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(12/04/2010 15:06:20)

HP et IBM rivalisent pour séduire les clients de Sun

Depuis le début de la crise économique, les entreprises cherchent toujours des solutions plus flexibles pour améliorer les coûts de possession et de fonctionnement de leurs systèmes d'informations. Et aujourd'hui les solutions héritées de Sun sont mises en concurrence avec les systèmes proposés par Hewlett-Packard et IBM. Dans cette nouvelle bataille, l'étude réalisée par Dan Olds pour le Gabriel Consulting Group sur les fournisseurs de référence pour les systèmes Unix (Unix Vendor Preference) met en concurrence les principales solutions du marché, à savoir HP, IBM et Sun. Selon cette enquête, les clients pensent que les systèmes HP Integrity NonStop et HP-UX 11i v3 sont plus intéressantes que les solutions concurrentes et, ce, sur plusieurs critères. Un autre rapport publié en novembre 2009 par Alinean et intitulé « The business value of HP-UX 11i V3 » met en avant que, sur une période de trois ans, le passage à des systèmes HP-UX 11i v3 fonctionnant sur des serveurs Integrity BL870c a contribué à baisser de 23% le coût total de possession par rapport aux solutions précédentes reposant sur IBM AIX 6.1 tournant sur des BladeCenter JS23. Des résultats à prendre cependant avec des pincettes puisque chaque entreprise possède un système d'information unique avec des impératifs de disponibilité et de sécurité fort différents.

Parmi les entreprises ayant migré une partie de leurs infrastructures informatiques vers les serveurs HP Integrity exécutant le système d'exploitation HP-UX, citons le fabricant de pneus Kuhmo en Corée du Sud, le Comté de Bernalillo au Nouveau Mexique et la banque VTB en Russie. Ces entreprises ont utilisé les outils et les services proposés par HP pour simplifier et rationaliser leurs processus de migration. Directeur informatique du Comté de Bernalillo, Paul Roybal témoigne :  «Quand le Comté a eu besoin de services supplémentaires pour répondre aux besoins des résidents, nous nous sommes tournés vers HP pour installer une infrastructure qui pourrait nous aider à réduire nos coûts et mettre en oeuvre plus rapidement les applications . » En déployant les serveurs en lame Integrity avec HP-UX, nous avons réduit le nombre de serveurs physiques et les exigences de refroidissement de 40 pour cent, tout en améliorant les performances globales."

Nous reviendrons sur ce sujet avec des exemples d'entreprises ayant quitté Sun pour IBM, en attendant pour consulter l'intégralité ces deux études, il est nécessaire de contacter directement les sociétés Gabriel Consulting Group et Alinean.

 

(...)

(12/04/2010 12:21:17)

Trois nouvelles formations certifiantes pour les informaticiens

Demos et le Fafiec (OPCA de la branche de l'informatique, de l'ingénierie, du conseil et des foires et salons) annoncent la mise en place de trois cycles certifiés CQP (Certificat de qualification professionnelle). Comme le diplôme et le titre professionnel, ce certificat fait partie des certifications officielles.

La formation « développeur nouvelles technologies orienté .Net » s'adresse aux candidats de niveau 3 en informatique ou possédant un Deug en maths physiques. Elle s'étale sur 82 jours et s'articule autour d'une dizaine de modules qui permettront d'établir un cahier de spécifications pour développer une application logicielle en .Net. La session « développeur nouvelles technologies orienté Java » vise également les candidats informaticiens ou non et est, elle aussi, constituée de 10 modules destinés à ceux qui souhaitent acquérir toutes les compétences liées à l'emploi de développeur Java.

Enfin, une session intitulée « administrateur de bases de données » aborde l'ensemble des aspects organisation, conception, et développement d'une base de données en vue de gérer les informations internes à une entreprise, du stockage à la gestion de ces données dans un environnement informatique sécurisé. Basés sur le référentiel d'emploi de la fédération Syntec, ces trois cycles peuvent être suivis partiellement dans le cadre de la formation continue ou de la validation des acquis de l'expérience (VAE). Leur coût se situe entre 10 500 et 11 500 €.

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(12/04/2010 10:54:45)

La fuite des cerveaux de Sun continue

L'initiateur du célèbre langage, Java, quitte le navire Oracle. Il l'a annoncé dans un billet sur son blog, avec une effectivité depuis le 2 avril, sans pour l'instant donner d'indications sur son avenir professionnel. « A la question de savoir pourquoi je pars, il est difficile de répondre, tout ce que je pourrais dire pourrait être mal interprété et avoir des conséquences ». souligne James Gosling.

