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(17/06/2010 18:01:36)

Vendu à Rakuten, PriceMinister est obligé d'afficher ses pertes financières (MAJ)

Surprise ce jeudi 17 juin, lorsque PriceMinister annonce sa vente au groupe japonais Rakuten, un inconnu dans le ciel français et européen de l'Internet. Fondé en 1998, Rakuten est pourtant un monstre au Japon, présent dans le e-commerce, le voyage, les services en ligne. Il affiche un chiffre d'affaires de 3,2 milliards de dollars en 2009 avec 64 millions de membres et 6 000 collaborateurs. Il  y a un mois, Rakuten achetait le site américain Buy.com pour 250 millions de dollars. Buy.com aurait 14 millions d'utilisateurs. L'intention est claire, Rakuten souhaite devenir un groupe mondial présent sur les trois grands continents développés.

Pour acheter PriceMinister, Rakuten débourse cette fois 200 millions d'euros et s'offre la totalité du capital. Le français annonce 23 millions de visiteurs chaque mois, 11 millions de visiteurs uniques selon son nouvel actionnaire. Ce rachat permet d'ailleurs d'en savoir beaucoup plus sur PriceMinister. Rakuten est introduit à la bourse de Tokyo depuis 2000. Price Minister en revanche a différé son introduction prévue en 2008, et comme il ne dépose pas ses comptes au greffe, ses chiffres financiers sont inconnus. Grâce à Rakuten, on connaît enfin ces fameux chiffres de Price Minister, qui sont inclus dans le communiqué annonçant le rachat. Pour son exercice fiscal 2009, la société PriceMinister a réalisé 39,97 millions d'euros de chiffres d'affaires (CA), contre 38,10 en 2008 (ce qui représente moins de 5% de progression, alors qu'un communiqué du 25.11.09 parlait de 25% de progression en 2009, en tenant compte des « amortissements de goodwill liés aux acquisitions réalisées en 2007 »). La perte est passée à 105 000 euros en 2009, en 2008 elle se montait à 9,43 millions d'euros, mais, selon le PDG de PriceMinister, l'entreprise est rentable depuis de nombreuses années,  avec une trésorerie de 25 millions d'euros, et un chiffre d'affaires prévu de 50 M€ pour l'exercice 2010.

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A titre de comparaison, CDiscount affiche un CA de 1 milliard d'euros en 2009 et rueducommerce de 350 millions d'euros (avec un résultat net positif de 400 000 euros), mais les métiers en sont pas les mêmes. Le premier est une plate-forme de vente en ligne avec du stock et la logistique associée, le second n'est qu'un intermédiaire en vendeurs et acheteurs. PriceMinister insiste sur sa place de  n°1 en termes d'audience selon Médiamétrie Nielsen NetRatings. La notoriété et le nombre de visiteurs ne se traduisent pas en résultats commerciaux et financiers, même si Pierre Kosciusko-Morizet, le PDG, bénéficie d'une couverture médiatique disproportionnée par rapport à ses concurrents.

Les fondateurs de PriceMinister,  Pierre Kosciusko-Morizet, Pierre Krings, directeur général, Justin Ziegler, directeur marketing et Olivier Mathiot, directeur technique se sont engagés à rester cinq  ans aux commandes de la société. Ils détenaient, ensemble, 33,3% du capital de PriceMinister, le reste revenant à Atlas Venture Fund pour 25% et Kernel pour 8,7%.



(...)

(17/06/2010 17:55:16)

Adobe reproche à Apple de livrer une version obsolète de son lecteur Flash

C'est un autre épisode témoignant de la tension qui existe entre les deux entreprises depuis que le PDG d'Apple, Steve Jobs, a annoncé son refus d'intégrer le lecteur Flash aux appareils mobiles d'Apple au motif qu'il était trop lent, instable et obsolète. Adobe a immédiatement répliqué, faisant remarquer que les correctifs pour Flash qu'Apple avait fourni avec sa dernière mise à jour étaient dépassés. «La mise à jour 10.6.4 de Mac OS X inclut bien le player d'Adobe, mais pas la dernière version, » a déclaré Brad Arkin, directeur de la sécurité et la confidentialité chez l'éditeur, dans un message posté sur Twitter mardi, soit peu après la livraison de la mise à jour de sécurité et de performance par le constructeur.

Chez Adobe, d'autres voix se sont élevées pour dire qu'Apple avait livré la version 10.0.45.2 du lecteur Flash avec Mac OS X 10.6.4, et invitent, comme Brad Arkin les utilisateurs Mac à télécharger la dernière version directement depuis le site de l'éditeur. C'est en février 2010 que ce dernier avait corrigé plusieurs bogues dans Flash Player 10.0.45.2 pour Mac et Windows. La dernière version du lecteur de média est actuellement la 10.1.53.64, après le patch de mise à jour d'Adobe effectué le 10 juin, corrigeant 32 failles dont une faille zero-day exploitée depuis le début du mois par des pirates.

