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(12/04/2010 17:53:10)
Steve Jobs ne veut pas de « sous-applications » sur l'iPhone
Le patron charismatique d'Apple a pris son clavier pour répondre à un développeur de logiciel, concernant le débat sur les changements de la licence du kit de développement d'applications sur iPhone. Ces derniers impliquent notamment l'interdiction faite aux développeurs d'utiliser des applications tierces, autres que Cocoa (langage de programmation en C et C++ spécifique à Apple). Le dirigeant a répondu dans un premier temps qu'il était en phase avec l'analyse d'un bloggeur, John Grubber, qui estime que la politique d'Apple s'explique par une volonté de protection de son modèle en évitant la création de « méta-plate-forme » à disposition de tous les terminaux mobiles. A noter que ce débat intervient aussi alors qu'Adobe présente aujourd'hui sa Creative Suite 5, avec la possibilité d'émuler du Flash sur l'iPhone. Mais avec les limitations dans l'utilisation du SDK de l'OS 4 du smartphone, l'utilisation du compilateur cross plate-forme de cette suite apparaît comme compromise.
Le développeur a poursuivi sa discussion avec Steve Jobs en lui soumettant l'idée que Firefox était un contre-exemple d'une application qui s'adapte sur plusieurs plate-formes mobiles. Le médiatico-dirigeant s'oppose à cette vision « On a déjà vu ça, au bout du compte, des couches intermédiaires entre la plate-forme et le développeur finissent par produire des standards reposant sur des sous-applications qui entravent les progrès de la plateforme ».
(...)(12/04/2010 17:17:11)Les tablettes, moteur de croissance du stockage dans le cloud
La flexibilité qu'apporte le stockage dans le cloud « n'est pas simplement une belle chose, mais répond à une nécessité quand vous travaillez avec des terminaux aux capacités limitées » explique Avi Greengart, analyste sur les produits grand public, chez Current Analysis et d'ajouter « si vous disposez que d'une mémoire flash, vous ne pourrez pas synchroniser grand-chose ». Or, de plus en plus de tablettes utilisent la mémoire flash de type NAND qui offre des capacités allant jusqu'à 64 Go.
Par exemple, l'iPad se décline en trois versions 16 Go, 32 Go et 64 Go. De son côté, HP a dévoilé un peu plus les caractéristiques de son produit, Slate, qui sera équipé d'une mémoire flash de 32 Go ou 64 Go. L'analyste estime peu probable que ces tablettes embarquent dans l'avenir autant de capacité que les notebooks ou les netbooks. Les utilisateurs de tablettes auront donc le choix de se tourner vers plusieurs fournisseurs, comme Box.net, Live Mesh, JungleDisk, Dropbox et SkyDrive. En complément des services de stockage en ligne, ces éditeurs proposent la synchronisation des dossiers et fichiers entre plusieurs terminaux (une tablette et un micro-ordinateur).
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Une appétence et des offres
Adam Couture, analyste chez Gartner perçoit également une grande appétence pour les services de stockage en ligne avec l'intérêt des consommateurs pour les tablettes. « Ces services sont utilisées depuis longtemps par les possesseurs d'ordinateurs portables ou de bureau, intégrant un disque dur, les produits en mode cloud devrait devenir la première option de stockage ». Il complète son propos en indiquant « lorsque vous utilisez une application sur un Blackberry, vous achetez de la mémoire incrémentale. Ne serait-il pas mieux d'acquérir ce supplément dans un environnement cloud ? ». Les services de stockages en ligne « existent depuis longtemps, mais l'arrivée de l'iPad les a remis au goût du jour, avec des termes nouveaux » poursuit Adam Couture « cela signifie que vous n'allez plus synchroniser vos données en un point particulier, maintenant que vous pouvez y accéder à travers le cloud sans se préoccuper du type de terminal, ni de trouver le bon fichier » conclut l'analyste.