Ce dernier était ingénieur en chef de l'activité logiciel d'Oracle et auparavant il occupait ce poste chez Sun auprès des développeurs. En 1991, il a été à l'origine d'un projet mené par un petit groupe d'ingénieurs, qui s'appelait Oak, permettant de construire un langage de programmation orienté objet, qui pourrait fonctionner sur une machine virtuelle, acceptant plusieurs applications sur des plateformes multiples. Ce travail a évolué vers Java, qui a accompagné les usages croissants d'Internet notamment, grâce à son intégration au sein du navigateur Netscape.

James Gosling fait suite une vague de plusieurs départs de salariés de Sun, Johnatan Schwartz, CEO et Tim Bray, le co-inventeur du XML Tim Bray, depuis l'approbation de son rachat par Oracle,. Il y a moins d'un mois, Gosling avait exhorté Oracle de l'importance de Java lors du Java Symposium à Las Vegas « Oracle doit mener beaucoup d'efforts pour maintenir Java aussi fort au sein de son écosystème », mais dans le même temps, il s'était déclaré très inquiet de la politisation croissante de Java Community Process.

(...)

(12/04/2010 10:09:25)

Un évangéliste d'Adobe apostrophe vertement Apple

En réponse à une modification des conditions d'octroi de licences pour les développeurs créant des applications pour la version 4.0 de l'iPhone, un évangéliste technologique de l'éditeur Adobe Systems a proposé à Apple d'effectuer un acte anatomiquement impossible. "Go screw yourself" (Allez-vous faire f*** par vous-même), écrit Lee Brimelow, un évangéliste pour la plate-forme Adobe, sur son site web personnel, le FlashBlog. Ce commentaire très cru est la dernière salve dans une escalade médiatique et judiciaire entre Apple et Adobe.

Cette semaine, Apple a en effet changé certains éléments de sa plateforme de développement SDK pour iPhone OS de telle sorte que les développeurs ne peuvent pas présenter des programmes issus de compilateurs multi-plateformes. C'est à dire des outils permettant de compiler un programme qui fonctionne soit sur l'iPhone, soit sous Android ou sur toute autre OS, sans avoir à effectuer de changement.

Or, comme prévu, Adobe prévoit d'introduire un tel compilateur multi-plateformes avec la version 5 de ses logiciels Creative Suite pour la création de contenu, qui doit sortir lundi.  Les observateurs ont souligné que la décision d'Apple aura une incidence non seulement sur Adobe, mais également sur tous les fabricants de compilateurs multi-plateformes. Mais cette décision intervient après qu'Apple ait refusé l'intégration du Flash Player d'Adobe sur son iPhone et son iPad, et que Steve Jobs ait conseillé aux développeurs Web d'utiliser HTML5 à la place.

Photo : Lee Brimelow, un évangéliste pour la plate-forme Adobe (D.R.)

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Dans un document déposé vendredi dernier auprès de la commission de régulation des opérations de bourse américaine, la SEC (Securities and Exchange Commission), Adobe a identifié le refus d'Apple d'autoriser Flash sur ses appareils comme un facteur de risque pour ses activités qui pourrait orienter les utilisateurs vers "d'autres technologies." La réponse officielle d'Adobe à ces conditions de licence avait été jusqu'ici mesurée. Une porte-parole avait simplement envoyé un communiqué par e-mail: « Nous sommes au courant des nouvelles conditions du SDK d'Apple. Nous continuons de développer notre technologie pour l'OS de l'iPhone, que nous prévoyons de faire débuter avec Flash CS5 ».

Lee Brimelow, cependant, ne cache pas son mépris. La démarche d'Apple « est un mouvement qui n'a pas d'autre défense rationnelle que la volonté de contrôle tyrannique sur les développeurs et plus important encore, d'utiliser les développeurs comme des pions dans leur croisade contre Adobe », écrit-il. Le blog de Lee Brimelow présente une note indiquant que les opinions exprimées sont les siennes et non pas celles d'Adobe. De fait,  c'est Lee Brimelow et non Adobe qui est propriétaire de Flashblog.com.  Adobe, évidemment, était au moins au courant de ce blog. Une version antérieure du texte de Lee Brimelow a apparemment déclaré que « Ce qui est clair, c'est que Apple a agi afin d'impacter les ventes de CS5 ».

