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(24/06/2010 15:48:31)

Skema Business School abandonne Google Docs pour Office Web Apps

« Nous avons été la première école supérieure française à avoir choisi une bureautique en SaaS dans le nuage avec les Google Apps, nous sommes aussi la première à changer de nuage en optant pour l'offre Live@Edu de Microsoft » s'amuse Frédéric Di Gleria, DSI de Skema Business School, fusion de l'ESC-Lille et du Ceram Nice. Le contrat a été signé pour trois ans. Environ 7 800 utilisateurs sont concernés : 6 250 étudiants, un peu moins de 1 200 enseignants (dont un millier de vacataires) et environ 400 administratifs. La migration s'effectuera cet été, comme toutes les opérations importantes dans les établissements supérieurs, et impliquera notamment de transférer 3 To de courriels. Frédéric Di Gleria revendique : « la grande question récurrente dans le public à chaque fois que j'ai témoigné de notre choix a toujours été : comment fait-on pour revenir en arrière ou pour changer de fournisseur ? Google s'était clairement engagé envers nous à ce sujet. La concurrence entre Microsoft et Google va pousser à encore plus d'innovation, les deux étant déjà très dynamiques. Le rythme des évolutions n'est donc pas prêt de se ralentir. Et c'est très bien. »

Mais pourquoi ce changement ? Certes, l'ESC Lille avait conservé une gestion d'annuaire de référence sous technologies Microsoft interfacée avec celui des Google Apps pour la gestion des comptes utilisateurs. « Nous avons signé un partenariat nettement plus complet avec Microsoft et concernant un périmètre beaucoup plus large » indique Frédéric Di Gleria. Ainsi, par exemple, le futur intranet avec des fonctions de réseau social sera conçu sous Sharepoint Online 2010. L'offre Live@Edu est un SaaS directement concurrent des Google Apps mais s'appuie sur les Office Web Apps. Celles-ci, dans le cadre du S+S (Software+Service) de Microsoft, s'interfacent avec Office 2010, par opposition avec les Google Apps qui sont pures SaaS.

Au delà de la bureautique, Skema est actuellement en train de fusionner les SI de ses différents campuspour disposer d'un campus virtuel unique : Lille, Sophia-Antipolis, Paris, Suzhou (Chine), Casablanca (Maroc), et Raleigh (Etats-Unis). Cette fusion va s'opérer au travers du PGI maison Siracuse, développé en technologies .Net de Microsoft. Frédéric Di Gleria précise : « pour l'instant, nous l'hébergeons nous-mêmes mais, à terme, le passer dans le nuage, par exemple sur Azure de Microsoft, est très envisageable. »

Illustration : Frédéric Di Gleria, DSI de Skema Business School, crédit photo D.R.

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Live@Edu est gratuit, comme les Google Apps pour éducation, mais le partenariat signé pour trois ans comprend aussi la souscription à l'offre Campus de Microsoft dont Skema était déjà client. Son coût est indexé sur le nombre d'utilisateurs (et non celui de postes) à temps plein et dépend des logiciels choisis. Le budget final n'est pas encore totalement fixé. L'offre Campus est l'équivalent du contrat Software Assurance pour les établissements d'enseignement supérieur et implique 40 à 60% de remise sur le prix public éducation.

L'offre Campus prévoit, sans supplément de prix, un abonnement à MSDN Academic Alliance (MSDN AA) pour l'ensemble des 7 800 utilisateurs. Il s'agit d'une offre logicielle destinée à l'enseignement supérieur qui permet aux étudiants et aux enseignants de bénéficier des logiciels Microsoft pour la pédagogie (salles de cours, de TP, libre-service pour les étudiants,...) incluant de nombreux produits tels que Windows 7, Windows Vista, Windows Server 2008, Visual Studio 2008, Virtual PC, Visio,...
Le soutien de Microsoft ne s'arrête pas là. Des spécialistes de Microsoft vont intervenir dans les enseignements et l'éditeur va notamment soutenir la création d'une chaire sur le thème « Développement numérique autour des réseaux sociaux ».

Par ailleurs, les incubateurs d'entreprises nouvelles innovantes du groupe Skema vont également bénéficier du soutien de Microsoft. Le communiqué commun de l'éditeur et du groupe d'enseignement supérieur privé détaille ainsi : « Microsoft mettra à disposition des logiciels et supports technologiques aux porteurs de projet des incubateurs Skema. L'entreprise fera également la promotion de son programme BizSpark à travers les entités de Skema auprès des startups. Elle organisera en outre des évènements pour entrepreneurs/développeurs sur les campus de Skema auprès des étudiants - un premier « BizSparkCamp » devant avoir lieu à la rentrée à Lille. De même, Skema associera Microsoft dans ses initiatives de soutien à l'entrepreneuriat local (Sophia Business Angels, mairie de Lille...) et dans son ambition de devenir la business school française la plus accueillante pour les entrepreneurs et les startups du web. »

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Enfin, et ce n'est pas rien en cette période de crise, le groupe Skema est en train de négocier un partenariat dans le cadre du programme MACH (Microsoft Academy for CollegeHires). « Outre sa participation aux forums de l'école sur ce thème, Microsoft poursuivra et renforcera sa politique de recrutement de jeunes talents issus de Skema via ses offres de stages et d'emplois » indique le communiqué commun Skema/Microsoft.

