se met au cloud
La mise en place d'un cahier de textes électronique Scolastance, hébergé sur le cloud Microsoft, possède, d'après l'éditeur Infostance, des avantages indéniables pour l'ensemble de la chaîne. Déjà, pour les établissements, dont les budgets sont parfois limité, cela apporte de la flexibilité, puisqu'il ne s'agit plus d'un ENT complet disponible sur des hébergements Internet classiques (SaaS par serveur) mais d'un module indépendant et multi-tenant (Saas par cloud), offrant uniquement le cahier de textes. « On peut potentiellement ajuster les services selon les besoins, mais le dépôt de cours et la documentation ne sont pas mis à disposition sur le cloud. Ils sont seulement accessibles par serveur », indique Eric Deckert, responsable commercial Infostance.
On peut noter que le cahier de texte collaboratif est full web : l'enseignant et l'élève passent par un navigateur, et se connectent à l'aide d'un identifiant et d'un mot de passe. Pour consulter ou insérer les devoirs dans le cahier numérique, il n'y aura donc pas besoin d'installer un logiciel. Des économies de papier considérables seront réalisées si le dispositif venait à se généraliser.
Une évolution, pas une révolution
Scolastance n'en est cependant pas à son coup d'essai concernant l'implémentation d'ENT dans les établissements en question. Près de 600 lycées et collèges sont déjà équipés de l'offre de l'éditeur. Cette évolution de la dématérialisation des ressources informatiques et d'une uniformisation de l'offre est en accord avec les recommandations du Ministère de l'Education Nationale qui souhaite généraliser le dispositif d'ici 2011. Cela ne devrait cependant pas bouleverser les habitudes des enseignants utilisant déjà le dispositif Scolastance, assure l'entreprise, puisque le cahier de texte y était déjà inclus.
Crédit Photo: Infostance
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Pour les établissements amenés à adopter le système par la suite, et ne s'étant pas dotés de l'ENT Scolastance par serveur, les enseignants disposeront d'une formation à l'utilisation de celui-ci. « Cette offre permettra aux établissements de sélectionner, s'ils le souhaitent, une offre réduite pour se familiariser au dispositif et d'éventuellement ajouter d'autres options par la suite », souligne Eric Deckert.
Pour les élèves, il n'y aura pas de formation puisqu'il ne s'agira que de consulter en ligne un cahier de texte numérique. Pour Camille Reibel, professeur et administrateur ENTEA au Lycée Henri Meck de Molsheim, équipé de l'ENT, « le cahier de textes numérique Scolastance est beaucoup plus pratique que la version papier car il permet, pour les élèves et les parents, un gain de temps dans l'accès aux informations. L'enseignant peut le remplir de chez soi. » Il affirme enfin que « les élèves changent radicalement de comportement avec la version numérique du cahier de textes qui est consultée régulièrement par plus d'un quart des élèves, tandis que la version papier ne l'était presque jamais ».
Enfin, pour l'éditeur, le choix de la plate-forme Azure semblait être une évidence. L'ENT d'origine était déjà développé pour la plateforme Windows Server, et Infostance souhaitait déployer son cahier de textes le plus rapidement possible dans un cloud. Pour ce marché, aucun appel d'offres n'a été émis car cette solution a été intégrée au partenariat entre Microsoft et Infostance. Celui-ci s'étend déjà sur toute leur offre d'ENT Scolastance, à destination des établissements primaires, des universités ou des institutions.
La téléphonie mobile mondiale améliore croissance et couverture
Selon l'UIT, le nombre d'abonnés à la téléphonie mobile a progressé de près de deux milliards en trois ans, passant de 2,732 milliards en 2006, à 4,648 milliards l'année dernière. Une croissance en grande partie liée à la diffusion de cette technologie dans les pays en développement (1,6 milliard de lignes mobiles supplémentaires en 3 ans).
Le rapport indique que 90% des zones rurales en Chine et Inde sont désormais connectées à un réseau mobile. Dans un précédent rapport dévoilé en février dernier, l'UIT a estimé que le nombre de lignes de téléphonie mobile dans le monde devrait franchir le cap des 5 milliards courant 2010.
Déclin du fixe et hausse de l'Internet
Cette progression de la téléphonie mobile dans le monde a provoqué dans le même temps la diminution du nombre de lignes fixes. Le nombre d'abonnés au téléphone fixe a reculé de 57 millions en trois ans, à environ 1,21 milliard en 2009.
Autres indicateurs révélés par l'ITU, trois quarts des foyers dans le monde sont équipés d'un téléviseur, et 25% ont accès à Internet. Deux tiers des personnes dans les pays développés sont désormais connectés au Web, contre un cinquième seulement dans les pays en développement.
Crédit Photo: DR
(...)(23/06/2010 13:51:40)Gartner prévoit une accélération des dépenses de services Cloud
« Nous assistons à un fort développement de l'adoption du modèle et des services cloud au sein des entreprises et à une explosion des offres proposées par les fournisseurs de services » souligne Ben Pring, vice-président des études au Gartner et d'ajouter « les mentalités ont changé depuis un an avec l'ampleur des déploiements qui portent sur plusieurs milliers de contrats et avec une prise de conscience des décideurs IT considérant ces déploiements comme stratégiques ».
Dans les 5 prochaines années, les entreprises devraient dépenser 112 milliards de dollars, aussi bien sur le SaaS, le PaaS et le IaaS. « Après plusieurs années de gestation, le mode SaaS est au coeur de cloud computing, comme le paiement à l'acte, la multi-location et l'externalisation des services ». Le responsable de Gartner indique « il y a des éléments macroéconomiques pour expliquer en partie cette évolution. Après avoir traversé des turbulences financières pendant 18 mois, les sociétés ont observé à la loupe leurs dépenses. Une solution informatique qui peut offrir des fonctionnalités à moindre coût et avec plus d'agilité a trouvé un écho favorable ».
Un essor d'abord américain
Sans surprise, les Etats-Unis sont en avance sur cette adoption, en représentant 60% du marché mondial des services cloud en 2009, 58% en 2010 et en 2014, ce taux atteindra 50% avec la montée en puissance d'autres régions du monde.
Crédit Photo: EMC
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Ainsi, l'Europe de l'Ouest devrait atteindre 23,8% en 2010 et le Japon 10%. Ben Pring indique par ailleurs « nous ne voyons pas dans nos prévisions une accélération des petits pays ou des régions en développement, au point de dépasser les marchés occidentaux ».
En termes d'entreprises, les secteurs de la finance et des industries manufacturières sont les plus grands consommateurs de services cloud. Les activités de communications et High Tech sont appelées à devenir des leviers de croissance forts, tout comme le secteur public qui démontre un grand intérêt pour le potentiel du cloud. Néanmoins, Ben Pring constate que des interrogations constituent des freins, au premier rang desquelles, la sécurité, la disponibilité du service, la maturité et la viabilité du fournisseur.
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