Le blog de Lee Brimelow se referme avec un dernier coup de pied : « Les commentaires sont bloqués car je ne suis pas intéressé par recevoir les spams des robots de Cupertino."  Adobe a confirmé que Lee Brimelow travaille bien pour Adobe.

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(12/04/2010 09:55:07)

Trimestriels 2010 : Cegid accuse une baisse de 7% de son CA

Cegid continue à subir les effets de la crise économique. Son 1er trimestre fiscal est ainsi en repli de 7% par rapport au même trimestre de 2009 avec 58 millions d'euros (ME). La partie « licences et services d'intégration » est en recul de 11% avec  24,1 ME contre 27 ME.

Cegid explique que ses  clients grands comptes sont en phase de reprise ce qui n'est pas le cas des petites entreprises. En termes de secteurs d'activité, le groupe enregistre des signes de reprise dans le retail et le secteur public. La plus grosse déception provient de l'activité « matériels et installations » en baisse de 20%, à 3,5 ME contre 4,3. (...)

(12/04/2010 10:00:49)

Un plan marshall pour le très haut débit aux Etats Unis

(Source EuroTMT ) Prenant acte du retard pris par son pays dans l'internet à très haut débit, la Federal Communications Commission (FCC), l'autorité de régulation du secteur des télécoms des Etats Unis a publié un important plan de rattrapage sur 10 ans. Selon les spécialistes, il devrait surtout bénéficier aux équipementiers réseaux que sont Cisco, Juniper Networks ou Motorola.

Les Etats-Unis n'occupent en effet que la quinzième place mondiale pour le nombre d'abonnés à l'internet haut débit selon les chiffres de l'OCDE, avec un ratio de 26,7 % contre 38,1 % pour les Pays-Bas, premier pays de ce classement et suivi du Danemark, de la Norvège, de la Suisse et de la Corée du Sud. Deux autres indicateurs montrent que les Etats-Unis ont du chemin à parcourir pour parvenir à la hauteur des premiers de la classe. En matière de vitesse de connexion à internet, les Etats-Unis sont au même niveau que l'Espagne ou l'Allemagne et loin derrière le Japon, la Finlande et un quatuor composé de la Corée du Sud, l'Islande, la France et la Suède. Enfin, s'agissant du prix mensuel moyen facturé pour un abonnement à un service haut débit, les Etats-Unis sont également à la traîne avec un niveau de 139,95 dollars (104 euros), contre 32,44 dollars pour le Japon, pays le plus performant dans ce domaine.

Pour remédier à cette situation, la FCC prévoit essentiellement de donner une connexion d'au moins 100 Mbit/s à 100 millions de foyers d'ici 2020. Cela suppose que  les fournisseurs de services internet, au premier rang desquels AT&T, devront investir des milliards de dollars pour raccorder directement les foyers à des lignes de fibre optique.

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A titre d'exemple, le cabinet IDC a calculé que le simple fait de prolonger ces lignes du noeud optique le plus proche vers 50 millions de maisons représentera la bagatelle de 60 milliards de dollars pour les opérateurs en partie financés par des fonds publics. Et il n'est pas du tout sûr que ces derniers puissent amortir de tels investissements par une augmentation du prix de leurs abonnements. Dans l'hypothèse où les opérateurs ne mettraient en oeuvre, ne fût-ce qu'une partie des objectifs énoncés par la FCC, les fabricants d'équipements réseaux seraient évidemment les premiers à profiter de tels grands travaux. Et notamment Cisco et Juniper Networks, dont les routeurs et autres produits constituent les infrastructures indispensables du trafic IP.

Si la vitesse moyenne des connexions internet est accélérée, Cisco devrait également doper ses ventes dans les systèmes de visioconférence de haute qualité, des systèmes qui nécessitent des connexions rapides pour fonctionner de manière optimale. Cisco, dont le titre a bondi de plus de 70% sur l'année écoulée dans l'anticipation d'une hausse durable de son chiffre d'affaires, a dévoilé au début du mois de mars un routeur surpuissant. Dans le cadre de son projet haut débit, la FCC souhaite également la construction de services haut débit plus solides, y compris un réseau national pour tous ceux qui travaillent au maintien de la sécurité nationale. Les spécialistes notent que ceci profitera en premier lieu à Motorola, qui est le principal acteur d'équipements mobiles pour le secteur public.

