Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 7571 à 7580.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/06/2010 13:09:13)

Tibco s'offre Proginet

Le spécialiste des outils de middleware s'apprête à racheter  un éditeur d'outils de gestion de transfert de fichiers (MFT - managed file transfer), pour 23 millions de dollars. Grâce à cette acquisition, Tibco entend compléter son portefeuille des produits middleware, et rester, à l'instar de Software AG,  l'un des rares fournisseurs indépendants de  ce type de solutions. La firme semble également suivre la tendance générale adoptée depuis deux ans par les acteurs du marché de  l'intégration, qui ajoutent des capacités MFT à leur offre, ainsi que le souligne un rapport récent de Forrester Research. En effet, le marché des outils de gestion de transfert de fichiers rassemble un grand nombre de fournisseurs, tels que Metastorm, DataMotion et Axway. La  ligne de produits développée par Proginet, et considérée par le Gartner, comme un «guichet unique pour tous les besoins en matière de MFT »,  permet aux entreprises de transférer des fichiers en toute sécurité, que ce soit en interne ou avec des tiers.    La demande concernant cette  technologie gagne en importance, car, suite à la globalisation, les entreprises ont diversifié leurs activités et composent avec un   cadre réglementaire de plus en plus strict.

Une réponse à l'accord IBM-Sterling Commerce

Un certain nombre de fournisseurs, parmi lesquels Software AG, utilisent la  technologie développée par Proginet. Reste à savoir ce qu'il adviendra de ces   accords lorsque le rachat sera finalisé, c'est à dire d'ici quelques mois.  
Cette acquisition est aussi une réponse à IBM, qui s'est offert  l'éditeur américain Sterling Commerce pour 1,4 milliard de dollars. Cette filiale d'AT&T spécialisée dans les solutions d'intégration entre applications et les échanges de données interentreprises propose les mêmes outils que Tibco (transferts de fichiers EDI principalement ). Mais pour Ken Vollmer analyste chez Forrester Research l'accord IBM-Sterling « irait  beaucoup plus loin que cela. »

Crédit photo: D.R

(...)

(23/06/2010 10:51:06)

3SCI dresse un panorama des petites SSII et la crise

Moins de 50% des petites SSII françaises auraient un moral « moyen », alors  que cet état intermédiaire concernait les deux tiers des répondants début 2009. C'est au final le principal enseignement de l'enquête de conjoncture que mène chaque trimestre le syndicat professionnel 3SCI, qui rassemble 350 petites et moyennes SSII.

Historiquement, cette association est née pour être le porte-parole des TPE des TIC, le Syntec Informatique ayant selon lui le rôle de représentant des moyennes et grandes SSII. Quoi qu'il en soit, le baromètre trimestriel du 3SCI confirme le ressenti des acteurs de la filière : l'amélioration concerne plus le moral des chefs d'entreprise du secteur que le chiffre d'affaires ou les carnets de commandes.

Les résultats de l'enquête indiquent qu'ils n'attendent aucune amélioration sensible en 2010, ce que l'on pouvait supposer. Ce qui peut paraître plus surprenant, c'est qu'ils estiment que l'année 2011 sera encore moins bonne : 73% des répondants s'attendent à un crû 2011 « moyen », « mauvais » ou « très mauvais ». La fameuse « sortie de crise » n'est en fait envisagée qu'à l'horizon 2012 : ce n'est que pour cet exercice que les optimistes redeviennent majoritaires (53% prédisent une « bonne » ou une « très bonne » année).

La visibilité reste faible


Tous les chiffres de cette enquête conduisent à un autre constat fort : la visibilité des chefs d'entreprise ne s'est pas améliorée par rapport à l'an dernier, alors que c'est leur premier critère pour investir et embaucher. L'extrême prudence des « clients finals » se répercute logiquement sur l'ensemble de la chaîne. 63% des petites SSII estiment que leurs problèmes de trésorerie sont d'abord liés au rallongement des délais de paiement chez leurs clients. « La Loi de Modernisation de l'Economie entrée en vigueur début 2009 part d'un bon sentiment, mais force est de constater qu'elle n'a pas eu d'effet sur les délais de paiement, qui restent guidés par le rapport de force entre les donneurs d'ordres et les prestataires », analyse Olivier Bouderand, Secrétaire Général du 3SCI.

