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(07/06/2010 15:49:32)
Yahoo s'associe à Facebook
De plus en plus tourné vers les réseaux sociaux - un partenariat similaire a déjà avec Twitter - Yahoo souhaite profiter de l'engouement pour ces sites afin de rester "au coeur de la vie numérique des internautes". Ainsi, en intégrant les flux de Facebook, le portail Internet compte bien fidéliser ses utilisateurs et leur éviter d'aller consulter leurs actualités sur le site du réseau social. Concrètement, les membres de Facebook peuvent dès à présent recevoir leur flux d'information sur leur page d'accueil Yahoo, mais également sur la messagerie, et d'autres services du portail. Inversement, ceux qui publient et partagent du contenu sur les sites de Yahoo (Questions/Réponses, Musique, Flickr, etc.) peuvent partager leurs contributions sur Facebook. "Des actus au sport en passant par le divertissement, les sites de Yahoo proposent de nombreuses expériences à partager avec leur amis" déclare Ethan Beard, directeur de Facebook developper network.
Yahoo annonce également une actualisation de Profils, qui devient désormais Pulse. Ce tableau de bord des utilisateurs du portail permet de gérer son compte, la protection de ses informations personnelles et configurer l'intégration des réseaux sociaux, dont Facebook. D'autres réseaux suivront courant 2010, précise la société californienne. Yahoo revendique une audience de 600 millions d'internautes dans le monde. Facebook, pour sa part, a dépassé le cap des 400 millions de membres en février dernier.
Des pirates exploitent un bug critique dans Adobe Reader et Flash
Adobe a déclaré que le bug affectait cette fois la version 10.0.45.2 du Player Flash, soit la mise à jour la plus récente du très populaire lecteur de médias, mais n'épargne pas les anciennes versions sous Windows, Macintosh, Linux et Solaris. Le lecteur de fichiers PDF Reader 9.x comme l'outil de création de documents PDF Acrobat 9.x pour Windows, Macintosh et Unix sont également concernés, et leurs failles sont déjà exploitées par les pirates. «Des rapports indiquent que ces failles sont activement exploitées contre Flash Player, Reader et Acrobat, » a indiqué Adobe dans un communiqué de sécurité publié dans la nuit de vendredi. Secunia, une société danoise spécialisée dans la traque des bogues, a qualifié la menace d'« extrêmement critique, » soit l'échelon le plus élevé parmi les cinq dans le système de notation. L'US Computer Emergency Readiness Team (US-CERT), un département fédéral du ministère de la sécurité intérieure, a également mis en garde contre cette vulnérabilité. Adobe a reconnu que les pirates exploitant la faille pouvaient être en mesure de prendre le contrôle de l'ordinateur visé.
L'alerte mettant en garde contre ce bogue a été quasiment identique à celle publiée par Adobe le 22 Juillet 2009, quand l'éditeur informait que son lecteur Flash, Reader et Acrobat présentaient tous trois une vulnérabilité et faisaient l'objet d'attaques. Adobe avait corrigé la faille le 31 juillet 2009, mais certains chercheurs ont affirmé que l'éditeur connaissait son existence dans Flash depuis plus de 6 mois. Le communiqué publié vendredi note également que la vulnérabilité est présente non seulement dans Flash, mais aussi dans le fichier « authplay.dll » accompagnant chaque copie du Reader et d'Acrobat pour Windows, une librairie qui gère le contenu Flash intégré dans les fichiers PDF. L'an dernier, les pirates avaient exploité le bug de l' »authplay.dll » via des documents PDF piégés, et l'ont également exploité pour mener leurs attaques, poussant les utilisateurs à visionner des contenus Flash malveillants sur des sites de streaming ciblés. Adobe n'a donné aucun détail sur la nature des attaques en cause - la première avait été repérée vendredi matin - mais il est probable que celles-ci utilisent les mêmes tactiques.
