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(21/06/2010 09:12:51)
Les réseaux mobiles sont-ils proches de la saturation ?
A la question, y a-t-il un danger de saturation sur les réseaux mobiles, les acteurs en présence ont répondu « non » de concert lors d'une table ronde organisée durant Forum annuel des télécoms et du net des Echos, les 15 et 16 juin. La table ronde réunissait Alain Maloberti, directeur de l'architecture et de l'ingénierie des réseaux de France Télécom, Christian Paquet Vice-président de l'équipementier Huawei France, Jean-François Pigeon, directeur marketing opérateurs d'Alcatel-Lucent et Pierre Steiblen Directeur de Qualcomm France .
Si tous les acteurs sont d'accord pour dire que les réseaux font face à une explosion du trafic de données, ils expliquent également que les réseaux sont opérationnels comme l'affirme Alain Maloberti de France Télécom : « Les opérateurs ne sont pas démunis face à cette croissance ». Ce calme affiché se justifie, selon Alain Maloberti, par les progrès de la norme HSPA et par les investissements réalisés dans les réseaux qui s'élèvent, pour le seul France Télécom, entre 3 et 4 milliards d'euros annuels.Christian Paquet de Huawei se veut plus mesuré. Selon lui : « la saturation dépend de la largeur de spectre des bandes dont disposent les opérateurs ». On a donc tendance à croire les opérateurs surtout quand on sait que les fréquences 3G ne sont pas toutes utilisées et que des solutions d'"offload" (déchargement des réseaux 3G) via les réseaux wifi sont à l'étude. Ce que confirme d'ailleurs Frank Esser, PDG de SFR : « Je ne pense pas qu'il y ait saturation des réseaux ». Quant aux équipements femtocell (boîtiers 3G installés au domicile des particuliers), ils devraient plutôt aider à assurer une extension de la couverture mobile.
En illustration : Alain Maloberti, directeur de l'architecture et de l'ingénierie des réseaux de France Télécom, Christian Paquet vice-président de l'équipementier Huawei France, Jean-François Pigeon, directeur marketing opérateurs d'Alcatel-Lucent et Pierre Steiblen Directeur de Qualcomm France. (crédit photo JG) (...)(21/06/2010 09:13:04)
Tests 4G/LTE à 55 Mbit/s chez France Telecom
L'opérateur historique a atteint un débit de 55 Mbit/s sur son réseau LTE (Long Term Evolution) pilote intégrant une dizaine de sites dans le sud de Paris. Le débit relativement faible pour la technologie LTE (ou 4ème génération mobile) s'explique par l'utilisation d'une bande de fréquences d'uniquement 10 Mhz.
C'est ce qu'a déclaré Alain Maloberti, directeur de l'architecture et de l'ingénierie des réseaux de France Télécom, le 16 juin dernier. Il s'exprimait lors d'une table ronde traitant de la saturation des réseaux et des perspectives qu'offre le LTE qui se tenait à l'occasion du forum annuel des télécoms et du net organisé par Les Echos.
Crédit photo : D.R (...)
Avec le rachat d'Homsys, la SSII Viseo devient multispécialiste
Aux compétences qu'elle a développées depuis plus de dix ans dans la mise en place de progiciels de gestion intégrées, sur les offres de SAP et Microsoft, Viseo vient d'ajouter celles de la SSII Homsys. Cette dernière, rachetée début mai, apporte une double expertise. L'une s'est construire sur les solutions décisionnelles de Business Objects, Cognos et Microsoft, ainsi que sur les offres d'élaboration budgétaire (SAP BPC, Cognos Planning, Cegid Planning, Clarity). L'autre repose sur les technologies web (Java, .Net...), avec la structure Object Direct qui réalise des développements spécifiques. Ensemble, les deux sociétés de services françaises constituent maintenant une entité de 500 personnes dont le chiffre d'affaires cumulé s'élève à 52 M€ (32 M€ d'une part et 20 M€ d'autre part, fin 2009).
Les trois marques sont conservées
L'ambition d'Olivier Dhonte, fondateur et président de Viseo, est de positionner le groupe « comme un multispécialiste », en faisant valoir séparément chaque domaine d'expérience. Pas question de diluer les spécificités en devenant un acteur généraliste, qui en dépit de son effectif apparaîtrait petit sur un marché où évoluent de très gros acteurs. « Nous souhaitons conserver les trois marques et les trois sociétés, confirme Olivier Dhonte. Viseo portera l'activité d'ERP, Homsys, le décisionnel, et Object Direct les développements spécifiques et l'architecture web. »
L'arrivée d'Object Direct va apporter à Viseo le moyen d'accéder à un nouveau portefeuille de clients et de rapprocher le monde de l'ERP avec celui des projets spécifiques. Sur certaines fonctions, les clients ont besoin d'une ergonomie plus intuitive que celle des ERP traditionnels. Le recours aux 'web services' permettra d'intégrer ces fonctions avec le back-office de SAP, ou encore d'alimenter un système de BI avec des données provenant d'un site Internet. Object Direct a notamment réalisé des développements pour Kelkoo et pour le site SNCF.fr, ou encore pour le secteur de la banque et de l'assurance.