Autrement dit, la nouvelle réglementation ne permet pas aux petites SSII de faire davantage pression sur leurs grands clients, sauf à entamer des procédures coûteuses et à prendre le risque de les perdre définitivement. Cela reste le principal point d'achoppement car, pour le reste, les relations commerciales interentreprises demeurent inchangées, notamment en ce qui concerne les encours.

« Il est également difficile pour nous d'avoir un commentaire global sur ces chiffres, car on identifie clairement trois groupes dont les points de vue sont très différents : un tiers considèrent qu'ils ont passé la sortie de crise, un tiers que la crise est toujours là et un autre tiers que la situation va se dégrader », conclut Olivier Bouderand. (...)

(23/06/2010 09:45:47)

ZTE chiffre à 400 millions d'euros le déploiement de la 4G dans un pays européen

L'équipementier télécoms chinois ZTE a présenté une étude démontrant les coûts engendrés par l'implantation d'un réseau LTE (la 4ème génération mobile) sur un territoire fictif fortement inspiré d'un pays européen. Basée sur une moyenne de 5 pays européens, cette modélisation a pour but de rendre compte du prix que coûterait le LTE dans un grand pays du vieux continent. Ce pays imaginaire compterait 50 millions d'habitants, aurait une superficie de 400 000 kilomètres carrés. L'objectif de déploiement serait de 75% du territoire avec une réutilisation des sites 3G et GSM 900 avec en ajout la bande des 2.6 Ghz (qui devrait être attribuée en France à l'horizon 2011 par l'Arcep). Le coût d'implantation pour un opérateur est évalué par ZTE à 400 millions d'euros.

Autre point,  lors de la même présentation, ZTE a communiqué les performances d'un réseau LTE. L'équipementier a réalisé des expérimentations en Chine dans la ville de Xi'an (ancienne capitale chinoise, et lieu où a été découvert l'armée de terre cuite du premier empereur de Chine). ZTE a comparé les performances LTE diffusé sur une bande de 20 Mhz et sur 2 bandes 10 Mhz couplées. Les résultats montrent que l'usage d'une bande de 20 Mhz offre un meilleur débit. Ainsi les utilisateurs les mieux servis ont obtenu un débit de 95 Mbit/s alors que le réseau LTE était utilisé entre 0 et 5%. Le débit obtenu était de 60 Mbit/s pour les mieux servis dans le cas de deux bandes de 10 Mhz.

Quand le réseau monte à une saturation de 70%, le débit s'élève à 50 Mbit/s dans le cas de l'usage d'une bande de 20 MHz alors que le débit n'est que de 20 Mbit/s pour les mieux servis en 2X10 Mhz avec 83% de saturation. Les utilisateurs les moins bien servis avec une bande de 20 Mhz ont obtenu un débit de 32 Mbit/s pour une utilisation du réseau entre 0 et 5%. Le débit était de 20 Mbit/s pour les moins bien servis en 2X10 Mhz. Quand le niveau de saturation de 65%, le débit descend à 4 Mbit/s pour les utilisateurs les moins bien servis. Comparativement, les moins bien servis avec 80% de saturation réseau se contentent de 2 à 4 Mbit/s.

Illustration : ZTE D.R
(...)

(23/06/2010 09:37:34)

Très haut débit : l'Australie donne l'exemple

(Source EuroTMT) C'est fait. Après neuf mois de bras de fer entre le gouvernement australien et Telstra, l'opérateur historique, ce dernier a fini par jeter l'éponge et a accepté les demandes des pouvoirs publics. En jeu, l'accès aux infrastructures de génie civil de l'opérateur télécoms pour permettre un développement plus rapide du projet de réseau public à très haut débit. Il y a un an, le gouvernement australien créait en effet la surprise en annonçant le lancement d'un réseau national financé uniquement sur fonds public. Une décision qui intervenait après des mois de négociations entre les opérateurs télécoms nationaux et les pouvoirs publics qui souhaitaient se contenter de soutenir leurs projets. 
Mais l'incapacité des opérateurs à se mettre d'accord pour déployer un réseau national et les obstructions mises par Telstra, qui faisait bande à part, obligeaient l'Etat australien à changer ses plans.