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L'éditeur a pris plusieurs mesures pour contrer les attaques, y compris celle de mettre en oeuvre des méthodes de développement produisant un code plus sécurisé. Adobe n'a pas fixé de calendrier pour la livraison d'un patch, mais, la semaine dernière, Brad Arkin rappelait que l'équipe chargée de la sécurité avait mentionné à plusieurs reprises qu'elle s'imposerait un délai maximum de 15 jours quand il s'agit de correctifs de sécurité. Si la société s'en tient à ces éléments, cela signifie qu'elle pourrait livrer un patch au plus tard le 19 juin.
En attendant, les utilisateurs du Reader et d'Acrobat peuvent se protéger en supprimant ou en renommant authplay.dll. Ce faisant, l'ouverture d'un fichier PDF contenant un contenu Flash plantera le logiciel ou affichera un message d'erreur. Enfin, la version 10.1 Release Candidate du Player Flash, téléchargeable sur le site d'Adobe, « ne semble pas être vulnérable, » a indiqué Adobe, invitant implicitement les utilisateurs à passer à cette version inachevée mais plus sûre. (...)
Apple ouvre une vitrine HTML5
Cette plate-forme de démonstration vise clairement aussi à faire taire les critiques faisant suite à la décision d'Apple d'exclure le support Flash de ses appareils mobiles. Cette vitrine comprend sept démos différentes, chacune destinée à illustrer une capacité spécifique des navigateurs web à venir, y compris la vidéo et la lecture audio, la typographie, la manipulation d'image, les panoramas VR et les présentations à 360 º.
En plus du lien qui dirige le lecteur vers la lettre ouverte de Steve Jobs « Réflexions sur Flash » qui a créé la polémique, le visiteur peut lire que « les standards ne sont pas des add-ons pour le web. Ils sont le web. »
L'espace dédié affirme et précise que «bientôt d'autres navigateurs tireront aussi profit de ces standards pour le Web. » On ne pouvait s'attendre à autre chose de la part d'Apple, dont l'histoire est marquée par l'abandon de technologies anciennes (System 9, NuBus, PowerPC ou Port série) et sa tendance à promouvoir celles à venir. On se souvient à ce propos de la célèbre déclaration faite par le PDG d'Apple à l'occasion du lancement du premier iPhone lors de la Macworld Conference 2007. Citant Wayne Gretzky, le plus grand joueur de hockey sur glace de tous les temps, Steve Jobs avait déclaré : « Je patine à l'endroit où le palet sera, pas là où il a été. » Cette fois, à l'occasion du D8, celui-ci a dit: « Flash semble être de son temps mais est en déclin, et le HTML5 figure ce qui arrive. »
Pourtant, le fait demeure que, si le HTML5 peut être l'avenir du web, la norme est à l'heure actuelle incomplète et peu susceptible d'être «officiellement désignée » avant 2022, même si de nombreux navigateurs seront en mesure de soutenir le nouveau standard d'une manière significative bien avant cette date. Et la volonté d'Apple de le supporter exclusivement pourrait bien accélérer le rythme avec lequel les autres navigateurs l'adopteront. La cohérence entre les navigateurs web n'affecte pas pour autant les sites Internet basés sur Flash, pour la raison évidente qu'Adobe contrôle exclusivement le développement et l'évolution de sa plateforme - un motif de critique contre Flash perçu comme fermé et trop propriétaire.
En outre, il reste encore de nombreuses questions en suspens sur certaines technologies qui constitueront la norme : par exemple, la Fondation Mozilla, qui développe le navigateur web Firefox, a jusqu'ici refusé de soutenir la vidéo au format H.264/MPEG-4 en raison de son caractère propriétaire et des questions de licence qui l'entourent. Si cette décision devenait définitive, le support du HTML5 signifierait au final de devoir diffuser les vidéos dans de multiples formats incompatibles. Reste que, la vitrine HTML5 d'Apple montre que l'entreprise fait un pari important sur les capacités de son navigateur web phare. A en juger par les démos, le futur des applications HTML5 semble en effet très prometteur. A noter que ces démonstrations ne fonctionnent que sur les versions les plus récentes du navigateur Safari, et les appareils du type iPhone, iPod touch et iPad. Ceux qui utilisent d'autres navigateurs - y compris ceux basés sur WebKit, dont le moteur de rendu HTML sous-jacent est identique à celui utilisé par le navigateur d'Apple - sont dirigés vers une page de téléchargement de Safari.