Preuve de cette émulation dans ce domaine, l'arrivée de la tablette d'Apple a vu fleurir des solutions de stockage et de synchronisation des données. Ainsi, SugarSync propose un service permettant aux utilisateurs d'iPad de synchroniser et de partager des fichiers, photos, musiques et vidéo stockés dans le cloud. Pour la fondatrice de la société, Laura Yecies, les utilisateurs ont le choix de télécharger un seul fichier plutôt qu'un dossier entier à partir d'un Macintosh, d'un PC sous Windows ou un smartphone. On peut accéder au contenu à distance sans utiliser la mémoire interne du terminal. Sur le plan tarifaire, SugarSync propose 2 Go gratuitement, une évolution vers 30 Go coûtera 50 dollars par an et la capacité peut atteindre 500 Go pour les plus gourmands. Ce service peut être utilisé en complément de la solution d'Apple pour le cloud « iWork document creation et editing tool », une partie du service de stockage en ligne MobileMe. Les outils Apple créent le contenu téléchargeable par SugarSync sur plusieurs plateformes.
Les professionnels s'intéressent également à ces services. Ainsi, Rackspaces Cloud a lancé récemment une application gratuite pour l'iPad, CloudPro, donnant aux utilisateur la possibilité de surveiller depuis sa tablette des serveurs Rackspace, d'appliquer des backup, de créer des VM, de les rallumer ou de les effacer à distance.
(...)(12/04/2010 17:18:11)Truffle 100 France 2010 : les plus petits éditeurs grossissent mais manquent toujours de soutien
En 2009, le chiffre d'affaires total des cent premiers éditeurs français de logiciels aura tout de même progressé de 5,3%, à 6 milliards d'euros. Truffle Capital, qui vient de mettre à jour son Top 100, fait apparaître une évolution équivalente pour la part de ce CA relevant exclusivement des activités d'édition : 4 Md€ contre 3,8% en 2008.
Le Top 5 réalise 55% du CA Edition, le numéro 1, Dassault Systèmes avec ses 1,25 milliards d'euros, pesant à lui seul 31% du Top 100. Derrière suivent Sopra Group/Axway (317,9 M€), Murex (265 M€), Cegid (219 M€) et Linedata services (144,5 M€). Malgré tout, ce quintet s'est légèrement érodé l'an dernier puisqu'il pesait 56% du Top 100 en 2008. Il est vrai que le chiffre d'affaires de Dassault Systèmes s'est trouvé quelque peu écorné en 2009.
Le Top 20 représente toujours 75% des revenus générés par le palmarès du Truffle 100, tout comme en 2008. Entre la 21e et la 100e place, les chiffres d'affaires s'étagent entre 5,2 et 27,6 M€. Les petits éditeurs ont globalement progressé en valeur : un an plus tôt, le 100e du classement ne réalisait que 4,5 M€ (3,7 M€ en 2007).
Le secteur résiste mais réduit ses marges
Le secteur a fait donc preuve l'an dernier d'une certaine résistance (fin 2008, les premiers effets de la crise avaient fait reculer le CA total de 1,7%, à 5,7 Md€). Néanmoins, le Top 100 n'a toujours pas retrouvé son niveau de 2007 (6,3 Md€) lorsque Business Objects faisait encore partie des fleurons de l'industrie hexagonale du logiciel. Depuis trois ans, plusieurs acteurs importants ont quitté le Top 100. Après BO, GL Trade et Ilog ont été rachetés par des éditeurs étrangers. Et l'an dernier encore, Viveo (46 M€ de CA) et Etap-on-Line (7,5 M€) ont quitté le giron français, le premier racheté par le Suisse Temenos, le deuxième par l'Américain Concur.
