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(26/04/2010 09:48:37)
Alcatel lance un concours pour l'interface de son 1er GooglePhone
Pour se lancer sur le marché des smartphones Android, plateforme créée par Google, Alcatel fait appel, sous la forme d'un concours, aux développeurs du monde entier pour lui créer son interface.
A la clé, le gagnant remportera 4.000 euros et partira une semaine en Chine pour finaliser l'intégration de l'interface avec les équipes de TCT Mobile, développeur et distributeur d'Alcatel.
Les développeurs inspirés ont tout le mois de mai pour présenter leur projet sur le site Internet dédié, My-alcatel-android-home.com. Dès le mois de juin, le gagnant partira pour la Chine. Le constructeur précise que l'OT-980 sera le premier modèle de la marque à fonctionner sous cette interface.
Crédits photo : Alcatel (...)
TDF s'engage enfin sur la TV sur mobiles
(Source EuroTMT) Geoffroy Roux de Bézieux, le Président d'Omer Telecom, opérateur de téléphonie mobile qui regroupe notamment Virgin Mobile, TELE2 Mobile, Breizh Mobile et Casino Mobile, va-t-il être le sauveur de la Télévision Mobile Personnelle française (TMP) ?
On serait tenté de le croire après l'annonce faite jeudi 22 avril d'un accord entre Omer Telecom et TDF qui consacre Omer Telecom « distributeur mobile exclusif au démarrage de la TMP en France ». Du côté de TDF, on précise que cette exclusivité est temporaire car elle durera « moins de six mois » et les deux nouveaux partenaires rappellent que « ce lancement est soumis à un accord préalable entre TDF et les éditeurs ainsi qu'à l'approbation du CSA ». Un CSA qui a réagi favorablement ce vendredi matin.
La Télévision Mobile Personnelle a donc peut-être des chances de voir le jour car cette nouvelle intervient quelques jours après que le CSA ait autorisé les 16 chaînes sélectionnées pour la TMP à diffuser, à savoir BFM TV, Canal +, Direct 8, Europacorp TV, Eurosport France, I-Télé, M6, NRJ 12, NT1 Remix, Orange Sport Info, TF1, Virgin 17, W9, France 2, France 3 et Arte.
A charge pour elles de présenter d'ici deux mois au CSA « une société chargée d'assurer les opérations techniques nécessaires au lancement de la TMP ». A priori, cette société aura de grandes chances d'être TDF, la seule en lice qui se soit engagée à financer 100 % du réseau et « à couvrir 50 % de la population française métropolitaine lors de son lancement au second semestre 2011, soit plus de 2500 communes, bien au-delà de la couverture de 30 % fixée par le CSA ».
Il ne restait donc plus qu'à trouver un opérateur acceptant de jouer le jeu et c'est donc Omer Telecom qui a décidé d'y aller. Ce qui n'étonne guère Charbel Kfoury, consultant chez Ineum : « Pour faire avancer ce type de dossier, il faut un agitateur d'idée. Dans l'ADSL, ce fût Free. Pour la TMP, ce sera Omer Telecom car de toute façon, les grands opérateurs ne voulaient pas s'engager. » Avec Omer Telecom, c'est donc TDF qui assurera entièrement les coûts et qui "refacturera à ses clients diffuseurs comme nous", précise Geoffroy Roux de Bézieux, le président d'Omer Telecom. On ne sait pas encore comment Omer Télécom va commercialiser son offre TMP. En effet, Geoffroy Roux de Bézieux précise qu'elle « sera incluse dans les abonnements ». Charbel Kfoury souligne qu'« on peut penser qu'il va y avoir des packs thématiques à l'image de ce qui se fait à la télévision. Cela va sans doute pousser les autres opérateurs à s'engager car on distingue enfin un modèle économique »
Photo : Georges Roux de Bézieux, Président d'Omer Telecom
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Ce genre d'annonce était tellement inespéré, que la Secrétaire d'Etat à l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet s'est immédiatement fendue d'un communiqué de presse rappelant que c'est « une étape décisive pour la Télévision Mobile Personnelle et l'espoir d'un nouveau service qui sera apprécié par les abonnés mobiles ». La satisfaction de la secrétaire d'Etat est d'autant plus compréhensible que cela fait plusieurs mois qu'elle milite en faveur de la TMP et que jusqu'alors ses efforts étaient plutôt restés vains. Prévu en 2009, le lancement de la TMP n'a cessé d'être repoussé, les chaînes de télévision, les opérateurs télécom et les diffuseurs ne parvenant pas à s'accorder sur le modèle économique ni sur la norme technique.
