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(22/06/2010 18:33:56)
Vente de musique et d'articles de presse chez Google
Google poursuit le développement de ses services web avec une plate-forme de commercialisation d'articles de presse et de chansons. Plusieurs formules seraient proposées : achat individuel ou abonnement, selon les différentes sources. Le système de monétisation des articles est baptisé Newspass. Un seul login et un compte de paiement permettraient d'accéder à de multiples publications, selon les informations publiées par le quotidien italien La Repubblica. Soit un système beaucoup plus simple que les offres qui se multiplient actuellement, notamment sur iPad. Si depuis plusieurs années, Google est accusé de piller sans grande contrepartie les informations rédigées par des journaux en ligne avec son service "Actualités", le géant de Mountain View fait ici un pas en direction des éditeurs de presse
Simultanément, le Wall Street Journal rapporte ce mardi que Google va également lancer un service de vente de musique un peu plus tard cette année. Cette plate-forme musicale serait liée au moteur de recherche maison, renforçant ainsi les synergies avec d'un coté, l'exploitation des requêtes des utilisateurs et, de l'autre, les ayant droits. Signalons que Google proposait un service de ce type en Chine avant de se replier sur Hong Kong. L'offre de Google serait également conçu pour fonctionner avec les smartphones Android, selon le journal américain.
(...)(22/06/2010 17:24:15)La recherche d'un emploi ne passe pas encore par les réseaux sociaux
Regionsjob.com vient de livrer les résultats d'une enquête sur l'utilisation réelle des réseaux sociaux dans le cadre du recrutement. 2 208 candidats et 157 recruteurs ont donné leur avis et partagé leurs pratiques. Côté candidats, l'étude montre que 36% d'entre eux s appuient sur les sites communautaires pour chercher un emploi, ce qui n'est pas négligeable en soi. Toutefois, cette pratique reste loin derrière les sites d'emploi ou jobboards (97%), les candidatures spontanées (77%), le Pôle emploi (66%), et le réseau personnel (44%). En outre, les utilisateurs de sites communautaires sont beaucoup plus actifs que les autres pour décrocher un job (utilisation de 4,8 outils contre 3,3). Plus de la moitié des personnes interrogées estiment également que les réseaux sociaux vont gagner en importance dans le futur (57%), celles qui les utilisent déjà restant les plus convaincues (78%). Les hommes (40%) sont, en outre, plus nombreux que les femmes (33%) à s'appuyer sur ce type d'outils. Ceux-ci semblent également être un bon moyen de se placer en veille active de recherche d'emploi, puisqu'ils sont surtout utilisés par des personnes en poste. S'agissant de l'âge, il semblerait que les profils de 25-34 ans soient plus enclins à s'y inscrire (40%), même si la barrière de l'âge tend à diminuer. La durée des études joue également un rôle déterminant, les Bac+5 étant plus de 56% à y recourir.
Les candidats privilégient les réseaux professionnels
L'enquête montre également que la connaissance des différents réseaux sociaux par les candidats est immense : plus de 50% pour tous (Facebook, Viadéo, LinkedIn, Twitter, les blogs), jusqu'à 92% pour Facebook. Pour l'utilisation, on reste pour le moment cantonné aux plus simples et à ceux dont la portée professionnelle est la plus évidente. Les réseaux pros sont donc en tête, avec 89% de ceux qui utilisent ces outils dans leur recherche d'emploi inscrits sur Viadéo, 51% sur LinkedIn. A l'opposé Twitter et les blogs séduisent moins, avec seulement 15% et 14% d'utilisateurs respectifs. Quant à Facebook, si 92% des personnes interrogées connaissent le service, peu de personnes l'utilisent professionnellement (6% seulement du panel). Ils sont également peu à le considérer comme pertinent (7% du panel, 8% des utilisateurs). Par ailleurs, seuls, 5% des répondants ont été contactés par ce biais.
