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(23/04/2010 16:17:17)

Un procédé original de gravure des nanostructures

La démonstration concerne deux modélisations en 3D. La première est une représentation du Cervin, montagne des Alpes, haute de 25 nanomètres et la seconde affiche la carte du monde en relief mesurant 22 micromètres sur 11, avec une échelle de 8 nanomètres pour 305 mètres. Pour mettre en perspective ces mesures, environ 1 000 de ces cartes peuvent tenir sur un grain de riz.

La technique utilisée par les laboratoires d'IBM est une aiguille de silicium disposant d'un diamètre de 100 nanomètres à sa base et de quelques nanomètres sur la partie la plus effilée. Cette aiguille est ensuite attachée à un élément flexible qui scanne la surface de la structure avec une précision de 1 nanomètre. Avec une combinaison de chaleur et de force, l'aiguille creuse le substrat pour créer les modèles, comme une fraiseuse ou un tour à bois.

Aujourd'hui, cette technologie permet de graver en 15 nanomètres, mais Big Blue assure pouvoir descendre encore en dessous. Elle représente un moyen de remplacer le mode de gravure actuelle dit de lithographie par faisceau d'électrons et de réaliser des économies de 80 à 90%.

(...)

(23/04/2010 15:11:38)

Entretien : David Scott, CEO de 3Par

Qu'apportent les dernières évolutions logicielles que vous avez présentées auprès des clients et partenaires ?

La solution Adaptative Optimization introduit de la qualité de service (QoS) au sein des classes de stockage. Elle adopte de façon dynamique une meilleure hiérarchisation des requêtes au niveau des sous-volumes de stockage. Ainsi, ils s'adaptent en déplaçant automatiquement des régions de 128 Mo en les affectant au meilleur mode de stockage. Grâce à cette solution, les baies 3PAR peuvent se contenter d'une capacité en SSD, performant mais onéreux, réduite ; l'utilisation des disques FC et SATA étant optimisée.

Comment s'intègrent ces produits dans le cloud ?


L'année 2010 montre que les réflexions sur le cloud avancent vers des concrétisations commerciales. Nos produits sont parfaitement adaptés à la fois au cloud privé et au public. L'intelligence embarquée dans nos solutions s'adaptent à la gestion de l'informatique à la demande.

Quelles sont vos perspectives dans le domaine du stockage ?


Il y a 3 axes de travail. D'abord, le multiclustering ou plus exactement assurer le partage des données entre plusieurs types d'équipements au sein d'une infrastructure commune. Notre objectif est d'assurer l'interopérabilité. Le deuxième est la sécurité qui doit être très forte, tout en rendant flexible et souple la gestion du stockage. Enfin, la rationalisation des coûts passera par le renforcement des services comme Adaptative Optimization.

Pour la suite de l'interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien. (...)

(23/04/2010 12:22:20)

Trimestriels Microsoft : Portés par la vague Windows 7

Au 31 mars, Microsoft a affiché un résultat net de 4,01 milliards de dollars en croissance de 35%. Le chiffre d'affaires progresse de 6% pour atteindre 14,5 milliards de dollars. Pour expliquer ces résultats, Peter Klein, directeur financier de l'éditeur met en avant les ventes de Windows 7 qui ont augmenté de 28% sur le troisième trimestre 2010. A noter, que ce système d'exploitation est installé sur 10% du parc de PC dans le monde. Il ajoute aussi que le moteur de recherche Bing, les consoles Xbox Live et le développement des offres cloud ont contribué aussi à la croissance du groupe.

Dans le détail, la division Windows et Live fait état d'un revenu de 4,41 milliards de dollars contre 3,45 milliards de dollars l'année précédente. Les autres activités participent plus modestement à l'embellie financière. Les versions serveurs et outils affichent 3,57 milliards d'euros (contre 3,49 milliards au 3ème trimestre 2009), l'unité divertissements et terminaux participe à hauteur de 1,66 milliards de dollars (contre 1,63 milliards de dollars, un an avant) et enfin le service Online a récolté 566 millions de dollars (507 millions de dollars en 2009). Seule la division Business recule avec un chiffre d'affaires de 4,24 milliards de dollars contre 4,5 milliards au 3ème trimestre 2009. Cette baisse provient à hauteur de 305 millions d'euros du programme Technology Guarantee de la suite Office 2010, qui prévoit une mise à jour gratuite des utilisateurs d'Office 2007.

