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(22/06/2010 09:55:29)
Payer avec son mobile : 108,6 millions d'utilisateurs en 2010
D'ici la fin de l'année, 108,6 millions de personnes dans le monde utilisant leur téléphone portable pour régler des achats seront recensés, évalue une étude Gartner, publiée ce lundi 21 juin. Cette proportion augmentera ainsi de 54,5% par rapport à 2009. Néanmoins, ces utilisateurs représenteront une part infime de l'ensemble des propriétaires de mobiles, de l'ordre de 2,1%. En Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, 27,1 millions de personnes utilisant leur mobile pour régler leurs achats seront recensées d'ici la fin de l'année. Plus précisément, l'Europe occidentale comptera 7.127.000 utilisateurs de ce type.
Crédit photo : Dubiku
Comment définir la neutralité d'Internet
La neutralité du Net trouve sa voie. Ce constat fait suite aux très récentes évolutions du débat qui a été lancé il y a quelques mois déjà. De nombreux acteurs apparaissent partisans de préserver un Internet ouvert afin de favoriser le développement des usages et la liberté d'expression et de communication. Pour autant, un débat subsiste sur les distinctions à faire entre la neutralité du réseau, qui est le moyen d'accéder au web, et la neutralité d'Internet. Cela recouvre en particulier la notion de services gérés qui fonctionnent en mode « best effort » sur le réseau tandis que la neutralité d'Internet suppose pour sa part l'égalité des conditions d'accès. On doit avoir accès à tous les services d'internet quelque soit le moyen d'y accéder.
En cas de saturation des réseaux, il paraît nécessaire d'avoir une gestion intelligente du trafic sur ces réseaux et donc de différencier les offres en termes de débit. En revanche, il ne faut pas différencier les accès aux contenus. C'est ce que confirme Jérémie Zimmermann, co-fondateur de la Quadrature du Net (organisation de défense des droits et des libertés des citoyens sur internet) à l'occasion d'une table ronde lors du Forum annuel des télécoms et du net organisé par Les Echos les 15 et 16 juin 2010 : « Oui, il peut y avoir des offres différentes en termes de débit mais les contenus doivent rester accessibles à tous ».
Car la question de la limitation de l'accès aux contenus se pose du côté des opérateurs qui souhaitent créer des offres différenciées en termes de débits et de contenus et donner une priorité d'accès aux personnes souscrivant aux offres les plus lucratives. Et c'est sur cet élément que les forces en présence se déchirent à l'exemple de Jérémie Zimmermann qui voit dans cette volonté une discrimination dans l'accès à l'information : « Aujourd'hui la liberté d'expression et de communication implique de pouvoir accéder à ces services». La position de l'Etat est similaire à celle du co-fondateur de la Quadrature du Net. Ainsi, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, défend la nécessité d'une égalité face aux contenus et aux services : «Un accès aux contenus doit être réservé à tous. Pas à ceux qui paient le plus».
Photo : Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, auprès du Premier ministre. (Crédit photo : D.R)
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La secrétaire d'Etat s'est également prononcée, vendredi 18 juin lors d'un point avec la presse, sur la nécessité d'élargir le champ de responsabilité sur la neutralité du Net aux moteurs de recherche et aux terminaux. Une demande qui ne peut que plaire aux opérateurs qui demandent une régulation entre les acteurs élargie aux moteurs de recherche (Google est le plus visé) car ils estiment que ces derniers profitent de leurs coûteuses infrastructures de réseau et que de ce fait ils se doivent de participer à leur financement.
Nathalie Kosciusko-Morizet à également évoqué la nécessité de légiférer pour poser les bases de la neutralité du Net : « Je pense que ce serait un signe plus fort si cela passe par une loi. Celle-ci expliquerait quels sont les principes de la neutralité et qui est en charge de les faire respecter ». Cette volonté de passer par la navette parlementaire renforcerait également le pouvoir de l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms, en termes de régulation.
Le re-positionnement des organismes de contrôle comme l'Arcep ou l'Autorité de la Concurrence, pourrait passer, selon la consultation publique qui a été menée, par la création d'un guichet unique réglant les différents litiges comme le confirme NKM : « Une plus grande régulation entre les acteurs pourrait passer par la mise en place d'une mesure de résolution des litiges sous forme de guichet unique ».
(...)
App World 2.0 pour Blackberry dévoilé
Lors d'une conférence de presse la semaine dernière à New York, Research In Motion (Rim) a présenté la version 2.0 de sa boutique d'applications pour smartphones Blackberry. Plus près de nous, à Boulogne-Billancourt précisément, Rim a réuni une cinquantaine de développeurs et une poignée de journalistes pour parler d'App World 2.0 et des bonnes pratiques en développement.
Concurrente déclarée des très fréquentées App Store d'Apple et Android Market de Google, la plate-forme App World rassemble 20 millions d'utilisateurs actifs qui se partagent 6 500 applications (1 million de téléchargements par jour), selon Philippe Schmitt, responsable du business development et des partenariats chez Rim France. "Et aujourd'hui, Deezer est l'application la plus téléchargée en France ! Quelques logiciels locaux sont disponibles : SNCF Direct, Eurosport, SmartCity Paris, mais aussi beaucoup de solutions destinées à un usage vertical dans les domaines de la santé, de la banque, de la maintenance..."
