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(21/06/2010 16:15:14)
L'IEEE annonce la ratification de l'Ethernet 40/100G
La norme 802.3ba a été ratifiée jeudi dernier par l'Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE). Cette standardisation ouvre la voie d'une amélioration de la vitesse des connectivités Ethernet des serveurs et des commutateurs de coeurs de réseaux, annonce l'organisme de normalisation. Certains équipementiers, comme Cisco et Juniper Networks, ont déjà commencé à tester des produits Ethernet 100G depuis l'année dernière. En développant des produits préalables à l'établissement de la norme, ces fournisseurs « prennent un risque », d'après John d'Ambrosia, en charge du groupe de travail de l'IEEE 802.3ba. « Nous avons fait des modifications jusqu'en Mars [2010] », raconte John d'Ambrosia. « [La conformité] dépend de ces [fournisseurs], et d'où en étaient leurs produits à ce moment. »
Juniper qui affirme avoir participé à la définition de la norme, précise que son produit 100G testé en octobre et novembre 2009 ne nécessite pas de corrections pour être conforme à la norme établie la semaine dernière. « Il est basé sur l'état d'avancement de la norme à cette période », explique Luc Ceuppens, vice président marketing du groupe de produits d'infrastructure chez Juniper. « Les changements effectués cette année n'ont pas eu d'impact matériel sur le produit. Je ne pense pas que nous ayions à le [modifier]. » Luc Ceuppens signale que Juniper prend actuellement les commandes pour le produit, une interface Ethernet 100G pour son core router T1600. Cisco n'a pas encore eu l'occasion de commenter cette annonce.
Un prix encore trop élevé pour une adoption rapide
La définition du prix pose aussi problème avec l'Ethernet 40/100G. Les participants du sommet Ethernet Technology ont constaté que le prix actuel était trop élevé pour en entraîner l'adoption rapide par les entreprises. John d'Ambrosia précise que les réseaux optiques longue portée, pour l'Ethernet 100G, sont effectivement onéreux, mais qu'à distance réduite, ils sont « très abordables », et que quelques uns des switch Ethernet 40/100G sont moins chers que les premiers modèles optiques Ethernet 10G. En effet, Extreme Networks vend ses modules de commutation Ethernet 40G à 1000$ le port, soit un tout petit peu plus cher que le prix de vente moyen d'un port Ethernet 10G.
« C'est une [technologie de] première génération », ajoute John d'Ambrosia. « Cela va forcément baisser. » Cette norme 802.3ba veut répondre aux besoins grandissants de bande passante, dus au nombre croissant d'applications dans les centres de données, dans les réseaux de fournisseurs de services et autres environnements informatiques ayant un trafic intensif. La prolifération de la virtualisation et des machines virtuelles au sein des centres de données, ainsi que les services de réseaux convergents, la vidéo à la demande et les réseaux sociaux ont été les moteurs de la définition de la norme.
Crédit photo Juniper
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La norme est aussi censée accélérer l'adoption de l'Ethernet 10G maintenant que les canaux 40/100G, plus rapides, sont disponibles pour agréger plusieurs liaisons 10G. L'IEEE ajoute que la norme complète le plan national du haut débit aux Etats-Unis, le « Connecting America », lancé par la Commission Fédérale des Communications, dont le but est de fournir un plus large accès haut débit pour l'ensemble du pays : 100 Mbps pour au moins 100 millions de foyers. « C'est un vecteur » du développement de ces technologies et de ces initiatives, d'après John d'Ambrosia. « Ce n'est pas le seul élément qui le fera décoller, mais c'est un vecteur ».
L'IEEE a collaboré avec le Groupe d'Étude n°15 du Secteur de Standardisation des Télécommunications de l'Union Internationale des Télécommunications (UIT) afin d'assurer que les nouveaux taux de transfert Ethernet soient transportables à travers les réseaux optiques. IEEE 802.3ba reste compatible avec les installations IEEE 802.3 existantes, afin d'aider à préserver les investissements Ethernet déjà effectués, précise l'IEEE. La nouvelle norme devrait aussi permettre de baisser les dépenses d'exploitation et d'améliorer le rendement énergétique en allégeant le besoin d'agréger de multiples liaisons 10G pour atteindre des taux de 40G et 100G, indique l'organisation de normalisation.