Un retour aux investissements

Dans une conférence, Bill Koeffed, en charge des relations avec les investisseurs chez Microsoft a souligné que la croissance a été portée par une forte demande de la part du grand public sur Windows 7. Il s'est déclaré confiant dans l'adoption et la migration des entreprises vers le dernier OS, en mentionnant une augmentation de 14% de ventes sur ce marché lors de ce trimestre. Les revenus issus des offres pour les petites et moyennes entreprises ont progressé de 15%, démontrant un retour aux investissements dans l'informatique professionnelle.

La firme de Redmond constate également un regain dans certaines activités, comme la virtualisation à travers System Center Server, dont le chiffre d'affaires a augmenté de 20%. Les recettes provenant de la publicité en ligne sont loin d'être négligeable avec une croissance de 19%, portées par l'activité moteur de recherche. Enfin Microsoft constate l'ampleur du phénomène cloud via son service Azure. « Nous avons eu plus de 40 millions d'utilisateurs sur nos services en ligne » explique Bill Koefeld et de donner quelques noms de clients tel que Starbucks et McDonalds.

Illustration - Crédit photo : DR

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(23/04/2010 11:58:59)

Annuels Wipro : les services offshore reprennent

Après Infosys et Tata Consultancy Services, c'est au tour de Wipro, la troisième SSII indienne, de communiquer des résultats financiers en nette hausse sur le premier trimestre de l'année 2010 qui constitue aussi pour ces trois sociétés le quatrième de leur exercice fiscal.

L'activité reprend un cours normal, selon Wipro. Le groupe de Bangalore a bénéficié d'un redémarrage sur les services IT en offshore. Sur le trimestre écoulé, il a réalisé un chiffre d'affaires total de 1,55 Md$ dont 1,17 Md$ ont été générés avec les services IT. A l'instar de ses deux concurrents, Wipro a relancé les embauches en prévision d'un accroissement de cette demande, recrutant 5 325 salariés entre janvier et mars 2010, ce qui porte à 108 071 personnes son effectif à la fin du mois dernier. La SSII dit avoir gagné 27 nouveaux clients sur la période.

Sur les douze mois de l'exercice fiscal, les services IT ont pesé près de 75%  des revenus de Wipro, soit 4,5 Md$ (en hausse de 1,6% par rapport à l'an dernier) sur un chiffre d'affaires total qui s'élève à 6 Md$. La SSII propose aussi des solutions d'ingénierie, des services d'infrastructure, des offres de BPO (business process outsourcing) et de matériel. Elle intervient également dans le service client. Globalement, la société ne fournit pas le détail de ses profits par segment d'activité.

Illustration : Azim Premji, Président de Wipro (Crédit photo : DR)

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(23/04/2010 09:56:41)

Devoteam s'équipe d'un réseau social d'entreprise

Devoteam regroupe 4500 salariés dans 23 pays pour délivrer des conseils et des services dans le domaine des TIC. Il disposait bien entendu d'un intranet classique, comprenant une vingtaine de « communautés de pratique ». Mais cette approche avait ses limites par rapport aux possibilités offertes par les technologies actuelles.

Pour faciliter la communication au sein de l'entreprise et inciter ses collaborateurs à mieux partager leurs informations, leurs documentations et leurs expériences ainsi qu'à développer leur réseau relationnel interne, la SSII a choisi de déployer un réseau social d'entreprise. L'objectif est de faciliter le développement du chiffre d'affaires et les synergies entre entités mais aussi à se former aux nouvelles pratiques professionnelles permises par les technologies actuelles, en interne comme avec les clients. Les « communautés de pratique » devraient ainsi gagner en visibilité et en efficacité dans une démarche plus dynamique de knowledge management.