Ce n'est pas la première fois qu'Apple est pris en défaut pour l'application des correctifs sur Adobe Flash Player. Car, contrairement à Microsoft, la firme de Cupertino s'occupe elle-même de la diffusion des mises à jour du player de l'éditeur pour ses utilisateurs, en les intégrant aux mises à jour de Mac OS X. En septembre, ce dernier avait déjà noté qu'Apple avait diffusé une ancienne édition vulnérable de Flash Player pour Mac OS X 10.6, alias Snow Leopard, peu après sa sortie datant d'août 2009. Les chercheurs en sécurité avait alors pointé Apple pour avoir intégré une ancienne version du logiciel d'Adobe dans Mac OS 10.6, signalant même un « déclassement » des éditions plus récentes. Deux semaines plus tard, Apple rafraichissait Snow Leopard en incluant une copie à jour de Flash.

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« Les utilisateurs Mac qui ont cette fois mis à jour manuellement le Player Flash en version 10.1.53.64 dès la semaine dernière ne doivent prendre aucune autre mesure, » a déclaré Brad Arkin dans un message sur Twitter. «L'update Mac OS X 10.6.4 ne semble pas déclasser le dernier Flash Player, si bien que les utilisateurs n'ont pas à réappliquer la mise à jour, » a précisé le responsable d'Adobe. Les utilisateurs peuvent vérifier quelle version du Player Flash est actuellement active dans leur navigateur en visitant le site About Flash Player d'Adobe. Ils doivent effectuer cette vérification pour chaque navigateur installé sur leur ordinateur. S'ils ne disposent pas de la version la plus récente, ils peuvent l'installer manuellement en la téléchargeant sur le site d'Adobe.

Sept des 28 failles, soit 25% du total, corrigées par Apple dans Mac OS X 10.6.4 résultent de « l'exécution de code arbitraire, » une façon pour Apple de dire que ces bugs sont critiques et pourraient être utilisés pour infecter la machine avec des logiciels malveillants, y compris des spambots et des keyloggers ou enregistreurs de touches capables de vol d'identité. Parmi les vulnérabilités, hors Flash Player, corrigées par Mac OS X 10.6.4, trois concernent la mise en oeuvre du CUPS (Common Unix Printing System), trois le protocole d'authentification Kerberos, une le client de messagerie instantanée iChat d'Apple, et une autre le logiciel Wiki Server d'Apple.

Mac OS X 10.6.4 met également à jour Safari en version 5, lancé le juin 7 dernier, après un colmatage record de 48 failles.  Apple a également corrigé 16 codes non liés à la sécurité, y compris une amélioration de fiabilité pour les connexions VPN (réseau privé virtuel) et a résolu un problème de réponse du clavier. La dernière mise à jour de Snow Leopard, qui date du mois de mai, avait mis fin à un nombre record de 92 failles de sécurité, dont un tiers jugées critiques. Mac OS X 10.5, alias Leopard, a également fait l'objet d'une mise à jour de sécurité hier. Mac OS X 10.6.4 peut être téléchargé depuis le site d'Apple ou installé en utilisant le service de mise à jour intégré au système d'exploitation.

 


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(17/06/2010 17:32:40)

Hotline facturée : Free condamné en appel

L'association de consommateurs avait engagé en 2005, aux côtés de trois abonnés, une procédure contre Free pour faire sanctionner l'absence de fourniture d'accès au réseau Internet et la facturation du service d'assistance technique téléphonique jugé « inefficace, voire inexistant ».

La Cour d'appel de Paris, dans un arrêt du 11 juin 2010, a confirmé le précédent jugement rendu en juin 2007 par le Tribunal de grande instance de Paris. Ce dernier avait considéré que Free était seul responsable vis-à-vis de ses clients de la bonne exécution des obligations résultant du contrat, que celles-ci soient à remplir par lui-même ou par un autre prestataire, et que la société devait prendre à sa charge le coût des communications à sa hotline lorsque le client appelle pour résoudre un problème d'accès à Internet.

Pour l'existence d'une class action

« Au-delà de la réaffirmation de l'obligation de résultat des FAI et de la gratuité de la hotline, cette décision de la Cour d'appel démontre une nouvelle fois la nécessité de créer en France une action de groupe », a commenté l'UFC dans un communiqué. L'association indique que son action a permis aux trois consommateurs présents à la procédure d'obtenir réparation de leur préjudice. Elle regrette qu'un nombre important d'internautes concernés par ce genre de problème puissent être tentés de renoncer à une action en justice, « compte tenu du faible préjudice éprouvé par chacun d'eux individuellement ».