Les sites d'emploi majoritairement utilisés par les recruteurs
Et du côté des recruteurs ? Là encore, les jobboards dominent largement (88%) devant les candidatures spontanées (80%). Les réseaux sociaux se placent bien, mieux même que chez les candidats, puisqu'ils rassemblent 47% d'utilisateurs. Niveau importance, les résultats sont plus nuancés. Alors que les sites d'emploi sont jugés importants pour 77% des sondés, les réseaux sociaux ne seraient considérés utiles qu'à hauteur de 19%. Ils restent donc loin des sites RH d'entreprise (50%) et des candidatures spontanées (42%). L'utilisation de ce type de support devrait cependant s'améliorer dans le futur, avec un bond à 44% à cette question. Reste que les réseaux sociaux ne sont pas prêts de détrôner les autres outils de recrutement, puisque les jobboards voient leur importance bondir à 87% et les sites RH à 66%. Globalement, seules la presse et le Pôle emploi voient leur importance diminuer à l'avenir.
L'âge est une variable plus importante chez les recruteurs que chez les candidats. 63% des 25-34 ans ont recours aux réseaux sociaux pour recruter, alors que la part baisse à 27% chez les 45-54 ans. Les hommes (49%) sont toujours plus utilisateurs que les femmes (44%). Les petites entreprises de 1 à 49 employés (67%) sont fortement représentées. Les dirigeants d'entreprise (67%) également. Enfin, les recruteurs connaissent bien les réseaux sociaux, même mieux que les candidats. Facebook et Viadéo sont les plus connus (97% d'utilisateurs), suivis par Twitter et LinkedIn (80% des personnes interrogées). Encore une fois, ce sont les réseaux professionnels qui tirent le mieux leur épingle du jeu (53% d'utilisateurs sur Viadéo, 28% sur LinkedIn).
Crédit photo:D.R
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Dell discute avec Google de l'intégration de Chrome OS
Rien n'est officiel, mais un responsable de Dell affirme que l'entreprise veut être « la tête de pont » du système d'exploitation Chrome OS de Google. Celui-ci confirme aussi que des pourparlers sont en cours en vue d'installer le système d'exploitation « cloud » du géant de la recherche Internet sur la gamme des ordinateurs Dell. De même, Amit Midha, président de Dell pour la Chine et l'Asie du Sud, a récemment déclaré à Reuters que son entreprise voulait être « à l'avant-garde d'innovations uniques comme l'OS Chrome qui sera sur le marché dans les années à venir. » Pourtant, rien n'indique quand et si Dell commercialisera bien un ordinateur tournant sous l'OS de Google, lequel a récemment annoncé que des appareils équipés de Chrome OS seraient lancés entre l'automne et la fin de l'année 2010.
En juillet 2009, en même temps que Google annonçait son futur système d'exploitation, l'entreprise avait fait savoir qu'elle travaillait avec un certain nombre de fabricants pour produire des appareils exécutant son OS, dont Acer, Asus, Freescale, Hewlett-Packard, Lenovo, Qualcomm, Texas Instruments et Toshiba. Curieusement, Dell ne figurait pas sur cette liste. Mais l'intérêt du fabricant basé au Texas pour l'OS de Google n'est pas surprenant. Peu de temps après l'annonce de Chrome par Google, Dell avait indiqué qu'il testerait le nouvel OS pour de futurs produits. Quelques mois plus tard, un salarié de Dell mettait Chromium en téléchargement gratuit sur un blog d'entreprise, un OS issu du projet open source sur lequel Chrome est basé et compatible avec les ordinateurs Dell Mini 10v.