Si ce catalogue applicatif de 6 500 titres paraît bien pauvre face à l'App Store - 225 000 applications au 7 juin 2010 et 5 milliards de téléchargements - ou même à l'Android Market - 70 000 applications au 8 juin 2010 - il faut préciser que beaucoup de développements répondent à des besoins métiers et que les entreprises ne désirent pas publier leurs solutions sur l'App World. Rim a toutefois l'élégance de ne pas mélanger applications, sonneries et thèmes pour gonfler ses chiffres comme le font certains...
Lancé en avril 2009, l'App World connaît donc une évolution majeure après quelques mises à niveau mineures. Parmi les nouveautés les plus notables, citons la facturation au «porteur». Avec App World 1.x les utilisateurs devaient utiliser PayPal pour leurs achats, RIM ne fournissait pas d'autres options de paiement. Si une personne était incapable ou refusait d'employer le service PayPal, elle ne pouvait tout simplement pas acheter d'applications sur App World. Désormais avec la facturation au « porteur », les utilisateurs d'App World pourront contourner PayPal - ou tout autre service en ligne de paiement - et acheter des applications via leur opérateur de téléphonie mobile. PayPal sera toujours disponible, et Rim a également ajouté une option carte bancaire. Ces nouvelles options de paiement devraient accroitre le potentiel de vente sur la plate-forme du Canadien.
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La gestion et la présentation des applications ont également été revues pour améliorer l'information des utilisateurs sur les logiciels achetés ou « archivés » sur leur mobile dans le menu MyWorld. Ce dernier comprend désormais des sections spécifiques pour les applications installées et téléchargements en cours. Des thèmes pour Blackberry sont accessibles via une catégorie "Top". Et un "Apps les plus récents" permet de trouver rapidement les dernières nouveautés. Apple et Google proposent ces classements depuis fort longtemps, Rim rattrape simplement une partie de son retard. App World 2.0 comprendra également considérablement une fonction recherche améliorée afin que les utilisateurs puissent trouver plus rapidement et plus facilement ce qu'ils cherchent. Enfin, un service "Blackberry ID», qui sera lié à une adresse e-mail, permet aux utilisateurs de changer de terminal Rim sans perdre leurs applications et leurs préférences. La version mobile de l'App World va également connaître un lifting assez important, avec l'arrivée de BlackBerry RIM 6, attendue en fin d'année (voir encadré).
Les améliorations apportées à App World devraient stimuler les ventes d'applications, ce qui pourrait inciter les développeurs à travailler pour la plate-forme de Blackberry. Ceux-ci sont aujourd'hui le nerf de la guerre que se livrent les constructeurs de smartphones et Apple l'avait compris avant tout le monde. Samsung a également décidé de mettre des moyens pour assurer le développement de sa plateforme Apps sur Bada, lancée en novembre dernier. Et pour mettre en avant sa boutique, le coréen vient d'annoncer en France un concours pour les développeurs doté de 200 000 euros de prix (plus de détail sur le site Samsung Factory (http://fr.samsungmobile.com/pid181-content_id1524/samsungappfactory.html). Reste que comme Nokia, le coréen reste toujours un nain sur le lucratif marché des applications pour mobiles.
Signalons pour conclure que l'App World 2.0 n'est pour l'instant accessible qu'aux développeurs et aux partenaires de Rim. Les utilisateurs pourront y accéder au cours de l'été.
(...)(21/06/2010 17:26:45)
GFI recrute 200 candidats pour sa division banque/assurance
Afin de renforcer ses équipes, GFI Informatique (plus de 9 000 collaborateurs) a organisé sur la péniche « Le Six-Huit », quai de Montebello, à Paris, une soirée spéciale recrutement. La SSII, qui vise un objectif de 1 000 embauches d'ici la fin de l'année, dont un tiers en maîtrise d'ouvrage (MOA), a organisé trois tables rondes sur les sujets suivants : projets en GWT (Google Web Toolkit), méthode SCRUM et MOA. L'occasion, pour les candidats potentiels, de s'informer sur les dernières avancées de la SSII en matière de nouvelles technologies, et sur l'implémentation de produits bancaires. « Dans les domaines de la banque, de la finance et de l'assurance, l' objectif est de 200 postes, avec une proportion de 1/3 en maîtrise d'ouvrage », souligne Dominique Dufay, directeur industriel de la division banque, finance et assurance chez GFI. Les profils recherchés : des ingénieurs d'études, des chefs de projet et des architectes spécialistes de Java/J2EE, ainsi que des consultants MOA en banque et assurance ayant tous entre deux à dix ans d'expérience.
Une trentaine de candidats réunis
Pour le directeur, cette soirée de recrutement a permis aux candidats d'orienter leurs connaissances en discutant des retours d'expérience avec des consultants métiers appartenant au groupe. Et le pari semble avoir réussi. « A 21H45, il y avait encore des candidats », se réjouit Dominique Dufay.« Nous avions décidé de cibler un nombre restreint de personnes à travers un dispositif interactif qui a réuni une trentaine de postulants. L'objectif était de provoquer le débat à la fois sur nos métiers et sur la technique, avant d'aboutir à la signature des premiers CDI sous les quinze jours. «
Avec plus de 1 300 collaborateurs travaillant dans le monde bancaire en France, GFI est un partenaire important des banques intervenant tout au long du cycle de vie du système d'information. En 2009, la SSII a réalisé un chiffre d'affaires de 663,6 millions d'euros, dont 186 millions, issus du secteur bancaire et financier.
Crédit photo: D.R
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