Illlustration : Olivier Dhonte, président de Viseo (crédit photo : Viseo)
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Les trois entités de Viseo partageront une structure de services communs sur la comptabilité, l'informatique, les RH, le marketing, etc. Toutefois, le rapprochement n'entraînera aucune suppression de postes, ni sur les fonctions administratives ni, a fortiori, sur les consultants. « Nous sommes sur une logique de croissance, souligne le président du groupe. Nous cherchons à mettre des synergies en place et à attirer de nouveaux talents plutôt qu'à réduire la voilure. »
Recherche profils expérimentés sur l'ERP
De fait, une centaine d'embauches sont prévues d'ici la fin de l'année sur les trois grands domaines d'activités, « avec une pondération un peu plus forte sur la BI ». La société devrait recruter environ vingt personnes sur la partie web, les autres profils étant recherchés sur les applications de gestion et le décisionnel. Pour les ERP, Viseo est en quête de consultants ayant une double compétence, à la fois fonctionnelle sur les métiers (de la comptabilité, de la gestion commerciale...) et sur les logiciels (paramétrage...). Des profils « prêts à s'investir dans les outils SAP. Nous sommes sur des produits matures, il n'est pas évident d'intégrer de jeunes diplômés ».
Pour le nouveau groupe, l'objectif de croissance sur 2010 est plutôt raisonnable : le chiffre d'affaires prévisionnel est fixé à 55 M€. Un objectif qui devrait être facilement atteint si l'activité se maintient à son rythme actuel.
Des smartphones Windows Phone 7 pour des développeurs triés sur le volet
La façon dont cette opération sera menée reste toutefois confuse. C'est Terry Myerson de Microsoft, en charge de l'ingénierie pour Windows Phone 7, qui avait déclaré lors de la récente conférence annuelle TechEd de Microsoft - où Windows Phone 7 avait joué les figurants - que des téléphones chargés avec une préversion du nouvel OS mobile de Microsoft seraient disponibles à cette date afin de permettre aux développeurs de tester leurs applications. Mais depuis, aucune autre précision n'@a été donnée quant aux modalités de sélection des futurs testeurs et de livraison des téléphones.
Pour l'instant, les développeurs se débrouillent seuls pour essayer de comprendre. «Je crois que les développeurs éligibles pour recevoir des mobiles avec Windows Phone 7 sont ceux qui ont déposé des applications Windows Mobile 6 sur le site dédié à cette plate-forme, » a déclaré Kevin Hoffman, blogueur, auteur de plusieurs ouvrages sur le développement sous Windows et par ailleurs responsable systèmes pour une entreprise de recyclage de déchets dans le Connecticut.
Au moins, l'objectif de Microsoft est clair : livrer des téléphones avec des préversions pour les développeurs - que ce soit de grands éditeurs de logiciels indépendants ou de petites structures diffusant un ou deux logiciels, créateurs de jeux compris - qui se sont sérieusement investis dans le code prébêta actuel et les outils de développement pour Windows Phone 7. Avec ces combinés fonctionnels, les développeurs pourront charger, tester et déboguer les applications Windows Phone 7, opération essentielle pour nombre d'entre eux, mais pas pour tous. Aujourd'hui, les développeurs ont en effet à leur disposition un programme d'émulation livré avec le SDK de Windows Phone qui a bonne réputation et qui fonctionne sur un PC sous Windows. L'émulateur reproduit le comportement d'un téléphone, y compris pour l'interface tactile. Sauf que pour concevoir et affiner une application tactile pour le futur OS entièrement remodelé, rien ne peut remplacer un véritable terminal.