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Chrome OS est en fait une version du navigateur web Chrome de Google avec en plus un ensemble de pilotes spécifiques pour fonctionner sur certains matériels. Contrairement aux systèmes d'exploitation complets comme Windows ou Mac OS X capables d'exécuter principalement des applications de bureau, Chrome OS sait uniquement accéder à Internet et utiliser des applications Web comme Google Docs ou Microsoft Office Web Apps. Toutefois, ces derniers mois, plusieurs nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition pour permettre à Chrome de dépasser en partie ses limites d'OS web exclusif. En avril, la firme de Mountain View a annoncé un projet d'impression (Cloud Print) qui apporte à son OS la capacité d'imprimer des documents via Internet et un réseau sans fil, sans avoir besoin d'installer des pilotes d'imprimante sur un PC. Avant cette annonce, on se demandait comment l'OS de Google pourrait interagir avec des périphériques, et des imprimantes notamment. Au mois de juin, d'autres informations concernant des fonctionnalités bureautiques à distance appelées Chromoting ont fait leur apparition dans les fils de discussion du forum consacré à Chromium. Chromoting permettrait à des appareils tournant sous Chrome OS d'accéder et d'utiliser directement depuis le navigateur des applications bureautiques complètes installées sur un ordinateur Windows distant. Pour l'instant Google n'a pas fait d'annonce officielle concernant Chromoting.
L'ajout de Dell à la liste des partenaires potentiels de Google mettrait quatre des cinq principaux fabricants d'ordinateurs américains sous la bannière de Chrome OS, et les cinq fabricants d'ordinateurs les plus importants au niveau mondial. Selon des sources émanant d'IDC et Gartner, au cours du premier trimestre de 2010 aux États unis, Dell arrivait second derrière HP au palmarès des fabricants d'ordinateurs. Au niveau mondial, Dell se place au troisième rang derrière HP et Acer.
(...)(22/06/2010 15:22:08)Étude Forrester : Développement laborieux des IAM en Europe
D'après l'étude Forrester, les IAM sont considérées par près des deux tiers des entreprises et PME interrogées en Europe comme étant une de leurs préoccupations principales pour 2010, contre 60% en 2009. La crise économique des 18 derniers mois serait la principale raison de cette augmentation, mettant en avant le besoin de sécurité des données des sociétés.
Autant l'étude note qu'il s'agit d'une préoccupation importante, autant elle constate paradoxalement que l'implémentation et l'adoption sont encore très faibles. Aucune des technologies IAM ne parvient à dépasser les 30% d'adoption, et pour certaines, comme l'externalisation de cette gestion des accès et des identités par des entreprises spécialisées, le taux de sociétés n'étant pas équipées et ne souhaitant pas l'être atteint 60%. De même, l'authentification multifacteurs, pourtant reconnue comme bien plus efficace, est, d'après l'étude, étonnamment basse, ne comptant que 20% d'adoption.
Pour autant, la technologie du Single Sign-On (SSO ou authentification unique) est, elle, relativement bien reçue, et séduit 65% des entreprises (E-SSO) qui l'ont ou prévoient de l'implémenter, ainsi que 60% pour le web SSO. La gestion d'utilisateurs privilégiés et le provisioning obtiennent eux aussi une note positive de la part des entreprises européennes, et pourraient atteindre les 50% d'adoption d'ici quelques années, si l'on tient compte des entreprises déclarant vouloir les mettre en place d'ici à un an.
Crédit photo : D.R.
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Le point noir de l'étude relève donc de la sous-traitance de la gestion des IAM, et l'étude Forrester en remarque différents facteurs explicatifs. Les problèmes organisationnels que soulève l'externalisation au sein de l'entreprise, et au niveau des services en charge de la gestion des identités des employés (les ressources humaines par exemple), forment un barrage à l'entrée difficile à contourner pour les fournisseurs de services IAM.
L'autre facteur relève d'une offre considérée comme trop floue de la part de ces entreprises. Les clients qui souhaiteraient déléguer l'IAM à un fournisseur de services se retrouvent face à un choix entre des intervenants traditionnels (IBM, CA, Oracle), spécialisés, ou même de niche, sans qu'aucune délimitation concrète des services fournis ne soit établie. Malgré cela, comme le note l'étude, la résistance des entreprises au concept des IAM comme Software-as-a-Service (SaaS) est à la baisse. 41% des entreprises indiquaient en 2006 n'être pas du tout intéressées, tandis qu'au dernier trimestre 2009, elles n'étaient plus que 19%.