Devoteam a choisi Jive Social Business Software, de l'éditeur Jive Software en mode SaaS. Jive SBS est un progiciel commercial en technologie J2EE pouvant s'installer sur diverses distributions Linux (Red Hat, Suse...) ou Solaris, avec le choix en terme de base de données (Oracle, Microsoft SQL Server, PostGres, MySQL). Il peut s'interfacer avec un annuaire LDAP. L'éditeur propose des implémentations en mode SaaS mais aussi sous forme de licences pour une installation sur des serveurs propres.
(...)

(23/04/2010 10:15:23)

Fibre : un cadre tarifaire qui inquiète les collectivités locales

L'association craint que le très haut débit ne soit deux fois plus cher en campagne, ou dans les zones moins denses, que dans les villes. En cause ? Les principes et les règles de tarification de l'Arcep pour la tarification du très haut débit sur fibre optique. L'Autorité vient en effet, de publier son projet, soumis à consultation, de tarification pour l'usage des infrastructures de génie civil de France Télécom, qui seront utilisées pour déployer les nouveaux réseaux de fibre optique. « Le régulateur propose que le coût soit proportionnel au volume, donc à la longueur occupée » estime l'Avicca.  « or il faut évidemment d'autant plus de longueur que l'habitat est moins dense » critique l'association.

Les règles qui avaient été retenues pour l'ADSL n'ont pas été reprises. « Un opérateur public national [NDLR : France Télécom] a construit les dizaines de millions de lignes téléphoniques que nous utilisons aujourd'hui pour l'ADSL. L'ensemble du coût est réparti, quelle que soit la longueur » reprend l'organisation de collectivités locales.

Un projet discriminant pour les campagnes

Or, pour l'association, demain, c'est le principe de concurrence par les infrastructures qui va être poussé au bout. « Les opérateurs privés vont couvrir la partie la plus rentable, et faire payer de faibles longueurs de déploiement de fibre optique, et de faibles loyers de fourreaux à leurs abonnés. Et pour le reste ? » questionne l'Avicca, soucieuse du sort des citoyens situés en zone faiblement urbanisée.

Yves Rome, président d'AVICCA et du Conseil Général de l'Oise rappelle qu'aujourd'hui, on ne paye pas une ligne de 10 kms au fond de la Corrèze dix fois plus cher qu'une ligne de 1 km à Neuilly. « Quel que soit l'opérateur qui utilise cette ligne, il verse le même prix à France Télécom, que ce soit pour l'abonnement téléphonique, ou pour fournir l'accès à internet, soit environ 9 € par mois et par ligne. »  D'où l'interrogation : veut-on une France à plusieurs vitesses ? En conclusion, l'association demande à l'ARCEP d'adopter pour commencer une tarification du génie civil à la ligne, indépendante de la longueur afin de couvrir les zones non denses, et plus généralement de tenir compte des objectifs d'aménagement du territoire dans la fixation du cadre de déploiement de la fibre optique. Le message sera-t-il reçu ? (...)

(23/04/2010 09:52:40)

Nerim, un opérateur résolument optimiste pour 2010

Dans l'après crise, il y a les optimistes, les modérément optimistes et, catégorie peu fournie, les très optimistes. Dans cette dernière se retrouve Nerim qui  a réalisé 10,5 millions d'euros (M€) de chiffre d'affaires en 2007, 12,5 en 2008, 15 en 2009 et ambitionne de bondir à 20 M€ cette année 2010. « Le résultat d'exploitation est lui-même toujours en progression » nous explique Xavier Grossetête, directeur commercial des ventes indirectes.

Au départ, la société s'est appuyée sur deux points : son propre coeur de réseau et la qualité de service. L'opérateur a également intégré de nouvelles activités :  le xDSL et  la fibre optique, l'hébergement (avec le rachat l'an passé de Sivit), la téléphonie, les architectures privées (pour concurrencer les offres MPLS des grands opérateurs), le centrex, la collecte de trafic. Il est probable que de nouveaux développements vont intervenir, comme la téléphonie mobile. 

Dans cette montée en puissance, les ventes en indirect jouent un rôle privilégié. Il y a dix huit mois, à l'arrivée de Xavier Grossetête, elles représentaient 25% des ventes et ne concernaient que les ventes d'accès internet. Aujourd'hui, elles sont devenues majoritaires, avec deux changements de fonds : la totalité du catalogue est passé en indirect et les partenaires sont dotés d'un programme.

Nerim passe par deux types de partenaires : les courtiers et les intégrateurs en marque blanche.  Parmi ces derniers, Nerim fait appel à plusieurs types de partenaires possibles : VARs, intégrateurs, SSII, revendeurs informatiques.  La société a également mis au point un programme partenaires, nommé : Avantage. Il repose sur la notion de guichet unique (chaque partenaire est affecté à un ingénieur commercial Nerim) et comprend un arsenal de services d'accompagnement  : le catalogue produit, les formations, le support technique, un guichet commercial dédié partenaires, une assistance back-up.

Nerim s'est également structuré en région avec un responsable partenaires Rhône-Alpes et Ile-de-France, un pour la Bretagne, le Nord et l'Est, Xavier Grossetête supervisant lui-même le grand Sud Ouest. La direction des ventes indirectes comprend également un formateur à plein temps et une responsable avant-vente. Nerim compte actuellement 350 partenaires actifs et veut passer à 400. Le Tour de France qui aura lieu en mai juin et à l'automne doit permettre de les rencontrer tous et de recruter. (...)

(23/04/2010 09:46:37)

Alcatel-Lucent teste le 300 Mbit/s sur le xDSL

Selon Stefaan Vanhastel, directeur marketing chez Alcatel-Lucent Wireline Network, les chercheurs des Bell Labs ont présenté une technologie permettant de transférer des données à 300 Mbit/s sur une distance de 400 mètres en utilisant la technologie VDSL2 (Very high bitrate Digital Subscriber Line). Le responsable précise que selon le test, le débit peut même atteindre 100 Mbit/s sur 1000 mètres.

En soi, le VDSL2 plafonne à 100 Mbit/s sur une distance de 400 mètres. Donc pour obtenir un débit trois fois plus important, l'équipementier associe un certain nombre de technologies différentes. Il a ainsi recours à une première astuce, à savoir utiliser deux paires de cuivre simultanément. Une autre possibilité consiste à utiliser ce qu'il appelle le « mode fantôme ». Cette technologie s'emploie à créer virtuellement une troisième paire de cuivre qui envoie des données sur la combinaison des deux lignes physiques. Malgré tout un problème se pose. Lorsque l'on utilise ces deux technologies, on s'expose à beaucoup de diaphonie,  une forme de bruit qui dégrade la qualité du signal et réduit la bande passante. Donc au lieu d'avoir 300 Mbit/s, on n'a plus que 200 Mbit/s.

Pour résoudre ce problème, Alcatel-Lucent utilise la vectorisation, un procédé technique qui s'apparente aux casques anti-bruit. Ce système analyse en continu les conditions de bruit sur les lignes de cuivre et envoie ensuite un nouveau signal pour supprimer ce bruit. Stefaan Vanhastel annonce que « c'est une technologie vraiment complexe qui nécessite le traitement de Go de données sur le signal uniquement pour calculer les modèles de perturbation. »

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A long terme, placer de la fibre-optique jusqu'aux foyers est la meilleure solution pour avoir une bande passante élevée. Et selon le dirigeant, dans 15 ou 20 ans, tous les foyers en seront équipés. Mais en attendant, les opérateurs doivent être capable d'optimiser les réseaux de cuivre existants.

Une technologie en voie de normalisation

Une étude marketing du cabinet Point Topic dévoile qu'actuellement, le cuivre est le moyen le plus répandu pour délivrer du haut-débit. Environ 65% des abonnés ont une connexion haut-débit basée sur le DSL (Digital Susbscriber Line), alors que 20% sont câblés et 12% bénéficient de la fibre optique.D'après cette étude, aujourd'hui, la vitesse moyenne de l'ADSL pour les ménages varie de 9,2 Mbit/s en Europe de l'Ouest et en Asie-Pacifique à 1,9 Mbit/s en Asie du Sud-Est.

Le recours à la vectorisation sur VDSL2 est actuellement en cours de normalisation par l'Union Internationale des Télécommunications. La dernière révision de la normalisation s'achève aujourd'hui et s'il n'y a pas d'autres commentaires, Alcatel-Lucent précise qu'elle sera ratifiée à la fin du mois d'avril. Pour Ericsson, qui travaille aussi sur des produits qui utiliseront la vectorisation, tout sera finalisé au plus tard au mois de juillet. Les deux sociétés pensent débuter cette année les essais sur le terrain de la vectorisation pour commercialiser cette technologie dès 2011.

Des débits qui dépassent les 300 Mbit/s peuvent être atteints en utilisant plus d'une paire de lignes de cuivre. Néanmoins, Alcatel-Lucent opte pour deux paires de cuivre car ce sera selon eux le scénario le plus réaliste au moment où cette technologie sera déployée dans les foyers. Stefaan Vanhastel estime que l'on pourrait utiliser six paires, mais ce serait fait uniquement pour raccorder les entreprises et peut-être pour un usage dans les réseaux de collecte des réseaux télécoms mobiles. Il ajoute : « nous aurions pu annoncer 1 Gbit/s ou 2 Gbit/s, mais nous avons volontairement choisi de ne pas le faire car ce n'est pas un scénario réaliste ». (...)

(23/04/2010 09:47:29)

Le marché de la Business Intelligence a crû de 4,2% en 2009

Selon le cabinet Gartner, le marché mondial de la BI (Business Intelligence) s'est élevé à 9,3 milliards de dollars dans le monde en 2009, en progression de 4,2% par rapport à 2008, où il se montait à 8,9 milliards de dollars. Des chiffres relativement réconfortants. « La croissance a été loin des niveaux de 2008 et n'a pas échappé à la récession, mais la BI a aussi démontré qu'elle n'est pas aussi cyclique que de nombreux autres marchés, enregistrant une croissance saine dans l'une des années les plus difficiles de l'industrie du logiciel », indique Dan Sommer, analyste de recherche principal chez Gartner.

Le cabinet livre également deux analyses complémentaires, l'une par segment à l'intérieur de la BI, l'autre par acteurs de ce marché. Sur le premier point, le Gartner divise les solutions décisionnelles en trois parties : le marché des plateformes, celui des suites de CPM (Corporate performance management, avec notamment les solutions d'élaboration budgétaire, de planification et de consolidation financière) et celui des applications analytiques et de gestion de la performance. Les premières pèsent  64,2% du marché total en 2009, en progression de 4,8%. Les suites de CPM représentent 20,8%, en hausse de 3,6%. La troisième catégorie (15% du total) enregistre une progression plus faible : 2,3%.

IBM réalise la plus forte avancée du classement


Concernant les acteurs, le Gartner constate une forte concentration en tête de classement. Les six premiers s'octroient 75% du marché. SAP/Business Objects est toujours n°1, avec 22,4% des parts en 2009, mais c'est le seul des grands acteurs à enregistrer un recul (-0,6%). Oracle détient 14,5% des parts, en hausse de 5,2%, suivi de très près par SAS Institute, 14,2% des parts et 3% de progression. On trouve ensuite IBM, avec 12,2% des parts et 14% de progression, la plus forte du classement. Microsoft est situé un peu plus loin avec 7,9% des parts et 8,5% de hausse. Microstrategy ferme la marche avec 3,2% des parts et 5,4% de progression.

Le marché mondial de la BI en 2009 selon Gartner

Cliquer sur le graphique pour l'agrandir

Dans les plates-formes de BI, SAP a maintenu son avance. Dans le domaine de la gestion de la performance d'entreprise (CPM), Oracle a conservé son leadership avec le portefeuille acquis d'Hyperion en 2007, alors que SAS est resté le leader des applications analytiques et de PM.

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