Par ailleurs, si le chiffre d'affaires total du Top 100 a augmenté en 2009, « les marges sont sous pression », pointe Bernard-Louis Roques, directeur général, co-fondateur de Truffle Capital. De fait, le résultat net consolidé des éditeurs a chuté à 254 M€, contre 432 M€ en 2008, et il ne représente plus que 4,3% du chiffre d'affaires total (7,6% en 2008). En outre, les profits se concentrent davantage encore sur les plus gros acteurs : les cinq premiers du classement s'en octroient 91% (contre 84% un an plus tôt).
Illustration : Répartition du chiffre d'affaires du Truffle 100 en 2009 (Source : Truffle Capital)[[page]]Les effectifs progressent, globalement et en R&D
« La surprise, dans ce contexte difficile, c'est que les éditeurs ont continué à investir massivement en R&D, souligne en revanche Bernard-Louis Roques. Ils ont gardé le cap en raisonnant sur le long terme. Par rapport à d'autres secteurs, ils ont sans doute une meilleure visibilité grâce aux revenus récurrents que constituent d'une part, la maintenance annuelle associée aux logiciels et, d'autre part, les souscriptions. »
En un an, l'effectif total des cent premiers éditeurs français a augmenté de 2 735 personnes, à 53 933 collaborateurs, dont 19,5% employés sur les activités R&D (19,7% en 2008). Ces dernières sont stratégiques et une majorité d'éditeurs, 63%, n'envisagent toujours pas de les délocaliser. Ils sont toutefois un peu moins catégoriques chaque année. En 2008, ils étaient 68% à ne pas vouloir délocaliser leur R&D, 71% en 2007, 73% en 2006. « En grande majorité, les emplois de R&D ne sont pas 'outsourcés', estime Bernard-Louis Roques. Certaines parties non critiques peuvent l'être, mais pas les compétences-clés qui sont conservées en interne pour maintenir la réactivité et ne pas risquer de transférer son savoir-faire à ses concurrents ».
A noter qu'à eux seuls, les cinq premiers éditeurs regroupent 53% des effectifs R&D (10 518 personnes) du Top 100 et 45% de l'effectif total.
Le Crédit Impôt Recherche profite surtout aux plus gros
Toutefois, les petits éditeurs, en progression, peuvent être considérés aujourd'hui comme l'un des moteurs de l'industrie, à un moment où certains leaders souffrent de la crise, soulignent les promoteurs du Truffle 100. Il convient donc de les soutenir. Or, certaines mesures, telles que le Crédit Impôt Recherche (réformé en 2008) profitent surtout aux plus grandes structures. « Le rapport du Conseil des prélèvements obligatoires a montré que 80% du CIR vont aux entreprises de plus de 250 salariés », rappelle notamment Bernard-Louis Roques. Il insiste aussi sur la nécessité de mettre en place un Small Business Act à la française qui permettrait de réserver une partie des achats publics aux PME. Les avancées en la matière sont insuffisantes. « Ce combat n'est pas simple parce qu'une partie importante des décideurs politiques n'y est pas encore sensible », regrette le co-fondateur de Truffle Capital qui insiste sur la nécessité d'attirer l'attention, sans relâche, sur ces questions.
Sopra Group recherche plus de 1 000 informaticiens
La SSII Sopra Group (12 000 collaborateurs dans le monde) prévoit de recruter 1 000 informaticiens dans l'Hexagone pour ses trois métiers : le conseil, l'intégration de systèmes et l'édition de logiciels. Les nouvelles recrues seront, pour moitié, des jeunes diplômés de niveau Bac + 5, issus d'écoles d'ingénieurs, d'universités, d'écoles de commerce. 30 % des candidats devront faire valoir une première expérience dans le métier des services
(1- 3 ans environ), 15 % seront des profils expérimentés (de plus de 3 ans à moins de 10 ans), et 5 %, des profils très expérimentés (plus de 10 ans). Les postes à pourvoir sont des ingénieurs d'études, des chefs de projets, des directeurs de projets, des architectes et des consultants.
Ces recrutements s'effectueront pour moitié en Ile-de-France, l'autre dans les 25 implantations régionales du groupe.