Par ailleurs, les opérateurs télécoms, qui avaient un temps semblé enthousiastes, ont commencé à changer leur fusil d'épaule avec l'avènement de la 3G. Ils se sont en effet aperçus qu'ils pouvaient offrir, sans attendre, de la télévision sur téléphone mobile en utilisant leur propre réseau 3G et en facturant les services au prix fort.
Mais ce modèle connait des limites. Avec l'appétence des Français pour l'internet mobile, les réseaux des opérateurs commencent à saturer et la technologie 4 G est loin d'être prête pour accompagner la croissance de la donnée mobile. La TMP sur la norme de diffusion DVB-H peut donc être un palliatif intéressant surtout avec l'engagement pris par TDF.
« On s'est longtemps demandé s'il fallait investir sur le DVB-H car c'est une norme coûteuse. Mais à partir du moment où TDF va prendre en charge les frais de construction du réseau, les opérateurs vont être davantage enclins à s'engager » estime Charbel Kfoury. Olivier Huart, patron de TDF, espère que suite à l'accord avec Omer Télécom « d'autres distributeurs se joindront à nous, dans les prochaines semaines, dans les prochains mois ».
Quoiqu'il en soit, certains obstacles demeurent encore. Outre l'accord nécessaire entre TDF et les éditeurs de contenus, se pose la question du poids important du financement du réseau qui se monterait, selon certaines sources, à près de 60 millions d'euros par an sur 5 ans. Par ailleurs, même si l'arrivée d'Omer Télécom et de ses packs TV permet d'envisager un nouveau modèle économique, celui-ci est encore loin d'être défini. Qui payera ? Pour quel contenu et pour quel service ? Sur quel type de terminal ? Autant de questions auxquelles il va vite falloir apporter des réponses si l'on veut que la TMP puisse décoller. (...)
La Mairie de Chelles protège son SI des attaques mobiles
Chelles est la première ville du département de Seine-et-Marne avec une superficie de 15,9 km² et plus de 51 000 habitants. 960 postes de travail répartis entre les sites de la Mairie de Chelles et de la Communauté d'Agglomération Marne et Chantereine, qui sont gérés également par la direction des systèmes d'information, se connectent sur le réseau de la collectivité.
Celle-ci souhaitait renforcer la sécurité de son SI face à des attaques menées à partir de périphériques mobiles soit infectés (virus sur clés USB par exemple) soit utilisés sciemment à cette fin (y compris des smartphones comme l'iPhone).
La mairie a choisi la solution de l'éditeur DeviceLock pour atteindre cet objectif. Cette solution permet une surveillance complète de l'accès aux ports locaux. Grâce à DeviceLock, la direction des systèmes d'information de la Mairie de Chelles peut rationnaliser l'utilisation des périphériques de stockage amovibles, tels que les clés USB et les disques durs externes mais aussi la connexion de smartphones.
Une liste des périphériques de stockage autorisés à se connecter au système d'information et opérer des transferts de données a été définie afin que la direction des systèmes d'information puisse suivre de façon fiable l'accès aux ports locaux des ordinateurs. DeviceLock permet ainsi de lutter contre l'intrusion de nouvelles menaces. En parallèle, les nouvelles restrictions ont été clairement définies dans la nouvelle Charte « Internet, Informatique et Téléphonie » présentée aux agents, une étape clé dans l'acceptation de la solution et la responsabilisation des utilisateurs. Une console centrale d'administration permet de gérer l'ensemble du parc de postes de travail et les droits affectés groupe par groupe d'utilisateurs.v (...)