Jean-Philippe Courtois, président de Microsoft International et Senior Vice President de Microsoft Corporation, est diplômé du Ceram (promotion 1983), la composante niçoise de Skema Business School. Il est aussi président du Conseil d'Orientation Stratégique de Skema Business School. « Microsoft soutenait financièrement le Ceram avant la fusion avec l'ESC Lille et, après celle-ci, s'est donc retrouvé à soutenir une école ayant fait le choix de Google Apps, situation qui ne pouvait perdurer sans une improbable ouverture d'esprit » commente Louis Naugès, président de Revevol. Ce cabinet de conseil est l'un des principaux évangélisateurs des Google Apps en France. Si l'ESC-Lille n'a pas été son client, Revevol est intervenu sur des projets similaires comme à l'ESSEC.

Louis Naugès déplore : « il n'est pas dans la culture de Google de financer des écoles et les solutions pour établissements supérieurs sont en principe gratuites ». Habituer à faible coût ou gratuitement les futurs techniciens qualifiés ou cadres supérieurs avec ses solutions durant leurs études reste une stratégie classique des éditeurs de logiciels (à commencer par Adobe et Microsoft). Google a probablement tort de négliger cette voie de promotion de ses offres. Mais le président de Revevol garde un motif de satisfaction : « démontrer concrètement que l'on peut migrer entre offres dans le nuage reste une bonne chose pour le succès du concept ».
(...)

(24/06/2010 15:37:30)

20 % des applis Android Market transgressent la sécurité des données personnelles

Editeur de solutions de sécurité pour téléphones mobiles, SMobile a décortiqué plus de 48 000 applications disponibles sur l'Android Market, la plate-forme qui fournit des applications pour les smartphones tournant sous Android de Google, et a analysé comment le système d'exploitation gère les autorisations. Ce sont en effet les autorisations qui permettent aux applications d'exécuter les tâches, y compris celle d'initier les appels téléphoniques, de lire les SMS ou de déterminer la localisation. En principe, elles sont là pour servir de cadre au développement d'applications utiles. Mais, selon SMobile, certaines sont réalisées avec des intentions malveillantes et pour accéder à des données personnelles. « Comme cette application de phishing de coordonnées bancaires publiée par un auteur du nom de Droid09, déposée sur l'Android Market, et retirée depuis, » a t-il dit.

En plus de ces d'applications qui ouvrent à des tiers l'accès à des données personnelles, SMobile a également identifié que certaines applications (5 %) ont la possibilité de faire composer un numéro de téléphone, et 2 % peuvent envoyer un SMS à un numéro surtaxé inconnu, dans les deux cas, à l'insu des usagers.

Le mode de fonctionnement d'Android en matière de sécurité exige que les applications définissent leurs autorisations avant de pouvoir être installées par l'utilisateur. « Un utilisateur averti peut paramétrer ces préférences avant de décider s'il veut ou non installer une application, » a déclaré SMobile. « Cependant, rien ne permet à l'utilisateur de savoir de manière certaine si l'application qu'il vient de télécharger ne fait que ce qu'il est en mesure de voir, » explique SMobile.

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(24/06/2010 14:48:01)

En Europe, l'iPhone devance déjà les Blackberry et les Windows Phone

A l'heure où l'iPhone 4 débarque ce jeudi aux Etats-Unis, au Japon et dans trois pays d'Europe (France, Allemagne, Royaume-Uni), ComScore livre un bilan européen sur les parts de marché des trois premières générations de l'iPhone. Cette étude porte sur la France, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et le Royaume-Uni. Globalement, le terminal à la pomme représente, selon cette étude, 4% du marché des téléphones mobiles dans ces cinq pays, mais 18% sur le segment des smartphones. A fin avril 2010, ComScore estime la base installée d'iPhone dans ces pays à 10,02 millions d'unités, contre 3,84 millions un an plus tôt. L'iPhone arrive en deuxième position, derrière les smartphones équipés de la plateforme Symbian (essentiellement des Nokia) qui comptent 33,14 millions d'utilisateurs, contre 28 millions il y a un an.