(...)
IPhone 4.0 est-il prêt pour les entreprises ?
Les modifications annoncées sur iPhone OS 4.0 ont déjà suscité des avis positifs de certains analystes, auparavant assez critiques quand à l'usage de l'iPhone dans l'entreprise, même si certains continuent d'exprimer des réserves quant au large déploiement du smartphone d'Apple dans les institutions publiques ou certains types d'entreprises comme les banques. « Avec l'OS 4.0, Apple se met beaucoup plus en phase avec l'usage professionnel que toutes les versions précédentes du système d'exploitation de l'iPhone, » a déclaré Ken Dulaney, analyste chez Gartner, et auparavant virulent critique du smartphone de la pomme et de son usage dans l'entreprise. « Manifestement, Apple a eu beaucoup de retours de la part des professionnels et en a tenu compte ». La firme de Cupertino a ainsi crée une page web spéciale dans laquelle elle expose en détail les mises à jour et comment elles permettent à l'iPhone de mieux s'intégrer au monde de l'entreprise.
Dans un blog, Ted Schadler, de Forrester Research, s'est également mis à vanter les améliorations apportées par la version 4.0, en faisant toutefois remarquer que les boutiques informatiques ne seront toujours pas en mesure de faire leur propre marketing, ni de proposer les mises à jour logicielles aux utilisateurs d'iPhone. Cela signifie que ceux-là devront toujours cliquer sur un bouton de mise à jour pour obtenir les dernières versions logicielles et que les revendeurs devront faire confiance aux utilisateurs pour charger la dernière version disponible. Même si Ted Schadler estime que ce n'est pas un problème majeur, Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates, juge que cette limitation constitue un «obstacle à l'adoption de l'iPhone par les banques et les sociétés réglementées. » Ken Dulaney indique que les utilisateurs professionnels étudient encore les limites possibles de la version 4.0 de l'iPhone, précisant que la mise à jour ne pourra « être complètement évaluée qu'à partir de cet été, soit quand le matériel sera disponible. »
Même si Apple n'a pas listé dans les capacités qui pourraient intéresser les entreprises, celle de pouvoir travailler en multitâche, d'une manière quelque peu limitée, Ken Dulaney pense que cette amélioration pourrait néanmoins permettre le traitement en arrière-plan, ce qui aiderait à lever un certain nombre de limitations, notamment pour la gestion des périphériques, la sécurité et la téléphonie.
(...)(12/04/2010 16:05:16)
Information judiciaire ouverte sur les suicides chez France Télécom
Le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une information judiciaire sur la série de suicides - 48 cas depuis 2008 - de salariés de France Télécom. La procédure judiciaire porte sur le harcèlement moral et la mise en danger de la vie d'autrui. Elle fait suite à une plainte déposée en décembre dernier par le syndicat Sud et à un volumineux rapport de 82 pages remis en février par l'inspection du travail. Le document pointe la politique de réorganisation et de management de l'entreprise, ainsi que de ses effets sur la santé physique et mentale des salariés. Il met en cause, à travers l'examen de 17 cas de suicides et de situations de mal-être au travail, le caractère pathogène que pourrait avoir l'organisation du travail décidée au sein de France Télécom et déclinée au niveau de ses directions territoriales et métiers.
Le rapport de l'inspection du travail établit, en outre, un lien explicite entre le plan « Next », proposé par l'ex-PDG Didier Lombard, ayant pour objectif le départ de 22 000 salariés (sur 120 000) au cours de la période de 2006 à 2009 et de 14 000 mobilités forcées. Il estime, en conclusion, que les atteintes à la santé mentale et l'absence de prise en compte des risques psychosociaux liés aux réorganisations sont le résultat d'une politique mise en oeuvre nationalement entre 2006 et 2009. Le rapport constate aussi que la responsabilité de cette politique et ses effets n'incombent pas à chaque directeur d'unité qui n'ont fait qu'appliquer des décisions et des méthodes prises au plus au niveau du groupe, mais directement aux principaux dirigeants du groupe, Didier Lombard, actuel président (sans pouvoir exécutif), Louis-Pierre Wenes, ancien directeur délégué, et Olivier Barberot, DRH du groupe.