(...)(07/06/2010 14:24:54)Oracle taille dans ses effectifs en Europe
Selon un document transmis vendredi dernier aux autorités de régulation des Etats-Unis, Oracle procède actuellement à des coupes en Europe et en Asie. Ces suppressions - qui interviennent quelques mois après l'acquisition de Sun Microsystems par le californien - visent officiellement à « éliminer les redondances et améliorer l'efficacité ». La firme a par ailleurs indiqué qu'elle allait provisionner, cette année, quelque 825 millions de dollars de charges supplémentaires au titre de la fusion, dont 550 millions de dollars à 650 millions de dollars consacrées aux indemnités de départ.
La part restante des charges inclut 115 millions de dollars de coûts d'installation et 60 millions de dollars de frais de résiliation de contrats, qui viendront s'ajouter aux 325 millions de dollars de charges déjà annoncées par l'éditeur.
Pour l'heure, l'on ignore encore le nombre de postes qui seront supprimés, ni leur répartition. En France, la direction de la communication s'est refusée à tout commentaire. Reste que la maison mère a commencé à aviser les employés de leur départ depuis le 28 mai dernier.
6 000 coupes chez Sun depuis 2008
Au moment du rachat de Sun par la compagnie de Redwood en avril 2009 pour 7,4 milliards de dollars, plusieurs analystes avaient estimé que des coupes plus importantes seraient à prévoir [NDLR rappelons qu'en octobre 2009, Sun avait déjà supprimé 3 000 emplois, soit 10% de ses effectifs, après en avoir réduit 6 000 en 2008]. Certains avaient même estimé que l'éditeur allait se séparer de la moitié des effectifs de Sun, condition sine qua non pour que la société renoue avec les profits. En janvier dernier, le PDG d'Oracle Larry Ellison avait alors rejeté les prévisions des analystes avec colère, les qualifiant « d'hautement irresponsables. « La vérité est que nous prévoyons d'embaucher 2 000 collaborateurs au cours des prochains mois afin de renforcer les deux activités, soit deux fois plus que le nombre de personnes qui seront remerciées », avait précisé, à cette époque, le dirigeant aux journalistes et aux analystes. Il avait ajouté « qu'il ne s'agissait pas de couper dans les effectifs de Sun pour que la société revienne à la rentabilité, mais plutôt de la conduire vers les profits. »
Cette information est loin d'être une surprise. En effet, en attendant que la Commission Européenne donne son aval à Oracle pour le racheter, le constructeur californien perdait environ 100 millions de dollars chaque mois, aux dires du CEO d'Oracle lui-même.
Crédit photo: D.R
(...)
Québec : un jugement restaure la concurrence dans les marchés publics (MAJ)
A ce jour, aucun procès similaire n'a, pour l'instant, eu lieu en France. Mais, après l'Italie, un tribunal du Québec vient de rappeler un principe de base dans les marchés publics des états occidentaux : la mise en concurrence réelle et transparente. Même en informatique. En l'occurrence, la Régie des Rentes du Québec avait attribué un contrat à l'éditeur Microsoft sans réelle appel à concurrence et, au passage, en négligeant les solutions issues du monde du logiciel libre.
La SSLL canadienne Savoir Faire Linux a mené une procédure de deux ans qui vient d'aboutir à la condamnation de l'office public. La FACIL, l'association de promotion de l'Informatique Libre québecoise, n'a pas été autorisée à se joindre à la procédure, le tribunal ayant écarté son intérêt à agir.
En France, l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) exulte mais n'a pas, à ce jour, relayé la moindre action concernant des marchés publics similaires passés en France. En effet, de très nombreux appels d'offres de marchés publics sont encore actuellement publiés en France en précisant un produit défini d'un éditeur précis (par exemple la suite bureautique Office de Microsoft), la concurrence étant réduite au distributeur final. Imagine-t-on une collectivité passer un marché public pour acheter tel modèle de telle marque de voiture, laissant seulement les différents concessionnaires de la marque en concurrence ?
