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(09/04/2010 15:57:48)

IBM calme le jeu sur ses brevets avec la communauté Open Source

Après un dépôt de plainte auprès de la Commission européenne par une jeune société parisienne TurboHercules pour pratiques déloyales, un échange de lettres montrant que cette start-up violait plusieurs brevets d'IBM sur les mainframes, une communauté Open Source qui s'émeut d'une rupture possible de l'engagement d'IBM d'ouvrir certains brevets, Big Blue a repris la main pour calmer les esprits.

Dan Frye, vice-président pour le développement des systèmes ouverts d'IBM a répondu à un courrier de Jim Zemlin, directeur exécutif  de la Fondation Linux, Big Blue tente de rassurer la communauté Open Source en soulignant que « les engagements pris par IBM en 2005 ne sont pas remis en cause.  Il n'y aura donc pas de suite judiciaire concernant les 500 brevets ouverts à la communauté du logiciel libre ».

Dans cette lettre, le responsable d'IBM ne revient pas sur le cas particulier de TurboHercules, qui souhaite fournir un émulateur Open Source pour les mainframes et est accusé de violer 106 brevets d'IBM dont 2 seraient sur la fameuse liste des 500. Mais dans une réponse faite à nos confrères de Zdnet Allemagne, un porte-parole d'IBM explique « que l'accord sur les 500 brevets ne s'applique qu'aux développeurs Open Source qualifiées ou les sociétés considérées comme telle. Or nous avons des doutes sérieux sur la qualification de TurboHercules. » IBM tente donc de ménager à la fois ces intérêts vis-à-vis de la concurrence de Microsoft dans les mainframes et les relations avec la communauté Open Source. Des discussions devraient avoir lieu sur ce sujet lors du sommet Linux Foundation Collaboration, la semaine prochaine à San Fransisco.

(...)

(09/04/2010 16:31:59)

Des correctifs de sécurité trimestriels pour Solaris

Oracle insère maintenant Solaris dans son calendrier trimestriel de correctifs de sécurité. Les utilisateurs du système d'exploitation de Sun Microsystems seront ainsi informés à l'avance des mises à jour prévues. Les 'patches' étaient précédemment fournis en fonction des besoins.
Microsoft, Cisco ou encore Adobe sont eux aussi calés sur un cycle régulier de correction des failles de sécurité.

Le « Critical Patch Update » d'Oracle sera livré dans quatre jours, c'est-à-dire le 13 avril. Il comporte 47 rustines dont 7 non critiques pour sa base de données propriétaire et 16 pour des produits Sun. Ces dernières portent sur Solaris, Cluster, Convergence, Java System Access Manager, Java System Communications Express, Java System Directory Server, Management Center et le logiciel Ray server.

Microsoft a de son côté prévu de livrer 25 rustines mardi prochain et Adobe doit aussi corriger ses logiciels Acrobat et Reader. Le planning des administrateurs systèmes devraient donc être assez chargé.

Oracle a fixé au 13 juillet 2010 sa prochaine mise à jour de sécurité.

(...)

(09/04/2010 15:05:10)

La fragmentation menace la cohérence de la plate-forme Android

Livré avec plus de 6 millions de téléphones portables l'an dernier, Android s'affichera sur plus de 20 millions de combinés en 2010, selon IMS Research. L'évolution rapide d'Android de la version 1.5 à 2.1 fait que l'OS existe aujourd'hui sous quatre versions différentes sur les terminaux en circulation. « La fragmentation se produit lorsque les applications écrites pour une version de  l'OS en question ne sont plus compatibles avec les autres versions du système d'exploitation, » a indiqué IMS dans un communiqué. «Typiquement, les mises à niveau se produisent à un rythme beaucoup plus lent et la fragmentation est bien contrôlé,» a déclaré Chris Schreck, l'analyste d'IMS. Selon lui, la fragmentation est un sujet de préoccupation pour les développeurs, car ils doivent différencier les souches de l'OS, modifier les codes de chaque souche, et s'assurer que l'utilisateur obtient la version appropriée d'un programme. Des modalités jugées peu pratiques par de nombreux développeurs. Apple, au contraire, ne propose qu'une seule mise à jour majeure par an pour son iPhone OS, avant l'été généralement.