Les smartphones sous Windows Mobile (Microsoft) représentent un parc de 7,27 millions (en hausse de 8%), et les BlackBerry (RIM) comptent près de 4,6 millions d'utilisateurs (+87%). Enfin, les smartphones fonctionnant sous Google Android représentent 1,8 million d'utilisateurs, contre 71.000 en avril 2009 (+2.429%). "Jusqu'à présent, l'iPhone a eu un impact disproportionné sur le marché européen du téléphone mobile au regard du nombre relativement modeste de ses 10 millions d'utilisateurs", explique Jeremy Copp, vice-président de la division mobile en Europe chez ComScore. "Il a catalysé la consommation du média mobile et ouvert des opportunités marketing pour les marques. Cependant, il a aussi encouragé d'autres fabricants de mobiles et fournisseurs de système d'exploitation à relever le niveau de leurs produits si bien que l'incarnation de la génération smartphone doit désormais faire face à une sérieuse concurrence".

"Google Android est certainement l'élément à surveiller", ajoute Jeremy Copp. "Il a acquis environ 1,7 millions d'utilisateurs sur une très courte période et représente actuellement 3% du marché européen des smartphones. Surtout, l'utilisateur d'Android a un niveau très élevé de consommation du média mobile, légèrement inférieur mais comparable à celui d'Apple".

Crédit photo : D.R.

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(24/06/2010 14:44:19)

Le monsieur cloud de Sun devient celui de Cisco

« Avec toute l'excitation autour du cloud computing, le rôle du réseau a parfois été négligé », explique Lew Tucker lors d'un entretien réalisé à la conférence Structure 2010 qui se déroule à San Francisco (23-24 juin) et où sa nomination a été annoncée. « Fil conducteur à travers toutes les infrastructures impliquées dans l'environnement cloud, le réseau a un rôle important à jouer », a-t-il rappelé. Pour ce faire, il est important que Cisco s'adresse aux développeurs d'applications, pour que ceux-ci puissent intégrer les ressources réseaux de manière plus intelligente. « Nous avons besoin de rendre le réseau de plus en plus programmable », a insisté le directeur technique.

Lew Tucker a commencé à travailler chez Cisco cette semaine. Il est rattaché au CTO de Cisco, Padmasree Warrior, et à Tony Bates, vice-président et directeur général de l'activité Cisco Service Provider. Pour l'instant, il n'est pas encore prévu d'allouer une équipe spécifique à Lew Tucker. « Il y a beaucoup d'activités chez Cisco qui touchent de près ou de loin le cloud computing, l'architecture serveur UCS (Unified Communication System), la délivrance de contenu comme la vidéo qui demande des accès aux ressources réseaux où qu'elles soient. Pourtant Cisco est un nouvel acteur dans le cloud ». Lew Tucker va donc travailler sur la mise en place d'une stratégie cohérente sur ce sujet. Interrogé sur l'avenir de Cisco comme fournisseur de services cloud, le spécialiste de l'équipementier a laconiquement dit que ce n'était pas d'actualité aujourd'hui.  

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(24/06/2010 14:30:58)

Gaz à effet de serre : Syntec Informatique appelle les entreprises à innover

Ce troisième volet, sur les dix prévus, s'attarde sur la comptabilité carbone des entreprises, mais entend dépasser cet aspect et envisager les prochains enjeux inhérents à leur éco-responsabilisation progressive. Ainsi, ce volume qui devait justement s'appeler « Comptabilité carbone », a préféré mettre l'accent sur l'accompagnement de la gestion des gaz à effet de serre (GES). « Ce terme intègre les questions futures liées à la biodiversité ou à la qualité de l'eau. Le carbone n'est qu'une première étape, la plus facile, car elle fait consensus » précise Jérémy Fain, l'un des pilotes de ce travail. Outre l'enjeu du réchauffement climatique dû au CO2, ce Livre vert présente l'enjeu énergétique majeur auquel vont devoir faire face les entreprises : l'épuisement graduel des ressources fossiles. Les portefeuilles des entreprises étant corrélés au marché du pétrole, la moindre variation de celui-ci tend à entraîner l'ensemble des marchés à sa suite. Si les entreprises parvenaient à une gestion plus écologique des émissions de gaz, elles pourraient, d'après ce groupe de travail Green IT, se distancier de ce marché et se préparer économiquement à la raréfaction de ces ressources.

Poursuivre l'innovation avec le Green IT

Or, ce Livre vert avance que les DSI pourraient faire pencher la balance de manière globale, par un effet de levier. Les TIC ne représentent que 2% des émissions de gaz, mais de par leur généralisation au sein des entreprises, elles sont un des pôles d'entrée de l'éco-responsabilité. « Les DSI ont toujours été force de proposition sur les apports de nouvelles technologies, leur rôle est désormais de proposer des innovations pour réduire l'empreinte gaz à effet de serre » note le document, dont l'objectif est de fournir un guide de réflexion à l'attention des adhérents de Syntec, mais aussi aux autres entreprises. La volonté est de pousser les DSI à passer d'un Green IT 1.0 à un 2.0, c'est-à-dire en collaboration avec le reste de l'entreprise.