En France, tout contribuable payant des impôts finançant une telle collectivité est fondé à attaquer un marché public dispendieux devant le tribunal administratif pour faire annuler ce marché. Bien entendu, les fournisseurs écartés sont également, comme au Québec, fondés à agir. (...)
CMS unique pour les sites web de France Télévisions
Les sites web du groupe France Télévisions sont gérés par une entité interne dédiée, France Télévisions Services Interactifs. Pour des raisons historiques, les 1000 sites ou sous-site du groupe utilisent des bases techniques très différentes : notamment un CMS maison en java qui gère les plus gros sites (programmes...), du Spip en PHP 4 ou PHP 5 (évènementiels, institutionnels...) et des applicatifs métiers spécifiques (pour la gestion des vidéos notamment). L'ensemble des 1000 sites réalise 8 millions de visiteurs uniques et 30 millions de pages vues par jour.
Le site Sport.FranceTV.fr a été le premier à être refondu sur une nouvelle base technique destinée à être généralisée sur l'ensemble des sites de France Télévision. L'intégration a été opérée par Alterway sur une base Drupal pour un montant non-communiqué. Ce site génère 300 000 visiteurs uniques et 500 000 pages vues par jour, hors évènements tels que Rolland Garros (des pics de 15 millions de pages vues par jour pouvant être alors atteints). Le choix fait devait être capable d'encaisser ce genre d'audiences massives.
Un pilote avant une bascule globale
Ce site a clairement été vu comme un pilote de la nouvelle architecture afin de la valider. L'un des objectifs de la refonte est de disposer d'un CMS unique avec, par conséquent, une harmonisation technique et une mutualisation des outils. La préoccupation majeure des équipes de France Télévision était de gérer le plus en autonomie possible les nouveaux sites et de laisser les équipes de journalistes les plus autonomes également pour gérer l'animation des sites, les anciennes plates-formes supposant généralement des interventions des équipes techniques pour gérer des fonctionnalités avancées.
L'outil devait donc être souple, léger, facilement appréhendable par chaque population d'utilisateurs et s'appuyer sur les compétences des équipes techniques internes : HTML, CSS, LAMP, Ajax, Jquery...
Les journalistes attendaient en priorité la disparition d'un temps de latence parfois important lors de la publication des articles. Le CMS historique gérait en effet le processus de publication en tâches séquentielles à raison d'une publication à la fois, entrainant des latences jusqu'à 30 minutes. Or l'actualité sportive exige de la réactivité. Tous les CMS modernes résolvent ce genre de problème.
Un choix initial pour le PHP/MySQL open-source
Tous les acteurs devaient bien sûr obtenir satisfaction de leurs besoins propres : équipe technique, journalistes, production, exploitation, publicitaires... La charte graphique devait pouvoir être intégrée sans difficulté. Enfin, la technologie de l'outil devait permettre une intégration au sein de l'existant puisque la migration était destinée à se faire par morceaux successifs. Le choix de PHP/MySQL et de l'open-source a constitué un préalable.
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Après un premier tri, trois produits ont été examinés en détail par France Télévisions avec l'aide d'Alterway. La grille de comparaison comportait une cinquantaine de critères techniques ou fonctionnels. Typo 3 a été écarté assez rapidement : l'implémentation aurait été très complexe dans le contexte donné. EZ Publish n'avait pas de point bloquant mais son intégration aurait été moins simple que le choix effectivement fait, à savoir Drupal.
Parmi les points importants en faveur de Drupal, l'existence de très nombreux modules (sondages, news flashs...) et la facilité de mise en oeuvre n'ont pas été les moindres. Cependant, un module spécifique a été développé pour les sites de France Télévisions visant à recommander des articles en fonction de celui en train d'être lu par l'internaute. Les critères de recommandation sont cependant simples : la catégorie et les tags manuels.