De plus, « les différences entre les souches de l'OS limitent le marché potentiel d'une application, » commente IMS. La question de la fragmentation s'étend même au-delà des développeurs puisqu'elle concerne aussi les distributeurs de téléphones mobiles et les opérateurs réseaux pour lesquels le coût du support technique d'un système d'exploitation augmente avec la multiplicité des versions à prendre en charge. « La maturation continue d'Android ralentit le rythme des mises à jour importantes de la plate-forme, » a ajouté IMS. Mais certains pensent que Google va retirer aux opérateurs de réseau mobile l'exclusivité des mises à jour logicielles, et permettre aux utilisateurs de mettre à niveau leurs matériels directement à partir de sa base Android Marketplace. « Reste à voir comment de tels changements peuvent freiner la fragmentation d'Android, » a fait remarquer IMS.

Cependant, une autre question semble avoir échappé aux observateurs : la licence Apache utilisée pour distribuer Android n'oblige pas les contributeurs à envoyer les modifications réalisées sur la plate-forme à Google. « Cela peut encourager l'innovation, mais c'est aussi la recette pour créer davantage de fragmentation, » a déclaré IMS. Et si les analystes prévoient une forte croissance d'Android en parts de marché, Google doit, selon eux, s'employer à gérer la fragmentation au risque cette fois de voir d'autres OS, comme Symbian ou LiMo, devenir des alternatives open source plus attractives. (...)

(09/04/2010 12:35:46)

Pour se préparer à la concurrence, la Française des Jeux étudie ses clients en ligne

La Française des Jeux opère des jeux de tirage, des jeux de paris sportifs et des jeux instantanés (à gratter) qu'elle distribue via un réseau de vente indirecte de 37600 points et une vente directe en ligne, via ses sites web. L'ouverture à la concurrence qui est attendue cette année l'oblige à accroître sa performance commerciale, donc à mieux connaître et à mieux solliciter ses clients joueurs. Or la vente est anonyme dans les points de vente indirecte. Le seul point de connaissance du client est donc dans la vente directe en ligne. Dans ce cas, l'identification du client est même absolue puisque l'ouverture d'un compte suppose de prouver son identité (et surtout son âge) en remplissant au préalable un dossier comprenant une photocopie de la carte d'identité et échangé par voie postale (donc avec une adresse physique connue). Le site web a été lancé en 2001 mais son démarrage réel date de 2004 avec le lancement du Loto puis de l'Euromillions en ligne. En 2009, les paris sportifs ont trouvé leur place sur ParionsWeb.fr.

Les actions commerciales déclenchées par l'analyse comportementale

En 2006, la Française des Jeux s'est doté d'une GRC et a créé un pôle dédié à la connaissance clients avant de recourir à une entreprise extérieure pour gérer les sollicitations par e-mailing, en l'occurrence Directinet. L'analyse comportementale des clients a été mise en place grâce aux solutions de l'éditeur SAS. En 2008, une la Française des Jeux a opté pour un module décisionnel permettant d'écrire dans la base de données des clients. Cette capacité permet de gérer les campagnes d'e-mailing en se basant sur les résultats très fins obtenus par l'analyse. Le principal problème de la Française des Jeux est constitué des « abandonistes ». Il s'agit de personnes qui arrêtent de jouer, cessent d'être des clients actifs et deviennent, au bout d'un certain temps, des anciens clients. Ceux-ci peuvent cependant rester en fait clients en jouant en point de vente de façon anonyme. Ils restent donc ciblés par les actions marketing.

Modélisation de l'inter-achat

La Française des Jeux a donc décidé de modéliser le comportement d'achat de chaque joueur et d'analyser les écarts inquiétants. Par exemple, une absence de jeu depuis une semaine sera normale chez un client qui joue une fois par mois mais anormale si le client joue habituellement tous les deux jours. En fonction des écarts, les sollicitations par e-mailing sont réalisées de manière à « réveiller » les clients qui « dorment ». L'action comportera en premier lieu un brief de ciblage réalisé par la Française des jeux. Directinet réalisera un ciblage et une préparation de la campagne. Une fois le bon-à-tirer de l'e-mail validé par La Française des Jeux, Directinet gère la campagne et son reporting. Afin de tenir compte des « dormants » qui se réveillent spontanément, les campagnes-tests sont menées sur des échantillons d'endormis avec comparaison des résultats sur un échantillon témoin. La Française des Jeux en bref (...)