L'étude indique enfin que là où l'on pensait que l'obstacle à l'implémentation des IAM était plutôt d'ordre économique, il se trouverait en réalité au niveau des services IT des entreprises. Ce sont eux qui défendent et définissent les projets d'évolution des systèmes dont ils sont en charge, et donc la mise en place des IAM. D'après cette étude, c'est donc eux que les fournisseurs de services IAM doivent informer et convaincre pour assurer l'expansion de ces technologies de sécurité.
Systèmes embarqués : Dassault Systèmes acquiert Geensoft
En quinze jours à peine, le numéro un français de l'édition de logiciels, Dassault Systèmes, aura procédé à deux acquisitions. Après le rachat d'Exalead pour 135 M€, le fournisseur de solutions 3D et PLM (gestion du cycle de vie des produits) débourse cette fois 5,5 M€ pour s'offrir Geensoft, une société française spécialisée dans les systèmes embarqués « à forte dominante logicielle ». Celle-ci commercialise quatre solutions : Autosar Builder, atelier de création d'ECU (electronic control unit, terme générique pour les systèmes embarqués) conformes au standard Autosar, l'environnement de conception ControlBuild et les produits Reqtify et RT-Builder. Son offre est utilisée dans les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique, de l'électronique, de la pharmacie et du transport ferroviaire.
Les logiciels de Geensoft viendront enrichir l'offre de PLM V6 de Dassault Systèmes en apportant, par exemple dans le secteur automobile, les capacités de modéliser et concevoir le système de commande d'un véhicule, en mettant en place une boucle de validation, par la connexion de l'équipement physique avec la maquette numérique.
Issue des éditeurs NI-Software et Geensys, Geensoft a développé à l'international un réseau de distributeurs et d'intégrateurs. Installée en France, elle dispose aussi de bureaux en Allemagne et au Japon. La société a été co-fondée par Thierry Guegen et Eliane Fourgeau (anciens dirigeants de Geensys), actuellement directeur technique et PDG de Geensoft.
Des problèmes de sauvegarde avec iOS4 pour iPhone 3G et 3GS
Le téléchargement de l'update de 580 Mo, réalisé par la rédaction dès la disponibilité de iOS4, a pris 19 minutes environ. Mais sur le forum du support technique d'Apple, les utilisateurs ont fait état de temps de mise à jour total - comprenant le téléchargement, la sauvegarde des données et la restauration une fois le nouveau système installé - de 20 minutes à une heure. Certains possesseurs d'iPhone ont rencontré des problèmes au moment du processus de sauvegarde : « sclntx » a déclaré sur le forum avoir été bloqué en mode sauvegarde pendant 20 minutes sans qu'il ne se passe rien. « Il semble que le processus reste en attente pendant l'étape de sauvegarde, alors que j'ai synchronisé et sauvegardé les données avant cliquer sur le bouton Mettre à jour, » a déclaré « scsutke92 » sur le fil de discussion dédié à ce problème. « La sauvegarde est d'une lenteur déconcertante, mais elle va jusqu'au bout, » a témoigné l'utilisateur « Nik Green » dans un autre fil de discussion. Des utilisateurs ont aussi signalé d'autres types de problèmes avec la mise à niveau. « J'ai téléchargé iOS 4.0 et il ne s'est pas installé, mais s'est mis en mode de récupération des données,» a déclaré « sohailkhan1993 ». Ajoutant que « chaque fois que je le connecte à iTunes, il ne quitte pas le mode de récupération. Je clique alors sur « Restaurer » et il fait une tentative, mais un message apparaît disant que « l'iPhone n'a pu être restauré, une erreur inconnue s'est produite (21). »
Un document émanant du support technique d'Apple et daté du 2 mai, liste les messages d'erreur susceptibles d'apparaitre quand les utilisateurs essaient de mettre à jour et de restaurer leur iPhone, leur iPod Touch ou leur iPad. La mise à jour iOS 4 peut être installée sur l'iPhone 3G et l'iPod Touch de deuxième génération (2008), le Touch 3GS et l'iPod de troisième génération (2009). iOS 4 n'est pas compatible avec l'iPhone ou l'iPod Touch de première génération (2007). Les utilisateurs peuvent télécharger la nouvelle version en connectant leur iPhone ou iPod Touch à leurs PC ou leur Mac. Depuis iTunes, il suffit de sélectionner le périphérique apparaissant dans la liste de gauche et de cliquer sur le bouton « Vérifier les mises à jour. » Auparavant, Apple faisait payer près de 10 dollars les propriétaires d'iPod Touch pour obtenir les updates majeurs du système d'exploitation, mais ce n'est plus le cas depuis l'an dernier et iOS 4 est donc également gratuit pour ces derniers. Selon les précédentes déclarations d'Apple, la version iOS 4 pour iPad devrait arriver cet automne. Pour l'instant, Apple n'a pas fixé de date précise pour ce lancement.