Cette norme à le même format de trame Ethernet que l'IEEE 802.3, assure John d'Ambrosia. Les procédés de synchronisation sont, eux-aussi, « inscrits dans les limites du croyable et du faisable », ajoute-t-il. La norme est disponible à l'achat en version préliminaire, conclue l'IEEE. (...)
10 coeurs par socket pour la puce Intel Westmere-EX
Dans un document baptisé "Westmere-EX: A 20 Thread Server CPU, ", Intel dévoilera à la prochaine conférence Hot Chips, du 22 au 24 aout à l'Université de Stanford (Palo Alto, Californie), une évolution majeure de sa plate-forme Xeon Westmere-MP. Quelques mois après la commercialisation de cette dernière, le fondeur de Santa Clara pousse sur le devant de la scène une évolution attendue et tout simplement baptisée Westmere-EX. Toujours gravée en 32 nm, cette dernière pourrait intégrer jusqu'à 10 coeurs physiques par processeur contre huit les Nehalem-EX (45 nm) et 6 pour les Westmere-MP (32 nm). En effet comme cette puce est capable d'exécuter simultanément deux threads par coeur physique, et qu'Intel annonce une puce Westmere-EX 20 threads par socket - contre 16 pour le Nehalem-EX - on arrive à un total de 10 coeurs. Par le passé, la firme avait déjà indiqué que les puces Westmere-EX devraient comprendre des coeurs fonctionnant à des vitesses plus rapides que les Nehalem- EX. Sans fournir plus de détails, un porte-parole d'Intel a déclaré que les Westmere-EX cibleront le marché des serveurs avec quatre sockets et plus ou AMD propose son Magny-Cours supportant jusqu'à 12 coeurs par socket. Intel propose déjà des puces basées sur l'architecture Westmere pour les PC portables, les ordinateurs de bureau et les serveurs qui peuvent exécuter simultanément deux threads par coeur.
Lors de cette conférence à l'Université de Stanford, d'autres entreprises, comme IBM ou AMD, parleront également de leurs prochaines puces pour serveurs. Big Blue a prévu de présenter sa nouvelle génération de microprocesseur pour System Z et AMD parlera de son architecture haut de gamme pour station de travail et serveur, Bulldozer, et de son processeur BobCat pour ultraportables et PC basse consommation.
Watson, un superordinateur s'essaye au jeu TV
Après Deep Blue qui avait vaincu Gary Kasparov aux échecs en 1997, IBM relève un nouveau challenge en inscrivant son supercalculateur, Waston, à l'émission de télévision Jeopardy. Le concept est de retrouver la question qui correspond à la réponse donnée par l'animateur. L'ordinateur sera en compétition avec deux autres joueurs, qui ont été sélectionnés pour leurs bonnes prestations antérieures.
Depuis 3 ans, les ingénieurs d'IBM ont travaillé sur la mise en place d'un ordinateur, baptisé Watson, qui utilise les ressources du supercalculateur Blue Gene, uniquement axé sur le jeu télévisuel. La mission est double, comprendre la question posée en langage humain (et donc de prendre en considération élocution et accent du présentateur) et trouver la réponse (qui en l'occurrence est une question). Pour cette dernière partie, le superordinateur a compilé des millions de données (aucun accès à Internet n'est établi), mises en musique par des algorithmes pour comprendre et analyser les propos de l'animateur.
Plusieurs tests ont été réalisés et Watson gagne dans la plupart des cas contre des candidats de bons niveaux. Cependant, il a certaines faiblesses quand le jeu dérive sur des jeux de mots ou des expressions particulières. La vraie confrontation aura lieu à l'automne.