Un double avantage : compétitif et écologique

Au-delà des enjeux sociétaux et environnementaux, le document tente de mettre en avant l'attractivité « business » d'un label éco-responsable. La réduction matérielle des coût énergétiques et les gains de productivité sont largement mis en avant par les retours d'expérience. Areva, Infidis, Colt Telecom et d'autres témoignent, dans le Livre vert, de la mise en place de leur comptabilité carbone, et citent notamment ces avantages. Ils ajoutent aussi avoir obtenu des marchés grâce à ce label qui sous-entend un argumentaire développement durable, visiblement apprécié par les clients.  L'accent est donc mis sur la compétitivité apportée par ce label, argument clé pour l'expansion de la gestion des GES.

Crédit photo : Syntec Informatique

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Cependant, la comptabilité carbone est difficile à mettre en place : il s'agit d'associer les données d'activité (production, transport) aux facteurs d'émission. Ces derniers ne sont pourtant pas établis de manière précise : les universités et ministères fournissent des moyennes de référence. De même, les données d'activité sont difficiles à collecter, éparpillées dans le système d'information de l'entreprise. Le résultat de ce calcul est donc une combinaison d'incertitudes, selon Jérémy Fain.

Des intervenants spécialisés sur le marché

Des sociétés (bureaux d'études, éditeurs de logiciels, SSII), se proposent d'affiner ce calcul, tout en accompagnant les entreprises dans leurs actions de réduction de taux d'émission. Ces outils de gestion sont, d'après le document, un marché porteur : 300 millions d'euros en 2009 et jusqu'à 3 milliards d'euros en 2017. De plus, leur rôle ne se limite pas à la récupération de données et au conseil sur les actions à entreprendre en collaboration avec le personnel. Ils mettent à disposition une base de données automatisée et plus précise des facteurs d'émission et gèrent les différentes méthodologies et règlementations propres à chaque pays (le GHG Protocol, le Bilan carbone français, les conclusions du Grenelle de l'environnement II). Ils effectuent aussi des analyses et modélisations afin de situer les éléments les plus émetteurs de l'entreprise.

Le prochain objectif, en dehors de la publication du prochain volume, concerne la diffusion, auprès des DSI, de ce Livre vert et des solutions ou conseils qu'il propose. Sinon, ce document risque de ne tomber que dans les mains de convaincus et ne permettra donc pas d'amorcer un changement durable.

 

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(24/06/2010 14:16:48)

SAS prépare sa technologie in-memory pour la finance

Jim Goodnight, fondateur et PDG de SAS, a annoncé son architecture logicielle In-Memory Analytics à l'occasion de la conférence Premier Business Leadership que l'éditeur a tenu cette année à Berlin (21-23 juin). Dans le sillage des initiatives déjà lancées par plusieurs acteurs IT, cette technologie entend tirer profit du coût réduit des mémoires et des serveurs lames, et de la large adoption des plateformes 64 bit. En attente de brevet, elle sera disponible à la fin de l'année sous la forme d'applications adaptées à certains secteurs d'activités. Elle permettra d'effectuer les traitements d'analyse en mémoire, de façon distribuée et parallélisée, au sein d'un cluster de serveurs spécialisés. Chaque lame communique via une interface de passage de messages (MPI).

Partenariat avec HP pour la partie matérielle

SAS travaille avec HP sur le versant matériel de l'offre qui va s'appuyer sur la technologie BladeSystem et les logiciels d'automatisation Insight Control. Il ne s'agira pas d'un partenariat exclusif avec le constructeur mais c'est pour l'instant le seul que l'éditeur a engagé. On se souvient qu'Oracle a également travaillé avec HP pour la première version de son appliance de datawarehouse Exadata, puis avec Sun, alors racheté, pour la deuxième. SAP, de son côté, prépare aussi des appliances In-Memory avec HP et IBM pour fin 2010.

SAS a choisi de mettre en oeuvre In-Memory Analytics dans des solutions verticales plutôt que sous la forme d'une offre horizontale. La première application vise le marché de la finance et la gestion des risques. Elle permettra par exemple aux grandes banques d'investissement de recalculer entièrement et très rapidement les risques liés à leur portefeuille, ce qui sous-tend des centaines d'analyses prédictives dans un délai très court.

Des utilisateurs pour ajuster la taille de l'appliance

La solution suivante concernera le secteur de la distribution. Elle pourra y être utilisée pour optimiser la marge pendant les périodes de soldes et sur les produits saisonniers.

SAS s'appuie actuellement sur plusieurs clients, parmi lesquels Macy's et United Overseas Bank, pour déterminer la taille optimale des clusters, a précisé David Wallace, responsable marketing de l'éditeur pour les solutions verticales

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