L'iOS 4 comprend sans aucun doute plusieurs correctifs de sécurité, mais Apple n'a publié jusqu'ici aucuns détails concernant le nombre et la sévérité des vulnérabilités patchées. En supposant qu'Apple le fasse un peu plus tard, voici le lien où ce doc sera visible : http://support.apple.com/kb/ht1222.
(...)(22/06/2010 12:16:55)Pierre Kosciusko-Morizet précise les chiffres de Price Minister
Ensuite, la comparaison est pour lui impossible avec rueducommerce ; ils ne font pas le même métier. Rueducommerce vend des produits avec des stocks et de la logistique, alors que PriceMinister est un intermédiaire de vente, donc le chiffre d'affaires de PriceMinister est forcément moins élevé que celui de rueducommerce.
Surtout, selon le PDG de PriceMinister, l'entreprise est rentable depuis de nombreuses années, avec une trésorerie de 25 millions d'euros, et un chiffre d'affaires prévu de 50 M€ pour l'exercice 2010.
Help-Line dédie un site Internet à ses recrutements
Alors qu'il a prévu 450 embauches supplémentaires d'ici la fin de l'année, le spécialiste de l'infogérance du poste de travail a ouvert un site Web exclusivement dédié au recrutement. En complément du site institutionnel, www.job-helpline.fr est une plate-forme d'échange interactive entre les candidats potentiels et l'entreprise, qui regroupe les rubriques suivantes : les valeurs qui fondent l'entreprise, les différents métiers proposés, les possibilités d'évolution de carrière et de formation, les rendez-vous RH à venir (accessible depuis une newsletter trimestrielle), et les offres d'emploi auxquelles il est possible de postuler directement. La mise en ligne d'un blog, libre d'accès, permet également aux visiteurs de lire les sujets postés, d'apporter des commentaires ou de poser des questions. Sans oublier la possibilité de poster un CV en réponse à une offre d'emploi ou en candidature spontanée.
Créer un lien de proximité avec les candidats
« Avec le triptyque site Internet, blog et newsletter, nous disposons désormais d'une palette d'outils qui nous permet à la fois d'entrer en contact avec les futurs recrutés, mais aussi d'entretenir le lien avec les candidats et le marché » expose Romain Mandry, directeur des ressources humaines et du développement de Help-Line, dans un communiqué.
Sur les recrutements prévus cette année, 210 collaborateurs ont d'ores et déjà été engagés, dont 15% via la nouvelle plate-forme. Le groupe prévoit également d'embaucher 240 CDI dans les 6 mois à venir, des jeunes diplômés et également des profils plus expérimentés. Les postes à pourvoir couvrent l'ensemble des activités de l'entreprise, à savoir le support et l'assistance technique, la gestion et l'évolution du patrimoine informatique, l'Ingénierie et le conseil, l'encadrement et le commerce.