(09/04/2010 12:17:30)

Nehalem-EX et vSphere 4 avec les serveurs novascale bullion de Bull

« Avec notre offre bullx Série B en lame et Série R en rack (sur base Intel Xeon Westmere), nous couvrons une grande part des besoins en extreme computing, dans la banque, l'industrie et la recherche scientifique », assure Bruno Pinna, directeur marketing de Bull, « mais avec le lancement de la Série S (sur base Nehalem-EX/ https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-intel-nehalem-ex-cap-sur-la-performance-et-la-haute-disponibilite-30323.html), nous proposons des serveurs quadri sockets capables de monter en puissance grâce un lien d'interconnexion maison, le BCS (Bull Coherent Switch). Avec cette technologie, nous proposons des noeuds de 8, 12 ou 16 processeurs Xeon 7500 avec un maximum de 2 To de mémoire. » Depuis l'annonce Intel, on voit beaucoup de serveurs haut de gamme Nehalem-EX 4 ou 8 sockets reposant sur des composants standards ou spéciaux. Bull, comme SGI, s'est spécialisé dans le développement de solutions originales.

 

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Même approche pour la gamme novascale bullion, Bull a en effet décidé de livrer nativement ses serveurs sur base Intel Xeon Nehalem-EX avec vSphere 4, la suite de virtualisation de VMware. « Nos serveurs novascale bullion partagent leurs caractéristiques techniques avec les bullx Série S mais, sur les premiers, nous avons décidé de mettre l'accent sur la fiabilité avec le support des fonctions Race et le partenariat avec VMware. Le marché évolue et nous pensons que la conjonction entre une machine « scalable » et l'outil vSphere 4 permet d'offrir à nos clients une plate-forme technologique stable et évolutive, et ce, dans un environnement critique virtualisé. » Sur la question de savoir pourquoi le partenariat a été fait avec VMware plutôt qu'avec Microsoft, Bruno Pinna assure trouver chez le premier une compréhension globale du marché, « on sent bien toute une stratégie cloud interne et une évolution vers le software mainframe. Nous avons également des projets en cours avec Microsoft qui reste un partenaire privilégié, mais les novascale bullion seront exclusivement livrés avec vSphere 4 et l'hyperviseur ESX 4. »

Pour l'instant, Bull ne propose pas de serveurs sur base AMD Opteron mais rien n'est définitivement exclu précise Bruno Pinna. « Nous avons effectivement une collaboration étroite avec Intel, nous finalisons par exemple avec ce dernier le Tera 100, un super calculateur pour le CEA capable d'atteindre le PetaFlop, une première en Europe. Nous nous focalisons dans nos choix et nous sommes très satisfaits de nos partenariats.»

Pour les prix, la gamme bullx démarre à 20K€. Pour les novascale bullion, Bull annonce 200K€ pour le serveur (avec WMware vSphere 4), 200K€ pour la solution de stockage et 100K€ pour les services associés.

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(09/04/2010 12:31:19)

Oracle précisera sa stratégie pour MySQL le 13 avril

Les utilisateurs de MySQL devraient bientôt obtenir des précisions sur la feuille de route programmée par Oracle pour la base de données Open Source. Mardi matin, la conférence O'Reilly MySQL, qui se déroule à Santa Clara du 12 au 15 avril, a prévu une intervention d'Edward Screven (photo), architecte en chef de l'éditeur et responsable des activités Open Source, ces dernières englobant aussi Unbreakable Linux, Open Office, les outils de virtualisation (VirtualBox notamment), ou encore InnoDB et Berkeley DB. « Nous avons hâte de présenter nos projets concernant MySQL et d'apporter à la communauté de développeurs une vision plus détaillée des évolutions auxquelles elle peut s'attendre dès à présent et à plus long terme », a indiqué dans un communiqué diffusé hier ce vétéran d'Oracle. Collaborateur de la société depuis 1986, il rend directement compte à Larry Ellison, le PDG fondateur.