Dans le cadre de cette instruction judiciaire la CFE-CGC/UNSA a, pour sa part, décidé de se constituer partie civile. « L'ouverture d'une instruction par le parquet de Paris marque un tournant par son ampleur, a indiqué son président Sébastien Crozier puisqu'elle concerne la stratégie nationale de l'entreprise et par les personnalités visées, à savoir ses dirigeants. En effet, le parquet peut opter pour deux alternatives, soit décider de classer l'affaire, soit contraindre les personnes morales responsables à comparaître devant le tribunal correctionnel ».
(...)
La DGAC renouvelle son infrastructure réseau nationale
Pour répondre aux exigences techniques, la DGAC a choisi l'offre SFR Business Team avec la sous-traitance de Hub Telecom (filiale d'Aéroport de Paris, pour le raccordement au sein de Orly et de Roissy) et de TDF (raccordements de sécurisation à base de faisceaux hertziens). Le déploiement des nouvelles infrastructures a commencé et va se poursuivre jusqu'en 2011. Le contrat porte sur la fourniture de l'infrastructure durant une période totale de dix ans. Renar-IP comporte près de 800 kilomètres de fibres optiques dédiées. Les prestataires garantissent un service client dédié avec des délais d'intervention sur les zones aéroportuaires en moins de quatre heures, 24h/24 et 7 jours/7. Le budget du projet n'a pas été communiqué. (...)(12/04/2010 15:31:00)
Gartner prévoit une progression des dépenses IT en 2010 : +1,6% ou +5,6% en tenant compte de la baisse du dollar
Après un solide 1er trimestre 2010, qui suit un bon 4è trimestre 2009, le cabinet Gartner se permet une prévision relativement optimiste pour 2010. Il s'agit d'un chiffre très global, concernant l'ensemble des dépenses mondiales IT, mais très significatif après une année de crise. Le Gartner évalue la dépense mondiale à 3 400 milliards de dollars en 2010, contre 3 200 en 2009, soit une augmentation de 5,3%. Attention toutefois aux effets de change. Sur les 5,3% de croissance attendus, 4% sont dus à un déclin prévu du dollar par rapport à l'an passé. La véritable croissance, celle due aux ventes, serait de 1,6%, précise le Gartner, à comparer à une baisse de 1,4% en 2009. En 2011, les ventes mondiales dans l'IT seraient à 3,5 milliards, en progression de 4,2% par rapport à 2010.
Par secteurs d'activité, le hardware progresserait de 5,7% en 2010 (à 353 milliards de dollars), après une chute de 12,5% en 2009. «Ce secteur a enregistré la plus forte baisse de tous les grands secteurs en 2009, il est en passe d'engager le plus forte rebond, en 2010», explique George Shiffler, directeur de recherches au Gartner. En fait, cette reprise sera due essentiellement au grand public et aux ventes de PC portables. Pour les entreprises, il faudra attendre 2014 avant de retrouver le niveau de ventes de 2008. Seuls le stockage et une partie du marché des serveurs (dans le cadre de la virtualisation) resteront positifs dans le secteur entreprises.
Le logiciel, serait en progression de manière presque équivalente, +5,1% (232 milliards de dollars), mais après un recul plus faible, -2,1% en 2009. L'impact de la crise n'est pas aussi dramatique sur ce secteur que pour les autres, note le Gartner. Les services progresseraient de 5,7% en 2010 (821 milliards de dollars), après une baisse de 4% en 2009. Enfin, les télécoms seraient en progression de 5,1% en 2010 (1988 milliards de dollars), après une baisse de 3,4% en 2009.
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