Conférence F8 : Une API pour mailler Facebook aux autres sites
Facebook a modifié sa plateforme de développement d'applications pour que le réseau social puisse mailler les informations de ses utilisateurs avec les données d'autres sites web afin accroître encore ses capacités de personnalisation et de valorisation. Ainsi, un internaute se rendant sur un site d'actualités ou de partage de titres musicaux pourra se voir proposer un contenu tenant compte des préférences qu'il aura indiqué sur Facebook ou sur d'autres sites inclus dans la boucle.
Ou encore, il pourra accéder à la liste de ses amis Facebook déjà enregistrés sur le site et, pourquoi pas, consulter les commentaires qu'ils y ont postés. De cette façon, un accueil personnalisé sera mis en place, au hasard des sites que l'on visite, a expliqué Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, à l'occasion de sa conférence développeurs F8 qui s'est tenue le 21 avril à San Francisco
C'est la nouvelle interface de programmation (API) Open Graph, remplaçant Facebook Connect, qui va permettre aux développeurs d'interfacer le réseau social et les activités des utilisateurs avec les autres sites web.
Illustration : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook lors de la conférence F8 (Crédit photo : DR)
PowerPivot hisse le décisionnel dans Excel avec SQL Server 2008 R2
La R2 de SQL Server 2008 a été mise en production cette semaine par Microsoft. Elle sera disponible en mai pour les clients auprès des distributeurs du produit. Cette mise à jour de la base de données relationnelle a muri pendant deux ans et, lors de ses premières présentations, sa version CTP (Community Technology Preview) a été téléchargée plus de 300 000 fois, a indiqué l'éditeur.
Parmi les évolutions importantes figurent l'enrichissement des fonctions décisionnelles avec la technologie PowerPivot (illustration ci-dessus). Cet add-on à Excel permettra aux familiers (voire inconditionnels) du tableur d'effectuer des analyses avancées à partir de leur logiciel de bureautique habituel. Ils l'utiliseront pour charger d'importants volumes de données, potentiellement depuis n'importe quelle source, et les manipuler ensuite très rapidement à l'écran grâce au moteur d'analyse in-memory. A cela s'ajoute l'apport du langage de formules DAX (Data analysis expressions), dont la syntaxe est, assure Microsoft, très proche de celle utilisée pour les formules d'Excel. Celui-ci va servir à effectuer des calculs au sein des tableaux réalisés avec PowerPivot. Il utilise certaines des formules déjà présentes dans le tableur, mais aussi d'autres fonctions conçues pour prendre en compte des données relationnelles et réaliser des agrégats dynamiques sans être un spécialiste des SGBDR ou des concepts OLAP. Ces fonctions (de filtrage, logiques, statistiques...) s'appuient sur les tables et les colonnes et permettent de tirer parti des technologies in-memory pour accélérer les calculs et la présentation des résultats.
Gestion des données de référence et CEP
SQL Server 2008 R2 a par ailleurs amélioré ses capacités de montée en charge en environnement datacenter. En le combinant avec Datacenter Edition, une instance de la base peut tourner sur des systèmes exploitant jusqu'à 256 processeurs logiques (contre 64 précédemment). Le fonctionnement du logiciel dans les environnements virtualisés avec Hyper-V a également été optimisé.
A noter qu'une nouvelle fonctionnalité de l'outil d'administration, Utility Control Point, permet de gérer les règles de fonctionnement sur plusieurs fermes de serveurs SQL à partir d'une seule console.
Deux nouveaux composants apportent aux départements informatiques, d'une part, des outils de gestion des données de références (Master Data Services) et, d'autre part, des fonctions de CEP (complex event processing) pour traiter les flux d'événements complexes (composant StreamInsight).
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