Monty Widenius présente MariaDB dans la foulée

MySQL constitue un axe stratégique pour Oracle, a encore rappelé Edward Screven. L'éditeur a programmé sur les prochaines semaines deux forums à l'attention des utilisateurs de MySQL. Le premier se tiendra en Europe, à Amsterdam, le 6 mai. Le suivant aura lieu le 3 juin au siège même d'Oracle, c'est-à-dire à Redwood Shores (Californie).

Depuis qu'Oracle a annoncé son intention de racheter Sun, qui détenait MySQL, les voix des défenseurs de la base de données Open Source se sont immédiatement élevées. Nombre d'entre eux, aux rangs desquels Michael Widenius (créateur finlandais du SGBD), ont manifesté leur inquiétude de voir la société de Larry Ellison étouffer le développement du produit afin de protéger sa base propriétaire à laquelle MySQL fait de l'ombre. C'est même pour cette raison précise que l'autorisation de racheter Sun a mis tant de temps à être accordée par la Commission Européenne.[[page]]En décembre, Oracle a établi et diffusé une liste d'engagements autour de la base de données Open Source. Parmi ceux-ci figuraient en particulier la promesse de lui conserver sa diffusion sous licence GPL (General Public License) et de ne pas obliger les clients à souscrire le support auprès d'Oracle en cas d'achat d'une licence commerciale de MySQL. L'éditeur de Redwood Shores a aussi garanti qu'il allait doper les dépenses de recherche et développement sur le produit.

Malgré cela, des interrogations demeurent sur la façon dont Oracle va se comporter à long terme et nul doute que les propos d'Edward Screven vont être écoutés avec une certaine attention mardi prochain à Santa Clara.

A noter que le lendemain matin, ce sera au tour de Michael Widenius, de Monty Program Ab, d'intervenir pour présenter l'état d'avancement de sa nouvelle base de données, MariaDB, clone de MySQL. Pour décrire son projet, lors d'un entretien avec LeMondeInformatique.fr l'an dernier, 'Monty' avait indiqué qu'il prévoyait de proposer « la même base, avec plus de fonctions et moins de bugs ».

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(09/04/2010 11:26:27)

Citrix investit dans le VDI pour les PME

La virtualisation du poste de travail est au coeur des débats du début de l'année 2010. Citrix, très actif en la matière, a décidé d'orienter sa stratégie d'investissements dans des sociétés, comme Kaviza, qui s'intéresse à l'implantation du VDI au sein des PME. Cette prise de participation doit permettre le développement de la solution « VDI in a box » de Kaviza à travers une appliance qui automatisera la facturation, la balance des charges et la gestion des postes de travail virtuels. Les sociétés pourront ainsi déployer ces solutions à des coûts aussi accessibles que la fourniture de desktop classique.

« L'intérêt pour la virtualisation du poste de travail dépasse le simple cadre des grandes entreprises, les PME commencent à percevoir les bénéfices de fournir à leurs employés un accès virtuel à leur poste de travail à distance. Nous avons été impressionnés par le travail réalisé par Kaviza pour déployer une solution avec un minimum d'investissements » déclare Andy Cohen, directeur senior du développement stratégique de Citrix. Le tarif de la solution VDI in a box se décompose ainsi en 100 dollars par desktop pour l'intégration au sein des serveurs, 50 dollars par machine pour l'hyperviseur VMware ESXi et pour le logiciel de gestion de Kavizia de l'appliance virtuelle. Le coût total de la solution est estimé à moins de 500 dollars par poste de travail. Windows 7 et XP peuvent être virtualisés avec leurs licences. La version 2.2 de VDI in a box est disponible et Kaviza proposera prochainement un service supportant les hyperviseurs Citrix XenServer et Hyper V de Microsoft.

Le montant de l'investissement de Citrix n'a pas été dévoilé.

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