Crédit Photo: IBM
(...)(21/06/2010 15:44:50)Processus métiers : Oracle recentre sa suite BPM 11g sur les utilisateurs
Voilà deux ans qu'Oracle travaille à unifier l'architecture de sa suite de gestion des processus métiers (BPM), composée de plusieurs logiciels, et à l'intégrer avec son offre middleware Fusion. C'est ce qu'a souligné Hasan Rizvi (ci-dessus), vice-président du développement produit de la société, lors d'une conférence web revenant sur le lancement de la BPM Suite 11g, livrée il y a quelques semaines. De fait, cette évolution de l'offre Oracle Business Process Management 10gR3 regroupe cinq solutions récemment mis à jour par l'éditeur : BPEL Process Manager (intégration des web services dans les processus métiers), Business Activity Monitoring (supervision de l'activité métier), Business Rules (gestion des règles métier), la WebCenter Suite (création de portail) et Universal Content Management (gestion de contenus).
Une collaboration renforcée
Le BPM permet de mettre en place des enchaînements de processus métiers (par exemple, dans le secteur de l'assurance, le traitement d'une demande d'indemnisation) afin d'en automatiser le plus possible le déroulement. Ces enchaînements font intervenir un grand nombre d'acteurs différents et pour gérer les changements de façon dynamique, Oracle a cherché à renforcer les capacités d'interaction de son produit avec les utilisateurs. « Il est vraiment nécessaire de disposer d'un ensemble d'outils intégrés pour éviter de passer trop de temps sur le système IT sous-jacent », a pointé Hasan Rizvi.
Le recours à la suite WebCenter apporte des fonctions de collaboration de type réseau social. « Un nouvel espace de travail appelé 'Process Spaces' permet aux architectes qui créent les processus de retrouver l'équipe IT et les utilisateurs pour discuter de modèles proposés et de ceux qui sont déjà mis en place », explique le responsable du développement produit chez Oracle. [[page]]
Selon leur rôle dans l'organisation, les utilisateurs n'accèdent qu'à tout ou partie des échanges sur Process Space. « Vous pouvez, par exemple, avoir dans une entreprise un processus d'approbation des voyages qui inclut à la fois les employés et les managers, a détaillé par la suite David Shaffer, vice-président responsable produit d'Oracle Fusion Middleware, à nos confrères d'IDG News Service. Au sein du Process Space, le manager verra, de son côté, les demandes d'approbation qui lui sont soumises et peut-être, en même temps, des échanges sur la nécessité de réduire certaines dépenses de déplacements. Tandis que le collaborateur, lui, pourra suivre le statut de sa demande tout en se renseignant sur les dispositions prévues par l'entreprise pour les voyages ».
Même interface pour des workflows en BPEL ou BPMN
A noter que la suite Oracle BPM 11g prend en compte de façon native la version 2.0 de BPMN (Business process modeling notation), le langage de description de processus métier. La solution propose la même seule interface pour concevoir les workflows en utilisant l'un ou l'autre des deux langages de modélisation de processus, BPEL (Business process execution language) ou BPMN. « Chaque standard a ses défenseurs, rappelle Hasan Rizvi. Ce que nous voulons, c'est proposer le meilleur de chaque monde. L'architecture d'exécution sous-jacente supporte les deux modèles ».
L'éditeur a également renforcé l'intégration avec d'autres logiciels de son catalogue comme le serveur d'applications BEA WebLogic, le moniteur transactionnel Tuxedo, ou encore ses outils de développement JDeveloper et et JRocket.
La BPM Suite 11g est aussi la première version à prendre en compte les fonctionnalités de l'offre BPM de BEA, AquaLogic, acquise par Oracle en 2008. Elle utilise en particulier AquaLogic BPM Studio pour l'édition des processus et lui emprunte notamment son interface Wysiwyg.
Intel se dote d'un cloud privé
Cela a permis d'optimiser le taux d'utilisation des serveurs de 59% au premier semestre 2006 à 80% aujourd'hui. En réduisant les dépenses d'infrastructures et en évitant la construction de nouveaux datacenters, Intel estime les économies à 200 millions de dollars. Fort de ce succès, la firme a décidé au début de l'année 2009 de se doter d'un cloud privé pour ses bureaux et les filiales du groupe.
De 2005 à 2006, les demandes des nouveaux secteurs d'activités ont fait augmenter considérablement les besoins (applications métiers, tests) des équipes de développement, qui fonctionnaient sur des infrastructures non partagées et sous-utilisées. En sachant que ces dernières représentent un élément important de l'activité R&D, la migration vers un modèle IaaS et Paas était devenu une étape logique.