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(17/06/2010 17:15:19)

La Cnil épingle Google dans son rapport 2010

Dans une ambiance tendue, Alex Türk, président de la Cnil et sénateur (UMP) du Nord, a présenté devant la presse le 30e rapport d'activité de la commission. Depuis le vote en 2004 de la réforme de la loi Informatique et libertés, la Cnil a perdu une grande partie de ses pouvoirs. Même si ses moyens augmentent régulièrement (14,7 millions de budget en 2010 contre 13 en 2009), elle n'émet plus que de simples avis consultatifs sur les projets de loi du gouvernement et se limitent à des contrôles a posteriori des fichiers publics (Police, Justice, Gendarmerie, Santé...) Alex Türk reste pourtant droit dans ses bottes, « tous les fichiers de Police sont soumis à notre contrôle sinon le Stic [le fichier dit d'antécédents judiciaires]  n'aurait jamais été contrôlé... ». Et aujourd'hui la bataille se déplace sur le champ européen avec un projet d'accord qui confierait à Europole la centralisation du contrôle d'accès au Stic réclamé par les autorités américaines. « Nous ne mettons pas en cause le travail d'Europole, qui est un grand professionnel de la Police, mais pas de la protection des données personnelles.  Nous avions également compris qu'il y aurait un représentant européen aux États-Unis pour surveiller l'utilisation des accès au Swift [le  système d'échange d'informations interbancaires], mais ce point a disparu dans le projet d'accord ! Le Parlement européen a refusé de soutenir le projet (...) Au lieu de répondre au coup par coup aux demandes des autorités américaines, les États-Unis pourraient accéder à de grands blocs de données pour rechercher les informations qui les intéressent.

Jusqu'à 40 000 euros d'amendes

Pour revenir à l'année 2009, la Cnil publie dans son rapport annuel les noms des entreprises sanctionnées financièrement (DirectAnnonces 40 000 €, SPC Huissiers 20 000 €...). Comme le précise Yann Padova, secrétaire général de la Cnil, « 120 à 150 mises en demeure ont été envoyées en 2009, avec à la clef 5 à 10 sanctions, et depuis le 1er janvier 2010, nous sommes déjà à 45 mises en demeures ». On peut notamment citer l'avertissement adressé récemment à Acadomia, l'interruption en urgence d'un système de vidéosurveillance permanente des salariés mise en oeuvre dans une société de transport routier sans informations appropriées à l'égard se son personnel ou , pour la première fois, l'interdiction pour trois mois d'un système biométrique mis en oeuvre dans une société  en l'absence d'impératif fort de sécurité. « Nous commençons par une mise en demeure en cas d'infraction à la législation mais si la mise en conformité est rapide, nous arrêtons généralement la procédure », précise Alex Türk.

Illustration Alex Türk, président de la Cnil; crédit D.R.

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Une procédure qui ne concerne pas encore Google avec son service Street View. Depuis quelques mois l'Union européenne et le G29 sont en discussion serrée avec la firme de Mountain View  au sujet de la collecte d'informations réalisée par les bornes WiFi des Google cars. « Nous n'émettons pas d'opposition de principe au service Street View, mais il doit être possible de réaliser la même chose en respectant les données personnelles ». Le phénomène a commencé en 2008 et depuis le phénomène perdure, précise le président. « Fin mai, nous avons procédé à un nouveau contrôle et mis en demeure Google pour obtenir des informations techniques. Google nous a rapatrié des informations stockées aux États-Unis qui sont en cours d'analyse à la Cnil. Ce que je peux dire pour le moment, c'est que la capture de données inclue des mots de passe et des adresses IP ainsi que des morceaux de messages électroniques contenant parfois des informations bancaires ». Dans le domaine de l'informatique et des libertés, Alex Türk considère qu'il va falloir changer de point de vue et appliquer des sanctions quand les limites ont été franchies. « La simple rectification des fautes n'est pas suffisante. » La procédure concernant Google n'est donc pas prête de s'enterrer.

Accorder le droit à l'oubli sur Internet

Alex Türk a également esquissé les deux principales problématiques de la Cnil en 2010, à savoir la montée en puissance du droit à l'oubli, et dans une vision plus large du droit à l'incognito, et un regard particulier à porter sur les nanotechnologies. « Avec la miniaturisation des composants, les usages vont être bouleversés avec une arrivée massive de ces solutions dans 5 à 10 ans. C'est donc aujourd'hui qu'il faut réfléchir au problème. » Et quant à la protection de la vie privée sur Facebook, le président a engagé une action au niveau européen pour mettre en place un système de protection commun. « Je me pose des questions sur la philosophie même de ce système. La radicalisation de l'exposition de la vie privée et le respect des libertés individuelles ne doivent pas disparaitre au profit du développement des nouvelles technologies.