La compatibilité Akamaï impérative
Techniquement, le système devait aussi être compatible avec l'usage du service de CDN (content distribution network) d'Akamaï, employé par France Télévisions, les caches internes des CMS n'étant pas utilisés. 98% du trafic réseau est ainsi économisé. « Le problème ne se posait pas tellement au niveau des contenus enregistrés en back office par les journalistes, les internautes bénéficiant de l'une des pages d'accueil en cache en fonction d'un cookie de personnalisation, mais dans la prise en compte instantanée des contributions des internautes, ce que nous avons réalisé par un paramétrage chez Akamaï laissant passer les Jquery et l'Ajax » indique Pascal Beynal, chef de projet chez France Télévisions.
Par ailleurs, le site vient s'alimenter en contenus auprès de produits tiers : bannières publicitaires, médiathèque partagée, serveurs de résultats sportifs, flux RSS, SSO commune à tous les sites France Télévisions. Le site destiné aux outils mobiles est pour l'instant créé par un export/import dans un CMS dédié mais ne sera plus, à terme, qu'un modèle de présentation spécifique sous Drupal.
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Pour mettre en oeuvre le site pilote, le chef de projet côté France Télévision disposait de développeurs PHP (devenus développeurs Drupal), d'intégrateurs et de graphistes internes ainsi que d'un chef de projet et d'un développeur de chez Alterway.
La première étape a été de créer un cahier des charges grossier durant l'été 2009 puis les détails de l'expression des besoins ont été précisés lors d'ateliers avec les journalistes. Ces réunions ont débouché sur un cahier de spécifications fonctionnelles. Les développements ont débutés en novembre 2009. Enfin, la validation s'est faite à partir de début 2010 en mode « double commande », les articles étant entrés d'abord dans l'ancien système puis dans le nouveau.
« Les journalistes ont désormais la main sur l'ordre des contenus, ceux mis en première page, le type de présentation dans une liste de modèles et les autres éléments d'animation du site (modules de sondage...) alors que, auparavant, l'équipe technique devait souvent intervenir » se réjouit Pascal Beynal. Bien entendu, plusieurs niveaux de droits ont été implémentés sur la plate-forme au sein des journalistes.
Un bilan satisfaisant du pilote
Pascal Beynal prévient cependant : « la mise en oeuvre d'un site en Drupal, si on ne connait pas parfaitement le produit, suppose un accompagnement. Plusieurs échecs ont été relevés au sein de projets similaires dans les médias à cause d'un défaut d'accompagnement. »
Les journalistes ont été formés par la prise en main progressive, au fil de l'eau, et la contamination des bonnes pratiques au sein des équipes tournantes. Les équipes techniques d'exploitation ont, elles, subi une formation de 2 ou 3 jours selon les cas. Le pilote ayant donné satisfaction, la généralisation de la plate-forme va être lancée.
En terme d'architecture, le noyau Drupal va être gardé unique pour l'ensemble des sites afin de faciliter sa maintenance. Drupal est installé en mode multisites pour pouvoir supporter au fur et à mesure des migrations les 1000 sites du groupe, seul le modèle graphique changeant. Chaque site s'appuie cependant sur sa propre base de données MySQL.
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La Marine achève la refonte de son outil de gestion des RH
La Marine Nationale vient de mettre en service son nouveau SIRH, RH@psodie. Basé sur le Noyau Commun Interministériel Ressources Humaines, lui-même une implémentation de SAP, il a été intégré par Bull. En septembre 2008, le projet avait été annoncé pour un montant de 11 millions d'euros. Le coût exact total n'a pas été communiqué. Le projet d'intégration a nécessité plus de 13 000 jours.hommes sur deux ans.
RH@psodie concerne 46 000 marins d'active, 26 000 réservistes, 900 000 anciens marins, 35 bâtiments ainsi qu'une centaine de sites de la Marine nationale, en métropole, outre-mer et à l'étranger. Il remplace de multiples systèmes dispersés. Basé sur le noyau commun SAP, le nouveau SIRH a été intégré par Bull. Toutes les pièces justificatives associées aux données traitées sont systématiquement dématérialisées et gérées dans un coffre fort électronique.
A terme, ce SIRH de la marine convergera avec ceux des autres entités de la Défense Nationale pour constituer un SIRH unique, après de nouveaux appels d'offres.
Crédit photo : D.R. (...)
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