Une agence publique pour porter le projet très haut débit

Au passage, le gouvernement, qui détient encore plus de 16% du capital de l'opérateur historique, se débarrassait de Sol Trujillo, le directeur général de l'opérateur (et ancien PDG de Orange SA)  considéré comme le principal responsable de l'échec des premières négociations. Et dans la foulée, l'Australie annonçait donc la création d'une agence publique, NBN Co, en charge du développement du projet national estimé alors à 42 milliards de dollars australiens, soit 29,9 milliards d'euros, permettant de couvrir 90% de la population.

Depuis, le gouvernement australien négociait avec l'opérateur pour obtenir deux choses : l'accès de NBN Co au génie civil de Telstra et l'arrêt progressif du réseau historique en cuivre de l'opérateur au fur et à mesure du déploiement du nouveau réseau à très haut débit. Une négociation qui a donc duré neuf mois durant lesquels les successeurs de Sol Trujillo ont tout fait pour résister, amenant le gouvernement à les menacer de sanctions, comme l'interdiction de participer à l'attribution des futures fréquences réservées à l'Internet mobile à haut débit. 



Illustration : Navire pour la pose de fibre optique entre les villes côtières australiennes, crédit photo Telstras

[[page]]


Et finalement, c'est ce que Telstra a accepté ce week-end, mais au prix d'un gros chèque, de 11 milliards de dollars australiens, soit 6,17 milliards d'euros. Si cette somme rondelette va grossir le trésor de guerre de l'opérateur, car à la fin de son dernier exercice fiscal, son free cash-flow excédait les 4 milliards, cet accord va toutefois aboutir à une modification en profondeur du jeu concurrentiel dans les télécoms australiennes.
Pour de nombreux spécialistes, la détention par les opérateurs historiques du réseau local constitue en effet un atout décisif pour protéger leurs parts de marché et continuer à exercer une domination sur le marché du fixe. Pour Telstra, en perdant ce précieux actif, tout doit maintenant être reconstruit.

Ouverture à la concurrence

S'il a quelques années devant lui avant que le nouveau réseau national ne soit pleinement opérationnel, lui permettant de s'adapter à la nouvelle donne, l'opérateur historique va devenir un opérateur comme un autre. C'est donc sa capacité à offrir les bons services et contenus, au meilleur tarif, qui sera décisive. Un bouleversement qui permet aussi à ses concurrents d'avoir l'occasion de remettre en cause les positions de Telstra. La concurrence dans les télécoms australiennes devient ainsi une réalité.
(...)

(23/06/2010 10:19:55)

3 millions d'iPad vendus en 80 jours

80 jours seulement après son lancement commercial, Apple a annoncé avoir vendu 3 millions d'iPad dans le monde. Cette tablette tactile a été commercialisée le 3 avril dernier aux Etats-Unis, et depuis le 28 mai dans neuf autres pays, dont la France. L'ardoise électronique est bien parti pour respecter les prévisions des analystes sur le marché. "Nous travaillons dur pour que mettre ce produit (...) entre les mains de plus en plus de personnes à travers le monde", a déclaré le patron d'Apple Steve Jobs. Par ailleurs, quelque 11.000 nouvelles applications ont été créées par des développeurs pour l'iPad, en plus des 225.000 applications déjà disponibles pour l'iPhone et l'iPod Touch sur la boutique virtuelle App Store.

En France, les tarifs de l'iPad varient entre 499 euros pour la version de base (Wi-Fi), et 799 euros pour le modèle équipé de la 3G (hors abonnement mensuel auprès d'un opérateur).

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >