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(14/04/2010 16:22:08)
Leo Apotheker retrouve du travail dans le cloud
L'annonce est en ligne sur le site de GT Nexus. Leo Apotheker, ancien dirigeant de SAP AG (qu'il a quitté depuis le mois de février 2010), rejoint le comité exécutif du fournisseur de plate-forme à la demande dédiée à la logistique. Il propose via un portail, une suite logicielle, un réseau pré-connecté de transporteurs et des services de gestion de données.
Pour Leo Apotheker « la prochaine vague des logiciels entreprises sera sur des réseaux de plates-formes comme celle de GT Nexus » et d'ajouter « ces nouveaux systèmes basés sur le cloud ont été conçus pour dépasser les frontières de la simple entreprise en s'interconnectant avec les spécialistes mondiaux du commerce, procurant ainsi une agilité aux sociétés. GT Nexus est à la pointe de cette révolution avec comme axe, le commerce mondial et la logistique ».
Du côté du fournisseur de solutions, on se réjouit de cette arrivée, avec l'expérience de l'ancien responsable de SAP AG.
MySQL selon Oracle : un soupçon de libre et une dose de commercial
« MySQL dispose de plusieurs propriétés, qu'Oracle n'a pas » souligne Edward Screven dans une interview à Infoworld avant son discours lors de la conférence O'Reilly MySQL et d'ajouter « c'est petit, facile à installer et accessible pour les développeurs ». La base de données en open source donne à Oracle l'accès à un segment de marché non adressé par ses produits. « Il est important pour nous que MySQL soit un succès commercial. Et cela passera par des investissements de notre part » explique Edward Screven. Le dirigeant rappelle que des efforts ont déjà été réalisés pour améliorer les performances du système, avec l'intégration des équipes MySQL et InnoDB (moteur de stockage). Cette action a permis une augmentation de 35% des performances des bases de données MySQL fonctionnant avec 100 connexions simultanées. Les évolutions à venir porteront sur l'amélioration de cette vitesse en se reposant sur une granularité plus fine des requêtes de recherches et la réduction des conflits d'accès. « Une partie du problème, qui existait entre InnoDB et MySQL, était la mauvaise coordination des dates de sortie des produits. Cela rendait très difficile le déploiement des dernières évolutions au sein des versions finales » analyse Edward Screven.
Il a également indiqué que ce renforcement de la performance, ainsi que d'autres évolutions seraient disponibles à la fois pour la communauté des développeurs, mais surtout à des fins commerciales. Néanmoins, certaines fonctionnalités, comme la sauvegarde à chaud ou la surveillance, ne se trouveront que dans l'édition entreprise. Même si des initiatives sur les moteurs de stockages ont été réalisées par la communauté MySQL à travers des outils comme MariaDB et Drizzle, l'architecte en chef réaffirme que les efforts d'Oracle sur MySQL seront orientés vers ses clients.
Il n'est pas sûr que ces propos aient levé les doutes auprès de la communauté MySQL.
Vision croisée sur l'adoption du e-commerce
Le e-commerce est en pleine croissance. Le FEVAD (Fédération des Entreprises de Vente à Distance) avec l'appui du Secrétariat d'Etat chargé du commerce a à ce titre annoncé dans une étude publiée en février dernier qu'en France, les ventes en ligne ont progressé de 26% en 2009. En réponse à cet engouement, nombre d'entreprises qui ne sont pas des pure player se lancent de plus en plus dans la commercialisation de leurs produits sur la toile. Face à ce nouveau modèle économique, des équipes se créent, spécialisées dans le web et travaillent en étroite collaboration avec la direction générale, les directeurs produits et les services marketing. « On fait attention à notre métier, car il est de plus en plus important » précise Sylvain Caubel, Directeur e-commerce chez Lafuma. Bien que le e-commerce soit traité à part de la vente traditionnelle, le dialogue est indispensable entre les managers. Comme le précise le responsable, « notre activité e-commerce est directement rattaché à la direction générale et deux fois par an nous travaillons ensemble pour regarder les budgets. En complément, nous réalisons un point mensuel sur les contrôles de gestion de chaque ligne produits ».
Mathieu Parisot, Directeur e-commerce pour la société Philips France, ajoute à ce titre « mon combat quotidien est de convaincre l'équipe commerciale ». Parfois des conflits peuvent émerger car les directions en charge des produits estiment parfois qu'ils sont en concurrence avec l'activité du e-commerce. Mathieu Parisot a trouvé un remède « il ne faut pas mettre exactement les mêmes produits sur le web et dans les points de vente ». De son côté, le cadre de Lafuma affirme qu' « après comparaison des bases de données, il s'avère que nous n'avons que très peu de clients en commun ».
Complémentarité financière et diversité stratégique
En dépit de l'indépendance de la filière e-commerce, la gestion des coûts est étroitement liée à celle des directions en charge des produits, car les frais engendrés sur le web leur sont directement imputés. Au total, six types de coûts sont distingués : les ressources humaines, les achats, la logistique, la technologie, la publicité ainsi que le service client avant la vente associé à la constitution de base de données. Le groupe Lafuma a réalisé des développements importants pour assurer un service conséquent à ses clients. Il précise à ce titre que : « nous avons permis aux magasins d'approvisionner des commandes web».
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Un tel projet web nécessite une organisation exemplaire. « En mars nous élaborons des prévisions pour les six mois à venir et en avril, mai et juin nous projetons les années futures ». En plus, il faut réfléchir régulièrement à des stratégies à mener pour attirer davantage de client sur le site Internet de commercialisation, mais pas uniquement. Sylvain Caubel annonce « nous avons un pôle appel qui constitue environ 20% de nos commandes ». Le but est de capter une clientèle qui cherche la mobilité, la facilité d'accès, sans pour autant passer par Internet. C'est notamment le cas des personnes âgées.
Philips se lance, lui, dans une toute autre activité annexe et mise sur les réseaux sociaux. Mathieu Parisot insiste « j'ai exploré les réseaux sociaux et j'ai remarqué que la marque a sa place ». Le e-commerce s'attaque donc désormais aux sites communautaires. « Sur le web il faut aller où sont les clients. Nous avons donc décidé de nous en remettre de plus en plus aux blogueurs dont nous nous servons comme relais » explique Mathieu Parisot. Selon lui, les systèmes d'information doivent être utilisés au mieux. Il prévoit donc d'une part de faire intervenir les internautes sur leur site de vente en ligne et d'autre part de conquérir les téléphones mobiles.
(...)(14/04/2010 13:30:51)Le Power7 arrive sur les blades IBM
Disponible en juin prochain, les blades Power7 pourront accueillir des puces huit coeurs, contre seulement deux pour les Power6. IBM pourra toutefois désactiver la moitié des coeurs pour proposer des configurations plus attractives financièrement. Le modèle d'entrée de gamme, le PS 700, sera par exemple livré avec 4 coeurs, alors que le serveur milieu de gamme, le PS701, sera équipé de huit coeurs et une version double lames, PS702 Express, pourra totaliser jusqu'à 16 coeurs, souligne Steve Sibley, directeur marketing de la ligne Power system chez IBM. Précisons toutefois que les clients qui se seront portés acquéreurs d'un PS700 ne pourront pas activer à la demande les 4 coeurs inactifs. C'est une possibilité qu'IBM réserve aujourd'hui à ses systèmes haut de gamme.
Ces blades pourront être équipées d'un maximum de 128 Go de mémoire vive DDR3 par serveur, soit le double de ce qui était possible sur les systèmes équipés de Power6. IBM positionne ces lames pour les bases de données, les applications de back office et l'apport significatif en mémoire vive permettra de faire fonctionner un plus grand nombre de machines virtuelles dans le cadre d'un politique de consolidation de serveurs. Les clients qui le souhaitent pourront installer ces lames dans des armoires déjà équipés de lames Power6 et x86, confie Steve Sibley.
Pour la partie logicielle, IBM annoncé une mise à jour d'i5/OS, une solution packagée qui intègre une base de donnée, l'OS et un serveur web. Baptisé version 7.1, cette évolution reconnait automatiquement la présence de périphériques SSD et se configure pour exploiter au mieux les ressources de la machine. Le support XML sera natif avec la base de donne intégrée.
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Big Blue délivre également une édition repensée d'Aix 6, appelé pour l'occasion Aix 6 Express. Un ticket d'entrée à la solution Unix d'IBM limitée à quatre coeurs et à un maximum de 8 Go de mémoire vive par coeur. Selon Steve Sibley, cette version est destinée aux clients qui n'ont pas vraiment besoin d'utiliser un maximum de coeurs et répond à des besoins comme la consolidation de plusieurs petites instances Aix sur une machine plus performante.
Précisons qu'un passage à Aix 7, le navire amiral d'IBM, est indispensable pour exploiter les ressources des puces Power7. Disponible en beta cet été, cette évolution est attendue en version définitive dans la seconde partie de l'année. Les clients pourront toutefois faire tourner Aix 6 de concert avec Aix 7, quelque chose d'impossible jusqu'à présent chez IBM. Cela signifie qu'il sera possible de mettre à jour un serveur vers Aix 7 tout en conservant ses applications dans l'ancien environnement. IBM précise que ces deux OS sont binaire compatible, et que les applications pour Aix 6 s'exécuteront sur Aix 7. « Certaines applications ou outils sont très spécifiques, et les clients ne désirent pas toujours repasser par la case des certifications » pour ce nouvel OS, assure Steve Sibley.
Enfin, IBM annonce la version 7.6 de Rational Developer for Power qui donnera aux utilisateurs d'Aix un environnement de développement plus moderne basé sur Eclipse et supportant les langages C/C++et Cobol. Un compilateur Rational pour C/C++ et Fortran est également annoncé.
IDF Pekin : Android sur Atom et processeurs Sandy Bridge en vue
Dans la capitale chinoise, les journées IDF (Intel Developper Forum) ont été l'occasion pour le fondeur de dévoiler quelques informations. La première concerne le portage du système d'exploitation de Google, Android, sur des smartphones équipés de processeurs Atom. Pour Renee James, responsable du groupe logiciels et services d'Intel, a expliqué « nous souhaitons assurer la compatibilité de tous les OS pour les terminaux sous Atom ». L'objectif est de concurrencer ARM, qui domine le marché des puces à destination des smartphones. Les processeurs Intel sont élaborés sur une architecture x86, alors que ceux de ARM évoluent sur RISC (reduced instruction set computer). Cette différence est importante pour la mise en place des OS. Intel est résolument offensif sur le sujet, même si lors du forum, aucune date, ni plus de détails n'ont été annoncés sur ce projet.
Des puces Sandy Bridge en orbite
Lors de l'évènement chinois, Intel est revenu sur la dernière famille de microprocesseurs, connus sous l'appellation Sandy Bridge. Ils seront mis en production à la fin de l'année 2010 et s'adresseront aux PC fixes et portables, mais pas aux serveurs, selon David Permutter, chef du groupe architecture des processeurs. Leur commercialisation est attendue au début 2011.
Cette famille de processeur a été élaborée à partir de la seconde génération de la technologie High-K metal gate produite en 32 nanomètres. Sandy Bridge intègre plusieurs coeurs, un contrôleur mémoire, un sous-système de cache et la sixième génération de circuit graphique, le tout sur une seule puce. Cette dernière embarquera les instructions Advanced Vector Extensions, une technologie qui améliore les performances de l'ordinateur en matière de traitements vidéo, photo et audio. Ces processeurs devront remplacer les Nehalem (400 millions d'unités vendues à date), qui étaient les premiers à utiliser High-K metal gate.
Intel ne se repose pas sur ses lauriers et travaille dès à présent sur une nouvelle ligne de microprocesseurs, sous le nom de code, Ivy Bridge, qui seront gravés en 22 nanomètres.
Trimestriels 2010 : Intel publie de résultats supérieurs aux attentes
Le fondeur Intel a publié mardi des résultats records pour le premier trimestre de l'exercice 2010, supérieurs aux attentes des analystes. Le leader mondial des microprocesseurs a en effet totalisé un chiffe d'affaires de 10,3 Md$, en repli de 3% en comparaison avec le trimestre précédent, mais en croissance de 44% par rapport à l'année précédente. Le bénéfice opérationnel, s'est élevé à 3,4 Md$, soit + 38% par rapport au précédent trimestre, bondissant de 433%, comparé à l'an passé.