Crédit photo: D.R
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Applications de BI : des outils spécifiques perdurent, montre Forrester
La plupart des éditeurs de logiciels de Business Intelligence (BI) ont enregistré des croissances à deux chiffres en 2009. La tendance se poursuit en 2010, confirme Forrester. Le cabinet d'analyse en profite pour rappeler que, sur ce marché en rapide évolution, les fournisseurs doivent prendre en compte les tendances qui émergent. Dans une étude récemment publiée, l'analyste Holger Kisker distingue, d'une part, les avancées technologiques, telles que l'analyse prédictive ou textuelle, et d'autre part, les évolutions métiers et les nouvelles façons d'utiliser les solutions BI. C'est la combinaison de ces deux dimensions qui permettront aux éditeurs les plus en pointe de se détacher de leurs concurrents dans les années qui viennent.
17% utilisent des développements spécifiques
Entre septembre et novembre 2009, Forrester a sondé un peu plus de 2 100 responsables informatiques et décisionnaires sur les investissements technologiques, sur les priorités qui guident leurs dépenses IT, aux Etats-Unis, au Canada, en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Une partie d'entre eux (500 environ) a été questionnée sur les principaux éditeurs de logiciels BI vers lesquels ils se tournent. Les réponses font d'emblée apparaître que 17% des applications de BI utilisées globalement ont été développées de façon spécifique, en interne ou par un prestataire. Un pourcentage qui monte jusqu'à 30% chez les responsables français interrogés.
Pour le reste des applications utilisées, les fournisseurs le plus souvent cités sont SAP/Business Objects (20%), IBM (17%) et Oracle (14%). Les autres acteurs représentent 25% des réponses, mais seuls quatre dépassent les 1% : SAS, Information Builders, Actuate (2%) et Microstrategy (3%). La plupart des entreprises ont plusieurs fournisseurs d'outils BI et 7% n'en connaissent pas le nom. Attention toutefois à ne pas comparer ces classements aux parts de marché des différents fournisseurs, calculées en fonction des ventes réalisées sur une année donnée. Microsoft, par exemple, n'apparaît pas dans les réponses de l'étude Forrester car SQL Server, Excel ou SharePoint ne sont pas toujours vus par les répondants comme des outils décisionnels.
Cliquer ici pour agrandir le graphique
Parmi les entreprises françaises sondées, c'est IBM qui vient en tête des éditeurs listés (22%), suivi de SAP (15%) et d'Oracle (7%).
La gestion de l'information en tête des priorités
Forrester a également interrogé les responsables IT et décisionnaires sur les investissements qu'ils prévoient de faire. 84% se disent très intéressés par les logiciels de gestion de l'information et des connaissances. Dans l'ordre d'intérêt, ces outils arrivent en 3e position, derrière les solutions de comptabilité/finance et de gestion de la relation client (CRM). En creusant la question, il apparaît que 54% des 920 entreprises sondées ont déjà mis en place des logiciels de Business Intelligence : 30% qui sont en cours de déploiement et 24% qui en étendent le périmètre. La proportion est moins élevée sur l'échantillon de responsables français interrogés : 27% exploitent déjà des logiciels de BI (17% en déploiement, 10% en cours d'évolution).
Par ailleurs, si globalement 25% des entreprises sondées par Forrester ont un projet de BI sur 2010 ou pour début 2011, ils ne sont que 18% à le dire parmi les responsables français.
(...)(22/06/2010 09:55:23)Free Mobile : bien seul pour lancer son service en 2012
(Source EuroTMT)Tout en reconnaissant rencontrer plus de facilités pour déployer son réseau hors des villes, Xavier Niel affirme que Free Mobile respectera ses engagements. Il envisage d'ouvrir son réseau d'ici le 12 janvier 2012 en couvrant 25 % de la population. Pour autant, si cette date est respectée, il n'est pas sûr que l'opérateur organise sa véritable ouverture commerciale à ce moment-là.
Le nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile est confronté à deux types de problèmes, couvrir le coeur des villes et conclure un accord d'itinérance 3G avec l'un de ses concurrents. Et il se pourrait que Free ne commercialise pas ses véritables offres tant que le déploiement de son réseau n'aura pas atteint une masse critique. Or, ni SFR ni Orange ne semblent d'accord pour l'aider à démarrer. Il ne resterait donc que Bouygues Télécom...
Crédits photo : D.R. (...)
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