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À ce jour, aucune annonce concernant le programme de partage de téléphone n'a été faite sur le blog officiel de Windows Phone, ni sur le site principal des développeurs de la plate-forme. Mais un responsable des relations publiques a déclaré que Brandon Watson apporterait plus de précisions jeudi ou vendredi, rappelant que « l'intégration de Windows Phone 7 sur des matériels prototypes avait progressé au point que Microsoft pourrait commencer à livrer des appareils de tests aux développeurs en juillet afin de continuer à les aider à créer des applications intéressantes et des jeux pour Windows Phone 7. Les smartphones seront diffusés parmi un nombre limité de développeurs déjà impliqués dans des projets réalisés avec Windows Phone Developer Tools. L'éligibilité sera évaluée au cas par cas via la plateforme Windows Phone de Microsoft et les associations de développeurs supportant le nouvel OS. Nous fournirons plus de détails sur la manière dont les mobiles seront distribués au cours des prochaines semaines. » Dans l'état actuel, la déclaration ne dit rien de plus et ne fait que confirmer ce qu'a déclaré Terry Myerson en personne au TechEd. Elle ne dit pas si les développeurs considérés comme «admissibles» recevront effectivement un téléphone ou s'ils seront ajoutés à un groupe pour passer une autre sélection. Elle semble également suggérer que les demandes provenant de la plateforme Windows Phone et celles émanant des associations de développeurs seront examinées séparément.
Deux autres messages postés par Brandon Watson ont apporté quelques détails supplémentaires, tout en ajoutant à la confusion. Dans un post du 14 juin sur le site MSDN Windows Phone Forum, celui-ci écrit que « la mise en oeuvre de cette procédure est assez difficile, » sans donner plus d'éléments, ajoutant : «Nous mettons la touche finale à notre programme qui permettra aux développeurs d'obtenir des appareils, mais la seule chose que je peux demander, c'est d'être patients. » Celui-ci explique par contre clairement que l'attribution des téléphones sera sélective. « Il ne suffira pas de demander un téléphone... Nous recherchons des développeurs engagés capables de prouver qu'ils créent de vraies applications, » a-t-il encore écrit.
Dans un message posté le 8 juin sur son blog personnel depuis le TechEd, Brandan Watson détaillait ce que Microsoft entendait par «développeurs engagés». « Nous commencerons par les développeurs investis dans les plates-formes Silverlight et .NET, enregistrés sur Windows Phone Marketplace et qui ont commencé à construire des applications avec les outils de Windows Phones Developer Tools. » Mais aucun des deux messages ne renseigne sur ce que Microsoft entend par application «réelle». Ailleurs, Brandon Watson suggère vaguement que l'objectif du programme est d' « optimiser le travail de ceux qui développent des applications, » évoquant deux critères de sélection possible, aussi vagues l'un que l'autre, « avoir une bonne idée et être novateur. » Bien que la décision de livrer les téléphones sera prise par la plateforme Windows Phone et le Developer Relations Group, Brandon Watson explique que c'est le développeur « évangéliste » de proximité qui sera chargé d'obtenir les téléphones. » Ce qui semble impliquer qu'il aura la responsabilité logistique de la distribution des mobiles.
(...)(18/06/2010 16:32:52)Amazon valide son brevet sur les réseaux sociaux
Le site de commerce détient donc officiellement un brevet concernant « un système informatique en réseau fournissant divers services pour aider les utilisateurs à trouver et établir des relations de contact avec d'autres utilisateurs. » Le plus surprenant est que cet annonce est passée inaperçue et pourtant elle reprend ce qui a fait le succès d'acteurs comme Facebook.
Ainsi le brevet, non visible par le public, prévoit que « les utilisateurs puissent identifier d'autres personnes en fonction de leurs affiliations à des écoles par exemple ou d'autres organisations ». Il comprend également « un mécanisme pour qu'une personne sélectionne ses contacts ou autorise des gens extérieurs à avoir accès à ses informations personnelles. » Ces derniers points signifient que la recherche d'amis sur Facebook est couverte par le brevet d'Amazon.
Pour autant, l'existence de ce droit de propriété ne signifie pas la fin des réseaux sociaux. MySpace a été lancé en 2003, 6 mois avant Facebook. Certains ont même soupçonné Mark Zuckerberg d'avoir volé l'idée du réseau social à ses petits camarades de Harvard et résolu le litige avec un chèque. Le dépôt d'Amazon a eu lieu le 27 mai 2008, par Brian D. Robertson et Warren W. Adams du Massachusetts. Pour mémoire, ils avaient fondé le service Planet All acquis par Amazon en 1998 et fermé en2000.
Cette annonce intervient alors que plusieurs sociétés souhaitent lancer des réseaux sociaux y compris dans le monde de l'entreprise, Cisco avec Quad ou SalesForce.com avec Chatter. Avec ce brevet, Amazon peut-être aussi tenté par l'aventure de réseautage, il en a maintenant tout les droits.
Crédit Photo: DR
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