Intel a donc implanté une solution de Grid Computing au sein de la R&D, qui reprend les fonctionnalités du IaaS et PaaS. Le service est ainsi accessible à travers un portail en libre-service et une interface de lignes de commandes. Le premier permet aux utilisateurs de choisir des éléments clés de l'infrastructure comme le stockage, en volume horaire plutôt qu'au mois. Le plus important pour le fondeur est de mesurer exactement la consommation informatique des salariés.
Un changement de mentalité
Das Kamhout, ingénieur cloud, explique « tout cela représente un changement radical d'état d'esprit » et d'ajouter « le modèle à la demande en libre-service permet aux services IT de s'écarter du schéma traditionnel de l'entreprise et de donner à l'IT un rôle de partenaire stratégique. Avec des tarifs affichés, chacun au centre R&D d'Intel peut maintenant connaître ce qu'il consomme et ce que cela coûte. »
En quoi la solution déployée est-elle unique ? La combinaison du portail à la demande en libre-service sur l'ensemble de l'infrastructure d'Intel et la mesure de la consommation minimise les capacités non utilisées et alloue de manière plus efficace les ressources, en maintenant une haute disponibilité de services.
Devant le succès remporté par son approche, Intel a décidé de la répliquer à travers toute son organisation. Des travaux sont déjà en cours pour le siège et les sociétés du groupe, avec un focus particulier sur la généralisation de la virtualisation et la mise en place d'un cloud privé proposant des solutions à la demande en libre-service.
Crédit Photo: DR
(...)(21/06/2010 12:17:41)Les "grappes d'entreprises" à l'heure des projets et à l'Europe
France Cluster, qui regroupe une centaine de clusters français, a tenu son assemblée générale le 18 juin et insisté sur deux projets : l'aide au renforcement des fonds propres des PME et l'alliance avec d'autres cluster européens.
Sur le premier point, la structure a lancé le projet Cluster's Invest en liaison avec la CDC. Il s'agit, dans une cinquantaine de "grappes d'entreprises", de renforcer les fonds propres des PME (dans le cadre du Grand emprunt) et de les aider à coopérer entre elles. But de l'opération ? Transformer le plus de PME en ETI (Établissements de taille intermédiaire) et de leur donner une dimension supplémentaire (comme le recommandait le rapport Retailleau).
France Cluster souhaite également participer au projet européen cluster-excellence avec 13 autres associations européennes du même type. Il s'agit d'un projet sur trois ans, permettant de clarifier : les indicateurs sur l'activité des clusters (il en existe 600 en Europe actuellement, une trentaine suffirait), leur management, et de livrer aussi un indicateur de leur qualité. (...)
Team Partners embauche en région Est
La SSII (1 800 personnes en France) cherche à intégrer 50 nouveaux collaborateurs en région Est. Grâce à cette opération, la société - qui dispose déjà d'une équipe d'environ 100 personnes réparties sur la Lorraine, l'Alsace et la Franche-Comté, - entend répondre à la demande croissante des entreprises locales en développant son activité régionale. Les profils recherchés sont des ingénieurs études et développement spécialisés grands systèmes, nouvelles technologies (java J2EE/ .net ), et bases de données (Oracle PL/SQL), des chefs de projets, et également des assistants à la maîtrise d'ouvrage (MOA) et à la maîtrise d'oeuvre (MOE).
Pour optimiser ses chances de trouver les bons candidats, le groupe participera au Moovijob Tour, le 25 juin prochain à Strasbourg. Ce salon de recrutement réunira des entreprises situées dans l'Est de la France, dans les secteurs banque/assurance (Credit Agricole, Caisse d'Epargne, Banque Populaire, Crédit Mutuel, Groupama), commerce/ distribution (Bricoman, Leroy Merlin, Kiabi), ingénierie (Capgemini, Logica, Sogeti, Groupe Open) et administration (Ministère de la Justice, Armée de Terre, Gendarmerie Alsace).