Ce trimestre a été marqué par une hausse des ventes des microprocesseurs et chipsets, avec en janvier dernier, le lancement des derniers Core i3, i5 et i7 pour ordinateurs portables et PC de bureau, suivi, en mars, par la sortie des Xeon 7500 et 5500. Ces processeurs ont été réalisés en utilisant le procédé de fabrication 32 et 45 nanomètres, rendant les puces plus rapides et plus économes en énergie tout en réduisant les coûts de fabrication. En février 2009, Intel avait d'ailleurs annoncé qu'il allait investir 7 Md$ au cours des deux prochaines années pour moderniser ses usines de fabrication afin de réduire les coûts de fabrication des puces et en augmenter la production. « Les investissements que nous réalisons dans les technologies de pointe se sont concrétisés par les produits les convaincants de notre histoire » a commenté Paul Otellini, président d'Intel dans un communiqué. « Nous ne pouvons qu'être optimistes quant au devenir de notre activité, nos produits étant conçus sur une variété de nouveaux créneaux porteurs. »
Pour son second trimestre fiscal 2010, Intel table sur des revenus à 10,2 Md$, soit une hausse de 27% par rapport au second trimestre 2009. La marge brute est estimée à 64%, plus ou moins deux points de pourcentage. Les dépenses de R&D et les frais généraux et administratifs devraient avoisiner quelque 3,1 Md$.
(...)
Annuels Infosys : La SSII recommence à recruter et annonce un accord avec Microsoft
La SSII indienne Infosys Technologies vient d'annoncer des résultats trimestriels illustrant un redressement de l'activité pour les acteurs de l'outsourcing IT. Exprimés en dollars, le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre fiscal, clos le 31 mars, a progressé de 15,6%, à 1,3 Md$, par rapport au quatrième trimestre de l'exercice précédent, et son bénéfice net de 8,7%, à 349 M$. En revanche, exprimés en roupies indiennes, le chiffre d'affaires trimestriel n'a progressé que de 5,5% d'une année sur l'autre et le bénéfice net a baissé de 0,9%. Deux tiers de ces revenus sont réalisés avec l'Amérique du Nord, et 22,5% viennent des activités européennes. La deuxième SSII indienne, derrière le numéro un Tata Consultancy Services, et devant Wipro, dit avoir gagné 47 nouveaux clients sur la période.
Sur l'année fiscale, la hausse du chiffre d'affaires de la SSII se limite à 3%, en dollars, à 4,8 Md$, et celle du bénéfice net à 2,5%, à 1,3 Md$. Sur la première partie de son exercice, Infosys a dû faire face aux reports, voire aux interruptions de contrats entraînés par la crise économique.
Infosys va prendre en charge les services IT internes de Microsoft
Pour le trimestre qu'elle vient d'entamer, la SSII prévoit une hausse de 18,5 à 19,4% sur son chiffre d'affaires en dollars par rapport à l'an dernier, même si elle estime que le contexte économique reste difficile. A l'instar des autres sociétés indiennes d'outsourcing IT, elle a recommencé à embaucher des effectifs importants depuis janvier, pour anticiper une amélioration de l'activité. Infosys a ainsi recruté 3 914 personnes sur les trois derniers mois, portant son effectif à près de 113 800 salariés fin mars. Selon le cabinet d'études Gartner, les investissements IT dans les services vont augmenter de 5,7% cette année, pour attendre 821 Md$. Cela devrait notamment profiter aux spécialistes indiens de l'outsourcing.
Sur l'ensemble de l'exercice fiscal 2011, Infosys prévoit entre 16 et 18% de progression sur son chiffre d'affaires en dollars. Signe plus qu'encourageant, la SSII vient d'annoncer qu'elle allait prendre en charge, de façon globale, les services IT internes de Microsoft dans le cadre d'un contrat de trois ans, qui va concerner 450 sites à travers 104 pays. Infosys assurera l'assistance aux utilisateurs (help desk et maintenance du poste de travail), ainsi que les services de support associés aux infrastructures et aux applications.
Illustration : Kris Gopalakrishnan, PDG d'Infosys (Crédit photo : DR)
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