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(12/04/2010 11:59:51)

Microsoft Office 2010 face aux Google Apps sur le Web

Le mois prochain, le 12 mai exactement, Microsoft lancera Office 2010 sur un terrain sensiblement remodelé par la présence de Google et l'usage croissant de ses outils bureautiques en ligne, les Google Apps. Des utilisateurs aussi différents que Malakoff Médéric, Valeo, la ville de Los Angeles ou Genentech travaillent aujourd'hui avec les applications proposées sur le web par la firme de Mountain View. La livraison d'Office 2010 vise donc à contrer cette offensive, Microsoft proposant avec les Office Web Apps  un nouveau mode d'usage de ses logiciels en ligne. Toutefois, s'il maintient une vaste base installée de clients sur sa suite traditionnelle, son nouvel objectif d'expansion bureautique dans le cloud se voit clairement bloqué à cause des Google Apps.

Los Angeles se retrouve à promouvoir les Google Apps

L'un des défis posés par Google porte notamment sur les conditions de contrat et les protections juridiques offerts dans les environnements cloud. Ces critères peuvent, plus que les caractéristiques fonctionnelles, jouer un rôle majeur dans le choix entre les offres. La ville de Los Angeles, client institutionnel de renom dont Google peut se prévaloir, a joué franc jeu en choisissant de divulguer les détails de son contrat. D'ici la fin du mois de juin, la ville indique clairement qu'elle compte achever la migration de ses quelque 30 000 employés vers les Google Apps. De fait, Kevin Crawford (photo ci-dessus), responsable adjoint pour les technologies de l'information de Los Angeles, est devenu en quelque sorte l'évangéliste de Google pour le secteur public. Il répond aux questions des nombreuses collectivités locales et autres administrations qui souhaitent avoir des détails sur la manière dont la ville a traité avec Google.

Pas plus de cinq minutes d'indisponibilité par mois

Cette semaine, par exemple, Kevin Crawford a été bombardé de questions à ce sujet lors de la conférence SaaScon sur le Cloud computing et le SaaS (Software-as-a-Service) qui s'est tenu à Santa Clara. Le représentant de Los Angeles a dévoilé sans ambages que le contrat comprenait la couverture illimitée des dommages en cas de violation de la confidentialité des données, le droit de réaliser des audits, les garanties que les données resteraient dans le périmètre contigu des 48 états américains et le versement de pénalités dans le cas où les services de Google seraient indisponibles pendant plus de cinq minutes par mois. « La ville garde aussi la possibilité d'annuler son contrat avec Google 'à sa discrétion' », a même précisé Kevin Crawford.

Photo : Kevin Crawford, directeur général adjoint de Los Angeles (Crédit photo : DR)[[page]]Ce genre de clauses contractuelles mises à part, Tim O'Brien, directeur de la stratégie plateforme chez Microsoft, estime que son entreprise a un avantage en matière de services cloud en raison de l'expérience acquise par Microsoft dans le marché des entreprises. « Potentiellement, notre expérience dans les logiciels d'entreprise fait que nous savons beaucoup plus de choses que n'importe quel fournisseur sur la question », a-t-il déclaré lors d'une interview pendant la conférence. Il affirme que les 15 ans d'expérience de Microsoft dans les services de type cloud [NDLR : sans doute entend-il par là, les services hébergés], commencés avec l'acquisition de Hotmail en 1998, donne à l'éditeur une compétence particulière pour cet environnement. Alors que Google, au contraire, a dans ses gènes une culture web essentiellement axé sur le grand public.

Par ailleurs, revenant sur le contrat signé par Google avec Los Angeles, Tim O'Brien se demande si les dispositions portant sur la migration rapide vers un autre fournisseur incluent bien toutes les considérations associées à ce type de transfert, ainsi que les coûts engendrés. Un problème majeur dans les services cloud est de s'assurer de la portabilité des données et des applications pour éviter de se retrouver captif d'un fournisseur. Tim O'Brien considère qu'il n'y a pas d'offres standards sur ces questions et n'en entrevoit pas dans un avenir proche. « Il n'existe pas de centre de gravité unique en matière de standards cloud aujourd'hui », considère-t-il en précisant néanmoins que Microsoft souhaite la portabilité « parce qu'elle met les vendeurs du marché au même niveau ».

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