Pour conclure, La Cnil revient sur ses observations relatives à la loi Loppsi 2, dont le texte a été remanié au Sénat le 2 juin dernier. Notamment un renforcement du contrôle de la vidéosurveillance dont les déclarations de systèmes sont passés de 2 588 en 2008 à 3 054 en 2009. Un amendement adopté en commission des lois devrait ainsi confier à la CNIL un pouvoir de contrôle national sur ces dispositifs.

Pour télécharger le rapport 2010.

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(17/06/2010 17:11:11)

Stockage en ligne : Trend Micro acquiert Humyo

Si le montant de la transaction n'est pas connu, on sait ce que Humyo propose comme solution. La société anglaise fondée en 2007 a offert à 600 000 utilisateurs de disposer d'un espace de stockage en ligne gratuit de 10 Go. Une offre professionnelle existe également avec de la synchronisation de données, la sauvegarde de fichiers plus volumineux et la possibilité de travailler sur un même document avec des collaborateurs à distance.

Pour Eva Chen, PDG de Trend Micro, « cette solution de stockage en ligne, qui est simplement une technologie cloud, s'insère parfaitement dans notre stratégie de fournir de la sécurité pour et depuis le cloud ». Dan Colon, co-fondateur d'Humyo souligne qu'« avec le développement de l'iPad ou des télévisions connectées à Internet, les gens veulent avoir accès aux informations où et quand ils le souhaitent, le stockage en ligne et la synchronisation peuvent répondre à ces besoins ».

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(17/06/2010 16:58:43)

Akamai se renforce dans le mobile avec Velocitude

Cette acquisition est considérée comme stratégique pour Akamai avec le développement de l'Internet mobile. Les techonologies de Velocitude vont être intégré dans les solutions d'Akamai pour aider à la délivrance de contenu vidéo ou de fonctionnalité de e-commerce auprès des smartphones.

En dépit du développement de l'internet mobile, l'expérience utilisateur, notamment de la vidéo sur un navigateur web est déceptive (absence de fluidité, pixellisation des images, etc). Cela oblige les fournisseurs de contenus à adapter ou à redimensionner les films ou les images pour les mobiles. Cet effort a un coût et les solutions de Velocitude peuvent automatiser cette migration du contenu vers les plateformes mobiles. Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé.

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(17/06/2010 15:55:23)

Consona rachète l'éditeur de l'ERP Compiere

La société Consona Corporation, basée à Indianapolis, vient d'acquérir l'éditeur de Compiere, un progiciel de gestion intégré développé en Open Source et utilisé par quelque 130 entreprises. Cet ERP dispose de fonctionnalités adaptées au secteur de la distribution, notamment pour la gestion des points de vente et du e-commerce. Créé par Jorg Janke, ancien collaborateur d'Oracle, et Kathy Pink, cet ERP développé en Java est apparu en 2000. A l'automne 2006, une partie des membres de la communauté Compiere a bifurqué pour créer un fork, en poursuivant le développement d'un projet alternatif, Adempiere.

Utilisé principalement par des PME, Compiere présente la particularité d'être disponible depuis plus d'un an dans une version adaptée à un déploiement dans le cloud EC2 d'Amazon. Intéressé par la technologie et l'architecture multitenant de l'offre ERP, Consona dit vouloir conserver la stratégie Open Source de son éditeur d'origine. L'acquisition s'effectue par échange d'actions. Dans le cadre de cette transaction, une société de capital risque, Nea, rejoint les actionnaires de Consona. Ce dernier édite déjà plusieurs ERP spécialisés dans la production industrielle, ainsi que des solutions de CRM (gestion de la relation client) et de gestion des connaissances.

Compiere compte plusieurs intégrateurs en France

En sus de sa version Community, gratuite, Compiere existe en trois éditions : Standard (à partir de 400 $ par utilisateur et par an), Professional (à partir de 750 $/util/an) et Enterprise (à partir de 995 $/util/an). Le produit s'appuie sur les bases de données Oracle ou Enterprise DB. Il réunit autour d'un référentiel et d'un modèle unique de données des fonctions de comptabilité et de gestion des achats, des ventes, de la relation client (incluant un connecteur avec Salesforce), de la production, de la logistique et des projets.

L'éditeur Compiere dispose d'un réseau d'une centaine de partenaires dans le monde parmi lesquels les intégrateurs français Audaxis, Axilom et Datalp.

Il existe plusieurs autres solutions ERP en Open Source pour les PME, en particulier OpenERP (précédemment nommé TinyERP), OpenBravo (originellement basé sur Compiere) et ERP5 (de l'éditeur français Nexedi).

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