Au cours du premier trimestre 2010, clos le 31 mars, le chiffre d'affaires consolidé du groupe s'est élevé à 26,4 millions d'euros, en recul de 10,4% par rapport au 1er trimestre 2009.
Crédit photo: D.R
(...)
Michel Seban prend la direction de Prologue
Le 20 avril dernier, Eric Dermont démissionnait de la présidence de Prologue. Le 16 juin, une Assemblée générale et un conseil d 'administration ont porté au pouvoir une nouvelle direction. Georges et Michel Seban deviennent administrateurs. Michel Seban est nommé Pdg. Georges Seban est l'ancien Pdg de 2000 à 2002 de Prologue.
Georges et Michel Seban avaient animé un comité d'actionnaires qui s'est élevé contre les pratiques d'Eric Dermont. Ils lui reprochent d'avoir, au nom de Prologue, tenté de racheter la branche « maintenance applicative » de la société EDS France, filiale de HP. Cette procédure a duré une année. Ensuite, toujours selon le comité d'actionnaires, Eric Dermont aurait racheté la branche « maintenance applicative » d'EDS en créant sa société, Effitic. Des huissiers ont perquisitionné en avril chez Prologue, EDS-Effitic et HP suite aux plaintes déposées par le comité d'actionnaires. Eric Dermont a alors donné sa démission, le comité d'actionnaires souhaitait le révoquer.
Ce n'est pas la première mésaventure de Prologue : 2 procédures d'alertes des commissaires aux comptes en 2002, suivies d'une cessation de paiement et d'un plan de redressement en 2004 avaient déjà marqué son histoire.
Après SFR, Orange refuse un accord de roaming avec Free Mobile
France Telecom souffre de plusieurs faiblesses. C'est ce qu'a affirmé Stéphane Richard, le DG de l'opérateur à l'occasion du forum annuel des telecoms et du net organisé par Les Echos. Il a ainsi reconnu le retard pris par l'opérateur historique sur le marché de l'ADSL : « Les concurrents ont fait une véritable percée [...] on a décroché sur le broadband et ce n'est pas supportable pour nous ». Le dirigeant a également évoqué la baisse de la qualité de service : « La qualité de service s'est dégradée ces dernières années chez France Telecom et ce n'est pas acceptable ». Et côté tarifs : « Il faut réduire le handicap de prix de nos offres pour l'amener vers 10 à 15% ». Pour rappel ce dernier est actuellement entre 20 et 25%.
Par ailleurs, à la question de savoir si France Telecom revendrait de la capacité 3G a Free mobile pour son entrée sur le marché, Stéphane Richard a refusé tout net : « Ceux qui ont fait cet appel d'offre, l'ont fait en connaissance de cause. [...] Je suis désolé mais Free avait à se préparer. Nous n'avons pas de capacité à revendre ». La position de France Telecom est donc proche de celle de SFR qui, au travers de son PDG Frank Esser, a fait le même type de déclaration lors de la première journée du forum.
Enfin, une dernière question a été posée lors de son intervention au sujet de l'arrivée de La Poste en tant qu'opérateur virtuel. Stéphane Richard a affirmé son intérêt pour ce contrat : « Nous avons répondu à l'appel d'offre de La Poste et nous ferons notre maximum pour remporter ce marché ». Comme quoi les MVNO bien que maltraités par les opérateurs de réseau ont malgré tout du bon !
Illustration Stéphane Richard : Crédit photo D.R. (...)(21/06/2010 11:25:23)
La Russie fait appel à Alcatel-Lucent pour le haut-débit
(Source EuroTMT) Après, notamment, les Etats-Unis et le Mexique, c'est au tour des pouvoirs publics russes de demander à l'équipementier franco-américain Alcatel-Lucent d'organiser cet été un séminaire sur le haut débit. L'objectif est de comprendre le modèle français qui a permis une croissance rapide du haut débit tout en développant la concurrence. Une réussite qui repose sur trois éléments : un régulateur efficace, des concurrents agressifs et des collectivités locales impliqués dans le financement de réseaux alternatifs (40 % des DSLAM installés par les concurrents ont pu l'être grâce à ces réseaux d'initiative publique).
Photo : Moscou (D.R.)
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